Jouvrais les yeux, ma montre indiquait 10h passé, jentendais ma mère vaquer dans la maison. Je me levais pour la rejoindre à la cuisine. Après nous être embrassés tendrement elle me pria de masseoir :
« je tapporte ton café »
Elle me servit et continua à soccuper de la maison. Je filais à la douche car midi allait arriver. Tout en mangeant, nous discutions afin de savoir comment procéder avec ma cousine, mais il était sur quelle allait participer à nos ébats.
Il nétait pas 14h lorsquon sonna à la porte. Je courus me cacher dans la salle de bain, javais repéré un endroit où je pouvais voir sans être vu. Ma mère ouvrit la porte, Josie entra et referma derrière elle. Ma cousine était vêtue dun haut bleu décolleté, dune jupe plissé et dune petite paire de chaussures dété. Je les vis sembrasser à pleine bouche, jentendais leur langue se chercher avec ardeur. Javais du mal à rester tranquille dans mon coin. Josie était inquiète :
« ton fils nest pas là ? »
« oh non tu sais à son age, il court après les filles ! »
« cest bien remarque, comme ça on a du temps ! Je serais curieuse de savoir quel genre de filles il aime ! »
« tu es jalouse ? »
« disons plutôt quelles doivent avoir de la chance, car je suis certaine quil doit savoir sy prendre avec les nanas »
« à quoi tu le vois ? »
« je le sais ! ça se voit cest tout »
En parlant, elles se dirigeaient vers la chambre et je nentendis plus que des gémissements étouffés, des petits rires, le lit qui grinçait un peu. Je maventurais hors de la salle de bains et jetais un il dans la chambre. Quel spectacle !!! Josie était allongée sur le dos et ma mère sur elle en 69. Elle se bouffaient le minou. Ma cousine semblait proche de lorgasme, il faut dire que ma mère ny allait pas de main morte. Elle avait sa langue sur le bouton de sa nièce et 2 doigts dans sa fente. Josie cria son plaisir :
« oh oui ! cest bon !!! continue vas y !!! je jouis ! ahhhhhhhh »
La tête penchée en arrière, les yeux révulsés, elle jouit intensément. Je mapprochais du lit en silence. Ma mère me vit mais ne bougeait pas. Je glissais une main sur la jambe de ma cousine, je commençais à la caresser. Elle reprit :
« oh cest bon ! jadore tes caresses !!! continue tarrête pas ! »
Ma mère souriait. Je poursuivais mes caresses et glissais un doigt sur la chatte de ma cousine. Elle gémit.
« mmmmmmmhhhhhhhh ! »
Je glissais un doigt dans la fente ouverte. Ma mère se leva et dégagea ma cousine de son emprise. Celle ci compris à ce moment là quelles nétaient plus toutes seules. Quand elle me vit, elle me repoussa et mit un drap sur elle. Elle était visiblement choquée ! Ma mère riait et moi avec. Ma cousine semblait perdue :
« mais ! quest ce qui se passe ? pourquoi tu es là Fabien ? je croyais que tu passais laprès midi ailleurs ? »
« ben non tu vois ! ta tante ma raconté votre longue et torride journée dhier et je me disais que plus on est de fou plus on rit »
Elle restait interloquée, venant de comprendre ce que jinsinuais :
« tu veux dire que toi avec ta mère vous »
« eh ne fait pas ta sainte nitouche, tu crois que elle et toi cest mieux ? daprès ce que jai cru comprendre, elle na pas eu à beaucoup insister pour te convaincre ! mais si tu préfères partir libre à toi, et ne tinquiète pas je garderais le silence sur ce que je sais ! »
Ma mère ne disait rien, Josie la regarda :
« et toi tata tu ne dis rien ? »
« ben on ne fait de mal à personne ! tout ça reste entre nous ! pas dobligation, juste du plaisir. On prend du bon temps cest tout ! je ne vois pas trop où est le mal ! »
Ma cousine semblait moins sur la défensive. Il est vrai que nous avions tous lair daccord. Je profitais de la voir ainsi pour rajouter :
« et tu es une belle femme ma cousine ! si tu savais comme tu fais rêver certains hommes !!! ma mère sait ce que je pense de toi, et elle est plutôt de mon avis. Ton mari est bien aveugle ! »
Josie semblait gênée :
« ah bon ? tu trouves ? »
« Maman tu en penses quoi ? »
« Je te trouve magnifique ma nièce, très sérieusement. Il est vrai que notre stratagème dhier était pour faire plaisir à ton cousin, mais si ça mavait déplut avec toi je lui aurais dis de choisir quelquun dautre »
