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Mémoire d'une grand mère – Chapitre 1




Magali, ma petite-fille cherche son bâton de rouge à lèvres dans son sac. Elle le renverse sur la table. Elle a un foutoir pas possible. Je remarque un drôle de petit paquet

— Quest-ce que cest ?

— Ca, oh un préservatif.

— A 16 ans tu as déjà ce genre de machin.

— Tu sais les garçons oublient toujours den avoir, alors les filles nous pensons à nous protéger pas des enfants mais des maladies.

— Et tu fais lamour ?

— Bien sûr je suis comme les autres. Il ny a pas de mal à se faire du bien tu sais.

— A mon âge

— Ha, non, ne recommence pas de dire quà ton âge cétait mieux. Tu as loupé un train en route.

Cest vrai, je retarde. Je décide décrire un cahier pour raconter mes déboires et victoires.

Quand Magali sen va, je regarde ses jolies fesses, ses cheveux qui en cachent la moitié. Elle se dandine comme si elle cherchait un mâle.

    OoooOoooo

A son âge je ne savais même pas comment on fabriquait les bébés. En plus si je posais ce genre de question ou je recevais une gifle ou je me faisais enguirlander par mon père.

Quand jai eu 18 ans, ne me suis touché la chatte pour la première fois pour y découvrir un monde merveilleux que je caressais lentement la nuit en soulevant ma chemise de nuit. Je me cachais pour ne pas être surprise, surtout que je sentais un plaisir inconnu dans mon bas-ventre.

Je savais quand même comment se faisait les bébés, jallais danser les samedi soir et les dimanches après-midi. Jaimais particulièrement les tangos où collée contre mon cavalier je sentais souvent quelque chose de dur sur mon ventre. Je me doutais bien que cétait un sexe. On parlait beaucoup entre filles, certaines même nétaient plus vierges. Elles nous racontaient comment elles faisaient, comment elles donnaient du plaisir à leurs amoureux.

Jétais encore naïve avant mon mariage arrangé. Il nétait pas mal mon fiancé : grand, élancé, racé. Une petite semaine avant la cérémonie, il ma entraînée dans ma chambre, ma faite déshabiller. Javais un peu honte. Après mavoir embrassée partout sur le corps à son tour il était nu. Mon premier homme nu !!!

Jétais paralysée totalement surtout quand il ma demandé de prendre son sexe dans ma main. Il me semblait bien gros. Il est venu sur moi, ma fait écarter les jambes. Je savais bien ce quil cherchait. Je nallais pas lui interdire de me faire ce quil désirait quelques jours avant le mariage, un peu plus tôt un peu plus tard où est la différence.

Jai ouvert un peu mes cuisses. Il sest mit entre mes jambes pas assez ouvertes, me les a faites ouvrir encore pour venir poser son sexe sur la mien. Il ma fait mal dès le début, même et surtout quand il ma faite femme. Jai subit son agression. Quand il est enfin sorti il a giclé sur mon ventre sa liqueur blanche.

Presque tous les jours javais droit à sa visite. Jai mis du temps à sentir enfin un début de plaisir. Il ma fait quatre enfants. Puis, un jour il est parti vers le cimetière, en me laissant de quoi bien vivre. Au fond de moi je disais tant mieux.

Je me caressais toujours en cachette, maintenant je le faisais chez moi, nue sur mon lit. Des fois il me manquait quelque chose, sans savoir quoi.

Une semaine mon cousin germain Marcel venait chez moi pour des vacances, avec sa femme, une allemande Gertrude, quelle prononçait en Guertrude. Moi plus pratique je la surnommais Guert.

Marcel était venu chez moi pour pêcher la truite. Il partait tôt pour revenir très tard, la plus part du temps sans la moindre prise. Nous bavardions entre femmes. Elle me racontait comment elle jouissait avec son mari. Jen mouillais et au fond de moi jen étais jalouse : une femme prenait du plaisir à ça, alors que moi jen avais été privée.

Un après midi Guert me prenait la taille pour membrasser sur la bouche. Je me rebellais :

— Laisse toit faire, je vais te donner du plaisir.

— Pas entre femmes.

— Pourquoi pas.

Quand sa langue sest enfoncée dans la bouche je nétais pas daccord du tout, pourtant rapidement jai ressenti un désir de jouissance. Je me suis laissé faire. Elle ma déshabillée sans que jaie honte un seul instant. Elle sest mise nue : Guert faisait partie des femmes sexys. Cest elle qui me trouvait excitante à ses yeux.

