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Eva Ukazovà, une institutrice dévergondée – Chapitre 6




Ce vendredi 29 juin marque la fin de l’année scolaire. Normalement, j’aurais dû me rendre à l’école à 8 h du matin pour accueillir une dernière fois mes élèves et réceptionner leurs livres scolaires. Mais Bozena m’en a dispensé. Elle m’a juste priée de me présenter entre 15 h 30 et 16 h, bien sûr en compagnie de ma sur ! C’est que Bozena s’est arrangée pour l’inviter. Il est certain que notre présence s’avère indispensable…

Cependant, pour être disponible pour cet après-midi et cette soirée, Jana a dû permuter son service, pour faire la matinée de 6 à 14 h au lieu de la soirée de 14 à 22 h. Quand elle rentre de l’usine, vers 14 h 15, je suis déjà habillée : l’indécente minijupe kaki portée avec un chemisier rose sans manches, boutonné devant et légèrement moulant. Pas de bas, je dois être jambes nues. Je le dois…car c’est une suggestion de Bozena.

Hum ! Tu es vraiment adorable ! Tu vas faire des ravages !

Jana me regarde, admirative, puis file dans la salle de bain. J’en profite pour sortir d’un carton, la tenue qu’elle devra porter durant la petite fête prévue pour durer jusqu’en fin de soirée. Jolie tenue, bien qu’assez osée.

Je revois la scène : hier, après avoir fait l’amour avec Bozena, celle-ci m’a remis une boîte en carton : « Un cadeau pour Jana ! Sa tenue pour demain. Plutôt sexy; mais elle la portera; coquine comme elle est… »

Je pose sur la table de la cuisine un short en matière satinée de couleur bleu pâle, légèrement échancré sur les côtés ; il est pourvu d’une fine ceinture. Puis un caraco, aussi satiné, assez court et dénudant les épaules. Il y a même des sandales avec de petits talons.

Qu’est-ce que c’est ?

Je sursaute. Je n’ai pas vu venir Jana, nue, le corps exhalant un parfum de fleurs.

Bien, voilà…C’est la tenue que tu dois porter ce soir ! C’est Bozena qui m’a apporté ça. Et, visiblement, elle tient à ce que tu sois habillée ainsi !

Jana paraît s’amuser de cette initiative :

Ta directrice, elle est vraiment spéciale ! Toi en minijupe et chemisier moulant et moi avec ce short et ce caraco ! Et tout cela semble bien court… n’est-ce pas ? Tu es sûre qu’elle ne nous envoie pas en mission , ta Bozena ? Depuis qu’elle m’a vue nue, il y a deux semaines, elle a dû se dire qu’avec les deux surs, elle aurait deux fois plus de chances d’obtenir… Dieu sait quoi !

Je réfléchis. Je me souviens alors que Bozena désire depuis un bon moment être mutée à Prague. Et comme la capitale est très recherchée…et qu’elle ne veut pas attendre des années. Jana a peut-être raison.

Bon ! On essaie ma tenue de soirée ?

Jana, revêtue d’un soutien-gorge et d’une culotte taille basse prend le short et l’enfile. Puis elle passe le caraco.

Juste à ma taille ! Mais le short est plutôt court. Et le caraco couvre à peine la ceinture du short ! Je n’ai pas intérêt à me pencher trop en avant… comme ça, par exemple !

Jana se penche, et le short laisse apparaître la naissance de ses fesses. En plus, la matière du short est légèrement élastique, ce qui le rend un peu moulant. Puis, elle chausse ses sandales.

Elle se regarde et rit franchement en voyant ma moue :

Tu as peur que j’excite les mâles ? Regarde-toi, tu vas en faire autant !

C’est que Bozena ne peut pas venir nous chercher. Nous devrons prendre l’autobus…

Hum ! Quand le chauffeur nous verra, il en oubliera de nous faire payer !

Sacrée Jana, décidément bien délurée.