Pendant quelle parlait, je glissais mes mains sous le drap à la rencontre de ce merveilleux corps. Ma mère lui prit la bouche pour lembrasser goulûment. Je retirais le drap et jempoignais un sein, puis lautre. Je posais mes lèvres sur son téton qui durcissait , aspirant le globe de chair avec force. Jentendais leurs langues sentremêler dans de petits bruits. Josie soupirait sous nos caresses. Je fis glisser ma langue sur son ventre, embrassant chaque centimètres de peau, et je me rapprochais de plus en plus de sa toison. Petit à petit, mes bisous étaient plus appuyés, plus précis. Jembrassais ses cuisses et lintérieur de ses jambes. Je glissais alors un doigt sur sa fente qui semblait déjà humide. Je caressais ses lèvres, puis je léchais lentrée de sa grotte. Ma cousine soupira un peu plus. Ma langue glissa en elle, je men servais pour la pistonner. Javais glissé mes mains sous ses fesses pour mieux la pénétrer et moccuper delle. Je sentais quelle gémissait mais elle était muselée pas ma mère. Josie la repoussa :
« attends sil te plait ! ton fils me fait perdre la tête, et je narrive plus à respirer ! »
Ma mère répondit :
« oui cest fait pour ! tu aimes ? »
« jadore !!! »
Elle reprit la bouche avec la sienne, fourrant sa langue et aspirant la sienne. Lui tenant les fesses avec une main, je glissais mon autre main vers sa chatte. Je salivais sur un de mes doigts et le fis glisser à la place de ma langue. Elle eut un râle étouffé, je glissais un autre doigt, puis un troisième ! jétais stupéfait !!! jallais bientôt rentrer toute la main comme ça ! Ma langue titillait son clito gonflé. Son corps bougeait maintenant dans tous les sens, mais je la tenait fermement, la main gauche sous son cul, lautre main en elle et ma langue qui lagaçait. Elle tenta de repousser ma mère qui la muselait mais ce fut peine perdue car elle avait assez de force pour ne pas se laisser faire. Vaincue, Josie abandonna la partie, et cest étendue comme ça sur le dos quelle jouit. Ses cris de plaisirs étaient étouffés par la bouche de ma mère, alors jentendais ses râles en elle. Son bassin donnait des coups vers le haut mais je tenais bon. Elle finit par se détendre, terrassée pas le plaisir, je quittais ma place entre ses jambes et ma mère la libéra de son baiser. Josie reprenait son souffle avec peine :
« eh ben ! vous êtes 2 ordures !!! 2 obsédés !!! profiter de moi de cette manière ! cest du joli tiens !!! »
Jironisais :
« ah il est clair que tu navais vraiment pas lair dapprécier ma chère cousine »
« il est vrai que tu sais vraiment bien ty prendre je dois le reconnaître »
« cest pas mal pour quelquun qui nétait pas daccord au départ »
Je ne savais pas par contre si elle avait déjà pratiqué la sodomie, ni si elle aimait ça. Profitant dun moment où Josie était à la salle de bains, je dis à ma mère :
« met toi le gode quand elle sera sur moi !»
Ma cousine revenue, ce fut le tour de ma mère de disparaître. Josie sallongea près de moi en souriant, voyant que ma bite avait reprit la forme :
« dis donc ! tes sacrément bien monté ! »
« vas y elle est toute à toi »
Elle le prit en main, me décalotta et commença à me masturber. Sa main allait et venait lentement, puis sa bouche se posa sur mon gland, saliva dessus, engloutit mon dard.
« je suis trempée ! tu me rends folle !!! »
« viens »
Elle se mit à califourchon sur mon pieu et sempala sur moi. Elle eut un râle et je finit par toucher le fond de sa cavité. Je me cambrais un peu pour mieux être en elle et je glissais mes mains sous ses aisselles pour la tenir par le dos. Ses seins étaient devant moi, je gobais un téton, le tétais avec avidité. Elle faisait des mouvements du bassin, et commença à gémir :
« cest bon ! ça faisait longtemps que javais envie dun sexe dhomme ! »
« on va prendre notre temps si tu veux bien ma cousine adorée »
Ma mère arriva derrière elle, et lui caressai le dos. Josie était au comble de lextase :
« oh oui ! occupez vous de moi !!! faites moi jouir !!! vous êtes deux obsédés et jadore ça ! »
Je sentais ma mère glisser ses mains sur ma cousine, lui caressant le dos, les fesses, les hanches, les seins.
