mon père2 Je mécarte un peu de lui. Je vois son regard plonger directement sur ma belle poitrine, enfin entre mes seins plutôt.

Mon père joue le jeu, finalement. Ses mains passent doucement sur mes fesses, sur mon dos, remontent jusquà ma nuque. De ses ongles, il suit le chemin de ma colonne vertébrale. Hmmmm, comme cest bon, jai des frissons partout. Mes "conquêtes" ne mont jamais caressée avec autant de tendresse. Mais lorsquil griffe mes fesses avec ses ongles, jai limpression de décoller. Je sens ma petite chatte qui se met à couler entre mes cuisses, sur mes cuisses.

« Passe tes mains sous ma jupe, Florent !

Non, ça je ne peux pas, chérie, cest hors de question !

Alleeez, sil te plaît, je sais que je te plais, Florent, caresse-moi les fesses, alleez. ! »

Disant cela, de ce petit ton suppliant auquel mon père na jamais su résister, je me frotte contre lui de façon de plus en plus insistante.

Et il finit par passer sa main sur mes cuisses, puis à remonter lentement, lentement

Une de ses mains touche ma fesse gauche, je crois que je vais jouir tout de suite. Cest affreux, affreusement bon, il lempoigne et la malaxe un peu, pendant que son autre main fait la même chose avec la fesse droite. Il les écrase lune contre lautre, puis les écarte. Je coule, je fonds, je ruisselle Jai chaud entre les cuisses, jai chaud sous les bras, je sens des gouttes de sueur perler entre mes seins, dont les tétons sont maintenant raides et durs.

« Ooooh ma chérie, mais tu es trempée !!!! Oh non, non, non, ce nest pas bien du tout, ça ! »

Il sécarte brusquement de moi, dun air affolé. Il me regarde comme si je nétais pas sa fille. Je vois une bosse qui déforme lavant de son pantalon. Cette bosse me parait énorme, comme un bâton en travers de sa braguette. Comme jaimerais la voir et la toucher, la sucer, et la prendre en moi, comme une femme reçoit son homme.

Mon père ne dit plus un mot, en face de moi. Un de mes seins est sorti du top, le téton fièrement dressé, rouge.

Affolée, moi aussi, par son mutisme, je menfuis de la pièce et cours me réfugier dans ma chambre. En fait, je me jette sur mon lit, pleurant toutes les larmes de mon corps.

Quai-je fait ? Mon père ne voudra plus de moi et va me renvoyer chez maman, ça cest sûr maintenant !!! Mon Dieu, tout, mais pas ça !!!!

VISION DU PERE

Jai oublié, pendant quelques instants, que cétait avec ma fille que jétais en train de flirter, que cétait ma fille dont je caressais les fesses, la queue dure comme rarement.

Cest ça qui ma fait peur, terriblement peur. Je crois que jaurais même pu lallonger sur le tapis du salon et la prendre là, sans capote, sans rien, la baiser jusquà répandre ma semence en elle.

Quand jai réalisé quelle était trempée, je me suis brutalement repris et je nai pas pu dire un seul mot.

Jai bien vu quelle aussi était plus que troublée et ne savait que dire. Un de ses magnifiques seins était même sorti de son top déjà si décolleté. Et, malheur à moi, jai VU son téton dressé !

Finalement, elle a tourné les talons et sest enfuie dans sa chambre.

Et voilà où jen suis : au milieu du salon, la queue encore sous le choc, des images de ma fille me trottant dans la tête et, notamment, son sein dénudé, si appétissant, si beau.

Et je maperçois que ma fille est devenue presque une femme et quelle femme ! Un corps pour lequel nimporte quel homme se damnerait. Dire quil aura fallu cette soirée pour que je men aperçoive !

Je monte à létage, afin de voir si Alexia va bien. Sa porte est fermée. Je lentends sangloter derrière.

« Alexia ? Je peux entrer ?

Bien sûr, mon papounet ! »

Jouvre sa porte et jai une vision extraordinairement sensuelle : elle est allongée sur le ventre ; sa jupette, derrière, est largement relevée sur ses fesses. Oh mon Dieu, il ne faut pas que je regarde !!! Cest ma fille, merde !

