Voilà maintenant près de deux semaines que j’ai baisé Jenny et depuis, c’est comme si rien ne s’était passé. Elle n’a pas changé de comportement envers moi, elle est toujours la même, aussi désagréable au quotidien que mignonne à admirer. Passé le moment euphorique où j’étais fier de moi pour avoir réussi à soutirer des faveurs sexuelles de manière aussi vile à ma patronne, je me suis mis à me poser beaucoup de questions : que va-t-elle faire ? Me virer ? Prévenir la police ? Faire de ma vie professionnelle un enfer jusqu’à que je me décide à démissionner ?
Sincèrement, elle peut faire n’importe laquelle de ces choses-là que je ne bougerais pas une oreille et que jamais je ne pourrais aller balancer tout ce que j’ai sur elle au tout-venant, et encore moins à ses parents. Jenny a beau ne pas être une nana facile à vivre et parfois exécrable, démolir une vie ou une carrière simplement pour une histoire de cul, non, je ne me vois pas faire ça, et même si ça a été un pied pas possible, je ne peux pas m’empêcher de m’en vouloir d’avoir agi de la sorte. Justement, à ce propos, une pensée me traverse l’esprit : depuis le temps que je bosse ici, tout le monde me connaît. J’ai toujours été quelqu’un de serviable, sympa, disponible et je ne suis pas considéré comme quelqu’un de méchant ou cruel, et ça, Jenny le sait, elle connaît parfaitement les gens avec qui elle bosse ; et si elle est un tant soit peu intelligente ce dont je ne doute en aucune façon elle sait pertinemment que je n’aurais rien fait pour lui nuire ; et malgré ça, elle a quand même marché dans mon chantage…
Mais voilà, le fait est que rien n’a changé, je n’ai pas eu à chercher un nouveau travail, ni à contacter un avocat, elle est la même, et ça a quelque chose de perturbant dans un sens, non pas que je m’attends à débriefer avec elle sur ce qu’il s’est passé ou bien encore à ce qu’elle m’invite tous les deux jours dans son bureau pour la sauter, mais au moins un petit quelque chose qui montre que ce qu’il s’est passé l’a touché. Mais non, Jenny est Jenny, fidèle à elle-même, impassible et droite dans ses bottes, ou plutôt ses talons.
Il faut que je passe à autre chose et que j’arrête de me prendre la tête, c’est sans doute mieux comme ça après tout. On a passé un bon moment et puis voilà, pas besoin d’en faire des caisses !
Nous sommes vendredi, la semaine a été très longue, beaucoup de dossiers à finir, des projets à préparer, bref, pas le temps de s’ennuyer ni de cogiter, ce qui tombe plutôt bien pour le coup. Dans le milieu de la matinée, une collègue qui sort du bureau de la patronne vient me voir et me dit :
— Jenny veut te voir dans son bureau.
Je relève la tête de mon écran, l’air un peu inquiet :
— Quoi ? Moi ? Pourquoi ?
— Je sais pas moi, me répond-elle en haussant les épaules avant de continuer son chemin.
Je tourne alors mon regard vers son bureau, où je peux l’entrevoir à travers les stores à lamelles de ses vitres. Elle est le regard plongé dans son écran et n’a pas l’air d’attendre mon arrivée avec impatience. Je me lève donc et me dirige vers son bureau.
Je toque.
— Entrez !!
J’entre, et une fois la porte refermée, elle me dit, sans lever les yeux de son écran:
— Tu as quelque chose de prévu ce soir ?
Mince, elle veut sûrement encore que je reste pour finir un dossier, elle nous a déjà fait le coup, et après la semaine qu’on a passée, franchement, je n’en ai pas envie !! Je n’ai rien de prévu mais décide de ne pas lui dire :
— Eh bien oui en fait, je dois passer la soirée avec des amis et je…
— Tu annules tout, tu viens chez moi ce soir, rendez-vous à 19h, et t’avise pas à être en retard.
Là, elle m’a scotché !!
— Je viens de t’envoyer un mail avec mon adresse, inutile de te dire qu’elle n’a pas intérêt à faire le tour de la boîte, c’est clair ?
