Nos quatre invités sont ponctuels, ne voulant pas rater cette rencontre. Je les conduis à la chambre d’où viennent des bruits obscènes, et ils en comprennent la source en découvrant le spectacle.
Vanessa est de dos et ne se retourne même pas pour voir les nouveaux venus, trop absorbée par sa baise frénétique. Elle est entièrement nue et pédale comme une forcenée sur le vélo d’intérieur, doublement pénétrée et donc doublement satisfaite. Elle a la chatte qui coulisse sur un gode ventouse, tandis que son cul dévore la belle bite de Christian, mon beauf, à poil lui aussi, et dont les mots obscènes confirment son plaisir aussi intense que le mien auparavant:
— Oh putain, que c’est bon comme tu me baises! Aucune femelle ne m’a jamais autant astiqué la bite. Tu aimes ça, salope!
— Oui, il n’y a rien de meilleur qu’une bonne bite dans le cul. Je vais te la traire à fonds ta grosse queue, et tu as intérêt à tout me donner.
— Oui, fais moi jouir, je n’en peux plus.
— Je fais le maximum, dépêche toi de me remplir de foutre, je n’en peux plus moi non plus.
On assiste au spectacle sans rien dire. Vanessa est en sueur, essoufflée, mais elle continue à se démener pour arriver à ses fins. Mon beauf se laisse faire, aussi crevé qu’elle, et ne fait rien pour retenir sa libération imminente. La petite salope le fait enfin décharger, et ils gueulent tous les deux de plaisir. Elle se dégage, Christian vient devant elle et lui donne son sexe à nettoyer. Elle s’accroupit pour s’exécuter, en ayant ajusté le saladier sous son fion pour y déverser la semence qu’elle a récoltée entre ses fesses. Son partenaire est ravi, et s’adresse à nous:
— Oh les mecs, on en a chopé une bonne! Elle est trop chaude cette salope, on va passer une super soirée.
Un des invités répond:
— Oui, et je peux vous dire que l’on n’est pas trop nombreux pour essayer de la satisfaire cette putain.
Vanessa cesse de sucer, et se retourne brusquement en ayant reconnu cette voix:
— Grand-père! mais qu’est-ce que tu fais là?
— Tes amis ont eu la gentillesse de m’inviter, je ne pouvais pas refuser.
— Ce ne sont pas mes amis, juste une relation sur internet. Mais toi comment tu les connais?
— Grâce à toi. Tu as écris à Eric, lui a envoyé des photos de toi mais aussi du haras. Et sur une on voit ma voiture et la plaque d’immatriculation. Il n’a eu aucun mal à me retrouver et à me proposer une rencontre. Il a très envie de voir nos scènes incestueuses.
— Ah, je me demandais comment il avait pu me trouver! C’est toi qu’il lui a donné l’adresse de mon travail?
— Oui, j’avais envie de nouveaux partenaires pour toi.
— Tu es un salaud grand-père, mais tu sais que c’est pour cela que je t’aime.
— Oui ma chérie, je sais que tu adores les bites de vieux dans ton cul, et on va bien s’occuper de toi. Dis moi que tu en as envie de nos queues ma petite fille.
— Oui, je les veux toutes. Je vais vous les dégorger comme j’ai fait pour Eric et Christian, et ensuite j’espère que vous allez m’enculer de toutes vos forces.
— Mais c’est bien notre intention mon amour. Allez, assez discuté, met toi en place, nos copains commencent à s’impatienter.
Tout en parlant nos invités se sont déshabillés; ils sont donc quatre, le papy, Augustin et Jocelyne qui ont été le chercher à la gare, et Amédée, un copain à eux, un black dans la cinquantaine et incroyablement bien monté.
Vanessa enfourche à nouveau le vélo, plante sa chatte sur le gode, tandis qu’Augustin se met en place. Il glisse son gros gland et sa queue épaisse dans l’illet offert de notre jeune femelle. Il n’a plus qu’à la laisser faire pour leur plus grand plaisir à tous les deux.
Pendant ce temps Jocelyne s’occupent des deux autres hommes, Amédée et papy, et les pompe tous les deux pour les faire bien bander, bien durcir, que Vanessa ne soit pas déçue de ces deux queues qui sont sans doute ses préférées, l’une pour le calibre, l’autre pour l’inceste.
Notre pédaleuse y va à fonds, donne toutes ses forces pour en finir avec Augustin, impatiente de retrouver son grand-père et sa queue qu’elle aime tant. Son partenaire craque à son tour et la remplit de son jus en jurant comme un gros porc. La troisième séance est terminée avec toujours le même final.
Vanessa se tourne vers Amédée et son grand-père qui se font sucer par la femme d’Augustin:
— Oh papy, je n’y crois pas comme tu bandes! Tu avais toujours la bite molle ces derniers temps.