« regarde ce que ta tante a pour toi ma chérie » dis – je
Josie se redressa et vit ma mère, harnachée du gode ceinture, qui le branlait comme si cétait un sexe dhomme. Elle resta bouche bée :
« ben dis donc ! ça cest du chibre ! mais dis moi cousin, tu as peur de ne pas nous suffire ? »
« ben disons que je suis tout seul avec vous, et il est vrai que je crains doutrepasser mes forces »
Ma cousine prit le membre factice dans sa bouche et le suça comme elle avait fait avec le mien précédemment. Elle le masturbait, jouait avec, le mit entre ses seins :
« je nen avais jamais vu en vrai, cest vraiment très drôle ! je peux essayer ? »
ma mère lui dit :
« bien sur ma belle, cest prévu pour ça »
Elle sétendit sur le dos. Ma cousine me regarda :
« tu ne men veux pas mon chéri ? »
« non du tout »
Elle se mit à cheval sur ma mère et sempala sur le gode mouillé de sa salive. Elle gémit la tête en arrière. Rapidement, elle reprit les mêmes mouvements quavec moi, ma mère fouillait sa bouche de sa langue et ses mains la tenaient fermement.
Je me glissait derrière ma cousine pour la caresser. Mes mains glissaient sur son dos, ses épaules, ses hanches avant dagripper ses seins. Je massis derrière elle et frottait ma verge entre ses fesses. Elle gémissait sous les coups du gode planté en elle.
« ah ! oui ! ahhhhhhh ! je vais jouir !!! »
Elle cria et eut un orgasme qui la faisait trembler. Elle continuait à bouger doucement, la verge factice toujours plantée en elle, puis elle se libéra, visiblement comblée.
« woaaahhhhh ! quel pied !!! »
« tu veux essayer ma chère cousine ? »
Ma mère se débarrassa de son gode-ceinture et le lui tendit. Josie le mit autour de sa taille. Il était encore maculé de sa mouille. Elle le prit dans sa main et dun air vicieux elle regarda ma mère et dit :
« viens donc tata, ne te fais pas prier »
Ma mère se plaça sur elle et sempala à son tour dans un râle. Elle allait et venait sur cette bite et semblait apprécier. Je me glissais derrière elle et la caressais. Je mouillais un de mes doigts et je le glissais dans son cul. Sa rondelle se dilatait, je glissais un autre doigt. Elle gémissait. Je posais alors mon gland sur son petit trou et je glissais mon engin. Ma mère criait et je sentais ma pine toucher le fond. Nous arrêtons tout mouvement un instant. Puis je commence à donner des petits coups de reins, ce qui avait pour effet de faire bouger le gode dans la fente maternelle.
Écartelée, défoncée de part et dautre, ma mère râlait sous nos queues fichées en elle. Je la pistonnais de plus en plus fort, et elle criait maintenant sans retenue :
« ahhh ! ouiiiiiii ! cest trop bon !!! quest ce que vous me mettez ! jen veux encore !!! restez comme ça en moi ! Faites moi jouir !»
Je me dégageais de son trou pour me replanter bien au fond, elle eut un cri de plaisir. Je glissais mes mains sur ses seins et je les empoignais. Ma mère était baisée dune manière totale et complète. Je ressortais à nouveau pour la repénétrer. Elle voulut crier mais ma cousine lui avait pris la bouche, fourrant sa langue autour de celle de ma mère, étouffant ainsi son cri. Nos 3 corps bougeaient maintenant au même rythme et il semblait quà chacun de mes coups de boutoirs ma cousine me répondait. Elle tenait ma mère dans ses bras, lembrassant avec fureur, quant à moi je la tenais pas les seins qui étaient durcis par le plaisir. Ma mère gémissait à chacun de nos coups de queue, elle jouissait sans retenue et je lâchais ma semence en elle. Ma verge gicla dans son trou 5 jets de sperme chaud. Je continuais à lui perforer le cul jusquà ce que tout redevienne calme. Puis je me retirais, son petit trou se vidant de ma semence et elle roula sur le coté, essoufflée. Elle respirait fort et put enfin sexprimer :
« eh ben mes cochons ! quest ce que vous mavez mis !!! »
« tu as aimé ma tante ? cétait bon ? »
« oh même plus que ça ! entre ton cousin et toi je ne savais plus où jétais ! »
« je trouve que notre trio est génial ! quen penses tu cousin chéri ? »
« tout à fait daccord ! on peut tenter toutes les expériences que lon désire sans obliger personne ! »
« justement je voudrais faire quelque chose de nouveau pour moi cest possible ? » dit ma cousine.