— Euuuuh, oui oui, t’en fais pas ! Bredouillai-je, est-ce que je dois amener quelque chose ?
Elle lève la tête de son écran, me regarde et me lance avec un sourire :
— Oui, ta bite !
Puis elle replonge les yeux dans son travail.
Je reste interloqué, après tout ce temps sans rien me dire, elle me lance ça d’un coup, comme ça !!
Elle rajoute alors :
— Et quand tu auras fini de prendre racine devant ma porte, tu m’apporteras le dossier « Larnan»
Tiré de mes pensées par sa remarque, je réponds :
— Euh, oui, OK, tu le veux pour quand ?
— Pour avant-hier.
Sur cette réponse qui m’arrache un petit rictus amusé, je sors de son bureau.
— Qu’est-ce qu’elle voulait ? Me lance un collègue ;
— Euh, elle veut que je lui apporte un dossier client ;
— Tssss, elle peut pas aller se le chercher elle-même, je le crois pas !!
— Oui hein !! Dis-je, l’air faussement approbateur.
Je prends le dossier et le lui amène avant de retourner à mon bureau. J’ouvre ma boîte mail et y trouve, comme prévu, un mail de sa part contenant son adresse. Je me mets à repenser au moment que l’on avait passé ensemble quelques jours auparavant, et je ne peux m’empêcher d’être de nouveau excité par ce qui se préparait, même si je ne sais pas du tout à quoi m’attendre. Ma bite se met alors à gonfler dans mon pantalon, ce qui me tire bien vite de mes pensées. Il faut que je me calme, la journée est encore longue, je ne vais pas bander toute la journée comme ça, c’est pas super agréable, surtout quand on ne peut pas se soulager, et je ne me vois pas aller me branler aux toilettes, je veux me réserver pour ce soir !! Je secoue vite fait la tête et me replonge dans mon boulot pour me changer les idées.
Le soir venu, je m’habille de manière décontractée, pas de chichis, après tout, elle n’a pas précisé de tenue spécifique donc… Je grimpe dans ma voiture, rentre l’adresse de Jenny dans le GPS, et en avant ! Je me retrouve dans un quartier nouvellement créé où se trouvent quelques résidences plutôt cossues, et elle habite l’une d’elles. C’est bien, je nai trop tourné pour trouver. Je sonne à l’interphone à 19h pétante.
« C’est au dernier » me dit-elle tout en débloquant la porte d’entrée du bâtiment.
Je monte et frappe à la porte ; elle m’ouvre, habillée d’une magnifique robe rouge foncé très chic qui descend à mi-cuisse et qui moule parfaitement son corps. Elle me lance un petit sourire, tout en passant une mèche de ses longs cheveux derrière ses oreilles. Elle est d’apparence plus douce et moins stricte qu’au boulot, c’est bien plus agréable de la voir comme ça !!
— Tu as trouvé facilement ?
— Oui, sans problème, c’est bien indiqué.
Elle sourit de nouveau et se retourne.
— Viens, ferme la porte derrière toi.
Je m’exécute et la suis. Je ne peux faire autrement que de garder mon regard collé à son petit cul bien rebondi serré dans cette belle robe. Elle a les jambes nues et une paire de talons, bien sûr assortie à la robe. Après quelques pas dans un couloir, on arrive dans la pièce principale.
— Voilà, mets-toi à l’aise et serre toi un verre si tu veux, me dit-elle en m’indiquant un minibar ; je crois que vous vous connaissez, n’est-ce pas ?
Je tourne la tête vers le canapé, et qu’elle n’est pas ma surprise d’y voir assis Julien ! Me voyant, il se lève avec un grand sourire et vient vers moi, alors que Jenny reprend le chemin du couloir.
Il me serre la main, suivi d’une franche accolade :
— Alors Flo, comment ça va depuis la dernière fois ?
— Bah bien merci, et toi ?
— Super bien !! Tu veux boire un truc ?
— Oui merci, une bière ira très bien.
Il se dirige vers le minibar, attrape une bière, la décapsule et me la tend.
