Le fils de Jean     suite

Le reste de la journée s’est passé sous tension, car Paul est resté très provocateur, laissant trainer ses mains, me pelotant dès que son père avait le dos tourné. Ce n’est que le soir que j’ai pu retrouver un peu de tranquillité, au grand désespoir de Jean, quand je ne suis refusé à lui ; difficile de lui dire que son fils m’avait prise sans que je me défende, mais pire que j’avais accepté de lui appartenir ; il faut reconnaitre que ses joutes m’ont apporté un plaisir que j’avais un peu perdu avec Jean

Les trois jours qui ont suivi, je me suis enfuie de très bonne heure de la maison, pour retrouver ce jeune amant, plein de fougue, performant qui pouvait me prendre plusieurs fois de suite, me faire jouir de façon multiple, me féconder par sa semence abondante.  Avec lui, peu de jeux préliminaires, je le savais ; son plaisir, et le mien, je le reconnais, c’était que j’ouvre les cuisses dès son arrivée, pour accueillir sa grosse bite tendue, le gland décalotté me perforant l’entrée de ma chatte très facilement tellement mes envies de ses possessions me faisaient mouiller. J’aimais ce moment où je m’offrais à lui ; alors qu’il me possédait virilement, je l’encourageais, lui demandant toujours plus de fougue ; j’avais besoin qu’il me défonce, qu’il soit maitre de mon corps. Alors que lors de nos rencontres libertines avec jean, je n’acceptais pas que l’on m’embrasse, avec Paul, bien au contraire je le laissais me prendre les lèvres pour des baisers langoureux.

Il me possédait, aussi bien physiquement que moralement ; j’étais devenue sa maitresse, maitresse qu’il baissait, qu’il sodomisait à sa façon, me sachant toujours prête à ses désirs. A deux reprises, jean avait failli nous surprendre, alors que Paul me caressait, car si moi je le redoutais, lui par contre avait envie que son père sache que je lui avais cédé ; mieux même, il souhaitait que je me refuse à lui.

Jean devant assister à une réunion importante de son club d’investissement a dû partir, prenant le train le soir pour être sur place de bonne heure ; je savais que Paul profiterait de l’occasion, sachant que son père ne rentrerait que le lendemain en fin de journée, et je ne m’étais pas trompée. Quand je suis rentrée, en revanche, j’ai eu la surprise de le trouver à la maison, accompagné d’un de ses amis que je connaissais. Après les formalités, j’ai voulu me retirer, mais paul m’a retenu par la main et fait asseoir entre eux deux :

« Michel sait que tu es ma maitresse et  il te trouve à son goût ; comme je sais que tu aimes les soirées avec plusieurs hommes, et oui, je  sais que tu es libertine, je lui ai proposé de passer une petite soirée avec nous ; la nuit nous appartient, et toi tu vas pouvoir nous satisfaire tous les deux ; de plus je le connais bien, il est au performant que moi

Pendant ce petit discours, sans appel, Michel a posé sa main sur ma cuisse, relevant ma jupe, pour doucement remonter jusqu’à mon entrejambe ; quand ses doigts ont effleuré mon pubis, un réflex m’a fait ouvrir les cuisses, lui offrant ainsi le chemin de ma chatte ; chemin qu’il a vite empreinté, écartant mon string, pour enfiler deux doigts entre mes petites lèvres déjà pleines de cyprine ;un grand sourire aux lèvres, Paul en a profité pour ouvrir mon corsage et libérer mes seins du carcan qui les emprisonnait. Alors que son ami me fouillait la chatte, Paul s’est emparé de mes seins pour en titiller la pointe, ce qui a chaque fois m’apporte le plaisir ; il a fallu peu de temps pour que mes gémissements traduisent mes envies.

En un rien de temps je me suis retrouvée totalement nue, allongée sur la moquette, Michel m’écartant les cuisses, pour mieux me brouter le minou, alors que Paul me présentait son gland, au bord de mes lèvres.  La langue me titillant le clito, Michell a vite enfoui deux doigts dans la grotte offerte à leurs envies ; ses doigts agiles m’ont vite complétement dilatée, permettant ainsi que Michel s’enfonce un peu plus, m’écartant les lèvres, avec trois doigts, puis brusquement, il s’est enfoncé complètement moi. Je n’ai pu retenir un cri, de douleur ou de plaisir quand la main a commencé un fist dans ma matrice ; tourbillonnante ou me percutant, sa main a vite déclenché une véritable marée de plaisir ; non seulement, il me possédait complétement, et ce pour la première fois, mais en plus, il me faisait jouir comme une folle, l’encourageant, feulant, m’offrant à sa domination. Quand il s’est retiré, accompagné d’un grand flop, un grand vide s’est emparé de ma chatte, vite comblé par un membre qui d’une seule poussée m’a perforé ; meme s’il me semblait  de belle facture, ( et il l’était réellement) après le fist qui venait de me dévaster, j’ai du serré mes cuisses pour mieux le sentir, geste qui l’a enserré entre mes parois ; comme un jeune fou, il me besognait, à grand coup, fougueusement, accroché à mes épaules ; rapidement j’ai profiter plus intensément de cette jeune queue qui me pourfendait, l’encourageant, relevant mes fesses pour qu’il me possède plus profondément.

Tout à ce jeune étalon, j’en ai oublié de sucer mon Paul, qui à coté le vit tendu se masturbait doucement. Soudain, il nous a fait faire un demi-tour, et je me suis retrouvé chevauchant Michell, enfoncé profondément en moi puis  un gland s’est posé sur mon sillon ; me penchant en avant, il a posé son vit contre celui qui m’envahissait déjà et poussant fermement, il s’est introduit , me possédant en double ; les deux sexes me dilataient horriblement, Paul donnant le rythme de cette double vaginale ; 

Il n’a pas fallu longtemps pour que ma jouissance arrive, d’autant plus que mon jeune amant, sur de sa domination, me traitait de « petite salope»  « tu aimes nos deux queues, ce soir tu vas nous appartenir, nous allons te saillir, te sodomiser, te remplir de jute ; tu es à moi, mais en plus je t’offre à mon ami, et tu vas devoir nous satisfaire tous les deux, sans restriction »     cela faisait déjà deux fois que la jouissance m’envahissait, déclenchant ma cyprine abondamment ; mes deux baiseurs , presque simultanément, se sont répendus en moi ; quelle douce sensation que de recevoir leurs nombreux jets de spermes, accompagnés aussi de leurs cris traduisant leur plaisir ; ils ont continué un moment à me prendre, avant de se retirer, la queue encore dure ; me présentant à tour de rôle leurs membres plein de semence, je les ai  léché, goulûment , gardant les dernières gouttes de sperme.

La nuit ne faisait que commencer .  M’entrainant dans la chambre de notre couple, Paul en m’embrassant, alors que Michel commençait à nouveau caresser, bandant , prêt à nouveau à me satisfaire, me dit « ce soir, dans son lit, tu vas faire mon père vraiment cocu ; tu es à nous, et nous allons te baiser, tu vas t’offrir à nous ; dorénavant tu nous appartiens et Michel, tout comme moi pourra te prendre selon ses envies, ; je sais que tu aimes te faire baiser, tu vas être notre petite salope, s’offrant sans réserve ; tu as compris ? »  une peu surprise, je ne réponds pas

« réponds, dis le fort que tu nous appartiens «   me tirant les cheveux, il m’oblige à le regarder

« oui, je suis à vous , fait de moi ce que tu veux, et j’ai envie de vous deux, faites moi jouir, je suis votre catin, baisez moi toute la nuit «

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