Cela faisait déjà quelques mois que je fréquentais Mawara. Jeune doctorant en histoire, j’avais rencontré cette charmante lycéenne lors d’une soirée étudiante. Mawara était superbe, une beauté noire d’origine zaïroise, féline, bien faite, la poitrine généreuse, des jambes qui n’en finissaient pas, des hanches suffisamment larges pour que la taille soit bien marquée. Elle était gentille comme tout, et au fil des mois, elle était tombée très amoureuse de son premier homme… car j’avais en plus eu le privilège de l’initier aux plaisirs de la chair ! Elle avait d’ailleurs bien apprécier l’expérience, et nous faisions régulièrement l’amour chez moi. Elle savait se montrer coquine, mais restait encore très timide. Elle en avait bien conscience, c’est pourquoi à ma grande surprise, pour mes 25 ans, elle m’offrit comme cadeau d’anniversaire une simple feuille de papier pliée en quatre :
— Euhhh ? Cette feuille, c’est mon cadeau d’anniversaire ?
— Oui, oui… déplie là, tu vas voir…
Elle me dit cela d’un ton timide, osant à peine me croiser mon regard…
— Bon, ok.
Je m’exécutais. Je me retrouvais avec une feuille format A4, avec un court texte écrit dessus :
« Par cette présente, je m’offre toute à toi. Trop timide pour prendre des initiatives, je te laisse toute latitude pour faire de moi ce que bon te semble. Par amour pour toi je ferai tout ce que te me demandera, sans la moindre hésitation. Ce cadeau prendra effet dans 15 jours, pour l’anniversaire de mes 18 ans. Je t’aime. Mawara. »
— Euuuhhh… la vache… t’es bien sur de ton cadeau, là ?
Si Mawara n’avait pas été zaïroise, je suis sur qu’elle aurait été rouge pivoine. C’est d’une toute petite voix qu’elle me répondit :
— Absolument.
— Mais… c’est que tu ne connais pas encore tout à fait les limites de mes fantasmes ?
— Justement… à toi de me faire découvrir tout ça…
— Ok, comme tu voudras… ça me laisse donc 15 jours pour me préparer !
— Hihihihi… Elle n’osais plus de tout me regarder en face ! Je sens que mon anniversaire va être inoubliable…
— T’as pas idée, ma chérie !
Je me suis donc agiter pendant 15 jours pour tout préparer. Le jour J, je passais prendre Mawara, et l’emmenais au restaurant. Menu gastronomique de qualité : j’avais cassé ma tirelire pour l’occasion. Elle s’était fait belle, et je la trouvais particulièrement désirable. A la fin du repas, je ne pris pas la direction de mon petit appart. Mawara m’interrogea sur notre destination et je lui répondis que Fred et Alex, deux amis qu’elle connaissait aussi, m’avait prêter l’appart qu’ils louaient en colocation pour la soirée, histoire que nous disposions de plus d’espace.
Arrivés sur place, je l’embrassais, et commençais à la tripoter un peu, histoire de commencer à lexciter. C’est alors qu’elle me rappela sa promesse au creux de l’oreille :
— Je suis toute à toi, Thomas, n’hésite pas à me demander ce que tu veux !
— Alors, déshabille toi, tu veux ?
— D’accord…
Elle s’exécuta avec sensualité. Bientôt, je pouvais admirer ses formes félines… la noirceur de sa peau m’excitait beaucoup. Pour vérifier son état, je m’approchais d’elle et lui demanda d’écarter un peu ses cuisses, ce qu’elle fit immédiatement. J’enfonçais un doigt assez profondément dans son intimité, et constatait avec délice qu’elle commençait déjà à s’humidifier.
— Bon, met toi à genou, maintenant…
Pendant qu’elle s’installait au milieu de la pièce, je fouillait dans un tiroir du meuble du salon où nous étions. Comme prévu, j’y trouvais ce que je cherchais : un collier et une laisse. Sans attendre, j’équipais Mawara du collier. Elle se laissa faire sans poser de question.
— Regarde moi.
Mawara leva la tête pour me fixer du regard. C’est avec satisfaction que je lus l’inscription qu’elle n’avais pas aperçu sur le collier quand je le lui avait mis : « Sac à foutre ».
— C’est bien, tu es très excitante comme ça…
— Ah oui ?
— Oh oui, bandante à souhait…
Elle rougit un peu devant un langage dont elle n’avait pas trop l’habitude.
— Ne rougis pas, ma chérie… tu le sais parfaitement que tu sais bien me faire bander !
Je me baissais pour accrocher la laisse au collier.
— Qu-est-ce que tu fais, là ?
