Cela faisait maintenant six semaines que je vivais en Gwen, je passais 95% de mon temps au féminin et devenait de plus en plus à l’aise. j’avais laissé pousser mes ongles, m’épilant intégralement, me maquillant tous les jours et avait commandé quelques vêtements supplémentaires que je m’étais fait livrer à la maison.
J’avais commencé à faire quelques sorties pour faire mes courses en plein jour. Encouragé par ma sur et par la nécessite de devoir manger.
Durand une séance chez mon psy, je lui annonçait que je commençait à faire quelques sorties en plein jour et que j’aimait me faire belle et sentir les regards de certains hommes sur moi. Il me dit que si je le désirait, je pouvais venir à la séance en femme. je le fit dès la séance suivante et cela permit de me livrer plus facilement et lui de valider le fait que j’étais une femme. Mon attitude, mes gestes, mes paroles, tout respirait la féminité, j’avais enfilé une robe cintrée mauve, une paire de collants chairs et une paire de bottines à petits talons. ce fût la première de plusieurs séances ou je me sentais enfin moi et pouvait libérer ma personnalité.
Je devais reprendre rdv avec mon médecin afin de prolonger ou non mon arrêt de travail. Bien que je me sentais de mieux en mieux, l’idée de redevenir Christophe pour le travail me tétanisait. Le psy m’avait conseillé si je voulais entamer ma transition d’en parler avec mon patron et de voir comment on pouvait envisager cela. Je connaissait bien mon patron et ne voyait pas du tout comment aborder un tel sujet. J’en ai donc parlé au médecin qui m’a conseillée de prendre encore un peu de temps pour prendre une décision définitive. Elle me prolongea une nouvelle fois et c’est par courrier que j’envoyais mon arrêt n’ayant pas le courage d’appeler mon patron.
2 jours étaient passés et pas d’appel, je me disait qu’il avait accepté que je soit absent mon adjoint ayant repris mes dossiers lorsque l’on sonna à la porte.
— Bonjour Monsieur, Dr Dupont médecin de la sécurité sociale, je viens faire un contrôle concernant votre arrêt de travail à la demande de votre entreprise.
— Bonjour….
Me voilà piégée à la maison, je suis en robe, maquillée, coiffée, les ongles vernis et je n’ai d’autre choix que de lui ouvrir si je ne veux pas avoir d’ennuis.
— Bonjour Madame, je cherche Mr Christophe B…
— Entrez
— Merci, il est à la maison? Son arrêt interdit les sorties entre 10h et 16h.
— Il est bien à la maison, installez vous
— Merci madame
— Docteur, je suis Christophe B…, je vais vous expliquer les raisons de mon arrêt et vous transmettre les coordonnées de mon médecin psy qui vous l’expliquera sans doute mieux que moi.
— Bien Monsieur, Madame? Vous pouvez tout de même m’expliquer.
— Je vais essayer
Il y a quelques semaines, j’ai fait la connaissance fortuite d’une femme qui avait un soucis de voiture, après l’avoir dépanné et étant trempé et plein de boue ayant glissé dans un fossé, elle m’a proposée de venir chez elle pour me sécher. Devant encore faire pas mal de route, j’ai accepté. Cette femme vivant seule, elle m’a donné une tenue de femme lorsque je suis sorti de la douche. Elle avait posé devant la porte une culotte, un leggings et un pull ample rose. Je ne sait pas ce qui c’est passé au moment ou j’ai enfilé cette tenue mais je suis resté un long moment a me regarder dans le miroir. Je suis sorti de la salle de bain ému et excité, ce qui ne manquait pas de se voir dans le leggins et que j’essayait de masquer du mieux que je pouvais. Voyant ma gêne, elle me proposa une jupe que j’enfilais et qui masquait mon érection.