— Je suis un peu étonné de te voir ici après ton discours de l’autre jour, dis-je en attrapant la bouteille, je croyais que tu ne voulais plus entendre parler d’elle ;
Il lève les mains en l’air en s’exclamant :
— Oui, je sais, je suis coupable, je suis un homme faible, que veux-tu !!
Je souris.
— Elle t’a fait replonger alors ?
— Eh oui, et c’est un peu grâce à toi ! Apparemment, t’as assuré l’autre fois, elle a beaucoup aimé ta performance, me lance-t-il avec un petit clin d’il ;
— Et bien je suis content que ça lui ait plu, mais ça a quoi à voir avec toi ?
— Ben suite à ça, elle m’a appelé et bon, tu connais Jenny, elle m’a bien gueulé dessus en me disant que j’étais con et inconscient de t’avoir filé toutes ces documents, puis ensuite, elle s’est calmée et m’a avoué qu’au final, elle a beaucoup aimé, ça ne lui était jamais arrivé d’être un peu prise au dépourvu comme ça ;
— Oui, j’ai bien senti qu’au début elle était un peu perturbée, mais elle s’est bien vite adaptée, dis-je en souriant et en m’asseyant sur le canapé. Julien m’imite en continuant :
— Du coup, quand elle m’a dit qu’elle voulait te faire venir ce soir, ça m’a décidé à accepter de revenir ;
— T’es sûr qu’il n’y a que ma venue qui t’a décidé à replonger ? Lui demandai-je l’air quelque peu soupçonneux ;
— Ah ah, non bien sûr, me dit-il en me lançant à nouveau un clin d’il ;
— Bon, donc ce soir, quoi de prévu ?
— Tu verras, tu ne devrais pas être déçu, me dit-il avec un grand sourire.
Sur ces mots, le bruit des talons de Jenny se fait entendre et elle apparaît dans le salon, toujours vêtue de sa belle robe rouge.
— Alors, ça va les gars, vous êtes à l’aise ? Nous demande-t-elle en se dirigeant vers nous.
Nous acquiesçons tous deux, puis elle attrape la bière dans ma main et en boit une grande gorgée avant de la poser sur la table basse.
— Tant mieux !
Elle se met ensuite face à moi et s’agenouille entre mes jambes. Avec un petit sourire gourmand, elle déboutonne rapidement mon pantalon et va chercher ma queue dans mon boxer. Alors qu’elle commence à me sucer, je m’efforce de descendre mon pantalon et mon boxer jusqu’à mes pieds. A peine ai-je fini que ma bite a déjà bien durci sous ses coups de langue bien placés. Pendant qu’elle continue à me sucer, elle lançe sa main vers Julien, qui se rapproche un peu de moi pour lui permettre de poser la main sur son sexe à travers son pantalon. Elle le caresse comme ça quelques instants avant que Julien ne prenne l’initiative de sortir sa queue. La vache, elle est d’une belle taille, bien plus grosse et épaisse que la mienne, la petite main de Jenny en fait difficilement le tour ; et si je suis circoncis, ce n’est pas le cas de Julien, son gland bien gonflé et déjà humide bondit de son prépuce à chaque mouvement que fait Jenny. Elle se décale alors entre nous deux et, tout en continuant à me branler, elle se met à sucer Julien.
Sa grosse bite a bien du mal à se frayer un chemin dans sa petite bouche, elle arrive péniblement à y mettre à peine plus de la moitié avant de commencer à avoir un haut-le-cur. Elle le suce comme ça un moment, c’est très excitant de la voir déguster une autre queue avec délectation, elle y met beaucoup d’attention, chacun des gestes de ses lèvres, sa langue, sa bouche ou ses doigts ont un but précis et servent son plaisir ainsi que, bien sûr, celui qui a la chance d’être le propriétaire de la bite en question. Julien est complètement ailleurs, la tête en arrière et les yeux à demi-fermés, il déguste ce moment en lançant de petits gémissements à chaque coup de langue sur sa queue, tout en passant sa main délicatement dans les cheveux de Jenny. Puis elle revient à ma bite, la suçant avec plus d’entrain cette fois tout en caressant les couilles de Julien. Il se penche légèrement pour aller caresser les fesses de Jenny, à travers sa robe au départ, puis en passant sa main dessous.
