F-H

La soumission de Serge par sa femme qui en fait publiquement un esclave

La découverte de mes phantasmes par ma femme

Ayant toujours fantasmé sur les rapports sado-maso, je me suis enfin décidé à acheter une revue qui en parle. La couverture est explicite : comment dresser Jules! J’ai caché la revue chez moi, sans oser la lire en présence de ma femme.

Le lendemain, ma femme est partie faire des courses. Elle en a pour au moins deux heures, alors je vais chercher la revue et je lis cet article "Comment transformer Jules en soubrette". Ca commence à vraiment m’exciter.

Après avoir tout lu, je reste devant un dessin qui représente un homme. Il ne porte qu’un tablier, une coiffe et des escarpins. Il est bâillonné et présente un plateau et une cravache à sa maîtresse. Pour mieux l’humilier, celle-ci le maintient en position accroupie en lui attachant les testicules aux orteils par une ficelle. Il bande.

Ca me plaît tellement que j’ai envie d’essayer tout de suite. Je me déshabille, passe mon tablier, puis je m’attache les testicules aux orteils. J’essaye de marcher comme ça, la ficelle tire sur mes bourses, je bande bien fort. J’ai envie d’aller dans cette tenue jusqu’à notre salle de bains, à l’étage du dessous, pour me masturber sur les chaussures de ma femme avant de les lécher.

Il n’est pas facile de descendre des marches comme ça mais j’y arrive. Je commence à me caresser au-dessus de ses bottes, tout en poursuivant ma lecture. Des pas dans l’escalier! Et je suis là, en tablier, avec cette revue que je ne peux plus cacher. Pas moyen d’enlever cette ficelle la porte s’ouvre. C’est ma femme qui rentre plus tôt que prévu. Aussitôt elle crie :

— "Qu’est-ce que tu fous ?"

-"Je vais t’expliquer Aïe!" Elle m’a fichu une claque!

-"Tu n’expliques rien, tu me dis exactement ce que tu faisais!"

-"J’ai acheté une revue sado-maso et je me masturbais au-dessus de tes bottes en la lisant."

-"Ah, c’est comme ça, c’est ça que tu fais quand je ne suis pas là ? Et tu achètes ce genre de revues ? Tu peux me dire ce que tu y trouves intéressant ?"

-"Ca m’excite, c’est un phantasme que j’ai."

Elle réfléchit un moment. Moi je reste accroupi, attendant sa réaction.

-"C’est quoi exactement comme phantasme, te faire attacher les couilles ? Devoir te branler sur mes bottes ? Recevoir des claques ? Parce que si c’est les claques que tu veux, tu vas en recevoir!"

-"Oui, c’est ça et puis être traité comme une soubrette, attaché, etc."

-"Ah bon." Elle se radoucit un peu, mais pas longtemps.

-"Alors mets les mains dans le dos et tourne la tête vers moi."

Je m’exécute.

-"Bien. Tu me remercieras parce que je m’occupe de tes phantasmes là."

Et clac, une grande gifle en pleine face! Je cherche à l’éviter, mais elle me touche quand même. -"Ne bouge pas! Je recommence. Après chaque baffe, tu diras merci."

J’en ai reçu dix puis elle s’est arrêtée, sa main chauffait trop.

-"Bon, et après t’être branlé, tu comptais faire quoi ?"

-"Je comptais lécher tes bottes avec mon sperme dessus."

-"Tiens donc. Mais je ne voudrais pas te refuser ce plaisir. Vas-y prosterne-toi à mes pieds, lèche mes escarpins. C’était ça ton idée, lécher les chaussures que je porte ? Vas-y, sors bien la langue. Après tu t’occuperas des bottes, puis des autres chaussures."

Je commence à lécher mais voilà qu’elle se met à marcher sans égard pour moi. Je la suis à genoux. Elle n’a fait que deux pas pour s’asseoir. Je bande encore comme un âne. J’ai dû me mettre de côté pour lécher ses escarpins. D’une main, elle commence à feuilleter la revue, de l’autre elle me pelote les couilles. Elle y enfonce les ongles de temps en temps, soupèse, tapote, serre un peu, me glisse un doigt entre les fesses, pince un peu. Elle n’émet que de brefs commentaires sur la revue : "Intéressant" ou "Pas mal!"

