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Choses inattendues de la vie – Chapitre 1




Je m’appelle Antonin. Dans quelques jours, je vais avoir vingt-quatre ans.

Je suis un artiste… Je peins, je fais de la photo, de la musique, de la calligraphie… et j’adore écrire.

Mais ça ne suffit pas pour vivre convenablement.

Pendant un certain temps, j’ai fait des photos de nu artistique et de lingerie, avec de jeunes modèles. J’espérais me faire une petite place dans ce milieu et, pourquoi pas, gagner un peu d’argent.

Mais… non seulement je ne gagnais pas d’argent, mais je devais payer les modèles, étant encore méconnu.

J’ai un petit studio au troisième étage d’un immeuble situé dans le quartier historique de Nice. Pas très « standing », mais avec beaucoup de charme et de cachet. Depuis ma fenêtre, je peux voir le port. Un luxe que je ne me lasse pas d’apprécier, chaque fois que j’ai un peu de temps.

Je vis seul dans mon petit studio. Je n’ai pas de petite amie.

La tendresse charnelle me manque, mais mon temps est partagé entre la peinture, la musique, un peu d’écriture et de la calligraphie que j’essaie de vendre aux touristes de passage dans ma rue. Pour peindre, je vais travailler dans l’atelier de Maria, une artiste d’origine espagnole, qui tolère ma présence pour je ne sais quelle raison.

Maria est beaucoup plus âgée que moi. Elle doit avoir la cinquantaine, mais elle a un physique superbe. Elle entretient sa forme en faisant un peu de sport et en faisant attention à son alimentation, m’avait-elle expliqué un jour où j’ai regardé avec insistance sa belle silhouette…

Dans son atelier, nous avons pris l’habitude de travailler presque dos à dos… pour ne pas se gêner.

Plusieurs fois, en me retournant pour jeter un coup d’il à son travail, j’ai eu l’impression qu’elle m’observait aussi, avec un peu d’insistance !

J’ai même acquis la certitude qu’elle avait une attirance pour moi ! Mais Maria a beaucoup de fierté…

Je la trouve adorable et bienveillante, intelligente et cultivée… Mais, surtout très belle.

Elle a une chaleur humaine, une sagesse et une retenue qu’on trouve chez des gens qui ont vécu des expériences riches. Je me suis toujours demandé pourquoi elle était seule, dans cette ville loin de sa famille et de son pays d’origine qu’elle a quitté il n’y a pas si longtemps…

Maria peint beaucoup et parle peu.

Ça lui arrive de m’adresser la parole avec sa voix mélodieuse et son accent espagnol qui chante… ça me touche profondément et déclenche en moi des sensations et des envies bizarres et inavouables.

Je l’ai assez souvent regardée du coin de l’il, surtout lorsqu’elle arrête de peindre et enlève sa blouse de travail pour aller ouvrir sa fenêtre et s’offrir un peu de chaleur en plein soleil. A ce moment-là, quand elle se met accoudée à la barrière de son petit balcon donnant sur le port, la lumière traverse certaines parties de sa silhouette et laisse deviner ses cuisses fermes, et sa robe au tissu souple dessine son corps et offre même le mouvement agréable de ses fesses au moindre mouvement. Une fois, elle s’était mis les jambes un peu écartées pour s’étirer longuement, les mains croisées derrière sa tête. À travers sa robe blanche à pois bleus, j’ai pu lire les lignes de son entrejambe, avec ce qui ressemblait à une touffe de poils venant désorganiser sa fine silhouette en ombre chinoise…

J’étais comme hypnotisé ; j’avais dû arrêter de peindre et mon regard avait du mal à se détacher de se « spectacle » magique et foudroyant de sensualité.

Mais Maria s’est retournée…

Mon pinceau plein de peinture à l’huile et ma palette tombèrent de mes mains, pendant que Maria se dirigeait vers moi dans une démarche chaloupée, comme au ralenti. D’un geste nonchalant, elle détache d’une main sa crinière d’un rouge flamboyant et secoue la tête pour bien la dégager.

