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ma tante Martine – Chapitre 1




Enfin les vacances !

19 ans toujours puceau, un père strict, sévère. Une mère trop envahissante. Enfin je quittai le giron de ma famille qui métouffait de son éducation stricte à laquelle je devais sûrement ma timidité et mon absence totale dexpérience sexuelle. Enfin, cette famille je ne la quittais pas tout à fait puisque jétais depuis quelques jours en vacances chez ma tante Martine

Ca faisait plusieurs années que je navais pas vu Martine. Depuis le décès de son mari, le frère de ma mère, lorsque javais 13 ans. Mes parents lui avaient demandé de mhéberger chez elle au bord de la mer pour toute la durée des vacances d été

Une villa en bord de mer, avec en prime une piscine. Des vacances de rêve

Mes vacances denfant chez elle mavait laissé le souvenir dune tante stricte, jeune veuve de 42 ans, elle semblait parfois la rendre aigrie et on ne lui connaissait pas dhomme dans sa vie, son veuvage l avait laissé a labri de toute préoccupation financière.

Elle était grande et belle ; brune aux cheveux longs jusquà sa taille fine et je ne me

lassais pas de regarder ses fesses rebondies et sa lourde poitrine dont les tétons

pointaient sous son maillot lorsque nous allions à la plage. Mais quelque chose avait bel et bien changé chez elle, cétait le regard quelle portait sur moi, sur mon corps.

Les vacances se passaient bien tranquillement, Ma tante était gentille mais souvent, elle me faisait franchement remarquer mes maladresses et mon impolitesse ce qui me faisait honte.

Mais laimais bien ses reproches, sa douceur, son autorité et son physique de femme mûre et sensuelle provoquaient une réelle excitation chez le jeune puceau que jétais.

Un après-midi fit basculer le train-train de mes vacances balnéaires et toute ma vie

entière. Ce jour-là après avoir passe l après midi au bord de la piscine, nous discutions au salon, encore en maillots de bain.

Alors Laurent, où es tu parti te promener tout à lheure ?

Heu et bien, je me suis balade sur la plage. Mais j ai vite fait demi tour

Ah bon ? Et pourquoi cela?

Jai marché un kilomètre environ mais tout dun coup il ny avait plus que des hommes tout nus sur la plage, dis-je un peu gêné.

Elle se mit à rire et ajouta :

Oui mon chéri, cest la plage naturiste, tu y a vu des homos, tu aurais dû continuer, après cest mixte, jy vais parfois avec mes amies.

Quel choc pour moi !

Ah bon mais heu tu te mets toute nue à la plage ?

Oh mais tu sais il ny a pas quà la plage mon grand, cest très agréable de

vivre nue. En principe, ici je suis toujours nue. Mais tu devrais essayer ça te

décoincerait, dit-elle avec un sourire que jaurais encore du mal à qualifier

aujourdhui dironique ou de bienveillant.

Je restais sans voix, imaginant ma tante nue au soleil et dire que cest moi qui la

trouvait trop stricte.

Et alors pourquoi es-tu parti si vite, tu nas pas aimé ce que tu as vu sur

cette plage pour hommes, dit-elle prenant plaisir à titiller mon embarras.

Je ne suis pas homo moi, dis-je, et puis tu sais ils avaient presque tous le sexe rasé, je ne savais pas que ça se faisait.

Et oui beaucoup de gens le font maintenant, moi aussi dailleurs, dit-elle avec

un naturel désarmant.

Peut être que c est mieux jaimerais le faire, ça fait plus

propre sans tous ces poils. Mais je nose pas jai trop peur de me couper en le faisant.

Oh mais cest quil grandit le petit chéri ! Tu veux que je te prenne rendez-

vous chez mon esthéticienne ? dit-elle très gentiment.

Oh non, joserai jamais me montre a une inconnue.

Mon Dieu, quel nigaud !

Quelle honte javais soudain de lui avoir avoué tout ça. Mais à ce moment, son regard se posa sur moi et elle me dit dune toute autre voix :

Tu ne voudrais quand même pas que je te le fasse ?

Jeus à peine le temps dimaginer la scène et de bredouiller un « heu » très

éloquent quelle devina la réponse et me rétorqua

vivement :

Et bien ne reste pas comme ça la bouche ouverte, file à la salle de bain et sors

un rasoir et de la mousse à raser, jarrive.