Jai reçu sa main sur mon sexe comme une délivrance : voilà ce qui me manquait. Elle ma masturbée longuement, me faisant jouir plusieurs fois, sa bouche toujours sur la mienne. Une fois couchée elle a pris ma main pour la poser sur sa chatte. Javoue avoir pris du plaisir à la branler.

— Attends nous allons faire un 69.

Je savais quand même ce que ça signifiait. Mais ma bouche sur un sexe de fille en plus. Jen avais peur. Elle est venue sur moi, je sentais ses seins contre mon ventre. Son souffle est venu sur ma fourrure puis doucement sur le clitoris. Je sentais déjà quelle sortait sa langue, savais où elle allait la mettre. Résignée je la laissais me sucer le bouton. Cétait bien meilleur que mes doigts ou les siens.

— Allez, nai pas peur suce moi toi aussi.

Il a fallut que je vainque mes appréhensions. Lécher moi aussi un sexe féminin. Cétait agréable, surtout que je sentais sa langue me faire du bien, quand elle la posée sur lanus où personne navait encore posé quoique ce soit. Nous avons bien joui pour cette première. Je nosais pas lui demander le lendemain de recommencer. Cest une fois de plus Guert qui ma fait des avances. Cette fois elle avait un sexe dhomme en main, un godemiché.

— Je men sers souvent, surtout avec Marcel qui me le met dans le cul. Jaime. Tu vas aimer.

— Pas dans le cul.

— Non je le ferais après, dabord dans le con.

Elle ma embrassée, caressée : je mouillais pas mal quand elle a posé son godemiché sur la vulve pour ly enfoncer. Quelle différence avec mon ex mari. Cétait bon à crier mon bonheur. Jai joui comme, jimagine, une garce.

— A toi de me baiser.

Jai pris son jouet pour le lui mettre. Jai enfoncé doucement elle gémissait, je le lui ai mis tout au fond. Je fais des aller et retour : elle a joui au moins aussi bien que moi.

— A ton tour de te faire enculer ;

— Je ne veux pas trop.

— Ninsiste pas, je vais de déflorer le cul.

Elle a mis je ne sais combien de mouillé sur lanus, ça me faisait un drôle deffet davoir ses doigts qui caressaient mon derrière. Là elle a voulu entrer. Jai eu mal un bon moment, jusquau moment où elle a commencé les allers et venues. Au bout dun court instant jai senti un autre plaisir que je ne connaissais pas du tout. Cette découverte a fait que jai joui bien plus fort que dans le vagin.

Ils sont partis, la pêche finie. Elle mavait laissé son gode. Je me branlais avec lui. (Je lai encore dans un tiroir de la chambre, je men sers quelquefois).

Un an a dû passer avant que je rencontre Bernard, un veuf de mon âge. Il était comme moi à la recherche dun sexe. Dès notre première fois je savais que cétait lui le dernier. Il navait pas une grosse bite, ni longue, simplement normale, mais une façon de sen servir remarquable. Il résistait à lorgasme bien mieux que moi. Il ne mapprit quune chose que je connaissais avec une femme, pas avec un homme. Il aimait que nous fassions des 69. Jétais peu encline à garder sa semence dans la bouche, ça mécurait. Mais la fois où il a laissé sa queue dans le bouche après avoir joui, jai dû garder son sperme. Jai enfin apprécié le goût particulier. Jusquà la fin je lai sucé avec plaisir. Il me le rendait bien en me léchant la chatte partout aussi bien que Guert, sinon mieux.

Nous allions souvent dans un camp de naturiste. Ma nature pudique me faisait des tours, je refusais au dernier moment de me mettre nue. Mais voyant que les gens me regardaient de travers jai décidé de me mettre comme les autres.

Personne ne faisait plus attention à moi. Je voyais des bites molles, dautres un peu tendues, mais aucune dangereuse. Le plus étonnant est quune femme normalement constituée parlait avec un homme en semi érection sans que ça les gêne.

Nous passions des nuits entières dans des boîtes échangistes. Au début seul Bernard pouvait me toucher, me caresser et même me branler, jamais me baiser devant les autres. Et un soir une fille est venue me sucer. Bernard, devant moi la baisait. Pour me venger, je cherchais un homme bien monté. Je trouvais le bel homme avec une queue monstrueuse. Je la voulais dans le cul. Il ma menée sur une couchette, un peu à lécart. Jappelais Bernard pour quil me voie. Le temps quil arrive javais le cul plein dune bite qui me faisait à peine mal. Bernard est passé devant pour me la mettre dans le con. Ils mont fait jouir cette fois cest vrai comme une salope.

Chaque fois que nous le pouvons nous retournons au centre. Pour moi qui nai plus honte de me montrer, il marrive de me faire mettre devant les autres sur la plage.

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