Cela fais 3 semaines que j’ai eu ma première relation sexuelle zoophile.
Je n’ai pas pu remettre ça faute de resté seule à l’entrepôt.
Donc ce dimanche après midi je suis seule et je compte bien en profité.
Je gars mon camion, je referme le portail pour être sur de me pas être déranger.
Les chiens me font la fête, je pense qu’ils savent déjà qu’ils vont profité de moi.
Mon vagin a très envie de leurs bites et moi soif de leurs foutres.
Mon coeur bat a cent a l’heure.
Je suis dans un local ou je me met a poil.
Je m’allonge sur des palettes et une couverture que j’avais préparé dans la semaine.
Je suis sur le dos, les cuisses bien écartées.
C’est le beauceron qui vient me bouffé la chatte le premier.
J’aime sa langue longue et épaisse, elle me fouille bien comme il faut.
Il lèche de l’anus au nombril, sans oublié le clito, je jouis très vite.
C’est là que Hans est entré.
Je n’avais pas vu son camion t’en je me suis précipité pour me faire baisser par les chiens.
Je panique un peu mais son large sourire me rassure aussitôt.
Hans vient vers moi, me bise le front et me fourre sa grosse queue dans la bouche.
Il est très dur.
Sa queue fait un bon 18, elle est équipée d’un large et gros gland tous rouge.
Il n’est pas ridicule a côté des chiens.
La langue du chien me lèche toujours.
Les couilles de Hans sont grosses et dures, elles sont trop pleines.
Il décharge aussitôt, j’avale son foutre , j’adore le goût salé de son jus;
Il y en a trop, je bave le le sperme, le labrador vient me lécher le visage.
Sa langue me nettoie et entre dans ma bouche, je la reçois goulument.
Le beauceron me grimpe dessus, il veut me mettre sa queue.
Je sens sa point entre mes cuisses.
J’avance le bassin, il entre en moi en une seul fois, profond, très profond.
Je la sens cognée au fond de ma chatte, elle est dure.
Il me besogne comme un chien baisse sa femelle.
Sa femelle que je suis maintenant.
Il gonfle en moi, il me rempli de son jus et de sa bite.
Nous sommes collés l’un a l’autre.
Hans me donne la bite du labrador a sucer.
Je l’embouche jusqu’au couilles.
Le salo me baisse la bouche comme une chatte de chienne.
Il gonfle dans ma bouche , il est si profond que je tire au coeur.
Je suis prise à la broche canine.
Bien arrosé de l’intérieure , je sens le jus de chien qui coule en moi.
C’est le labrador qui jute le premier dans ma bouche.
Je sens sa queue se raidir sous ma langue, il couine de plaisir, et largue la purée au fond de ma gorge.
J’avale tous, j’adore le goût fort du foutre de chien.
Je lui bouffe les couilles pour le remercié de la belle dose qu’ il vient de me servir.
Hans prend sa place aussitôt.
Il me traite de salope, de pute pour chien, de chienne.
Cela me rend folle, surtout que je suis toujours pris par le beauceron, il me tient très fermement,
j’ai l’impression d’être sa chienne a lui. Il me domine.
J’ai envie de sucer sa langue, d’être sa femelle.
Mais hans occupe toute ma bouche.
Le beauceron ce met a couiner a son tour , il fait le dos rond et dans une ultime pousser il envoit
je ne sais combien de foutre dans mon ventre.
J’imagine mais ovaire baignant dans son foutre.
Je suis heureuse.
Au bout de quelque instant il se retire dans un bruit de vidange.
Il me lèche.
Je suis épuisé, mais Hans ce glisse entre mes cuisses qu’il passe au dessus de ses épaules.
Il bande dur et là je comprend qu’il veut m’enculer.
Son gland est gros, sa bite est longue et large , je la sens bien passé dans mon trou qui est bien l’huilé de foutre de chien.
En moins de trois minutes il envoit toute la purée dans mon cul.
Je suis épuisé de sexe.
Tous mes trous en ont pris une bonne cette après midi.
Quel dimanche après midi.