Arrivée à ma hauteur, elle tend la main et me relève le menton pour refermer ma bouche encore entrouverte. Puis, comme une maman ferait à son enfant avant d’éteindre sa lumière la nuit, elle déposa un doux baiser sur ma joue en me disant « Elle n’est pas près d’être finie ton uvre, Tony ! »

J’ai fantasmé sur beaucoup de mes modèles, jeunes, belles et bien "roulées" comme disait mon père qui était porté sur la chose ! Mais avec ma timidité… je ne sais jamais comment dire ce que je ressens pour une femme. Je ne sais pas passer à l’acte quand il le faut. J’ai toujours usé d’un langage un peu trop intellectuel pour mon âge ! Je n’ai jamais su parler de choses légères touchant à la sensualité et… au sexe.

Depuis bientôt une semaine, je suis embêté par des bruits de talons dans l’appartement au-dessus du mien. Je n’ai pas encore réussi à croiser la personne qui y habite. J’ai juste appris par Maria qu’elle venait d’emménager… D’ailleurs, je trouve bien bizarre qu’une personne comme Maria qui ne parle pas beaucoup, ne sort pas beaucoup et qui habite tout de même à trois rues plus loin, puisse savoir avant moi ce qui se passe dans mon propre bâtiment !

Mais c’est le secret et la force de Maria.

J’étais décidé de trouver un moyen pour faire cesser ce bruit qui, curieusement, fait son apparition vers minuit et s’arrête vers une heure du matin : l’heure à laquelle je me mets généralement au lit et j’essaie de m’endormir.

Mise dans la confidence, Maria m’a conseillé d’aller tout simplement voir cette personne, avec quelque chose comme une bouteille de vin, des bières ou un gâteau… pour lui souhaiter la bienvenue, et lui parler des bruits de talons ! C’est tout, disait-elle avec son accent délicieux…

Dimanche.

Un beau soleil fait miroiter la surface de l’eau. Les bateaux de plaisance sont nombreux à se diriger vers les criques que j’aperçois un peu au loin. Beaucoup de touristes se promènent dans notre rue, bien ombragée. Ils viennent manger dans les nombreux petits restaurants typiques et se protéger aussi du soleil qui tape fort à cette heure de la mi-journée.

Je décide d’aller rendre visite à ma voisine du haut. J’avais accepté une bouteille de vin rouge que m’a offerte Maria en me disant « Tony ! Regarde dans le frigo, il y a une bouteille de vin pour ta voisine ! »

Devant mon manque de réaction, elle lève les yeux sur moi, ce qui est plutôt rare, et ajoute « C’est du rouge qui vient de mon pays… Il tape un peu mais il est très bon. Il faut le boire un peu frais… ! »

Bientôt midi. Ma voisine ne doit plus être au lit et, je l’espère, n’est pas encore à table.

Je ne sais pas si elle vit seule, si elle a des enfants, si…

Mais, si je me base sur les bruits que j’entends tous les jours, elle doit être seule.

Après une petite hésitation, je m’approche de la porte et pose mon oreille pour essayer d’entendre ce qui se passe chez la voisine. N’entendant rien, je toque très légèrement, trois petits coups !

La porte se retire devant moi avant que je ne puisse calmer ma respiration qui s’était emballée, et je me trouve bouche bée devant une grande et belle jeune femme.

— Queréis ?

Heureusement pour moi, j’avais quelques rudiments d’espagnol que j’ai appris en échangeant de temps à autre avec Maria.

— Buenos días, répondis-je très vite avant d’avoir le souffle coupé, et avec le plus bel accent que je pouvais.

La grande et trop belle jeune femme s’est mise à me parler vite, dans un bel espagnol, mais avec un débit qui ne me permettait pas de distinguer les mots mélodieux qu’elle m’envoyait, presque en chantant…

Elle s’est rendu compte que je ne comprenais rien. Ou alors a-t-elle supposé que j’étais un idiot accroché à sa bouteille de vin.

Elle tourna les talons et allait fermer la porte quand un bruit de pas se fait entendre. La grande jeune femme se retourne de nouveau, dans un mouvement tellement rapide que j’ai cru que sa belle chevelure d’un noir aux reflets bleutés m’avait effleuré le visage…

Après un regard fugace sur ma bouteille que je tenais collée bizarrement à mon ventre, elle me dépasse en me frôlant avec un parfum musqué et suave pour aller regarder par-dessus la rampe d’escalier, curieuse de savoir qui arrive.