Quand j’ai terminé de lustrer toutes ses chaussures, elle m’enjoint de me rincer la bouche.

-"Allons au lit, j’ai envie d’essayer."

Arrivé dans la chambre, ma femme me bande les yeux et me fait coucher sur le lit sans me détacher les testicules des pieds. En plus, elle m’attache les mains aux chevilles. Je ne peux quasiment plus bouger. Puis elle vient doucement s’asseoir sur mon visage, les fesses sur le nez, la chatte sur la bouche en m’ordonnant :

— "Lèche!"

Heureux de la voir dans de meilleures dispositions, je lèche son minou comme un fou. Je la lèche longtemps, y mettant tout mon cur. L’orgasme venant, elle se fait d’abord plus pesante sur mon visage, puis des mouvements désordonnés m’écrasent le nez, mais parfois me permettent de respirer un peu mieux. Elle crie son plaisir en me pinçant les tétons. Après ce premier orgasme, elle se lève. Je crois qu’elle va me chevaucher le sexe mais non, je suis retourné comme un sac de patates, elle s’installe sur le dos et me précise :

— "Lèche-moi, ne t’arrête sous aucun prétexte, pas avant que je ne te le dise."

Un instant plus tard, j’entends un sifflement. Quelque chose me frappe le dos, ça fait très mal! En même temps, elle me plaque la bouche sur son minou.

-"C’est autre chose de me servir comme ça, non ? J’espère que la ceinture te plaît parce que je vais continuer! Et plus tard, tu en auras sur les fesses."

Alors je m’applique, je m’efforce de ne pas laisser paraître la douleur, malgré que les coups pleuvent, malgré qu’elle plante ses talons dans mes flancs. Elle ne tarde pas à partir dans un nouvel orgasme, qu’elle ponctue d’autres coups de ceinture. Puis :

-"Arrête!" et le calme soudain.

Toute cette émotion m’a épuisé et je devine qu’elle aussi. Je suis couvert de sueur, nous haletons tous les deux.

Un instant plus tard, elle me repousse du pied et je m’accroupis tant bien que mal au pied du lit. J’entends qu’elle se rhabille. Elle me détache les testicules et les mains, me relève et me frotte brutalement le dos, avec les dents de sa brosse à cheveux. Bizarrement, cela atténue un peu la douleur. Puis elle me guide jusqu’au radiateur et m’y attache les poignets.

-"Les fesses maintenant. Appuie la tête au mur, jambes écartées. Tu vas avoir douze coups de ceinture sur les fesses."

-"Mais j’en ai déjà eu au moins quinze sur le dos!"

-"Bon, va pour quinze coups alors. Et n’essaie pas d’encore discuter. Prépare-toi. Et maintenant que ta langue n’est pas occupée, n’oublie pas de dire merci à chaque coup."

Craignant qu’elle n’augmente encore la dose, je prends la position. La série de coups me chauffe les fesses très vite. Qu’est-ce que ça fait mal! Miracle, elle s’arrête après seulement huit coups!

-"Arrête de bouger! Je recommence et cette fois-ci, ne bouge plus. Mets-toi bien en arrière, présente ton cul pour bien recevoir les coups."

Et les coups reprennent. Mais je n’en peux plus! Après douze autres coups, je craque :

-"Arrête, je t’en prie! Ca fait vraiment trop mal!"

Elle s’interrompt mais me répond :

-"Non, tu auras ta fessée. Quinze coups, j’ai dit. Je vais devoir recommencer, tu as oublié de dire merci pour le douzième. Cambre bien le cul. Voilà, comme ça."

Et malgré ma supplique, elle entreprend de m’administrer quinze autres coups de ceinture. J’ai les fesses en feu, je craque complètement, je crie après chaque coup. Mais je n’oublie pas de la remercier.

Après cette mémorable dérouillée, elle me pelote brutalement les fesses. Puis elle m’attrape les bourses et commence à serrer.

-"Dis-moi, maintenant. Je suis prête à réaliser ton phantasme. Mais tu jures de m’obéir absolument ?"

-"Oui."

Elle serre.

-"Dis moi, "oui chérie, je jure de t’obéir absolument." sinon je recommence la séance de ceinture."

-"Oui chérie, je jure de t’obéir absolument."

Elle rit doucement.