« tout dépend à quoi tu penses ! dis toujours ! »
« je voudrais être à la place de ta mère ! je voudrais que tu me sodomises ! »
« et moi qui craignais que tu refuserais ce genre de pratique !!! tu caches bien ton jeu ma cochonne ! »
Elle rit et tandis le gode à ma mère qui le mit autour de sa taille et elle sallongea sur le dos pour recevoir Josie qui eut un râle quand cette bite la perfora. De mon coté je la caressais de partout, glissant sur ses seins pour jouer avec ses tétons qui durcissaient. Mais elle semblait inquiète :
« dis moi ! tu ne me feras pas mal nest ce pas ? »
« ne tinquiète pas ma cousine adorée, je vais prendre tout mon temps, mais surtout il faut que tu restes détendue ! »
Je me mis à cheval sur la tête de ma mère, présentant ma bite à ma cousine qui lenfourna sans attendre. De son coté, ma mère jouait avec mes bourses, les tâtait et les caressait. Josie tétait mon gland, léchant le pourtour et maspirant. La queue luisante de salive, je me remis derrière elle. Je glissais un doigt dans son trou, elle eut un petit cri de surprise. Son anus se dilatait, je fourrais mon doigt et elle se dilatait encore. Je posais mon gland entre ses fesses et je mintroduisais dans son cul. Ma verge serrée dans létroit conduit, je touchais le fond tandis quelle soupirait.
« oh putain que cest bon ! vas y défonce moi le cul !!! faites moi jouir tout les deux !!! »
La tenant par les hanches, je la pilonnais. Javais déjà jouis une fois, donc jallais durer un peu plus longtemps. Je donnais le rythme. A chaque coups de queue dans son cul, elle était perforée dans la chatte. Elle eut un orgasme qui la fit crier :
« AAAAAHHHHHHHHHH !!! OUIIIIIIIIIII ! AAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHH !!! »
Elle criait mais ni ma mère ni moi ne semblions vouloir arrêter. Je continuais mes mouvements, bien décidé à me vider dans ses entrailles. Elle sétait effondrée sur ma mère qui la tenait dans ses bras et qui lembrassait à pleine bouche. De mon coté, je ressortait ma bite pour la réintroduire bien au fond. Elle parvint à libérer sa bouche et nous supplia :
« arrêtez ! je nen peux plus !!! je vais mévanouir !!! »
Sourd à ses suppliques, je la pistonnais plus fort, ce qui la fit gémir. Mes mains glissèrent de ses hanches pour lui prendre les seins. Nous continuons à la baiser pendant 10 bonnes minutes, et elle cria à nouveau :
« ahhhh ! je jouis encore !!! cest dingue !!! AAAAAAAHHHHHHHHHHH !!!
Pour quelquun qui était insatisfaite sexuellement ça devait la changer. Elle hurla et ma verge se libéra. Mon sperme gicla dans son cul. Toujours agrippé à sa poitrine je continue à la limer doucement, le temps que nos souffles redeviennent réguliers. Puis je métend sur le lit et Josie fait de même. Elle a encore le souffle court :
« woaaaahhh ! eh ben !!! vous êtes 2 sacrés cochons tous les 2 !!! si je pouvait me douter ! »
Je la regardais avec un sourire :
« dit que ça ta déplut »
« oh non cest tout le contraire ! »
« et de plus grâce au gode, ma mère a réalisé un des ses fantasmes ! coucher avec 2 hommes ! »
« il est clair que cest pas avec mon oncle que tu aurais pu faire ce genre de trucs ! mais quest ce quils ont tous à être aussi coincés dans la famille ? »
« eh oh cousine ! parle pour toi hein !!! »
« cest vrai ! tes bien le seul à être une exception ! mais je suis vanné !!! »
Étendus sur le lit, nous sombrons dans un profond sommeil.