Mais malgré moi, mon regard sattarde sur les longues jambes dAlexia, sur ses cuisses et ses mollets gainés de résille, sur la blancheur de sa peau entre le haut des dim-up et ses fesses rebondies ; et mon regard sattarde plus que jamais sur la zone située entre ses deux magnifiques globes de chair : soit, jai la vue qui baisse, soit, la ficelle est complètement rentrée dans son cul, soit, elle a tout simplement enlevé son string

Ma queue, qui sétait un peu ramollie, reprend alors de la vigueur.

Mais non, non, ce nest pas bien !

Ma fille, tout en restant dans cette position, pour le moins suggestive, tourne son beau visage vers moi. Ses yeux sont embués de larmes et ses joues sont mouillées.

Je ne peux pas résister et je mapproche delle. Je massieds sur le lit à ses côtés. Elle fait semblant de se rendre compte, à ce moment-là, que sa jupette ne cache rien de son derrière et la rabat, en rougissant et en me disant « pardon papa ».

Je lui dis que ce nest rien, que cest le vin rouge sûrement qui nous est monté à la tête. Je lui dis que ce nest pas grave. Je lui caresse le dos, les cheveux.

Le seul problème, cest que ma queue ne dégonfle pas et que je commence à être un peu à létroit dans mon boxer, moi.

« Tu men veux papa ? Tu vas vouloir me renvoyer chez maman, hein ?

Mais pourquoi, ma chérie ! Tu nas rien fait du tout, on a fait juste un petit jeu de rôle et nous avons pris nos rôles un peu trop à cur, cest tout, ma petite chatte !

Ah, jai réussi à te séduire, alors ? Me demande-t-elle, avec son plus beau sourire.

Oh ben oui, tu as vu ça, non ! »

Et nous rigolons tous les deux, sans quil ny ait plus aucune gêne entre nous. Je retrouve enfin ma petite fille chérie.

Avec une petite (énorme) différence tout de même : jai une envie furieuse de me jeter sur elle et de lui faire lamour toute la nuit !

ALEXIA

Jarriverai à mes fins, je le veux ! Et quand japerçois la bosse au niveau du sexe de mon père, je sais dores et déjà que jai gagné. Il va juste falloir que je la joue très serré

En fait, tout à lheure, dès que javais entendu mon père monter les escaliers, jai retiré rapidement mon string, que jai jeté comme jai pu par terre et me suis mise dans la meilleure position pour quil sen aperçoive : allongée sur le ventre, la jupette "négligemment" et "innocemment" relevée sur mes jolies fesses.

Et ça na pas loupé. Jai senti son hésitation et jai su, à ce moment-là, quil observait mon petit cul et que ce soir je serais enfin déflorée !

Il me caresse le dos et les cheveux.

Je sais quil se sent coupable, alors jen profite et je fonce dans son sentiment de culpabilité.

« Papa ?

Oui, ma chérie ?

Cest mal de ma part, ce que jai fait tout à lheure ?

Non, ce nest pas mal !

.. De ma part, en revanche, cest inacceptable !

.. Toi tu es jeune, tu nas pas dexpérience et il est tout à fait normal que tu te tournes vers la personne masculine la plus proche de toi !

Ah

Ma chérie, euh, je dis que tu nas pas dexpérience, mais euh, tu es vierge encore ?

Oui papa, jattends le bon, et sil faut attendre jusquà mes 25 ans, jattendrai !

.. En fait, je voudrais trouver quelquun exactement comme toi ! Rougissement de mon papounet.

Tu sais, je ne suis pas forcément un modèle, hein ?

Oh si, papa !!! Tu es super génial, tu es resté super jeune et super sexy !

.. Mes copines me le disent toutes, tu sais !!!

.. Du genre : « si ce nétait pas ton père, ça ferait longtemps que je lui aurais sauté dessus ! » !

Ah, euh

Eh oui !

Mais tu as déjà été embrassée, quand même ? Toujours en me caressant le dos, et, parfois, par mégarde, les fesses par dessus ma jupette, hélas.

Oh oui, oui bien sûr, mais y savent pas embrasser, les mecs, y sont nuls !

.. Et pi, y me tripotent en me faisant mal, pas comme toi tout à lheure !

Euh, inutile de me le rappeler, ma chatte !