-"Bien. J’aime mieux ça. Alors puisque tu m’obéis en tout point, je dois dire que ça m’amuse beaucoup de te fesser. Cambre-toi encore. Quelques coups de plus pour le plaisir."

Je me mets en position et les coups tombent. Elle s’arrête après cinq.

-"Maintenant, écarte bien les jambes, sur la pointe des pieds, le cul très cambré. Plus que ça! Tu as l’air moins fier que tout à l’heure, ça pend drôlement tout ça. Surtout, ne bouge pas."

Le coup est fulgurant, je me tords de douleur. Un coup de ceinture sur les testicules!

-"Eh bien, ça te fait de l’effet! Autre chose. Tu voulais te branler, je te l’interdis. Je ne crois pas que tu sois en état d’ailleurs. A partir de maintenant, tu jouis si je veux et quand je veux, c’est tout. Compris ?"

-"Oui chérie, j’ai compris."

-"Je vais prendre une douche. Tu m’aideras à me sécher puis je m’habillerai et je t’enlèverai ton bandeau. Tu prendras une douche aussi, mais attention je te surveille, branlette interdite! Alors heureux ?"

-"Oui chérie."

Ma réponse était tout à fait sincère.

Le contrat

Revenus au salon, mon épouse a voulu formaliser ma soumission et sa domination par un contrat. Voici les conditions auxquelles je suis soumis depuis :

"S. devient dès ce jour le soumis de B. Il jure de lui obéir en tout point et de faire le maximum pour lui être agréable. Cette soumission ne connaît aucun terme et aucune condition de fin.

Le corps de S. et particulièrement son sexe sont la chose de B. S. doit porter un dispositif de chasteté dont les clés sont détenues par B. S. n’en sera libéré que selon le désir de B. et dans les conditions voulues par elle. S. s’habille en toutes circonstances selon les désirs de B. B. peut agrémenter le corps de S. de la manière qui lui plaît.

S. doit respecter absolument le corps de B. Il ne peut la regarder ou la toucher que si elle l’y autorise ou lui demande. Il aide B. dans les soins de son corps, selon les désirs de celle-ci.

S. jure fidélité à B. Il s’interdit de regarder d’autres femmes d’aucune manière qui soit impudique, que ces femmes soient rencontrées en personne ou représentées par des photos, films, dessins, etc. De même, il n’aura aucune relation verbale, épistolaire ou physique qui soit impudique avec d’autres personnes. B. peut évidemment exiger le contraire de S. mais garde toujours un droit de contrôle absolu.

S. est responsable de toutes les tâches ménagères (courses, repas, service à table, vaisselle, lessive, nettoyage, réparations, service de chauffeur, etc.) et doit s’occuper des soins corporels de B. (massage, service de bain, vernis à ongle, etc.) selon les désirs et ordres de B. L’ensemble de ces tâches sera effectué dans les conditions et dans la tenue voulue par B.

S. sert B. en matière de sexe. Le seul objectif de S. est de procurer du plaisir à B. Il s’interdit de revendiquer son propre plaisir et prend celui qui lui serait offert comme un présent.

S. s’efforce dès à présent de se préoccuper avant tout du bien-être et du plaisir du B. Il s’efforce de devancer ses désirs et de servir son plaisir.

S. doit se montre en toute occasion très humble. Il évite de couper la parole à B., de la contredire ou de lui être désagréable. Il en va de même envers les amis et amies de B. S. doit se montrer aimable, discret, respectueux et serviable.

B. peut déléguer librement ses prérogatives envers S.

De manière générale, B. garde la haute main sur toutes les activités de S. Elle est le chef absolu du ménage en ce qui concerne toutes les décisions.

B. peut prendre toutes les mesures utiles pour encourager S. à accomplir ses devoirs ou le décourager de ne pas les accomplir. B. peut utiliser notamment des remontrances, humiliations, punitions diverses, châtiments corporels, privations, sans que cela soit limitatif. S. ne peut pas se soustraire à ces mesures, même en l’absence de faute, le châtiment étant aussi destiné à inculquer et vérifier l’obéissance.

Afin de faciliter le travail de B., S. tient un carnet dans lequel il note ses fautes. Celles-ci seront ensuite confessées et châtiées, autant que possible chaque jour. L’oubli de noter une faute est considéré comme une faute supplémentaire. S. n’oublie pas de noter ses fautes morales : râlerie (même in petto), oubli de sa condition, tentation de désobéir, velléité de rébellion, penser que B. a tort, etc. La confession est le lieu et le moment pour S. d’exposer son point de vue mais pas de revendiquer. Les justifications inexactes ou hors de propos sont considérées comme des fautes supplémentaires.