Bon, on y va ? Il est 15 h 20 et le prochain bus passe dans 20 minutes. On devrait être là-bas vers 16 heures.

Nous marchons jusqu’à la station. A peine sommes-nous assises sur le banc qu’un bus apparaît. Je me lève, étonnée :

Eh bien, il est en avance !

Je remarque alors qu’il s’agit d’un bus qui rentre au dépôt. Je suis donc surprise qu’il s’arrête à notre hauteur. Le chauffeur nous interpelle :

Montez donc, mesdemoiselles ! Je ne suis pas en service, mais je vous amènerai à destination, la même que le jeune homme assis à l’arrière ! C’est lui qui vous a reconnues, d’ailleurs.

En levant la tête, je reconnais Jaroslav, un collègue de travail, photographe amateur et musicien à ses heures.

Le chauffeur du bus est un de mes copains. Sa fin de service coïncidant à peu près, à l’heure de mon rendez-vous à la fête, il a accepté de me prendre, quitte à faire un petit détour. Et comme je vous ai vues, je vous en fais profiter. Sympa, non ?

Bien sûr, Jaroslav. Nous te remercions.

Je soupire intérieurement. Quand Jaroslav me rend service, cela n’est jamais gratuit. Et connaissant ma réputation de dévergondée, il m’imagine déjà cédant à ses caprices.

Une fois dans le bus, nous nous asseyons sur la banquette située à tout en arrière. Jaroslav, qui se trouvait à côté du chauffeur, vient nous rejoindre, pour bavarder et surtout pour mater nos jambes généreusement dévoilées. C’est que ce petit pervers est un adorateur de cuisses féminines, surtout si elles sont un peu rondes. Avec nous, il est gâté : le short de Jana les dévoile totalement ; quant à moi, une fois assise, j’en montre bien les trois quarts !

Le chauffeur a un peu de temps devant lui …

Je vois Jaroslav sourire. Voilà donc pourquoi le bus roule lentement ! Puis il ajoute :

Comme ça, il peut vous voir dans le rétroviseur. C’est plus prudent, n’est-ce pas ?

Deux mateurs ! La journée commence bien. C’est déjà un test et nous entrevoyons, ce que sera la suite. Jana a vu juste : nous allons servir d’appâts, sans doute pour servir les intérêts de Bozena. Avec nos tenues aguichantes, quoi d’autre ?

Il n’a qu’à s’arrêter. Ce sera encore plus prudent !

J’ai lâché ce propos, l’air de rien, tout en croisant ostensiblement les jambes. Jana me sourit, ma proposition lui convient. Jaroslav se lève et va voir le chauffeur. Trois minutes plus tard, le bus s’immobilise sur un terre-plein en terre battue située en bordure de la route.

Je vois que ces demoiselles ne sont pas farouches !

Le chauffeur est debout, face à nous. Comme il voit Jaroslav s’intéresser à moi, il jette son dévolu sur Jana. D’où il se trouve, il a un petit aperçu du creux de ses seins. Il lui tend la main :

Venez donc ! On sera plus tranquille…

Et il l’entraîne jusqu’à son siège de conducteur. Pendant que j’essaie de voir ce qu’ils font, je sens une main nerveuse caresser mes cuisses. Jaroslav devient entreprenant :

Hum ! J’adore ! Quelle peau douce tu as !

Puis, il passe sa main gauche entre mes cuisses. Je l’interromps quand je sens ses doigts palper ma culotte.

Mon cher, je dois rester impeccable. Il est possible que ma sur et moi ayons une mission à remplir.

J’ai dit cela sur un ton léger. Il hausse les épaules :

Une mission…faire la pute pour le compte de la directrice ? Tu sais, les choses finissent par se savoir, que vous êtes très intimes, qu’elle te protège et aussi qu’elle cherche à se faire muter à Prague. Et il se murmure même que le directeur de l’enseignement du district de Prague sera présent à notre petite fête. Et quand je vois qu’elle a même trouvé le moyen d’inviter ta sur, je me dis qu’elle a tout prévu pour arriver à ses fins !