Tu vois, maintenant, quand tu mappelles "ma chatte", ça me fait frissonner de partout, alors quavant, ça ne me faisait rien du tout !

.. Tiens, touche ma cuisse, tu vas voir ! »

Et il me touche la cuisse, inévitablement, parcourue de frissons.

« Cest vrai que ça te fait frissonner !!! Tu le trouveras le bon, va, celui qui embrasse bien

Mais quaaaaand ??? Je nen peux plus, moi !!! Et puis, si ça se trouve, cest moi qui ne sais pas embrasser !!! »

Et je me remets à pleurer, enfin à simuler des pleurs. Et ça marche. Mon père me dit alors :

« Ça ne veut rien dire, mal embrasser !

Si, je dois être nulle, cest tout !!!

Arrête, ma chérie !

Hé bien, embrasse-moi, tu verras bien, tiens !

Je ne peux pas, chérie !

Tu vois !!!! Et les larmes se remettent à couler.

Bon, OK, OK, on va sembrasser et je te prouverai que cest nimporte quoi !

.. Mais tu me promets que ça en restera là, ok !

Oh oui, oh oui !!! Merci papa chéri !!! »

Je me tourne, me mets à genoux, sur le lit, en face de lui et approche ma bouche de la sienne.

Je prends son visage dans mes mains et pose mes lèvres sur ses lèvres.

Il semble embarrassé, mais sa bouche finit par souvrir et jen profite pour faire pénétrer ma langue à lintérieur. Bientôt nos langues se mêlent, se mélangent, virevoltent lune contre lautre. Je tiens ses joues et il me prend les miennes. Il ferme les yeux et membrasse de plus en plus fougueusement. Je frissonne, je mouille, je tremble, je pleure en même temps.

Notre baiser séternise et ses mains quittent mon visage pour me caresser le corps. Il passe sa main sur mes seins, mal cachés par mon top noir. Je caresse son cou, sa nuque, son torse.

« Oh mon papa, tu embrasses si bien, caresse-moi un peu les cuisses ! »

Mon papa est ferré. Je pense quil ne réfléchit plus vraiment à ce quil fait et cest exactement ce que je voulais !

Ses mains commencent à me caresser les cuisses. Puis elles remontent lentement, tout en me caressant.

Je les sens crisser contre mes bas-résille.

Puis il atteint la partie nue de ma cuisse, juste à côté de mon minou qui palpite. Je frémis.

Il continue à remonter, soulevant par le même mouvement ma petite jupe plissée.

Je vois maintenant ma petite chatte apparaître, à deux centimètres de ses grandes mains viriles.

Le silence est complet dans ma chambre. Juste le bruit de nos salives qui se mélangent. Mes tétons sont durs comme jamais ils ne lont été.

Et enfin, un de ses doigts se pose sur mon minou qui nattendait que ça.

Jai un sursaut, comme si je recevais une décharge électrique dans le bas-ventre.

Il panique un peu, tente de se reculer, mais je lattire à nouveau à moi, lembrassant comme une folle furieuse, lui léchant les lèvres, lui aspirant la langue, lui léchant le menton.

Et sa main frotte mon minou complètement rasé, à plat. Il me frotte de plus en plus fort et je ne tarde pas à ressentir quelque chose que je nai jamais ressenti aussi fort. Ça monte de mon sexe et se répand dans tout mon corps.

Cest le premier vrai orgasme de ma vie.

Je lui mords la langue, ça lui fait mal, je le sais et je réprime ce cri qui veut sortir de moi. Je le serre fort, fort, fort contre moi, contre mes seins gonflés et douloureux. Je jouis de longs instants, mon sexe doit lui couler littéralement sur les doigts.

« Oooooooooh, mon papounet, cest si bon ce que tu me fais, si bon !!!! »

Je jouis comme une femelle entre les bras de son mâle. Il ny a plus de papa et de petite fille chérie, nous sommes juste deux amants.

Malheureusement, il se reprend trop vite, se lève et quitte la chambre presque en courant, en disant : « oh mon dieu, mon dieu ! ». Mais moi jai vu, avant quil ne parte, jai vu ce gros bâton qui distendait son pantalon.

Et je me dis que la nuit nest pas finie, loin de là.

À suivre (molose)

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