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Maman…pourquoi es tu aussi salope ? – Chapitre 7




Le vieil homme s’approcha de la femme qui était nue et attachée contre une souche d arbre. Il lut avec circonspection le message écrit.

Mon dieu, mais qu’est ce que c’est que ce foutoir ? Ça va Madame ? C est un "jeu", vous êtes consentante ?

— Oui…vous pouvez faire tout ce que vous voulez, mais après il faudra me détacher…je commence à être un peu ankylosée, et je n’aimerais pas passer la nuit ici

— Tout…tout…c’est vite dit ! J’ai 85 ans moi ! C’est quand même dommage, à 10 ans près …Par contre…vous avez bien dit tout ? Je veux pas avoir de problèmes , moi , vous comprenez !

— Tout !!

Le vieil homme regardait son chien en laisse, qui semblait très intéressé par l’entrejambe ouvert de la femme allongée sur le sol . Il laissa alors un peu de longe à l’animal qui, attiré par les effluves de mouille et de sperme, qui se dégageaient de la vulve de la femme offerte, vint placer son museau sur le sexe béant. Aussitôt Josiane exhala un long gémissement de satisfaction. Elle venait de sentir le souffle chaud du chien sur ses lèvres intimes, et le moins que l’on puisse dire, c’est que cela lui faisait beaucoup d’effet. Josiane ressentait cette excitation maintenant  familière, ce gonflement de ses nymphes, cette boule dans l’estomac et dans la gorge, qui lui faisait dire que tout son corps réclamait sa part de plaisir sexuel intense.

Josiane avait bien entendu parlé de zoophilie, elle savait que c’était une pratique peu courante qui existait néanmoins Avant sa "vraie vie de femme libérée", soit environ deux heures auparavant, l’idée ne lui serait jamais venue il faut dire qu’elle n’avait pas pensé non plus se faire un gang bang avec 5 ou 6 jeunes, ni coucher avec son propre fils ! Alors là …cette occasion, pouvait-elle se refuser ? En plus le fait d’être attachée et aveuglée, livrée sans défense au chien, puisque son maître était HS, vu son âge  canonique, n’en était que plus savoureux  !

Haletante, sous les coups de langue généreux que lui prodiguait l’animal, Josiane réussit à dire dans un souffle rauque :

Lâche le ton clébard…qu’il me baise !

Aussitôt dit, aussitôt fait ! Le vieux libéra son chien, un Golden retriever d’environ 35 kilos, qui se jeta littéralement sur le sexe de Josiane

Putain, mais c’est quand même une sacrée salope ta mère ! Elle accepte de se faire baiser par ce chien qu’elle ne voit même pas ! Et toi tu filmes tout ça, petit saligaud pervers ! Dit Henriette, ne détachant qu’à grand peine son regard du portable .

Henriette, un grand sourire aux lèvres, regardait Luc, qui penaud, lui, regardait ses pieds.

Allez, n’aie pas honte ! Je n’ai jamais vu de spectacle plus excitant ! Bon sang, je ne regrette pas de t’avoir confisqué ton portable ! Alors, on n’est pas bien tous les trois là, à se fumer une clope, boire du whisky et mater la vidéo zoophile de ta mère ! Tu sais quoi ? La prochaine interro, tu as 15 d’office, même si tu m’écris les mêmes conneries que d’habitude !

Henriette les cuisses légèrement écartées, les jambes sur son bureau, la main sur sa jupe un peu remontée, à l’endroit de son pubis, regardait sans en perdre une miette les sexploits" de la mère de Luc. La femme du dirlo !! Hohoho ! Jamais même dans ses rêves les plus fous, elle n’aurait pu imaginer cela ! Elle allait voir Josiane, qu’elle connaissait bien, qu’elle pensait être un gentille mémère à son mari, sans une once de fantaisie sexuelle, se faire démonter par un chien…un chien !! hohoho ! Là, son fantasme le plus grand, le truc qu’elle rêvait de faire tout de suite, c’était de courir montrer la vidéo à Serge, son crétin de supérieur qui ne voulait pas d’elle. Elle s’imaginait les yeux ronds comme des soucoupes, de ce personnage sans couilles, devant le spectacle de voir sa femme se faire limer par un chien ! En tout cas, elle était limite fusion !

Son string était mouillé, mais mouillé ! Il allait falloir qu’elle le retire …et qu’elle se branle ! Oui putain qu’elle se branle ! Jamais elle n’avait eu autant envie d avoir une queue, des doigts, un gode même une clé à molette pourquoi pas…dans sa chatte ! Elle avait de plus en plus de mal à contenir cette envie indomptable !