Je ne suis qu’à moitié étonnée. J’imaginais bien que notre aventure ne pouvait demeurer éternellement secrète. D’un autre côté, Jaroslav semble être plus au courant que moi ! Il m’observe, légèrement goguenard :

Ce n’est pas une dévergondée comme toi qui refusera de faire la pute… En attendant, tu me fais bander dur ! Tiens, touches !

Et, saisissant ma main droite, il la plaque sur sa braguette. Je sens une colonne de chair déjà bien grosse. Et comme je ne retire pas ma main, il me susurre :

Alors, sors-la donc de sa cage et branle-moi ! Fais comme ta sur, quoi !

Je lève les yeux : Jana, assise sur le tableau de bord, penchée vers le chauffeur, est en train de le branler gentiment avec sa main droite. Tandis qu’il lui caresse les cuisses et passe une main sous son caraco.

Eh bien, quelle bite !

Je souris en extirpant ce gros cylindre de chair. Jaroslav est ravi de mon commentaire élogieux. Et je commence à le branler. Je sens son excitation grandir à mesure que j’astique sa bite. De mon côté, je le laisse caresser mes cuisses.

Hmmm ! Que c’est bon ! Hmmm ! Si tu me suçais, ce serait encore mieux …Suce-moi !

Je ne sais pas s’il supplie ou ordonne. Toujours est-il qu’il se lève d’un coup et vient mettre son gland décalotté presque sur mes lèvres.

Tu n’as qu’à tout avaler, si tu ne veux pas tacher tes vêtements ! Allons, suce…si tu ne veux pas que nous soyons en retard…

Le salaud ! Il cherche à me coincer. Alors, ouvrant la bouche, j’engloutis sa grosse pine autant que je peux. Avec ma main droite, je lui malaxe les couilles, sans ménagement. Maintenant, il gémit, il essaie de me dire que je vais trop vite. Je fais coulisser sa bite dans ma bouche. A un moment, il devient tellement excité que, tenant ma tête à deux mains, il entreprend carrément de violer ma bouche.

T’es vraiment une belle salope, une pute !

J’essaie de lui faire ralentir son rythme, car je bave abondamment et je sens son gland taper au fond de ma glotte. Parvenant à me dégager, je supplie presque :

Mais calme-toi, tu vas me faire vomir !

Il est déchaîné, mais consent tout de même à me laisser reprendre mon souffle…avant de me ramoner à nouveau la gorge.

Hmmm ! Les putes comme toi aiment se faire défoncer la bouche par une grosse bite. Et je vais gicler dans ta bouche de pute et tu vas tout avaler comme la pute que tu es !

Il éructe une sorte de grognement, puis je le sens se crisper tandis qu’une épaisse giclée de foutre envahit ma bouche, suivie d’une autre.

Avale, salope ! Les petites cochonnes comme toi aiment le foutre !

Je parviens difficilement à avaler, il y en a tant. Heureusement que j’ai une certaine habitude…Puis je dois lui nettoyer toute la bite avec ma langue, avant que, satisfait, il se rajuste et se rassoie sur la banquette.

J’inspecte ma tenue. J’ai tellement bavé…mais comme j’étais penchée un peu en avant, tout est tombé sur le tapis de sol du bus. Je n’ai rien pu voir de ce que faisait Jana, Jaroslav me bouchant la vue. Quand j’ai pu m’asseoir, elle en avait terminé. Mais je suis sûre qu’elle se fera un plaisir de me raconter cela.

Le chauffeur se tourne vers nous et nous lance avec un sourire :

Bon ! On y va ? Je ne voudrais pas que vous soyez en retard…

Et dix minutes plus tard, il nous dépose à proximité de l’école. Il est un peu plus de 16 h. Jaroslav file devant. Une sauterie est prévue et il fait partie de l’orchestre. Jana descend la dernière, et je vois bien le geste du chauffeur passant une main sur ses fesses, au passage.

