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C'est avec ma tante Eva que l'inceste n'est plus un problème pour moi – Chapitre 14




Je rentrais chez-moi, ma maison. Il y avait Eva, celle part qui tout a commencé. La femme qui fut la première à porter mon première enfant.

— David! me dit-elle en s’approchant.

— Eva!

On a vécu ensemble dans cette maison mais elle est partie à un moment quand j’ai voulu épouser ma femme. Elle a accepté.

— Je suis content de te voir, dis-je.

— Moi aussi. Mais, je ne reste pas. Je fais un travail de nuit.

— Ok, pense à venir nous voir plus souvent.

— Je ferais mon possible.

Eva quitte la maison et je vais voir ma femme qui est dans la chambre, nue et allongée sur le lit en train de lire un livre.

— Bonsoir, dis-je.

— Oh David!

Je m’allonge avec elle dans le lit et je la serre dans mes bras en la regardant.

— Ma belle…dis-je.

— Mon amour…

On s’embrasse longuement puis je la regarde dans les yeux.

— Tu sais que tu es précieuse pour moi, dis-je, tu es de mes enfants ma préférée parce que tu es mon ainée…officiellement, tu es ma cousine et j’ai pu t’épouser grâce à cela mais il est maintenant l’heure de reprendre nos libertés.

— Mais papa…j’ai été méchante? J’ai fais quelques chose de mal?

— Mais non…

— Ne me quitte pas…

Elle prend les mains et en place une sur un sein et l’autre l’entre carrément dans son vagin.

— Je ne te fais pas bien l’amour? Je peux m’améliorer et on couchera tous les jours…

— Mon cur, je ne vais pas te quitter. Tu es ma fille et je serais souvent près de toi…mais tu dois t’ouvrir à d’autres horizons et je ne saurais jamais te donner un enfant. On fera encore l’amour mais il vaut mieux que nous nous arrêtions ici…

— Papa…

— Je t’assure que c’est mieux pour nous.

— Tu parles, je serais juste ton cinq à sept!

Elle se lève et quitte la chambre en courant nue vers la salle de bain. Cependant, je réussi à la rattraper avant qu’elle ne ferme la porte.

— Attends! Je ne te laisse pas tomber, tu es ma fille et un superbe plan cul. Je veux te garder près de moi.

— Je ne veux pas divorcer de toi…

— Mais on ne changera pratiquement rien entre nous tu sais ? Je veux vraiment te garder proche de moi, tu es mon aînée !

Elle me regarde en se débattant encore un peu mais elle se calme et se laisse faire sans résister. Elle membrasse et je lentraine dans la douche, je la plaque contre le mur avec une certaine violence et je lui envoi mon sexe directement dans le vagin en lenfonçant bien profondément. Elle poussa un petit cri sans doute de douleur mais elle adorait cela tout de même, cétait vraiment bon pour elle et pour moi bien entendu. Cest ma fille, mon aînée, ma préférée en un sens et la plus belle. Si belle pour moi, son mettre 60, sa quasi copie conforme à sa mère au même âgeelle était de moi, à moijadorais la sauter ! Mais il fallait tout de même un jour lui rendre sa liberté. Elle méritait une vie avec un homme qui lui ferait de beaux enfants.

— Vas-y, prends-moi ! cria-t-elle. Prends-moi ! Viol-moi ! Vas-y !

Je faisais de mon mieux pour lui accorder ce quelle me demandait car cétait après tout notre dernière coucherie en tant que mariés.

— Fais-moi jouir ! Vas-y !

Je la fourrais autant que je peux et je lui malaxais les seins, je les pinçais aussi, je tentais de lui faire un peu mal car elle aimait bien cela.

— Je suisjadore, dit-elle, je suiscomment vais-je supporter ce ne plus avoir ça ?

— Mais tu en auras encore !

Je la plaquais au sol et je commençais à me masturber au-dessus delle jusquà ce que mon sperme lui coule dessus. De belles grosses gouttelettes de spermes étaient sur son ventre maintenant et elle se massait le corps pour étaler ce liquide. Je laidais ensuite à se relever.

— Bondit-elle, je crois que je nai plus le choix

— On continuera de se voir, assurais-je. Et puis, nous navons pas fini pour aujourdhui.