— Regardez-moi ça, s’exclame Julien, Mademoiselle n’a pas estimé nécessaire de mettre de sous-vêtements !!
Alors qu’il commence à la doigter, Jenny se met à gémir, ma queue toujours dans sa bouche. Julien s’écarte de moi pour la faire grimper sur le canapé. Toujours à genoux en train de me sucer, Jenny se cambre bien et Julien vient relever sa robe avant de commencer à lui lécher la chatte. Elle se met à gémir de plaisir en me suçant plus rapidement. D’une de mes mains, j’écarte ses cheveux pour pouvoir la regarder s’occuper de ma queue, et de l’autre, je passe sous sa robe pour lui caresser les seins. Sentant cela, elle redresse son buste et enlève les bretelles de sa robe pour libérer ses seins et me faciliter la tâche. Je lui caresse et agrippe ses seins l’un après l’autre, en allant lui pincer les tétons ; cela, combiné aux caresses de Julien la fait de plus en plus gémir. Julien se redresse en mettant une belle gifle sur les fesses de Jenny puis prend en main son sexe bien tendu et commence à la pénétrer lentement. Elle se met à gémir un peu plus fort en sentant la queue épaisse de Julien écarter sa chatte, ma bite, toujours dans sa bouche, qui étouffe ses complaintes.
Au fur et à mesure de la pénétration, elle me suce toujours plus fougueusement, sortant de temps en temps ma bite de sa bouche pour laisser s’échapper quelques mots de contentement en tournant son visage vers Julien, avant de gober à nouveau ma queue. Elle a bien moins de difficulté à mettre mon sexe entièrement dans sa bouche, elle se plaît à le faire très souvent, et c’est un vrai délice que de sentir mon gland bien au fond de sa bouche. Ma queue est recouverte de salive si bien qu’elle glisse parfaitement au creux de sa main lorsqu’elle me branle. Julien agrippe alors la robe, enroulée autour de la taille de Jenny, et se met à la pénétrer violemment. Elle se met à gémir de plus belle, ayant de plus en plus de mal à me sucer à cause des coups de reins appuyés de Julien. Je prends alors ma bite et la mets entièrement dans sa bouche en lui maintenant la tête. Julien la pilonne toujours et elle crie presque en s’étouffant, ses mains agrippant fermement mon pull d’un côté et le canapé de l’autre.
Puis, Julien arrête cette pénétration appuyée et se retire brusquement de Jenny. Je relâche la pression de ma main sur sa tête et elle la relève, toussant et reprenant sa respiration comme elle peut. Son visage a bien rougi, elle se lèche les lèvres pour récupérer la salive qu’elle n’a pu retenir en me suçant, avant de venir m’enjamber pour s’asseoir sur ma bite. Elle rentre en elle avec une grande facilité, dilatée qu’elle est après avoir subi les assauts de la queue épaisse de Julien. Elle n’en pousse pas moins un gémissement de satisfaction en la sentant rentrer en elle. Julien s’assoit sur le dossier du canapé près de moi pour que Jenny puisse le sucer, ce qu’elle fait sans se faire prier. Je m’occupe de ses seins qui gigotent à hauteur de ma bouche, les léchant et emprisonnant ses tétons entre mes lèvres, les mordillant, les tirant légèrement. Elle gémit sans cesse, ses cris étouffés par la bite de Julien qui l’oblige à bien ouvrir la bouche. J’agrippe ses fesses pour la pénétrer plus rapidement ; ses gémissements se faisant plus sonores à mesure que mes coups de reins s’intensifient.
Je me lèche alors un doigt, l’imbibant bien de salive, avant d’aller chercher son petit trou pour le lui mettre. Elle retire la bite de Julien de sa bouche et s’exclame :
— Han oui putain, c’est bon, continue !!