Dis donc, Jana, tu lui plais, on dirait ! Tu me raconteras ça plus tard. Jaroslav s’est comporté comme un cochon…mais quelle bite !

Nous entrons dans la salle où aura lieu la petite fête. C’est la salle de gymnastique de l’école. J’ai hâte de boire pour m’enlever ce goût âcre de sperme dans la bouche. Je me dirige vers le buffet installé dans un coin de la pièce et opte pour une limonade. Jana commande la même chose.

Eva ! Jana ! Ah, vous êtes là !

C’est Bozena, vêtue d’une mini-robe rose qui lui va à ravir. Elle nous contemple :

Parfaites, vous êtes parfaites vous deux ! Jana, tu es absolument adorable ainsi !

Elle ne tarit pas d’éloges sur nos tenues. Et nous avons l’impression d’être le point de mire de tous les mâles qui se trouvent ici ! Puis, elle nous entraîne dans un coin de la salle, un peu à l’écart.

Tu es magnifique, chérie…

Je sens la main de Bozena se poser sur ma cuisse avant de se glisser sous ma minijupe. Elle m’embrasserait sans hésiter, était-ce la présence des gens ?

Tu as mis une culotte ? Fais-moi ce plaisir de l’enlever…Et toi, Jana, aussi, bien sûr ! Tu peux constater que je n’en porte pas.

Et elle prend ma main et la glisse sous sa mini-robe. Je sens son abricot déjà humide de désir. Elle prend une inspiration et nous dit sur le ton de la confidence :

Je dois vous présenter à quelqu’un d’important. Il tient à faire votre connaissance. C’est que je lui ai parlé de vous et…

Elle hésite à poursuivre. Les propos de Jaroslav nous reviennent en mémoire. Bozena compte sur nous pour amadouer le directeur afin qu’il active sa mutation à Prague. Il faut vraiment que ce soit vital pour elle, pour en arriver là !

Je regarde Bozena dans les yeux :

Tu sais, nous sommes un peu au courant de la chose. Tu ne nous as pas fait venir ainsi, habillées sans raison. Nous devons être gentilles et sans doute plus, avec ce monsieur, n’est-ce pas ? Je sais que tu désires partir d’ici …Ce Monsieur doit aimer les petites jeunes comme nous, non ?

Bozena est soulagée de nous voir prendre la chose du bon côté :

J’ai bien pensé qu’avec deux coquines comme vous, cela ne vous poserait aucun problème ! Et en plus, je suis sûre que vous prendrez votre pied !

Je sens les doigts de Bozena caresser ma vulve à travers la culotte. Elle me chuchote :

Cette nuit, nous la passerons ensemble, toutes les deux, ma chérie ! Une nuit de rêve…la dernière…Jana, je te ferai raccompagner chez toi, après la fête…à moins qu’avec ta tenue, tu ne te fasses inviter ailleurs !

Elle nous conduit aux toilettes afin que nous retirions chacune notre culotte, pour les glisser ensuite dans un sac plastique. Puis, nous prenant chacune par la main, elle nous ramène dans la salle en direction d’un petit groupe. Nous remarquons un homme d’une certaine distinction, la cinquantaine, légèrement bedonnant. Bozena fait les présentations :

Monsieur Vondracek, directeur de l’enseignement du district de Prague !

Eva et Jana Ukazovà ! Eva est institutrice ici, et sa sur a terminé sa première année à la faculté de pédagogie avec l’espoir de devenir institutrice à son tour.

Bozena a menti, concernant Jana, pour justifier son invitation.

