Il est 20h40 quand nous entrons dans l’appartement et je prends une sacrée claque : il s’agit d’un gigantesque loft, avec un jacuzzi central, collé à une large cheminée. Le soleil est couché mais la clarté résiduelle permet d’estimer une vue à couper le souffle pour le lendemain matin. Jessica attrape une tablette électronique qui sert de télécommande. Elle commence par allumer la pièce au minimum. Quelques clics plus tard, le jacuzzi commence à se remplir et à mousser. Enfin, le canapé du salon conjoint à la cheminée et au jacuzzi se convertit soudain en une vaste surface qui pourrait être assimilée à un lit. Bref, Jessica vient de transformer le loft en baisodrome. Les victuailles posées sur la table à manger, Jessica commence à m’embrasser et plus rien ne compte.
Nous alternons toute la soirée entre le lit et le jacuzzi. Nous ne nous accordons qu’un rapide passage à table. Je retrouve la Jessica du week-end précédent, incroyablement sensuelle. Nus, "emmêlés" l’un à l’autre, nous ne nous quittons pas durant toute la nuit. Durant treize heures, nous allons faire l’amour à huit reprises et trois rapports se termineront en sodomie. Je parviens étonnamment à oublier qu’elle est la fille de mon patron. Le seul petit souci que je soumets à Jessica, compte tenu des circonstances, est son manque de discrétion pendant l’acte. Elle dit de rien pouvoir faire, que je la baise trop bien, qu’elle prend un pied incroyable. Cela continuera toute la nuit.
Au matin, nous sommes réveillés par la sonnerie du portable de Jess. La vue est effectivement à couper le souffle, surtout quand vous sodomisez une petit bombe blonde face à la vallée. Après une rapide douche, nous faisons de notre mieux pour effacer toute trace de notre passage. A 10h pile, la voiture démarre et nous prenons le chemin du retour. Jessica me propose de passer la soirée et la nuit chez Jennifer dont les parents sont absents. Toutes les filles seront présentes. J’ai malheureusement un anniversaire. Jessica écrit et reçoit des messages durant le trajet.
— Les filles sont déçues que tu ne puisses pas venir ce soir. Jennifer dit qu’on peut y aller dès 18h pour profiter de la piscine. Tu peux venir un moment quand même ?
— Je peux venir une petite heure, oui. Je dois amener quelque chose ?
— Attends, je demande
Quelques secondes plus tard, elle dit :
— Du rosé, si tu as. Sinon, rien.
— Je dois avoir un carton.
Jessica annonce ensuite :
— Vanessa me dit de te dire que tu as le bonjour de Walter. Apparemment, elle a passé la soirée avec lui. Tu le connais ?
— Oui, c’est un ami.
— Mais comment est-ce que Vanessa le connait ?
— Elle l’a croisée chez moi et ils ont échangé leurs coordonnées.
Jessica ne dit rien. Elle n’est pas convaincue, je le vois bien. Elle sourit.
— Pourquoi j’ai l’impression que tu ne me dis pas tout ? Mercredi, tu étais avec Vanessa mais pas chez toi. Jeudi à midi, vous vous êtes vus à l’extérieur, le soir, tu étais avec Elise. Hier soir, avec moi. Que s’est-il passé hier à midi chez toi ?
— On t’a déjà dit que tu devrais essayer le job de détective ?
— Laisse-moi deviner : tu étais avec elle chez toi et ton pote est arrivé et
Elle réfléchit visiblement très vite.
— Non. Non. Non. Il manque quelque chose.
Nouvelle réflexion.
— Je pense que Vanessa a dû flasher sur ton ami chez toi hier
Après un blanc, je dis :
— Vanessa, Walter et moi avons fait l’amour à trois.
— Quoi !?!? Elle n’a rien dit !!
— Tu dois promettre de le garder pour toi. Vanessa est arrivée alors que je mangeais avec Walter. Elle savait très bien ce qu’elle faisait, crois-moi. Elle m’a sucé devant lui, elle l’a sucé, elle nous a sucé. Je l’ai prise pendant qu’elle suçait Walter. Walter la prise ensuite puis il est parti. J’ai remis ça avec Vanessa et je lui ai donné le numéro de Walter. Voilà.
— Oh putain Vanessa ? Ma Vanessa ?
— Depuis mercredi, elle ne sait pas ce qui lui arrive. Elle a tout le temps envie de baiser. Insatiable.
— C’est incroyable
Vanessa est le sujet de discussion jusqu’à notre arrivée chez Jennifer à 11h30. Je salue la jolie brune d’un smack. Elle me dit qu’elle se réjouit de la soirée et me propose de venir dès 17h30 si je le désire. Clin d’il. Seul, je vais me reposer chez moi et après un déjeuner tardif, je fais une belle sieste jusqu’à 16h. A mon réveil, je suis surpris de n’avoir aucun message de Jessica. J’appelle mes enfants.