Je m’exécute alors, calant les mouvements de mon doigt avec ceux de ma bite. Elle se remet à sucer la queue entre ses mains, je rajoute un doigt de plus, amplifiant un peu plus ses gémissements. Julien se lève et vient se placer derrière elle ; elle s’immobilise, ma bite toujours en elle et suit Julien des yeux avec un regard mêlant inquiétude et excitation. Julien écarte les fesses de Jenny et met de la salive sur son anus avant de prendre sa queue en main et de présenter son gland bien gonflé à l’entrée de son cul. Dans ma tête, je ne peux m’empêcher de me dire que non, ce n’est pas possible qu’une queue si grosse entre dans un si petit cul… Puis je repense à la photo d’elle que j’ai vu, avec un bon gros plug anal bien calé dans son cul. Elle a sans aucun doute l’habitude de ça, mais malgré tout, je peux voir ses mains serrer toujours plus fort le dossier du canapé à mesure que la queue de Julien disparaît toujours plus dans son cul. Il rentre sa bite lentement, jusqu’à finir par la lui mettre entièrement.
Elle pousse un long gémissement de satisfaction en sentant ses deux trous bien remplis. Julien se met à faire des va-et-vient, et je l’imite. C’est la première double pénétration que je fais, et c’est une super sensation !! Jenny gémit et crie quand nos bites sont entièrement en elle, elle est quasiment appuyée contre moi, ses seins calés sur mon visage. Je ne me gêne pas pour les lécher et les peloter sans cesse. Elle déguste cette double pénétration avec délectation, voir les traits de son visage se déformer de plaisir au fur et à mesure qu’on la pilonne est diablement excitant. Je sens d’ailleurs que je suis bientôt sur le point de jouir, et ne sachant pas ce qu’elle veut, je me retire d’elle, laissant loisir à Julien de continuer à l’enculer quelques instants. Il sort la queue de son cul peu après et l’attrape pour continuer à la branler. Jenny s’assoit sur le canapé alors que je me lève. Nous sommes tous les deux face à elle, nos bites tendues comme des arbalètes prêtes à lancer leurs munitions !! Elle se place sur le bord du canapé, son visage face à nos queues et sa bouche ouverte avec la langue sortie, attendant de réceptionner notre jouissance.
Ma masturbation est de plus en plus rapide et je sens ma sève monter toujours plus, mais c’est Julien qui, le premier, jouit dans un râle long et profond, une belle giclée de sperme s’écrasant en diagonale sur le visage de Jenny. Elle accueille cela avec un gémissement de satisfaction. Je l’imite quelques secondes plus tard, une giclée de sperme atterrissant sur son front et le dessus de ses cheveux alors qu’elle est occupée à déguster l’éjac’ de Julien. Elle tourne vite sa tête vers moi pour s’occuper de ma queue qui tressaille à chaque giclée. Elle prend la queue de Julien pour la branler pendant qu’elle s’occupe de sucer la mienne ; avant d’inverser les rôles. Elle déguste nos queues, l’une après l’autre, le visage dégoulinant de sécrétions. Puis, nos bites commençant à mollir, elle les lâche et s’appuie sur le dossier du canapé pour récupérer le sperme coulant sur son visage et l’amener jusqu’à sa bouche. Elle déguste le tout un bon petit moment, avant de lancer un petit cri de satisfaction :
— Wouhou, voilà une soirée qui commence comme je les aime !! s’exclama-t-elle avec un large sourire.
Elle se lève et reprend la bière toujours posée sur la table basse pour en boire une bonne lampée, avant de me la tendre :
— Tiens, finis-la ! Me dit-elle en me lançant un clin d’il. Je vais me rafraîchir un peu, nettoyez bien vos queues, la soirée n’est pas finie !!
Julien me lança un grand sourire suivi d’un clin d’il :
— T’es pas au bout de tes surprises mon pote, me dit-il en nettoyant sa queue.
J’acquiesce en hochant la tête et en nettoyant aussi ma bite qui est encore bien luisante. J’ai vraiment hâte de voir ce que Jenny nous réserve pour la suite de la soirée !!