L’homme écoute distraitement les propos de Bozena. On voit bien qu’il nous déshabille du regard et l’on peut facilement imaginer qu’il bande, en pensant au bon moment qu’il va passer avec nous, bien qu’il me vienne à l’esprit que Bozena ne nous a donné aucune indication sur le lieu et l’heure de ce « bon moment ».

En attendant, Monsieur Vondracek s’est excusé auprès du petit groupe et nous rejoint dans un coin de la salle. Au même moment, le petit orchestre, installé sur une estrade, attaque un air folklorique connu que tout le monde reprend en chur. Bozena consulte sa montre :

17 h. C’est le début du bal. Jusqu’à 19 h. Après, il y aura un repas. Nous avons transformé la salle de classe la plus proche en restaurant. Pour ceux qui le désirent, bien sûr.

Après l’air folklorique obligé vient la musique de danse. Bozena joue les entremetteuses :

Vous dansez, Monsieur Vondracek ? Ces demoiselles n’attendent que vous !

Le voilà qui s’incline devant Jana et l’entraîne sur la piste, nous laissant Bozena et moi, en tête-à-tête. Nous nous amusons de la posture du couple qu’ils forment :

Tu as vu, Bozena ? Avec ce slow, il est tenté de poser les mains sur ses fesses…et avec son mignon petit short…Et maintenant, voilà qu’il lui tripote les fesses ! Et elle le laisse faire. Elle veut le chauffer ou quoi ?

Elle a bien compris son rôle : jouer les aguicheuses. Et je suis sûre que tu vas t’y mettre aussi, n’est-ce pas ?

Discrètement, Bozena glisse sa main droite sous ma minijupe et me caresse la vulve :

Ma chérie, tu vas ensorceler ce monsieur jusqu’à ce qu’il propose une promenade ou autre chose. Je n’ai rien prévu de ce côté-là. Ce sera à vous trois de vous mettre d’accord.

Elle me regarde dans les yeux :

Cela te plaît, chérie ? Je sens même que ça t’excite…tu commences à mouiller.

L’orchestre enchaîne une valse lente. Jana nous fait savoir qu’elle danse encore une fois. Puis, me voilà dans les bras de ce monsieur. Maintenant que nous dansons ensemble, je dois constater qu’il est assez grand, un bon mètre quatre-vingt, suffisamment pour qu’il ait bénéficié une vue plongeante sur le décolleté de Jana ; son caraco dénudant ses épaules jusqu’à la lisière des seins. Il me sourit, mais semble garder un il sur le décolleté en pointe de mon chemisier qui laisse voir un peu du creux de mes seins. Quand nous enchaînons une valse lente, sa main droite à tendance à glisser de mon dos à ma minijupe. Mais je me contente de lui sourire.

Alors que nous retournons auprès de Bozena et Jana, mon cavalier se fait aborder par un couple. Il s’éloigne donc de nous, non sans faire savoir qu’il reviendra dès que possible. Jana en profite pour me souffler :

Il a toujours un il sur nos décolletés. Un amateur de belles poitrines, sûrement.

Ce n’est pas tombé dans l’oreille d’une sourde et Bozena nous livre son idée :

Alors, autant retirer aussi votre soutien-gorge ! Vous allez lui en mettre plein la vue.

Jana affiche un sourire coquin :

Hum ! C’est que ça va bouger ! Mais c’est ce qu’il faut, sans doute ?

Nous sentons que les choses se précisent. Mais Bozena nous presse d’agir et nous voilà en route pour les toilettes, nanties de son sac plastique.

Nous en revenons dix minutes plus tard, nous jetant de l’une à l’autre des regards furtifs pour voir comment cela se passe. C’est avec Jana que l’effet est le plus visible : on voit nettement la pointe des seins à travers le fin tissu du caraco. Quant à moi, c’est à peine moins visible. Bozena est ravie. Elle se permet même de dégrafer le bouton du haut de mon chemisier, rendant le creux des seins bien plus net. Puis, elle jette un il sur le contenu du sac : nos sous-vêtements sont là. Nous n’avons plus rien dessous et notre cavalier, attitré, va très vite s’en apercevoir !