— Hola Mi amor… Te estaba esperando un poco más tarde mi amor…

Elle a adressé ce flot de paroles rapides vers la personne que j’entends maintenant monter doucement les marches. J’ai compris Mon amour et je ne t’attendais pas si tôt…

L’odeur entêtante de musc m’emplissait le nez. La robe de ma voisine m’effleurait le derrière, et sa voix suave et mélodieuse sonne encore comme une musique dans ma tête…

Au moment précis où la jeune femme a bougé pour aller sans doute accueillir la personne qui arrive, j’ai senti une douce chaleur envahir mon corps, les poils se hérisser et un plaisir indéfinissable s’empare de moi.

Mon sexe s’est curieusement mis à grossir de manière brusque et forme maintenant une bosse sous mon pantalon, un jean noir serré que j’avais mis pour aller avec ma chemise en soie bleu marine.

— Attends, Alejandra ! lui répond la voix qui monte. Je vais d’abord voir notre ami l’artiste… tu es toujours d’accord pour qu’il vienne manger avec nous, Mi querido Alejandra ?

— Ouiiii… Maria ! dit de manière un peu lascive ma voisine dont les fesses sont maintenant presque contre les miennes, à tel point que je ne pouvais plus bouger. Le plaisir se précisait et la chaleur gagnait mon bas-ventre, mon visage et ma nuque.

Surpris par la voix et les propos de l’arrivante, je tendais l’oreille ; et j’entends toquer en bas, très certainement à ma porte ! Je bouge à contrecur pour aller vérifier, pendant que ma voisine continuait « Pourquoi me parler français, Maria ? Je ne comprends pas tout, tu le sais… »

Elle a dit Maria !

Il m’avait semblé reconnaître la voix de mon amie artiste…

Effectivement, je descends quelques marches et… je reconnais Maria. Elle n’était pas comme d’habitude… quelque chose avait changé : elle avait l’air plus jeune ! Ses cheveux, habituellement tenus dans un béret, étaient coiffés en un beau chignon. Leur reflet me semblait d’un roux plus prononcé, plus chaud et plus profond que d’habitude, avec des reflets même rouges. Elle porte un joli pantalon style bohème, un Sarouel léger et fluide avec élastique à la taille, des poches sur le côté, en tissu bleu marine avec de petits motifs blancs. Son buste était mis en valeur dans un simple T-shirt blanc qui fait jaillir ses seins et dégage le nombril de son ventre bien plat.

Sa main allait heurter de nouveau ma porte quand elle entendit mes pas. Elle se tourne dans ma direction et me dit après un petit moment d’hésitation, dans un sourire inhabituel : « Tony ! Mon artiste ! »

Elle ne me laisse pas le temps de répondre. Elle fonce vers moi montant avec hardiesse les marches qui nous séparent.

— Maria ! Vous vous connaissez ? dis-je en me retournant vers ma voisine dont les bras croisés faisaient remonter des seins d’un blanc laiteux.

— Désolée, je n’ai pas eu le temps de t’en parler… mais, allons d’abord à l’intérieur, tu veux bien ?

Alejandra m’indique l’entrée avec un large geste du bras et avec un sourire entendu.

J’entre, suivi de Maria et Alejandra qui ferme la porte derrière nous.

Le bruit d’une clef qui tourne dans la serrure me surprend. Je me retourne machinalement pour me retrouver le nez dans les seins de ma voisine, qui ne s’attendait pas à mon arrêt.

Je murmure un « Pardon » presque au milieu de sa voluptueuse poitrine.

— mis pechos dicen hola ¡ me dit Alejandra avec un joli sourire.

— Mes seins te disent bonjour ¡ Voilà ce que mon amie t’a dit, Tony…

Quelque chose me dit qu’on m’a préparé un petit traquenard !

Pour me donner un peu de contenance, je tends mécaniquement la bouteille de vin à ma voisine. Maria s’installe déjà confortablement dans l’un des deux fauteuils au milieu du petit salon. Des fauteuils patchwork dans un camaïeu de rouges intenses qui donnent beaucoup de chaleur à la pièce.

— J’ai droit à une explication, Maria !

— Tony, je te présente Alejandra… Alejandra, je te présente Tony… enfin, Antonin !