— Oui, et ça semblait te déplaire. Alors je prends du viagra maintenant, et je vais pouvoir te défoncer comme au bon vieux temps.
— Oh oui mon papy, j’en ai envie de ta belle queue, viens, mets me la.
C’est vrai qu’il a une belle queue ce vieux, plus que la mienne, et au moins autant que celle de mon beauf.
Vanessa remonte une fois encore sur le vélo et écarte ses fesses pour offrir sa rondelle bien dilatée. Son grand-père se colle à elle et l’embroche avec délice. Il est bien planté en elle, et elle reprend son exercice, lui masse le manche de toutes ses forces, se déchaine pour le faire jouir rapidement, sachant qu’elle doit encore garder de l’énergie pour Amédée et son énorme chibre. Elle l’encourage, lui dit qu’elle l’aime, qu’elle a envie de sentir sa semence l’envahir. Il l’aime lui aussi, le lui dit, et finit par éjaculer abondamment entre ses reins. Même final, elle nettoie sa queue et alimente le saladier.
Il lui reste le black à utiliser, comme elle l’a fait pour nous autres, comme un gode, sauf que celui là est impressionnant (près de trente centimètres, sur sept de large). Elle s’approche de lui et s’empare de son monstre à deux mains:
— Ouah, cet engin, je n’en ai jamais vu d’aussi beau. Elle doivent s’éclater tes partenaires.
— Oui, sauf qu’aucune n’a jamais osé m’offrir son cul. Et toi, ça ne te fait pas peur?
— Non, t’inquiète, j’en prend des encore plus grosses.
— Je sais, on me l’a dit, celles d’animaux. Mais des hommes, tu en as déjà eu des pareilles?
— Non, je me suis déjà faite prendre par deux blacks en même temps, très bien montés, mais pas autant que toi. Tu es un vrai étalon mon salaud, et je compte bien la prendre toute, ta queue, jusqu’aux couilles.
Le temps de parler elle a repris son souffle, s’est un peu reposée, et est prête pour la dernière ligne droite. Elle se réinstalle sur le vélo, la chatte sur le gode, et son cul offert une fois encore. Amédée plaque son gland démesuré sur le petit trou de Vanessa. Heureusement il y a encore du sperme qui s’écoule de son conduit et qui va servir de lubrifiant. Il pousse pour s’introduire, elle ouvre grand la bouche mais se retient de crier pour ne pas l’effrayer et qu’il continue sa pénétration. Il est à moitié enfoui, et elle prend les commandes. Elle reprend son exercice, coulisse sur sa colonne, et s’enfonce un peu plus à chaque descente. Heureusement pour elle sa bite est souple, bien que développée au maximum, et elle va pouvoir la gober entière, jusqu’aux couilles comme annoncé. Amédée est comme un fou:
— Oh, putain de salope, je n’y crois pas, qu’elle chienne tu es! Il est bon ton cul, je n’ai jamais rien connu de meilleur. Oui, branle moi avec ton trou à bites, fait moi gicler, salope.
Elle ne répond pas, essoufflée par sa performance, et se démène comme une hystérique pour purger l’incroyable braquemart qui l’envahit. Une fois encore elle a gain de cause, et sent de longues giclées, fournies et brulantes, envahir ses reins. Elle attend le dernier soubresaut de son partenaire pour en profiter au maximum, puis le laisse se dégager. Elle s’empresse de se jeter sur sa queue pour la nettoyer, et parvient sous nos yeux ébahis à lui faire des gorges profondes, jusqu’à la racine. Son cul pisse du foutre à n’en plus finir dans le saladier. Elle a mouillé à flot durant sa chevauchée et on vide le récipient plein de sa liqueur dans le grand bol.
La séance vélo est terminée, on félicite Vanessa, on la remercie pour s’être si bien occupée de nous et de nos queues. Elle est épuisée et on fait une pause. On prend un verre au salon, tous à poil, et elle s’étonne que l’on ne se rhabille pas puisque la soirée est terminée.
Elle se trompe cette salope, elle s’est trop bien occupée de nos bites et on va essayer maintenant de s’occuper aussi bien de son cul. Elle proteste, disant qu’elle est épuisée, qu’elle n’en peux plus, mais on lui rappelle que c’est elle qui nous a dit qu’elle espérait bien qu’on l’encule après qu’elle se soit occupée de nous. On lui dit aussi qu’elle n’aura aucun effort à faire, sinon se laisser mettre, se laisser faire comme on s’est laissé faire nous aussi. Elle proteste encore un peu, pour la forme, sans conviction, et on sait qu’elle ne demande qu’à se faire défoncer, encore et encore.
A suivre…