Je la lève et je la prends dans mes bras tout en lempalant avec mon membre et on se dirige comme cela vers le salon où je la jette sur le lit avec une certaine violence et avidité. Je continue à la fourrer dans ce divan la laissant pousser ses cris de jouissance jusquà ce que ce soit elle qui lâche enfin son jus de cyprine.

— Seigneur que cest bon ! dit-elle.

Je ne marrête pas, je continue jusquà épuisement, jusquà ce quelle me dise quelle ne pouvait plus alors je me suis arrêté.

— Que cétait bondit-elle.

On a donc bel et bien prononcer un divorce assez rapidement mais je continuais à la voir. Je voyais toutes mes filles, toutes les femmes de ma famille avec qui je pouvais me prendre du plaisir sexuel mais seulement, un jour, ma demi-sur Camille découvrit la vérité sur mes relations et jai bien cru que jallais la perdre. Cependant, elle ne ma pas quitté.

— Je suis magnanime, dit-elle. Tu veux me garder ?

— Mais oui !

— Pour toujours ?

— Pour toujours !

— Alors, il ny aura plus que moi dans ta vie et personne dautre !

Cette fille était une drogue pour moi, je ne comprenais absolument par pourquoielle allait peut-être réussir à me rendre fidèle à quelquun ?

— Alors, il ny aura que moi et personne ! Si jamais tu regardes quelquun dautre, je men vais et tu ne me toucheras plus jamais !

Je vais terminer de vous raconter mon histoire dans cette dernière étape qui réunira mes trois première passion. La première étant Camille, la seconde le sexe avec les filles de ma famille et le cinéma. Pour la seconde, je ne sais toujours pas expliquer comment Camille a fait pour me dompter ainsi du haut de son si jeune âge…finalement, je cherchais peut-être une fille qui trouverait le truc et elle sera parvenue à le faire. Je ne vois plus personne, juste elle et cela malgré les appelles des autres, je résiste…je résisterais toujours.

Dans la salle, nous nous trouvons deux places bien isolées, toujours en haut dans le coin c’est bien. Je ne regarde pas vraiment le film, je regarde ma Camille. Mes mains se baladent sur elle et elle ne dit rien, elle laisse faire. Je ferme les yeux, je passe mes mains sur ses vêtements puis en-dessous. Je ne vois qu’elle dans cette salle de cinéma, je ne vois que Ma Camille et je passe encore et encore mes mains sur ses jambes, je place quelques fois mes doigts de manière adéquate en lui plaquant une main sur la bouche pour étouffer son cri révélateur. Je la prends ensuite sur mes genoux avant qu’elle ne me sorte le sexe du pantalon. Elle vient s’empaler elle-même dessus et je lui plaque toujours une main sur la bouche pour qu’elle garde ses gémissements discrets. Je peux vous assurer que le faire dans un cinéma c’est une expérience à vivre. On s’allonge ensuite entre les rangées et on couche ensemble à labri des regards durant toute la durée du film…

Une année de relation parfaite et aucun enfant à l’horizon. Je n’en voulais pas tout de suite, on vivait heureux comme ça mais encore cacher de nombreux regards. Surtout celui de notre père qui ne se doutait de rien.

Ce jour là, nous étions encore ensemble avec Camille dans ma voiture où elle me faisait une ultime tache de cyprine à l’arrière. Cela étant, depuis le temps que nous étions ensemble, elle avait déjà fait plus d’une tache. Ma Camille était ma nouvelle drogue, je ne pouvais plus me passer d’elle. Elle était ma passion, celle qui m’aura permis de devenir l’homme que d’une femme…je ne comprends pas pourquoi j’ai accepté de n’être qu’à elle?

Elle avait dix-huit ans et nous avions emménagé ensemble. Dix-neuf ans, elle attendait enfin notre première enfant. 25 ans, trois enfants.

Aujourd’hui, j’ai quatre-vingts ans passé et Camille était encore avec moi avec nos sept enfants et, au crépuscule de ma vie, Camille fut la dernière vision, mes plus de 20 ans de fidélités….mon seule vraie amour. Je l’aurais toujours aimé…

FIN

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