Justement, le voilà qui réapparaît. Et il invite Jana sur la piste. Cette fois-ci, c’est une sorte de twist, avec un arrangement « local », mais cela bouge suffisamment, pour que les seins se balancent en cadence. Il sourit, amusé, et Jana lui fait un sourire enjôleur. Et quand il danse avec moi, je lui laisse admirer le creux de mes seins. Je le sens devenir nerveux. On le serait à moins !

Nous formons maintenant, à nous quatre, un groupe soudé. Et Jana et moi évitons d’accepter d’autres invitations. Même quand nous nous retrouvons les deux seules, Monsieur Vondracek, ayant tenu à faire danser Bozena au moins une fois. Puis on annonce la pause pour l’orchestre ; il est 19 h. Reprise du bal à 20 h. Bozena nous entraîne :

Eh bien, je crois que nous allons dîner, n’est-ce pas ? Vous devez avoir faim.

Nous entrons dans une petite salle. Des tables sont alignées contre le mur. Mais le restaurant fonctionne en libre-service. Et nous nous retrouvons à une table recouverte d’une grande nappe en papier qui déborde largement sur les côtés. Je me retrouve en face de Bozena et à la gauche de Monsieur Vondracek qui nous dit d’emblée :

Bon, vous êtes bien aimable avec ces « Monsieur Vondracek ». Mais si vous m’appeliez par mon prénom, Pavel, ce serait plus sympa, non ?

Que répondre, sinon que nous sommes d’accord ? Je regarde Jana qui esquisse un sourire complice. « Avec ce qui va se passer ensuite ! » semble-t-elle me dire.

Je sens quelque chose, mais n’en laisse rien paraître. Pavel a dû glisser sa main gauche sous la table, la large nappe masquant la vue, et il me caresse la cuisse. Puis, je sens sa main remonter jusqu’à la lisière de ma minijupe. J’ai un léger frémissement, quand en la glissant dessous, il touche ma vulve, puis la caresse avec deux doigts. Il ne faudrait pas que ce petit cochon insiste trop, j’aurais du mal à résister à une telle caresse ! Je soupire quand, retirant sa main, il la repose sur la table.

Puis, il fait le même manège avec sa main droite, alors qu’ayant fini de dîner, nous bavardons. Jana me dira qu’il est parvenu à caresser ses genoux et le bas des cuisses. Quand nous nous levons, il est presque 20 h. Nous avons pris notre temps ! Quand nous nous retournons dans la salle de bal, l’orchestre vient juste de reprendre.

Vous voulez boire quelque chose ? Je vous invite !

Pavel nous entraîne vers le buffet où nous prenons un café, debout, autour d’une table haute.

Que diriez-vous d’une promenade ? Il commence à faire chaud et ça fait bien trois heures que nous sommes enfermés ici !

Bozena nous regarde. Pour elle, c’est sûr, les choses prennent forme. Elle nous lance :

Allez-y donc vous trois ! Je fais partie du comité d’organisation et je ne peux m’absenter. Puis s’adressant à Jana et à moi :

Rendez-vous ici à votre retour. C’est moi qui vous raccompagnerai !

Nous sortons, aussi discrètement que possible, en passant par une porte dérobée, située vers les toilettes. De là, nous longeons le préau, avant de sortir de l’école. Nous nous trouvons sur un chemin qui mène à la route, l’école étant le dernier édifice du bourg. A 20 h 15, il fait déjà sombre. Jana et moi nous nous regardons, mais déjà, Pavel nous entraîne sur un chemin, à l’opposé de la route.

Venez donc par là ! Votre directrice a eu une idée assez originale !