Le ton de sa voix ne permettait refus, jobéissais immédiatement. À

peine avais-je sorti le nécessaire après une minute dhésitation quelle entra et me

dit

Si tu veux que je te rase, il va falloir enlever ton maillot de bain !

Moi qui ne métais jamais montré nu devant une femme je nen menais pas large. Voyant mon hésitation, elle prit mon maillot de bain dans ses mains et tira dun coup sec pour me lenlever. Elle se redressa et avec un sourire en coin me dit :

Tu es sûr de vouloir raser alors ?

Oui

Elle avait les yeux rivés sur mon sexe, je me sentais rougir, mais son ton

changea et elle me dit :

Tu nes pas très poilu ça ne devrait pas être long. Ça te gêne dêtre nu devant

moi on dirait ?

Ben tu sais je nai pas lhabitude.

Comme je tai dit, jaime beaucoup vivre nue tu sais, moi aussi je vais enlever

mon maillot comme ça on sera a égalité et tu seras moins gêné.

Le ton de sa voix était tout à fait déconcertant car il passait dune phrase à lautre

de la sévérité sèche à la tendresse la plus douce.. Elle fit glisser les bretelles de son maillot noir une pièce et commença descendre doucement vers le bas. Au fur et à mesure que sa poitrine mapparaissait, je me disais « ça y est, je rêve, jy crois pas elle est en train de se mettre toute nue

» Sa magnifique poitrine de femme mûre mapparaissait. Pas de marque de maillot, elle disait donc vrai, elle se faisait bronzer nue Ses seins étaient gros,

lourds, tombants légèrement, de belles et larges auréoles brunes et de bons gros tétons épais qui donnent vraiment envie dêtre tétés, ils étaient magnifiques ! Le tissu continuait de rouler sur son ventre assez plat, elle me regardait et enfin le maillot tomba à terre, mes yeux étaient rivés sur son minou complètement lisse Jétais tellement ému que mon visage par contre, devait trahir mon émotion car elle me dit :

Hé ! Petit idiot, tu nas jamais vu une femme nue ou quoi ?

Je dus lui avouer quen effet elle était la première que je voyais nue

Ca se voit, dit elle.

Alors, cest comme ça quelle me voyait, un petit puceau avec ses petites branlettes Javais honte.

Elle me laissa debout, et sassit sur un tabouret, regardant mon sexe quelle allait

raser. Elle prit la mousse dans ses mains et commença à me létaler sur le pubis assez machinalement et énergiquement. Moi qui métais dit quil allait être difficile de ne pas être excité, il n en était rien. Elle se saisit du rasoir et tout aussi machinalement, elle me rasa le pubis méthodiquement. Je me sentais aussi nu quun poulet que lon vient de plumer. Elle me rinça avec un gant de toilette et pris un peu de recul pour me regarder et dit :

Bien ça commence à être acceptable On va faire tes couilles maintenant.

Oh tu crois vraiment ?

Jétais tout étonné par le mot quelle avait employé.

Bien sûr voyons, laisse-moi faire, tu ne vas pas garder ce duvet

Je commençais à me demander si elle ne faisait pas exprès de me rendre ridicule.

Cette fois-ci, son geste se fit beaucoup plus lent et délicat. Elle prit mes

testicules dans sa main et sembla les soupeser, elle les fit même un peu rouler entre

ses doigts comme je le fais lorsque je me masturbe. Jétais surpris, je soupirais

imperceptiblement. Javais comme limpression que tous ces gestes étaient mesurés pour contrôler mon excitation. Je me remis à la regarder. Elle était là devant moi nue, à me raser, assise sur ce tabouret. Excitante, légèrement penchée en avant avec ses

beaux seins qui pendaient un peu. Ça y est, je sentais lexcitation monter en moi.

Elle sentait mon regard sur elle et je suis certain aujourdhui que si elle écarta les

cuisses doucement, cétait pour me laisser voir son abricot souvrir un peu.

Elle finit de me raser les boules et me dit :

Il reste un peu de poils sur ta pine.

Cest alors quelle me regarda et prit mon sexe entre ses doigts, elle le souleva

doucement et le plaqua contre mon ventre pour raser dessous. Cen était trop pour moi !

Je me mis à bander presque tout de suite, javais honte mais le contact de sa main était trop bon. Elle eut un sourire en coin et me dit

:

Et bien mon grand quest-ce qui tarrive ?

Oh pardon, mais tu sais on me lavait jamais touché avant.