— Je vois continuez
Nous avons passé une partie de la soirée a discuter, je me sentait bien, elle me le fit remarquer, j’avait totalement oublié ma tenue. Je fini par lui avouer que je trouvait cela des plus agréable à porter. Elle m’ a alors demandé si je voulais essayer une tenue plus féminine, j’acceptait avec un plaisir non dissimulé. Je passait le rets de notre soirée dans une jupe très moulante, un collant, un soutien gorge garnis de collants. Elle finit même par me coiffer et me maquiller.
— Et ensuite
Je me suis sentis bien, moi comme je ne l’avait pas été depuis très longtemps. Me voir, me sentir femme m’a procuré un bonheur fou. Elle l’a remarqué et au moment de partir m’a fait cadeaux de la tenue que j’avais porté pendant la soirée.
— Bien mais cela n’explique pas votre arrêt de travail
Le lendemain quand je me suis levé pour retourner au travail, sorti de ma douche au moment de m’habiller, j’ai vidé le sac pour enfiler les dessous avant de mettre mon pantalon et une chemise. La journée qui a suivi, je me suis senti mal à l’aise. Non pas le fait de porter la lingerie mais le pantalon et la chemise. Cela dura la semaine entière ou a peine rentré je me changea, me rechangea pour revenir à la jupe. Je ne savait plus ou j’en était. toute mes tenues d’homme me dérangeait.
— Bon ensuite
Au bout d’une semaine j’ai fini par en parler à ma sur, elle m’a alors parler de mon enfance ou je demandais souvent à être habillé en fille à ma mère ou mes surs. Mon malaise était de plus en plus grand, je n’avait pas la tête au travail et j’ai donc pris rdv chez mon médecin.
qui au vu de mes explications m’ arrêté et pris rdv chez un psy.
— Je vois, je vois et vous compter rester en arrêt longtemps?
Non je ne veux pas abuser mais je ne peux pas faire machine arrière car mon psy et mon médecin son d’accord avec moi, je me suis toujours senti femme et la situation n’a fait que révéler ce que je ressentais.
— Bon et la suite alors?
Je dois prendre la décision soit d’en parler à mon travail soit de le quitter, mais quoi qu’il se passe, je ne serais plus jamais Christophe.
— Je comprend que vous ne puissiez pour l’instant retourner au travail mais vous ne pouvez pas non plus rester en arrêt ainsi. Si vous le pouvez je vous conseil de demander un congé sans solde cela calmera votre patron. Je vais pour l’instant valider votre arrêt qui est justifié dans un sens mais je vous conseil de ne pas abuser des prolongations.
— Merci Docteur merci…
J’osait enfin le regarder dans les yeux, et je découvris son regard sur moi.
— Docteur je peux vous offrir un café ou autre chose, vous m’enlevé un poids, quand je vous ai entendu à la porte mon cur c’est arrêté.
— Je prendrais bien un café svp.
— Pas de soucis je vous fait ça.
Je me détendit et revint avec un plateau. je regardais le docteur lui faisant de grands sourires qui semblaient lui plaire vu les couleurs que prenaient ses joues.
je m’approchait de lui pour le servir et offrait volontairement une vue sur la dentelle de mon soutien gorge et mes seins. Son regards se planta dedans et je vis immédiatement son envie.Je m’installait près de lui et commençait a caresser sa cuisse, il s’écarta mais quand ma main alla entre ses jambes, il abandonna et écarta les cuisses. je caressais son entre jambe avant d’ouvrir doucement sa braguette.
Son sexe enflait sous mes caresse.
— déshabiller vous.
Il se leva, baissa son pantalon et son caleçon, je découvrit son sexe que je caressais avant de lui demander de s’allonger sur le canapé. je me glissais entre ses jambes et me précipita sur son sexe tendu. je le léchais et l’avalait en entier. Il ne résista pas longtemps et je sentis son jus emplir ma bouche avant de l’avaler.
— Merci Christo…
— Gwen, appelez moi Gwen
— Merci Gwen
Après s’être habillé, il quitta la maison. Je suis resté en arrêt pendant 6 mois avant de démissionner.
Allait commencer mon parcours pour devenir Gwen totalement mais cela sera pour la suite.