Nous le suivons. Au bout de 200 mètres, nous arrivons sur un chemin bordé de jardins privés, semblables à ceux que nous avons chez nous. Il s’arrête devant une clôture grillagée et ouvre le portail avec une clé sortie de sa poche. Nous entrons. Le jardin potager est assez vaste et au centre se trouve un petit chalet en bois. Pavel en ouvre la porte. Il ne comporte qu’une pièce, avec une table au milieu, et quelques tabourets. De chaque côté, contre le mur, une couchette munie d’un matelas en mousse. Au plafond, un éclairage branché sur une batterie, diffuse une lumière juste suffisante. Dans un coin, un petit chauffage au gaz. Sur la table, une glacière portative ; elle contient une bouteille d’eau, ainsi qu’une bouteille de Bohemia Sekt, un vin mousseux très apprécié. Nous devons convenir que Bozena, contrairement à ce qu’elle nous laissait entendre, n’a rien laissé au hasard. Tout est réglé comme du papier à musique !

Puis, Pavel referme la porte du bungalow et met le chauffage en marche. Dehors, il fait presque nuit, et les jardins sont désertés depuis longtemps. Il est un peu plus de 20 h 30.

Alors, mesdemoiselles ? Vous êtes prêtes ?

Il s’est assis sur un tabouret, le dos appuyé contre la cloison. Il nous regarde avec gourmandise. Maintenant que nous sommes au pied du mur, nous semblons flotter un peu. Puis, je vois Jana se dénuder, retirant calmement son caraco et faisant glisser son short à ses pieds. Je n’ai plus qu’à en faire autant ; chemisier et minijupe retirés, me voilà nue à mon tour. Maintenant, il est tout excité :

Vous êtes vraiment bien foutues ! J’adore les filles comme vous, un peu potelées, avec des formes, juste ce qu’il faut. Bon, si on se tutoyait maintenant qu’on va être tous à poil ?

Et le voilà qui se déshabille à son tour. Une fois nu, nous le voyons un peu bedonnant, assez poilu et son sexe, dans la norme, se distingue en étant assez épais.

Il lorgne les seins laiteux de Jana :

Tu as de sacrés nichons, ma poulette ! Approche, que je les tâte comme ils le méritent !

Le voilà qui lui palpe les seins, les soupèse, les caresse.

Putain…comme tu es bandante ! Regarde ma queue ! Regarde comment tu m’excites !

Jana baisse les yeux : la bite de Pavel est toute raide et décalottée. Et, tandis qu’il lui caresse les seins, les hanches, le ventre, elle avance sa main pour saisir entre ses doigts le gros sexe dur.

Humm ! Oui ! Masturbe-moi ! Je suis sûr que tu dois aimer les bites comme la mienne.

Et comme Jana commence à masser la bite de Pavel, je m’approche d’elle et me colle à son dos. Je l’embrasse dans le cou, tandis que ma main droite glisse jusqu’à sa chatte.

Ta cochonne de sur veut te branler, on dirait ?

Je lis dans son regard vicieux, tandis que mes doigts titillent les lèvres de la vulve de Jana. Pavel m’apostrophe :

Et toi, tu n’as pas d’aussi beaux nichons que ta sur, mais tu as un superbe cul ! Tourne-toi, que je vois ça !

Me détachant de Jana, je me tourne, offrant mon fessier au regard lubrique du directeur. C’est qu’il s’avère que, tout directeur qu’il est, nous avons affaire à ce qu’il faut bien appeler un beau cochon !

Une sacrée paire de melons…et cette raie bien profonde…ton cul est fait pour la bite…pour la mienne surtout ! Et ta sur qui sait si bien m’exciter… elle me fait une bonne petite branlette !

Je regarde faire Jana qui branle le directeur, en tenant sa bite à pleine main, tandis qu’il lui suce les tétons. Puis, il écarte la main de Jana de son sexe :

A genoux mes jolies salopes ! Avec une bouche comme la vôtre, vous devez sucer comme des reines…ou des putes !