Lorsqu’il est châtié, S. doit servir B. dans l’exercice du châtiment lui-même : aller chercher les instruments, prendre la position, etc. Il doit remercier B. de veiller à la bonne exécution de la soumission."

Mine de rien, cette rédaction nous a pris du temps.

Enfin, nous étions certains de n’avoir rien oublié. Alors elle s’est tournée vers moi et m’a dit :

-"Mon soumis chéri, rhabille-toi. Il faut aller faire quelques emplettes. Je voudrais te mettre une ceinture de chasteté, ou ce qui y correspond pour les hommes. Et puis j’aurais besoin d’un instrument pour te punir mais qui ne laisse pas autant de marques que la ceinture. De toute façon, il faut varier les plaisirs et j’ai peur de te blesser en te donnant de la ceinture. Et puis, nous verrons s’il y a autre chose d’amusant ou d’utile dans cette boutique."

En effet, nous nous étions arrêtés devant une boutique du genre sex-shop fétichiste quelque temps plus tôt.

La transformation commence par épilation, tenue de soubrette et sodomie

Dans la rue, B. m’ordonne de marcher les yeux baissés.

Arrivés à la boutique, B. achète plusieurs instruments de punition : une cravache, un martinet, un paddle. Pour l’achat des accessoires de coercition, elle demande conseil à une vendeuse.

-"J’ai besoin d’une ceinture de chasteté pour homme. Quelque chose d’efficace et qu’il pourra garder toute la journée. Il faut qu’il puisse aller à la toilette mais pas bander."

La vendeuse présente quelques modèles mais un seul semble fermer convenablement avec un cadenas.

-"Celui-là est peut-être un peu difficile à garder longtemps, mais il ne l’enlèvera pas facilement."

-"Aucune importance, il n’aura qu’à s’y habituer. Tu vois mon chéri, tu porteras ça et fini la branlette."

La vendeuse a un petit rire, qui me fait lever la tête. B. m’envoie aussitôt une claque!

-"Tu ne regardes pas les femmes!"

Vite, je replonge le regard vers le sol. Je suis mort de honte.

C’est un assemblage de cuir et d’anneaux métalliques. Un arçon métallique permet d’enfermer les bourses à l’aide d’un cadenas. L’avant est composé d’une cage en métal dans lequel viendra se loger mon gland. Au moins je pourrai uriner.

B. prend encore des bracelets en cuir pour m’attacher les poignets et chevilles, un tablier de soubrette en dentelle, un gode ordinaire et un gode-ceinture. Ce dernier me paraît très gros. Elle me l’agite sous le nez.

-"Tu vas bientôt goûter à ça."

Elle complète ses achats par quelques lectures spécialisées. Avant de rentrer, nous achetons une paire de mules à ma pointure.

-"Ce sera pour faire le ménage, avec ton tablier. Je t’imagine déjà en tablier, rien qu’en tablier, avec des mules, me servant à table."

B. ne se soucie pas du fait que les gens autour de nous entendent tout ça. La vendeuse ne fait aucun commentaire. Je ne sais pas si elle sourit, je n’ose pas la regarder!

Je dois dire que la perspective d’être transformé en soubrette docile par ma femme m’excite beaucoup. Le chemin du retour me semble trop long. A peine arrivé :

-"Vas te mettre à poil dans la salle de bains, on va s’occuper de ton cas."

Je dois me déshabiller puis me mettre à quatre pattes. B. entreprend d’abord de me couper les poils puis de m’épiler entièrement avec son épilateur électrique. C’est désagréable et ça dure longtemps.

Après ça, elle me fait porter ma nouvelle cage de chasteté. Ce n’est pas facile à mettre, ça pince. Je dois aussitôt la mettre à l’épreuve et tenter de m’en dégager, ce que je réussis très facilement au début. Après plusieurs essais, nous comprenons qu’il faut doubler les épaisseurs de cuir sur l’arçon métallique, sinon il est facile de le dégager pour enlever la cage. C’est tout de même dur à supporter et ça me tire sur les bourses d’une façon inconfortable.