Comme je restais debout sans savoir comment réagir, Alejandra me prit délicatement par le bras et m’emmène vers le deuxième fauteuil resté libre et m’invita à m’asseoir.

Je m’exécute sans oser me mettre à l’aise, au fond du fauteuil.

— Mets-toi à l’aise Tony…

— Et ton amie ? demandai-je en regardant Alejandra qui me toisait avec un large sourire.

— Ne t’inquiète pas, elle va se débrouiller, elle est chez elle ! Mets-toi à l’aise !

La belle et grande jeune femme revient avec un plateau sur lequel étaient disposés la bouteille de vin que j’ai apportée et trois verres tulipes larges et profonds, comme des grands verres à cognac !

Alejandra pose le plateau sur une jolie table de salon en verre teinté par endroits et qui reflétait la lumière du soleil sur le parquet au bois clair du salon.

On s’est regardé un petit instant puis ma voisine s’est levée pour remplir un verre de vin et le tendre à Maria en déposant un baiser léger à même ses lèvres !

La scène me semble irréelle… Maria ! Embrassée sur la bouche par une femme !

Puis, quand vint mon tour, Alejandra me tendit le verre à moitié plein d’un rouge à la robe soutenue… et, à ma grande surprise, s’installe sur mes cuisses, avec une telle délicatesse et légèreté que j’avais l’impression qu’elle était encore debout.

Une chaleur diffuse me gagne très vite, comme si j’avais une bouillotte sur les cuisses. Mon sexe qui se trouve au centre de cette chaleur me ramène à la réalité, tellement il a gonflé dans mon jean serré.

Alejandra ne pouvait pas l’ignorer, ce qui ajoute à ma confusion.

— Qu’est-ce qui se passe ici ? Demandai-je aux deux femmes.

— À ta santé Tony… À la santé de l’amitié et de l’amour, n’est-ce pas ?

La confusion commence à m’étouffer un peu. J’ai envie de me lever pour aller je ne sais où, mais loin de cette jeune femme angélique et dangereusement tentatrice. Quand elle se retourne vers moi et me met son vers entre mes lèvres.

— madera mi amigo ¡ Bois à la santé de l’amitié et de l’amour…

Je m’exécute, pris dans une sorte de rêve éveillé. Hummmm ! Il est bon le vin de Marie ! Mais je n’ai pas eu le temps de le « grumer » avant d’avaler ma gorgée, et voilà les lèvres d’Alejandra qui s’approchent des miennes…

Là, un peu vexé d’être pris sans mon avis, sans préambule… je me suis levé en bousculant un peu ma voisine et en m’arrêtant au milieu du salon…

— Quelqu’un m’explique maintenant ?

Sans dire un mot, Maria se lève et va s’asseoir à côté de son amie. Le fauteuil était si petit pour deux personnes qu’elles se retrouvent collées maintenant l’une à l’autre. Et l’unique réponse que j’ai eue était leurs bouches qui se rejoignent dans un baiser fougueux et de plus en plus bruyant. Puis la main de Maria s’aventura petit à petit sous la robe d’Alejandra et, avec beaucoup de tendresse et de délicatesse, remonte de plus en plus vers le bas des fesses…

Le souffle d’Alejandra devient de plus en plus fort. Ses jambes se détendent et les talons (ces talons qui m’embêtent chaque soir vers minuit) frottent un peu sur le bois du parquet. Alejandra les retire l’un après l’autre avec ses pieds et les repousse loin, vers moi…

Les lèvres toujours emmêlées avec un peu de salive qui commence à couler sur le côté de la bouche de Maria, Alejandra cherche les seins de son amie en plongeant sa main droite par le col du T-shirt. Elle en extrait un, gonflé, ferme et appétissant comme une miche chaude qui sort du four. Elle commence à le malaxer entre ses doigts puis à en pincer le téton qui était déjà bien dur.

Soudain, Alejandra quitte la bouche de son amie, se redresse un peu pour se mettre à califourchon, les genoux de chaque côté des cuisses de Maria et ses deux mains prennent le visage pour l’attirer vers un autre baiser plus fougueux, plus profond et plus bruyant que le précédent.