— Chuuuttt… Tu te rappelles, Mawara ? Toute offerte, tout ce que je demanderais, et sans hésitation, hein ? Ce sont tes propres termes…
— Oui, excuses moi…
Je me redressais, et me tournait vers la porte qui menait aux chambres, qui jusque l’à était restée fermée.
— C’est bon, les gars, vous pouvez sortir.
La porte s’ouvrit sur 5 de mes amis… Fred et Alex, bien entendu, mais aussi Manu, Romain et Marco.
— C’est quoi ça !?, ce mit aussitôt à demander, Mawara, paniquée, en tentant de cacher de ses bras et de ses mains son corps exposé.
— C’est un test, ma chérie… Souviens toi : je peux faire de toi tout ce que bon me semble, et tu le feras sans hésiter… c’était mon cadeau d’anniversaire.
— Oui, mais…
— Pas de mais, Mawara… un cadeau est un cadeau.. ; et je tiens à voir jusqu’où tu veux être à moi ! Alors, tu es prête à tenir ta promesse ?
— C’est que…
— Toute à moi, tout ce que bon me semble, tout ce que je demanderais, sans hésiter… c’est ce que tu m’a offert…
Je lui dis ça sur le ton implorant dont je savais parfaitement qu’elle était folle… elle ne pouvait rien me refuser quand j’utilisais ce ton là…
— D’accord… j’ai promis, mais…
Je lui lançais le regard qui allait avec le ton…
— D’accord, comme promis…
Elle baissa la tête, et laissa tomber ses bras le long de son corps.
— Aller, te laisses pas aller… écarte un peu ses cuisses, cambre toi un peu, mes donc tes jolis seins en avant… sois fier de ton corps, ma chérie.
Elle s’exécuta, laissant ainsi entrevoir un entrejambe bien entretenu, un joli ticket de métro surplombant une fente pleine de promesse pour mes amis. Sa poitrine se bomba. Les compliments fusèrent.
— Jolie !
— Sexy.
— Je me disais bien aussi que ses tenues sexy cachaient de biens belles choses !
— Merci Thomas… je sens que la soirée va être bien agréable !
— Bandante la petite… majeure ?
— 18 ans aujourd’hui… On fête son anniversaire, répondis-je à Fred, qui allait toujours droit au but avec pragmatisme.
— Chouette… on va vraiment pouvoir s’amuser, alors, dit-il.
Pendant ce court dialogue, Mawara se ratatina sur elle même… J’attrapais la caméra et la feuille qui était dans le tiroir, à côté du collier et de la laisse… Je donnais la caméra à Alex, tendis la feuille à Mawara, et empoignait la laisse, histoire de redresser la tête de ma chérie.
— Tiens, lis ça, et après, tu le réciteras à voix haute en regardant la caméra…
Mawara commença à parcourir la feuille, et protesta de suite, mais je la coupais :
— Tsss, Tssss… tout ce que je veux, sans hésitation… tiens ta promesse s’il te plaît…
Elle baissa la tête, et lu attentivement la feuille. Quand elle fut prête, elle me la rendit, et une fois que je m’en fus débarrassé, elle regarda la caméra. Alex mis en marche. En arrière plan, je tendais bien la laisse. Derrière Alex, l’écran plat du salon montrait ce que filmait la caméra.
— Moi, Mawara, pour l’anniversaire de mes 18 ans, je m’offre à vous, toute entière, ici présents, pour votre plus grand plaisir. Je serais à vous pour cette soirée, comme je suis à mon homme pour la vie : offerte, soumise, docile.
Sa voix hésita un instant, ses yeux s’humidifièrent lorsqu’elle remarqua enfin, sur la télé, ce qui était inscrit sur son collier. C’est le seul moment où son regard s’écarta de la caméra. Mais elle se reprit, et termina :
— Mes orifices sont vôtres, vous pouvez user de moi comme bon vous semble, et c’est avec joie que je serais votre sac à foutre.
— C’est bien ma chérie, tu es parfaite !
Mawara me lança alors un regard suppliant…
— Pas d’inquiétude : je suis sur que tu vas prendre un pied d’enfer… Mais pour que tu te rappelles bien ton rôle de ce soir, regarde donc l’écran, et n’en perd pas une miette ;
Alex avait remis l’enregistrement à zéro, et le diffusa sur la télé. Mawara pu contempler son visage, se regardant dans les yeux pendant qu’elle nous annonçait qu’elle serait heureuse de s’offrir et d’être notre sac à foutre… Son regard était comme horrifié de s’entendre, de se voir proférer de telles paroles. Toutefois, je remarquais que ses tétons se durcissaient peu à peu, un détail qui, je le savais, ne trompait pas la concernant.
Quand la vidéo vu finie, je m’approchait d’elle, lui caressant la joue :
– Bien, maintenant, montre nous quelle bonne petite putain tu peux être…