Agenouillées, nous voilà avec cette bite épaisse à portée de bouche. Je commence par en lécher le gland, avant de la faire entrer dans ma bouche. Je suce comme je peux, tâchant d’en engloutir un maximum, pour preuve de ma volonté de bien faire. Puis, je la laisse à Jana qui la prend en bouche à son tour. Je vois les bourses bien pleines, et sans hésiter, je passe ma langue au milieu des poils pour les lécher avant de saisir une des couilles avec mes lèvres. L’effet est immédiat :

Salope ! Me bouffer les couilles ! Tu aimes les cochonneries, Eva ? Tu vas être servie ! Et Jana aussi, regarde-la, comme elle me pompe le dard ! Des putes ! Vous êtes prêtes à tout, hein ?

Puis, sans crier gare, il place ses mains sur la nuque de Jana, et attire sa tête à lui. La grosse verge s’enfonce dans la bouche de Jana presque entièrement. Puis, il relâche sa pression et Jana peut libérer sa bouche de ce gros pieu qui manque de l’étouffer. Elle bave abondamment. Puis, il pose le gland décalotté sur mes lèvres et, me saisissant la nuque à deux mains, il me fait subir la même chose. Le gros mandrin de chair s’enfonce dans ma gorge. Je reste plusieurs secondes ainsi, avant qu’il ne me libère. Je reprends mon souffle, tout en libérant des filets de bave sur le parquet.

Il jouit sans vergogne de sa situation dominante, en répétant plusieurs fois l’opération, tant sur Jana que sur moi.

Maintenant que j’ai baisé votre bouche, je veux votre cul ! Montrez-moi votre derrière ! Appuyez votre torse sur la table, les jambes écartées, bien appuyées au sol ! Vos deux culs côte à côte…

On ne voit pas ce qu’il fait, mais on le sent ! D’abord, il nous caresse les fesses, glisse un doigt dans la raie, à la recherche de l’orifice qu’il convoite :

Alors, il est où ce petit trou du cul, mes jolies putes ?

Il se régale d’avance. Puis, il enfonce l’index de chacune de ses mains, simultanément dans l’anus, le trou du cul, de chacune de nous. Puis, il fait des aller-retour dedans, lentement, puis de plus en plus vite. Avant de nous demander de se remettre debout :

Pendant que je vous ramone le cul, vous allez vous masturber, vous astiquer l’abricot ! Faites-vous plaisir aussi…

Nous nous regardons, tandis que nos doigts s’activent sur la chatte, sur le clitoris. Puis, j’enfonce deux doigts dans ma vulve et commence à me ramoner, aussitôt suivie par Jana. Et comme ce cochon nous ramone l’anus à deux doigts chacune, nous ressentons les premiers assauts du plaisir. Nous accélérons le rythme pour bien faire savoir que nous cherchons à jouir. Si bien que lorsque nos gémissements de plaisir deviennent fréquents, Pavel interrompt le jeu.

Eh, les petites salopes, ce n’est pas encore le moment de jouir ! Vous allez sentir ma bite dans votre cul…appuyez-vous sur la table !

Nous reprenons notre position. Je sens une colonne de chair se frotter sur la raie de mes fesses, puis Pavel me saisit les hanches à pleines mains, tout en pointant le gland sur l’orifice anal. Il est un peu gêné par son ventre, mais son excitation est telle qu’il se montre un peu brutal en poussant rageusement. Sa queue s’enfonce peu à peu dans l’anus. Je me mords les lèvres ; c’est que son engin est assez épais et que les préliminaires ont été rapides.

Hummm ! Ma salope ! Tu as un cul fait pour ça, n’est-ce pas ? Tu as dû en sentir des bites dans ton petit trou ! Et quand je remue, ça donne quoi ?

Il se met à me ramoner. Heureusement, avec son ventre, il ne parvient pas à mettre toute sa bite dans l’anus. Mais il est aux anges !

A suivre…

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