Je me prépare, prends le vin et me rend chez Jennifer. Elle m’accueille bikini bleu ciel et blanc et paréo. Nous faisons le tour de la maison et nous embrassons lorsque nous sommes invisibles de la rue. Sur la terrasse est une table basse avec des victuailles. Autour, des canapés et des fauteuils. Je me réjouis d’aller me baigner. Mais Jennifer a d’autres projets pour nous avant l’arrivée des filles. Nous allons dans sa chambre et nous faisons l’amour. Très sensuelle, Jennifer avait bien préparé son coup. Contrairement au mercredi précédent, son sexe est cette fois complètement glabre et cela m’excite d’autant plus. Elle jouit à plusieurs reprises et semble comblée par l’ébat. Nous redescendons ensuite boire un verre au bord de la piscine en attendant les autres.
A 18h arrivent Caroline et Vanessa, déposées par la mère de la première. Alors que Vanessa me roulent une longue pelle et me dit qu’elle a envie de moi, Caroline se montre assez timide. Vanessa porte une jupe courte et un débardeur à volants, et Caroline une petite robe noire très sexy. A peine sont-elle installées qu’Elise fait son apparition. Petit short moulant blanc et tunique rose sur un bikini du même coloris, elle fait vacancière à la plage. Elle m’embrasse elle aussi. Ne manque que Jessica. Aucune des filles n’a eu de ses nouvelles dans la journée. Messages et téléphones sont restés sans réponse. Elles essaient alors à plusieurs reprises sans succès. Jusqu’à un message assez étrange :
— "je ne peux pas venir ce soir désolée. je vous expliquerai"
Le message casse l’ambiance durant quelques instants. Puis Jennifer propose que nous allions tous à la piscine. Elle n’est pas bien grande mais suffit largement à nous rafraichir. Et nous "chamailler". Je commence avec Vanessa. Nos jeux se terminent par un baiser profond. Je continue avec Elise qui me surprend en m’embrassant avec beaucoup de tendresse. Je me tourne ensuite vers Jennifer qui est un peu gênée de m’embrasser devant les autres, quand bien même ces dernières sont toutes au courant de notre incartade dans l’abri de jardin. Elise dit ensuite :
— Caro, je crois qu’il ne reste que toi.
La blonde rougit et je reste dans un coin de la piscine, bien décidé à ne rien brusquer. Vanessa ajoute :
— Tu devrais y aller, crois-moi
Caroline me regarde, je lui souris. Jennifer temporise :
— Laissez-la agir comme elle veut. Caro, ne les écoute pas.
Mais Caroline a choisi et glisse dans l’eau dans ma direction. Elle s’arrête à quelques centimètres de mon visage et me fait un smack. Ses yeux me donnent l’autorisation. Je l’embrasse à pleine bouche. Nos langues roulent lentement et longuement tandis que mes mains passent sous son bikini au niveau des fesses. Applaudissements et vivas des trois autres filles. Je murmure à Caroline :
— Je peux t’enlever le haut ?
— Pourquoi ?
— Je vais faire pareil aux autres, mais j’aimerais que tu sois la première. Elles ont déjà vu tes seins ?
— Oui, plusieurs fois même.
— Alors ?
— Alors d’accord.
— Ok. Tourne toi face aux autres. Je dénoue derrière et tu l’enlèves par le haut. Et moi, je mets mes mains sur tes seins pour les cacher.
— Heu c’est que ça me gêne. On ne m’a jamais caressée la poitrine.
— Ah Alors je dénoue le haut et tu laisses tomber les pans dans l’eau. Je dénoue ensuite derrière.
— Ok.
C’est ainsi qu’est découverte la jolie poitrine de Caroline. Pour les autres, le premier plan est utilisé et les quatre filles se retrouvent topless dans l’eau pour mon plus grand plaisir. Je passe de fille en fille, embrassant l’une, goûtant les tétons de l’autre, caressant une troisième, pelotant encore et encore. Y compris Caroline qui se lâche petit à petit. J’apprends alors les tailles des soutien-gorges de mes camarades de jeu : Jennifer a la plus petite poitrine avec une taille de 90B, voir même 90A dans certaines marques. Pour Caroline, c’est un honnête 90C. Vanessa avoue un 95D ou E. Quand à Elise, elle dit avoir parfois de la peine à trouver des soutien-gorge de taille 85D ou E bon marchés.
Nous sortons de la piscine vers 19h et je suis contraint de prendre congé des filles. Elise dit :
— Reviens après ta soirée ! Nous sommes là toute la nuit !
— Je verrai, je ne promets rien.