Ah bon et tu aimes ça alors, espèce de cochon

Heu ben heu oui

Elle attrapa mon sexe plus franchement maintenant quil était devenu dur, elle le

décalotta, elle le regardait, semblait le juger. Elle dit :

De toute façon, dur comme ça cest plus facile à raser.

Et elle me débarrassa des quelques poils qui restaient. Mais elle ne lâchait pas ma

pine toute raide, au contraire elle se mit à la décalotter encore plusieurs fois

lentement, la faisant durcir, en pelotant aussi mes boules. Mon gland était tout gonflé, elle le pinça doucement pour sentir son état dexcitation.

Et ben dis donc, ça te fait de leffet que je te rase, on dirait ?

Elle saisit ma pine juste sous le gland et se mit à faire quelques mouvements de

branlette énergique. Jétais tout excité, prêt à tout éjaculer.

Cest comme ça que tu fais quand tu te branles, hein petit cochon ?

Oui dis-je en soupirant dexcitation.

Bon et bien ici cest chez moi et tu es là pour encore un mois et demi alors je tinterdis de te branler, cest bien compris ? dit-elle en me secouant toujours énergiquement le sexe.

Oui promis dis-je incapable de lui répondre non.

Elle lâcha alors mon sexe tout dur et se releva dun coup. Jétais presque en état de

choc. Jétais là debout dans la salle de bain, le sexe au garde à vous, léjaculation prête à jaillir.

Son ton changea et sa voix se fit douce à nouveau :

Voilà mon chéri cest fini tu es tout rasé, tout propre, comme moi !

Elle attrapa mon sexe raide comme une poignée et me traîna comme ça devant la glace.

Tu es beau mon chéri, tu as un beau sexe tu sais pour ton âge. La nature a été assez généreuse avec toi. Regarde comme nous sommes beaux.

Je ne répondais rien, trop excité, trop médusé. Elle se mit alors face à moi, me

regarda dans les yeux et sapprocha de moi, elle sapprocha tellement quelle se colla à moi en souriant. Je sentis ses gros seins sécraser contre moi. Je pouvais sentir ses tétons contre ma peau nue. Je sentais mon sexe frotter contre son ventre tout chaud. Elle posa ses mains sur mes fesses et les palpa doucement elle dit :

Tu vas voir mon chéri tu vas passer de bonnes vacances chez moi.

Cen était trop, sa peau contre la mienne, sa voix ferme et parfois si douce Ma pine tellement gonflée tressauta et jéjaculai dun coup sur son ventre en grognant. Je me

vidais longuement, elle me laissait faire en ondulant son ventre chaud contre mon

membre et en caressant mes fesses.

Et bien mon pauvre chéri, tu en avais envie dis donc. Regarde tu men as mis

partout.

Oooh, dit-elle en étalant mon sperme sur son ventre.

Oh pardon je suis désolé, excuse-moi.

Ce n est pas grave, tu es jeune, je vais t apprendre à te contrôler. Et maintenant

allez hop, on va sous la douche.

Elle me donna une petite tape sur les fesses pour mindiquer la cabine, mais je fus

très surpris lorsquelle entra avec moi.

Tu éjacules toujours beaucoup comme ça, dis-moi ? dit-elle en me faisant voir

son ventre maculé de ma semence de jeune puceau.

Heu presque toujours, des fois plus, dis-je un peu honteux, tout en me lavant.

Tiens lave-moi un peu dans le dos, sil te plaît.

Je me régalais de pouvoir voir ses belles fesses comme ça. Je lui lavais bien le dos,

laissant un peu traîner mes mains devant à la base de ses gros seins sans oser aller

plus loin et sur ses fesses que je tâtais un peu mieux en les lavant. Je me remis à

bander. Elle sen aperçut et me dit sèchement :

Mais dis donc toi, tu bandes encore ? Va oust on sort !

Excuse moi

Bon et bien puisque tu me vois nue là, on va rester toutes les vacances tout nus

comme ça tu thabitueras, allez pas la peine de remettre ton maillot. Et essaye de te

contrôler un peu !

Voila, après avoir pris du plaisir, elle me faisait encore honte

Nous passâmes donc le reste de la journée entièrement nue. Quel plaisir de pouvoir se balader comme ça le sexe à lair en toute liberté, de pouvoir nager dans la piscine

sans maillot et surtout quel bonheur de pouvoir observer ma tante Martine toute nue.

