Je ne sais dans quelle rubrique va apparaître cette histoire mais elle fait suite au deux histoires "Sous le figuier" parues dans la rubrique "zoophilie".
Le dernier chapitre se terminait quand j’étais empalé sur un bout de branche de 7 cm de diamètre et 20 cm de long et que deux hommes apparaissaient.
Ils me regardent et ne comprennent pas tout de suite ce que je fais. Ils s’approchent et voient que j’ai un gros braquemart en bois dans le cul. Je me dégage pour leur faire voir l’engin. Je vois un peu d’admiration dans leurs regards. Ils se présentent, Paul et Guy, moi c’est Jean. Guy a un sexe long et assez fin tandis que celui de Paul est déjà énorme au repos. Je vois que leurs sexe commence à prendre une certaine importance et je me précipite sur celui de Paul. Je l’ai déjà dit, j’aime les gros sexes bien que même avec un petit sexe je jouis très fort. Tout dépend du mec au bout de la queue.
Je suce la bite de Paul pendant que Guy me malaxe le cul avec ses doigts. Il me prépare pour son pote avec beaucoup de dextérité. Je sent mon cul se dilater, il faut dire qu’il a bien été préparé depuis quelques temps, et je fait en sorte que ses doigts aillent un peu plus loin dans mon fion. Il comprend très bien et me met deux puis trois doigts dans le cul. Je pousse encore sur sa main pour lui faire comprendre que j’en veux plus. cette fois il retire sa main, met les doigts en pointe et se présente devant l’entrée. Il enfonce sa main petit à petit dans mon cul qui l’accepte sans retenue. D’un seul coup, mon sphincter se referme sur son bras. Toute sa main et rentrée, ceci pour la deuxième fois en quelques heures alors que j’attendais ça depuis longtemps. Je suis tellement euphorique que je manque de mordre la bite que j’ai dans la bouche. Paul se retire, son sexe fait au moins 5 cm de diamètre et 20 cm de long, il est dressé presque à la verticale, c’est un des plus gros sexe humain que j’ai vu dans ma vie. Il se présente derrière Guy et sans hésiter il lui enfonce sa bite dans le cul. La réaction de Guy est sans équivoques, il aime et il a l’habitude. Je le sent se tortiller tout en me pistonnant avec sa main.
Je suis au bord de la jouissance, mon ventre commence à se contracter, mes jambes deviennent lourdes et ont du mal à me maintenir debout. Je m’agrippe à une grosse branche du figuier et je me laisse aller. Mon cerveau ne sait plus ou il habite tellement la jouissance est puissante. mon cul se referme sur le bras de Guy qui continue à me pistonner frénétiquement pendant que Paul se déchaîne dans son cul. Ils jouissent en même temps que moi et je m’écroule par terre. Paul me relève et m’assoie sur une branche basse. il me présente sa bite que je suce goulûment, je la nettoie tout en me demandant si j’aurai la force de me la faire mettre. Elle me plaît et je veux l’avoir dans le cul.
Pendant que je nettoie Paul, Guy s’absente quelques minutes et revient avec 3 bières. Nous nous désaltérons tout en nous caressant.
— Tu as aimé? me demande Guy.
— Oui, c’était super mais j’aimerai bien me faire la bite de Paul.
— Pas de problème pour moi me dit Paul, mais il y a à peu près 2 heures que nous vous regardions et après ce que tu as pris, est-ce bien raisonnable?
— Je pense que dans 5 à 10 minutes tout ira bien et que je pourrai te recevoir.
— En attendant, j’aimerai bien essayer ton truc me dit Paul en désignant la branche que me sodomisait à leur arrivée.
— Pas de problème.
j’enlève le préservatif de la branche, en met un autre et le lubrifie avec mon huile.
Je passe derrière Paul et lui écarte les fesses. Je plonge ma tête dans ses fesses et commence à lui lécher l’anus. Il a un sursaut de plaisir et prend ses fesses dans ses mains pour les écarter au maximum. Je demande à Guy de dégager la branche et je la met entre mes jambes, la pointe vers le haut. Tout en tenant la branche des deux mains entre mes jambes je m’approche de Paul par derrière et lui présente le mandrin. Il écarte les fesses avec ses mains, Guy lui lubrifie l’oignon et j’enfonce doucement la branche dans son cul. J’y vais très doucement en surveillant ses réactions pour ne pas lui faire trop mal. Éviter la douleur est impossible, mais on peut la limiter. C’est lui qui dirige et me demande d’aller plus loin. Arrivé à l’angle, je commence à aller et venir dans son cul, d’abord doucement pour l’habituer au diamètre important de la branche, puis de plus en plus vite et de plus en plus amplement. Il commence à jouir, il émet des sons bizarres, une sorte de grondement, mais on sent que sa jouissance monte petit à petit. Guy se masturbe comme un fou et je lui fait signe que mon cul est libre. Il enfile une capote, me lubrifie un peu et vlan, dans le cul. Sa queue n’est pas très épaisse mais elle est dure comme du bois et ses va et viens me font monter au ciel. Au bout d’un moment, Paul pousse un grand râle et son corps commence à se liquéfier, il ne tient plus sur ses jambes et je doit retirer le mandrin pour qu’il puisse s’asseoir sur la branche basse.
— Je ne sait pas si je vais pouvoir satisfaire à ton envie mon cher Jean, me dit Paul, je suis liquidé.
— Ne t’en fait pas, je saurais te remettre en forme.
Nous discutons de choses et d’autres pendant un petit moment quand arrive un couple. En nous voyant ils hésitent à entrer sous le figuier mais Guy leurs fait signe d’avancer d’un petit geste de la main.
La branche gode est posée à côté de moi avec encore la capote dessus et je vois la femme la regarder avec un air gourmand.
— C’est quoi? me demande t-elle
— Une machine à jouir lui répond Paul, je viens de m’en servir avec l’aide de Jean et je vous assure que c’est d’une efficacité redoutable.
— Chéri, je peut essayer? demande t elle à son mari.
— Bien sûr mon amour.
— Je me présente, Jean, voici Paul et Guy.
— Élodie et Brice pour vous servir.
— Je pense que c’est moi qui vais vous servir si vous voulez bien.
— D’accord Jean, met moi ton gourdin dans la chatte.
Mais ceci est une autre histoire