Une autre, pour qui la température commençait aussi à s’élever, c’était Clara. Elle avait les yeux fixés, comme hypnotisés sur la main et les doigts de sa prof, qui commençaient à s’agiter au fur et à mesure que le film devenait plus hard. Elle piaffait d’impatience…elle se disait que si la prof remontait sa jupe et baissait son string pour se contenter, elle allait se mettre à genoux devant elle, entre le compas de ses jambes sur le bureau, et lui bouffer la chatte ! Et tant pis pour la morale ! Elle n’en avait rien à foutre que Luc la voit faire, et sache qu’elle était bi ! A la rigueur,  excitée comme elle l’était, elle était même prête à  lui donner ce qu’il désirait tant depuis des mois : sa chatte et son cul !

Et Luc, Luc, lui ce petit crétin, ne voyait rien de ce qui se passait autour de lui ! Rongé par la honte, il ne cessait de fixer la pointe de ses baskets !

Le Golden, après avoir copieusement léché la fente de Josiane, et avoir réussi à introduire la pointe sa langue dans ce puits de plaisir déjà bien dilaté, provoquant spasmes et cris de jouissance de Josiane, voulut prendre plus que sa part de mâle en rut ! Alors qu’il exerçait des poussées continues de son bassin, imitant la copulation dans le vide, il rapprocha son sexe proéminent au gland rouge, de l’antre désirée de sa femelle du jour ! Josiane quant à elle, espérant cette pénétration bestiale , mais ne voyant rien pour guider les opérations, se contentait d’écarter les cuisses au maximum, et de replier les genoux . Alors le vieux vint à la rescousse !

Il écarta encore les cuisses de Josiane, et guidant son chien qui venait la couvrir, il dirigea le phallus de l’animal vers la grotte détrempée de cette femme en rut ! Aussitôt que l’animal fut emprisonné dans le fourreau chaud et accueillant, il se lâcha et commença un va et vient endiablé de son bassin ! Il pénétrait Josiane de façon intense et profonde. Cette dernière hurlait son plaisir ! Elle ne s’arrêtait plus de crier, ahaner, gémir comme une putain ! Même le vieux, pourtant amoindri par les années, réussit à sortit un sexe passablement durci de son pantalon, et à se masturber doucement

Alors là là Henriette n’en pouvait plus ! Elle donna un coup de bassin vers le bureau, remonta complètement sa jupe au-dessus de ses jarretelles, et d’un coup sec, défit son string qu’elle lança sur le sol. Henriette avait les cuisses écartées, les pieds posées sur son bureau et sa petite fente gorgée de plaisir, tel un fruit mûr ! Elle coulait littéralement le long de ses cuisses. Ne restait à trouver qu’un gastronome averti et délicat, pour goûter la saveur de ce petit abricot tout mûr, et en savourer le nectar. Ce ne fut guère long ! Clara, sidérée par le sexe découvert et offert de sa prof, se précipita servilement entre ses cuisses, et une main défaisant bouton et fermeture éclair de son propre jean, pour aller elle aussi satisfaire son fruit défendu, elle se lança dans un cunnilingus profond et enthousiaste. Quand Henriette, qui avait déjà deux doigts sur son bouton, sentit cette langue mobile et inquisitrice sur son anatomie si sensible, elle cria de surprise et de plaisir.

Oui, viens petite salope, bouffe le moi mon abricot ! Ho, putaainn, tu me fais trop du bien…aahhhhh.mmhummm c’est trop bon, continue petite chienne !

Tout avait été très vite. Luc fixait encore ses baskets, que la bouche de Clara prenait possession du sexe avide de la prof ! Quand il entendit les exclamations de jouissance de la femme, il tourna la tête, et sidéré, vit sa prof à moitié nue, offerte, le sexe écartelé, qui se faisait lécher par une Clara, soumise, le jean et la culotte baissés, à genoux, une main en train de se caresser sa petite chatte !

La honte fut très vite remplacée par une excitation délirante. Son pénis tripla de volume en deux secondes, et la bosse qu’il faisait dans son pantalon menaçait de faire péter les boutons de sa braguette..

Henriette qui gémissait, abandonnée aux douces caresses buccales de son élève, tourna la tête vers lui et constatant son érection emprisonnée, lui dit :

Allez, reste pas comme un petit puceau comme ça ! Sors ta bite et approche-toi. Je vais te la sucer ! Après tout, tout ça (en désignant la jeune fille qui s’escrimait sur sa vulve), c’est grâce à toi !

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