Penchée comme elle était sur son amie, l’arrière de son corps, ses belles fesses diaboliques se retrouvent face à moi, à moitié dénudées. De plaisir, elles esquissaient un mouvement en spirale qui ne faisait que s’accentuer, avec les bruits des bouches.

Pendant que d’une main Maria finissait de monter la robe d’Alejandra pour lever le voile sur ce qui m’était encore caché du fessier danseur, son autre main s’est levée vers le plafond et, d’un doigt, elle semblait m’indiquer avec un geste répété cet endroit splendide qui me regardait avec ses cuisses serrées autour de jolies lèvres roses et gonflées de désir, avec son petit trou de haute couture, qui semble ne jamais avoir été visité…

Je n’étais plus en état de chercher à comprendre.

Je n’avais plus besoin de chercher des mots pour séduire. J’ai senti qu’il fallait que j’y aille à mon tour !

Je m’approche doucement de la fournaise toujours en mouvement. J’arrache presque les boutons de mon jean et le descends en même temps que ma culotte… Mon sexe déjà bien dur était juste à la hauteur des lèvres humides de ma voisine. Quand il les a touchées, Alejandra eut comme une onde électrique qui a parcouru tout son corps. Un instant, j’ai eu peur qu’elle réagisse mal et qu’elle se retourne… qu’elle se redresse, qu’elle m’insulte dans son espagnol si mélodieux… Mais, au lieu de tout ça, elle recule aussi loin qu’elle put son beau fessier pour se rapprocher de ma belle verge.

J’ai d’abord commencé à frotter ma verge de haut en bas entre les grandes lèvres qui ne tardèrent pas à me la mouiller. Et, pendant que ma belle voisine cherchait mes couilles de sa main droite pour me les malaxer, j’ai entrepris de frotter maintenant mon sexe entre les belles fesses, mais en m’attardant avec mon gland sur le petit trou haute couture.

Alejandra commence à haleter, à râler un peu et à essayer d’accompagner mon geste de va-et-vient loin de sa chatte. Jusqu’au moment où je l’entends crier presque « Penetrame Tony, tu pene dentro »…

Je recule légèrement pour pouvoir pointer mon gland entre les lèvres et, d’un seul coup, je m’enfonce jusqu’à buter contre un fond chaud et agréable…

Alejandra poussa un grand cri et se relève lâchant le visage de Marie puis se laisse aller sur elle. Ses seins se retrouvent sur le visage de son amie qui en profite pour entamer des succions en règle.

Je ressors ma trique jusqu’à voir le gland luisant et je m’enfonce de nouveau au fond de ma belle espagnole, et j’entame un lent et long va-et-vient.

Ma voisine me fait comprendre par le mouvement de ses fesses qu’il fallait accélérer le rythme.

Je ne cède pas à son envie. Je pousse mon sexe bien au fond de son ventre et reste immobile, un long moment. Le corps d’Alejandra était comme parcouru d’un courant électrique…

Je la saisis par les hanches.

Elle se relève droite et appuie son dos contre moi.

Maria vient mettre sa bouche contre le pubis qui s’offre à elle et commence à lécher le clitoris. Moi, je tiens fermement les hanches d’Alejandra pendant qu’elle déverse sa belle chevelure noire sur mon visage en me serrant le cou avec ses deux mains et en donnant des coups de reins contre mon bas-ventre.

Je commençais à sentir venir mon orgasme, et je n’avais pas envie que ça se termine, Alejandra me cognait fort avec ses fesses maintenant, avec un râle animal, jusqu’au moment où ses cuisses se mettent à trembler, le haut de son corps s’agite. Entièrement électrisée, elle part dans des mouvements désordonnés, en me serrant le sexe au fond de son corps.

Je n’avais encore jamais connu d’orgasme féminin. Surpris, je m’arrête un instant et, quand elle s’est un peu calmée, j’ai repris d’abord un léger va-et-vient, puis de plus en plus fort et profond… et là, une fontaine jaillit d’entre les cuisses de ma belle voisine, noyant complètement le sperme que mon orgasme venait de lui envoyer par grosses saccades au fond de l’utérus !

Une fois calmés tous les deux, Marie sifflota : « Eh ben, pour une première connaissance, vous n’avez pas chômé ! Et moi, c’est quand mon tour ? »

À suivre…

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