-"Bien, ça y est enfin. Alors écoute-moi. Si tu veux que cette cage te soit enlevée de temps en temps pour te soulager, tu as intérêt à te montrer vraiment très docile, mon petit mari. Mets le tablier et les mules."

Je m’exécute, les yeux toujours baissés.

-"Allons au salon."

Là, je joue mon rôle de domestique toute la soirée. Je prépare le repas, sers l’apéro, sers à table. Elle a posé la cravache à portée de la main et l’essaye à plusieurs reprises sur mes fesses nues, pourtant déjà cramoisies.

En fin de soirée, je dois m’agenouiller et confesser mes fautes de la journée. Et je n’en ai fait que trop : j’ai regardé une femme, je n’ai pas noté mes fautes dans un carnet, etc. Pour cette première confession, B. essaye le martinet. Je reçois une bonne cinquantaine de coups.

Nous montons nous mettre au lit et B. commence par me bander les yeux, puis elle se fait lécher et en même temps, je dois actionner le gode dans son minou. Elle adore ça et prend son pied plusieurs fois.

-"A ton tour maintenant!" Me dit-elle.

Je dois me mettre à quatre pattes et écarter les fesses. Je l’entends se harnacher. J’ai un peu peur. Je sens l’avant du gode contre mon petit trou. Mais ça n’entre pas. Quand elle veut s’enfoncer, j’avance le bassin. Elle a beau me tenir, rien à faire.

-"Tu n’es pas très coopératif. Voyons si une petite explication te convaincra." Et sans prévenir, elle m’envoie une volée de coups sur les fesses. Je crie de surprise autant que de douleur.

-"Je suis désolé, c’est plus fort que moi, je ne peux pas faire autrement que d’avancer le bassin."

-"Bon, je vais t’attacher alors."

J’entends qu’elle se rhabille, puis elle m’ôte mon bandeau. Nous redescendons au salon. Elle allume les lumières et entreprend de m’attacher sur la table. Les tentures ne sont pas fermées. J’espère que les voisins ne regardent pas! J’ai les mains et les chevilles attachées, bras et jambes écartés, les hanches coincées sur le bord de la table.

Elle se harnache par-dessus le pantalon et plaçant à nouveau le gode sur mon anus, pousse fermement. L’engin est énorme et me dilate le cul. Ca fait mal, c’est insupportable! Je pleure comme un bébé. Pourtant elle ne bouge pas. Je la supplie d’arrêter ça.

-"Attention, mon soumis, maintenant on va s’amuser!" Elle commence des va-et-vient dans mon trou de cul, de plus en plus fort et profond. Elle me tire les cheveux, me fiche des claques, m’attrape les fesses et les pétrit, les griffe. Pour cette première sodomie, je n’éprouve aucun plaisir.

Après quelque temps, B. fait une pause mais elle me laisse le gode planté dans le cul. B. allume une cigarette et entame une revue SM achetée aujourd’hui même. Elle pose son pied botté devant ma bouche.

-"Lèche."

J’obéis et lèche sa botte, puis l’autre botte qu’elle me présente aussi.

-"J’ai vu quelque chose d’intéressant là dedans. C’est un supplice consistant à sodomiser en sortant le sexe puis en le rentrant. Je vais te le faire pendant quelques minutes. Mais comme ça doit faire très mal, tu peux me demander d’arrêter avant que je ne sois fatiguée. Si tu me demandes, j’arrête mais sache que je serais déçue et qu’après, tu auras cinquante coups de cravache et tu passeras la nuit avec le gode dans le cul. C’est compris ?"

-"Oui chérie."

Elle se lève et sort le gode, puis se replace derrière moi.

-"Dis donc, il est tout dégueulasse ce truc. La prochaine fois, je te ferai un lavement."

Et le supplice continue : elle entre puis sort l’engin de mon anus, je ne sais pas combien de fois. J’ai envie de lui plaire et je supporte ce traitement mais les larmes coulent en abondance, d’autant plus qu’elle n’a pas cessé de m’envoyer des claques un peu partout. Elle me laisse finalement le gode dans l’anus et le fixe à mes hanches à l’aide du harnais.

-"Brave soumis. Tu as bien mérité qu’on arrête maintenant. Allons, je t’envoie les coups de cravache et puis ce sera tout pour aujourd’hui. Tu garderas le gode cette nuit."

