Je mappelle Danielle et jai 45 ans. Blonde, 1m70 pour 60 kg, je suis ce quon appelle une femme séduisante. Adolescente mes parents mont laissé une grande liberté daction. Cest ainsi que jai découvert ma sexualité. Après un dépucelage avec un camarade maladroit et plutôt éjaculateur précoce, jai été initiée par un ami de ma mère, Eric 40 ans qui ma fait découvrir le plaisir et la jouissance. Jai eu deux années de bonheur intense facilitées par son état de célibataire et le fait que nous pouvions nous retrouver facilement chez lui. Je lui ai vraiment appartenu. Avec lui jai découvert le sexe, le bonheur de sucer un membre viril et imposant, de le sentir se déverser en moi dans ma bouche sur mes seins, la sodomie avec le plaisir lui donner ce dont il raffolait, les jeux érotiques de toutes sortes. Jai ressenti tout le plaisir dêtre femme, de ressentir mon corps vibrer, mon sexe souvrir à ses caresses, mes seins se durcir. Jai appris la violence du désir et la plénitude de la possession.

Peu de temps après mes 19 ans, le ciel mest tombé sur la tête. Mon bel amant sétait tué en voiture. Je suis tombé dans une période de dépression intense. Mes amis voyant mon état ont essayé de me sortir de ma léthargie. Ils mont invité à sortir avec eux, à participer à leurs soirées mais le contact des autres hommes métait insupportable. Comme jétais plutôt jolie, je ne manquait pas de soupirants. Ils ont tout essayé pour me draguer mais la pensée davoir des relations sexuelles avec eux me faisait horreur. Seule la compagnie de mon amie Sylvie mapaisait. Elle connaissait tout de mon histoire et petit à petit nous nous sommes rapprochées et ce qui devait arriver, arriva. Jai eu mes premières relations homosexuelles. Si jai retrouvé la paix des sens, je sentais que ce nétait pas ma sexualité véritable. Sylvie était plutôt bisexuelle plutôt attirée par les garçons. Elle me proposa de faire des soirées avec ses amis mais le blocage subsistait. Nous nous sommes peu à peu éloignées et suite à son déménagement séparées.

A luniversité où je poursuivais mes études, jai rencontré Daniel. Jai immédiatement aimé son humour et sa délicatesse. Grand, très beau garçon, il a su être patient. Petit à petit je me suis aperçu que jaimais sa compagnie, que le la recherchait. Jai accepté ses baisers, ses caresses. Jai recommencé à vibrer et le désir est progressivement revenu. Jai accepté de coucher avec lui. Si son sexe était moins imposant que celui dEric cétait un bon amant et jai retrouvé le plaisir daimer.

Après un an de vie commune, nous nous sommes mariés. La passion des premières années a fait place à une amicale routine. Certes notre sexualité était variée mais je voyais quil nétait pas satisfait. En dépit des efforts que je faisais pour ranimer la flamme en satisfaisant tous ses désirs, en portant des tenues affriolantes, en essayant de le rendre jaloux, jai senti quil voyait dautres femmes. Nous avons eu une explication. En fait notre vie de couple lennuyait. Il aurait souhaité plus de variété. Il ma proposé alors dessayer le libertinage et léchangisme. Je lui ai fait part de tous les dangers que comportait ce type de pratique et du risque que cela comportait pour notre couple, il na rien voulu entendre.

An fond de moi depuis longtemps je ressentais une sorte de frustration. Les souvenirs de mes amours de jeunesse revenaient en moi. Depuis quelques mois je métais remise à me caresser avec mes doigts puis des toys que je métais procurée. Mon corps méchappait et réclamait des plaisirs plus intenses. La proposition de Daniel était peut-être un signe du ciel.

Jai accepté et Daniel sest mis à la recherche dun couple échangiste sur internet qui pourrait me convenir. Cest ainsi que nous avons rencontré Guy et Carole un couple de 35 ans. Guy, un corps dathlète, bien membré et Carole, brune, pétillante avec une très belle poitrine et des jambes superbes. Nous les avons reçus chez nous et après un petit moment de gêne les choses se sont faites naturellement. Guy a commencé à me caresser et très vite jai senti le désir monter en moi. Après avoir goûté son sexe, il ma très vite pénétré. Je sentais ses doigts me pénétrer lanus. Près de nous, Daniel soccupait de Carole en la prenant à grands coups de reins. Jai très vite un premier orgasme qui ma fait hurler de plaisir. Guy était un formidable amant. Je ressentais au plus profond de moi son sexe. A ma demande au moment de jouir il sest retiré et je lai pris en bouche. En avalant son sperme jai joui une autre fois. Tout mon corps vibrait. Je navais pas ressenti une telle jouissance depuis longtemps. En reprenant mes esprits, je me suis aperçu que mon mari me regardait comme sil ne me reconnaissait pas. Carole ne semblait pas satisfaite.

Alors que les hommes se servaient à boire Carole sest mise à me caresser et à membrasser. Mon corps à nouveau répondait. Nous nous sommes mises tête bêche. Son sexe suintait le sperme de Daniel. Elle possédait un clitoris très développé quil faisait bon sucer. Les hommes en nous voyant ont repris de la vigueur. Pendant que Carole soccupait de mon sexe, je sentais les doigts de Guy mouvrir les fesses et dilater mon anus. Daniel a pris la place du sexe de Carole et je me suis retrouvée léchée par Carole, sodomisée par Guy avec Daniel en bouche. Très vite Guy sest répandu en moi car javais le cul ma-t-il dit très serré. Daniel au moment de jouir sest tourné vers Carole et sest répandu sur ses seins. Carole elle continuait à me caresser.

Après ce moment intense de sexualité, nous avons beaucoup parlé. Guy et Carole sétaient eux aussi lancés dans léchangisme pour pimenter leur vie de couple et cela visiblement leur convenait. Puis nous nous sommes couchés Guy avec moi et Carole avec Daniel. Ce fût une nuit merveilleuse. Mon corps une nouvelle fois méchappait et mes cris de jouissance rendait Guy fier comme tout bon mâle qui se respecte.

Ils nous quittèrent au petit matin avec la promesse de se revoir. La suite fût un peu moins drôle car Daniel me reprochait de mêtre conduite comme une chienne en chaleur. Cest lui qui lavait cherché, je lavais prévenu. Moi javais retrouvé mon corps, ma libido. Je me sentais complètement épanouie

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