Elle était vraiment belle, très désirable, je la regardais pendant quelle jardinait,

la voyant parfois penchée en avant, son beau cul bien dessiné, son corps cambré

Parfois elle saccroupissait ouvrant un peu les cuisses, me laissant voir sa belle

chatte ouverte, quel régal ! Mais je narrêtais pas de bander, impossible de contrôler

ça comme elle me lavait demandé. Mais elle ne semblait pas gênée du tout elle se

laissait tout à fait regarder en madressant quelques sourires

Après dîner, elle reçut un coup de fil qui dura assez longtemps et je me mis alors à

ranger la cuisine et je me remémorais les épisodes de la journée Je me laissais aller

à rêver et me remis à bander, encore Lorsquelle arriva, jétais devant lévier dos à

elle.

Oh tu as tout rangé cest gentil ça Laurent, dit-elle menlaçant derrière moi,

passant ses mains sur mon torse pour me faire un bisou sur la joue.

Je sentais encore sa peau contre la mienne ses gros tétons sécraser contre mon dos.

Elle laissa traîner ses mains sur mon ventre et me dit soudain :

Oh mais espèce de cochon, tu bandes encore, tu exagères ! Je tavais dit de te

contenir pourtant !

Jétais surpris par sa réaction, je la sentais se fâcher dans mon dos, javais honte à

nouveau Elle me dit :

Mais qui ma donné un ptit puceau pareil, oh ce nest pas possible ça ! Tu dois vraiment

avoir les couilles pleines toi à bander tout le temps comme ça ! Ça te fait bander de

te balader à poil chez moi hein ?

Je mattendais à une punition ou à quelque chose de ce genre, mais elle se serra

contre moi un peu plus fort et saisit mes boules fermement de sa main gauche et ma

pine toute raide de la main droite, presque à men faire mal.

Ce sont mes gros seins qui te font bander comme ça hein cochon ? dit-elle alors.

Je nosais pas répondre, elle desserra un peu ses mains sur mes instruments et elle

commença à me masturber doucement ! Je ny croyais pas, je me laissais faire. Elle

faisait rouler mes boules entre ses doigts que cétait bon ! Et de lautre elle

décalottait mon gland gonflé. Elle faisait aller et venir sa main droite de plus en

plus vite sur ma verge tendue ; elle me branlait à présent dune main experte tout en

me disant :

Tu aimes ça te faire branler hein petit pervers ? Je sais que tu es un ptit

puceau aux couilles pleines, je vais moccuper de te traire comme il faut, petit

salaud !!!!

Ces obscénités quelle proférait dans mes oreilles me faisaient honte, mais elle

mexcitait beaucoup et cest aussi pour ça quelle me traitait ainsi. Je sentais ses

gros tétons durs contre mon dos et de sa main gauche elle tripotait parfois mes boules et parfois pelotait mon cul. Elle me branlait de plus en plus vite, je me mis à gémir, à soupirer plus fort, je sentais léjaculation venir dans sa main ferme et excitante.

Me sentant sur le point de jouir elle accéléra encore sa branlette en me soupirant à

loreille :

Elle sait bien te faire jouir, tarti, hein allez, vas-y, crache tout petit cochon

!

Je fermais les yeux pour me laisser aller à mon plaisir tout en passant ma main

derrière moi sur sa cuisse que je tâtais, me tenant à lévier de lautre main.

Voilà, voilà, allez jouis, me dit-elle.

Et sous ses ordres, nen pouvant plus de bander si dur et de me faire branler, je me

mis à jouir. Que cétait bon ! Jéjaculais dans lévier vide en râlant de bonheur

Elle continua de me branler lentement pendant quelques secondes, ralentissant bien

pour que je reprenne mon souffle. Elle restait collée à moi et me fit un petit bisou

dans le cou tout en me disant

Voila tu tes bien vidé, cest bien.

Elle me lâcha la bite et se lava les mains en même temps je la vis goûter une petite goutte de sperme restée sur son doigt.

Bon allez file au lit et pas de branlette jusquà demain ! Demain est une

journée que tu noublieras pas mais il faudra être bien sage si tu veux que ça se

passe bien.

Ah bon mais quest ce qui se passe demain ?

Une amie à moi sest invitée, mais il faudra être en forme.

-Il faudra s habiller alors, demandes je

-Non, non, du tout ; elle est comme moi, une amie naturiste, je lui ai parle de toi. Elle a hâte de te rencontrer. Il te faudra être en forme pour assurer.

Demain soir tu seras un homme, mon garçon

Daccord, bonne nuit.

À demain.

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