-"Mais tu avais dit que"

-"J’ai dit que si tu me demandais d’arrêter, tu garderais le gode et tu aurais de la cravache. Je n’ai pas parlé de récompense si tu supportais tout. De toute façon, j’ai envie de te cravacher."

La cravache me malmène sévèrement les fesses, mais elle s’arrête après trente coups. Je reprend mon souffle, mais un dernier coup m’atteint au milieu du dos.

-"Alors je diminue ton supplice et tu ne me remercies même pas ? N’oublie pas de noter cette faute dans ton carnet, si tu penses à en acheter un pour demain."

Elle me détache et nous allons nous coucher. Elle me prend dans les bras. J’ai mal partout, le gode dans mon cul me gène beaucoup. Mais nous nous embrassons et épuisés, nous dormons.

Ma soumission saccentue et elle sort avec dautres hommes

Voici ce que sont devenues mes journées depuis que je suis le soumis de ma femme.

Le matin, dès que le réveil sonne, j’embrasse B. puis je sors nu du lit, enfile mes mules et passe mon tablier. Souvent, un début d’érection me met au supplice, à cause de la cage de chasteté.

Je me dépêche de préparer le petit-déjeuner que je viens porter au chevet de ma femme. Je m’agenouille et l’embrasse doucement. Quand elle a envie de se faire lécher, B. me désigne un bandeau que je passe devant les yeux, après quoi je glisse la tête sous la couette pour lui prodiguer une gâterie. Pendant ce temps là, elle prend son petit-déjeuner. Si elle n’est pas contente ou veut se lever, elle me chasse sans ménagement. Je dois attendre qu’elle se rhabille, dans la position la plus humble possible, ensuite je peux enlever le bandeau. Parfois, elle m’envoie quelques coups sur le dos ou les fesses.

Je l’accompagne à la salle de bains et l’aide à se préparer, puis elle part travailler. Durant la journée, je m’occupe du ménage et je travaille moi aussi (sur Internet). Je ne peux m’habiller que pour sortir. Il m’est par ailleurs interdit de porter un slip.

En fin d’après-midi, nous faisons souvent les courses ensemble. C’est l’occasion pour B. d’exercer une domination soft en public : remontrances, promesses de punition ("Tu vas voir tes fesses"), humiliation, moqueries, etc. Elle aime me donner des ordres, me faire accourir d’un claquement de doigts, me gifler en public et me contraindre à m’agenouiller (pour demander quelque chose, pour demander pardon).

Le soir, je suis entièrement à son service : apéritif, service à table, sous la table, autres services ménagers, mais aussi massages. A ce moment là, je suis nu sous mon tablier.

Dès que j’ai un peu de temps, je dois vérifier mon épilation parfaite et m’administrer un lavement, au cas où B. voudrait me sodomiser.

Vient alors l’heure de la confession. J’enlève mon tablier, me prosterne et tends mon carnet de fautes à B. Elle le lit et je lui demande de bien vouloir me corriger et de s’amuser comme il lui plaira avec moi. Elle détermine un "tarif" de punition et m’ordonne d’aller chercher l’instrument de mon châtiment, le plus souvent à genoux.

Puis en général, elle me fait relever et m’attache en nouant une ficelle à ma cage de chasteté, en la passant à un anneau au plafond puis en terminant par les bracelets. Je dois me mettre sur la pointe des pieds. Elle préfère cette manière parce qu’elle aime bien me voir "danser sous les coups". J’ai un peu de liberté de mouvement, mais pas assez pour échapper à ses instruments. En outre, les mouvements provoquent une traction sur mes bourses et la position bras levés devient vite très inconfortable.

De temps à autre, elle termine la punition en plaçant un tréteau entre mes jambes. Le tréteau n’est pas haut mais il est surmonté d’une planche qui me rentre dans les fesses, même quand je suis sur la pointe des pieds. Quand B. m’inflige cela, je sais que j’en ai pour un bon moment. Le plus souvent, elle me laisse là et s’en va prendre une douche ou regarde un film. Les pauses sont autant d’occasion de me traiter les fesses à la cravache ou au martinet.

Enfin, elle me détache.

Puis au lit, où je sers son plaisir humblement, à l’aide surtout de ma langue, mes doigts et son gode préféré. Bien souvent, elle m’inflige une séance de sodomie. Je n’aimais pas ça au début mais à présent je le désire. Je me suis habitué à son gros gode-ceinture et j’y ai pris goût.

Entre autres insultes, B. m’appelle maintenant "enculé", même devant d’autres personnes. Une amie lui avait demandé pourquoi et elle lui a répondu :

— "Mais parce que je l’encule très souvent! Tu devrais voir comme il aime ça!" Le soir même, l’amie assistait à une démonstration.

Après toute sodomie, je dois nettoyer le gode, parfois avec la langue. Heureusement que je me fais un lavement chaque soir!

Bien entendu, le week-end, B. a plus de temps pour s’amuser avec moi.

L’après-midi, il lui arrive de recevoir des amies. Je ne peux pas pour autant couvrir mes fesses. Certaines invitées ont les mains baladeuses. Toutes les amies de ma femme ont déjà assisté à une confession et ont pu corriger les fautes que j’avais commises envers elles. Depuis le début de ma soumission, j’ai léché les chaussures de la plupart d’entre elles et l’une a même pris l’habitude de se faire servir oralement par moi.

B. fréquente les dancings le samedi soir. Je dois l’attendre dans la voiture. Quand je l’accompagne, c’est toujours pour être humilié publiquement. Quand elle sort avec un homme, je dois soit les suivre pour la ramener après, soit conduire tout le monde chez nous. Ces soirs là, je dors sur le canapé et le matin, je dois apporter le petit-déjeuner au lit, vêtu d’un simple tablier. Ces hommes n’hésitent pas à se moquer de moi, surtout que B. les y encourage! L’un d’entre eux m’a pissé dessus, dans la douche! Je dois souvent servir sexuellement B. pendant qu’elle est avec un autre homme. Je lui lèche la chatte pendant que l’autre la pénètre, ou je suce son amant d’un soir, ou encore je lui lèche les bourses, ou le cul.

De temps en temps, B. m’attache les mains dans le dos et enlève ma cage. Elle vérifie mon épilation et me lave le sexe sans me faire jouir. Enfin, nous allons au lit où elle m’attache sur le dos, les jambes en l’air, puis me sodomise longuement. Je jouis sans même me toucher.

Parfois, elle ramasse mon sperme et me le fait déguster. D’autres fois, je suis à quatre pattes et je dois lécher les draps après avoir joui.

Il arrive aussi qu’elle me laisse regarder ses cuisses et me frotter le sexe entre ses bottes ou entre ses pieds. Ensuite je dois tout lécher.

Je suis terriblement humilié de tout cela, mais j’adore ça et je n’ai jamais joui si fort.

La grande fessée

Ma femme a d’abord décidé de m’infliger cette séance uniquement lorsque je lui ai fortement déplu. En fait, ce n’est arrivé que deux fois depuis le début de ma condition, aussi à présent B. m’inflige cette punition pour l’anniversaire de notre contrat, fin avril.

La journée se passe à peu près normalement mais l’après-midi, je dois aller cueillir des orties bien fraîches Je dois préparer pour le soir un excellent dîner pour B. et les éventuels spectateurs.

Je me confesse comme à l’accoutumée, mais je force un peu sur les fautes. Je ne dois pas hésiter à en inventer, à citer des fautes que je ne commets jamais plus, comme lire une revue porno ou tenter de me libérer de ma cage de chasteté.

Je suis alors attaché, les bras en l’air reliés à ma cage de chasteté en passant par un anneau au plafond.

Les spectateurs ouvrent le bal : cravache, mains nues, paddle, martinet m’échauffent le corps de tous côtés. Mais les instruments les plus douloureux ne servent pas encore. Puis B. me fesse très longuement, en utilisant tous les instruments : paddle, cravache, martinet, bambou. Elle termine par le plus redoutable : elle m’applique lentement, tout à loisir, les orties sur presque tout le corps : les fesses, le périnée, le sexe, les jambes, le dos, le ventre, les aisselles même. Il n’y a pratiquement que ma tête et mes bras qui soient épargnés. Je dois lui faciliter la tâche, sous peine d’avoir une autre séance d’orties la semaine suivante!

B. place alors le tréteau surmonté d’une planche entre mes fesses et invite ses amies à s’amuser encore un peu, ce dont elles ne se privent pas.

Fin

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