Jai un ami, père de famille, qui se plaint régulièrement de sa compagne. Il me dit quelle est trop exigeante, trop caractériel, quelle lui demande toujours de faire ci, faire ça, le ménage, quil ne se bouge pas assez le derrière (pour être poli…)

Je lui dis toujours que les conseillés ne sont pas les payeurs, mais que si cela va aussi mal que ça et quil narrive pas à en parler, et bien soit ils vont voir un psy ou conseiller je ne sais plus quoi, ou alors ils se quittent.

Il finit alors par me répondre en changeant de sujet ou bien il me rappellemais pas tout de suite.

Tout cela se passe au téléphone car nous habitons à plus de 500 kms lun et lautre. Lamitié denfance est toujours présente, mais pas simple de nous rencontrer. Obliger de prendre « rendez-vous » pour concilier la vie de chacun et préserver notre amitié.

Ainsi il minvite à venir passer quelques jours chez eux en raison de son planning plus cool ces derniers temps.

Je me retrouve donc un vendredi midi à la gare de Grenoble. Mon ami Etienne est là à mattendre à larrivée. Plaisir de revoir après une période assez longue. Je monte dans sa voiture et nous roulons une vingtaine de minutes avant darriver à son domicile. Une petite maison sur un versant de montagne avec une vue imprenable sur la vallée.

Son fils a grandi et sa femme Catherine, même si ils ne sont pas mariés, sest embellit depuis notre première rencontre.

Cette dernière me montre ma chambre ainsi que la salle de bain si lenvie dune douche me tente.

Je dépose ainsi mes affaires. Elle me demande si cela me plait. Bien sûr avec la fenêtre donnant sur le fond montagneux. Jen profite ensuite pour aller sous la douche juste avant de prendre lapéro.

Nous rejoignons Etienne.

Discussion, apéro et la fatigue du trajet, je commence à avoir un peu chaud aux étiquettes comme on dit.

Catherine nous propose daller à table. Elle a préparé un repas pour 10 à voir ce qui chauffe et ce qui se trouve sur la table.

Nous mangeons gaiement et japprécie grandement sa cuisine. Je len félicite.

Elle me remercie pour cela et regarde Etienne avec un air entendu.

« Tu vois il apprécie et en plus il me le dit ».

Première petite phrase assassine de la soirée mais cela ne dérange aucunement Etienne.

Le repas se termine. Jaide Catherine à débarrasser.

« Non non laisse jai lhabitude ça. Mais merci »

Nous filons dans le salon pour un petit digestif qui finit de massommer un peu plus.

Il se fait tard et malgré nos retrouvailles, je leur dis que je vais me coucher jai la tête un peu lourde.

Le lit est confortable et je commence à fermer les yeux. Le sommeil me prend quand un bruit particulier me sort de celui-ci.

Je mets un peu de temps à comprendre que mon couple dami sont en train de faire lamour dans la chambre dà côté.

Leur lit a un peu vécu car jentends un bruit de ressort puis des gémissements me parviennent. Je me dis que ça ne doit pas allez si mal que ça entre eux pour que.ha les gémissements nont pas durés longtemps et le lit sest arrêté.

Quelques minutes après ce sont les ronflements que je suppose être dEtienne qui me parviennent aux oreilles.

Bon ! je ne fais aucun jugement.

Je mendors aussi.

Je me réveille le lendemain et me dirige vers la cuisine. Catherine saffaire à préparer son ptit déj.

« Tu veux manger quoi ? café ? chocolat ? »

« Chocolat si tu veux bien »

Catherine :« Alors bien dormi ? »

Moi : « Oui très bien. Voyage et alcool ont bien aidé à mendormir »

Je ne parle évidemment pas des bruits entendus.

Moi : « Etienne est déjà parti ? »

« Oui un coup de fil de Martin un collègue. Leur projet qui doit avancer aujourdhuienfin un truc comme ça. Du coup il a dû partir de bonne heure. Il devrait rentrer ce midi.

Tu as envie de visiter le coin ? »

Moi : « Avec plaisir ».

Après les emplettes, nous prenons son véhicule et direction la ville de Grenoble pour commencer puis tous pleins de coins sympa autour de la ville. Catherine semble contente de me faire découvrir sa ville et les endroits où elle aime aller. Mais Midi approche et nous devons rentrer pour le repas et le retour dEtienne.

Entre temps elle reçoit un texto. Etienne qui nous dit ne pas pouvoir rentrer ce midi, urgence au boulot. Catherine fixe le téléphone puis me regardes et me dit : « Bon bin nous serons tous les deux en tête à tête »

« Oui et si tu veux je peux tinviter à manger au resto !? »

« Non cest gentil je préfère te faire un bon repas » et elle me sourit.

Pendant quelle saffaire à la cuisine elle me renvoi dans le salon. Elle vient ensuite avec un verre de vin cuit.

« Tiens Monsieur est servi en attendant le repas de Monsieur »

Je suis un peu étonné mais japprécie lattention. Elle retourne dans la cuisine.

Nous passons à table. Elle me sert les petits plats qui me confirment ses qualités de cuisinières. Notre conversation commence par les banalités sur le travail de chacun, ce qui mamène à expliquer certaines situations vécues ( sans exagération ni vantardise) lors de lexercice de mes fonctions de Policiers.

Elle finit par me laisser parler et pendant la conversation se touche les cheveux, et est dune attention toute particulière. Ne voulant pas trop en dire ni prétendre quoi que ce soit, je change de sujet et lui demande ce quelle veut faire cet après-midi, si elle a un peu de temps.

Catherine : « Jai tout le temps que tu veux me consacrer. Je suis tout à toi cette après-midi, dis-moi et jobéis »

Moi : « Je ne veux pas timposer quoi que ce soit. Je »

Elle se lève dans le même temps et sapproche de moi. Elle vient près de mon oreille et

Catherine : « Je suis délaissé par ton amijai un homme à la maison qui ne joue pas son rôle dhommeil ne pense qua luime fais lamourplutôt me pénètre et éjacule en moi sans se préoccupé ni de moi ni de mon plaisirtandis que toi tu es un homme (tout en enlevant le haut découvrant une poitrine généreuse).

Je suis tout à toi, je ferai tout ce que tu me demanderas, dis-moi et je le ferai (tout en continuant à enlever le bas laissant à ma vue un sexe épilé, soigné).

Je ne sais quoi dire et balbutie sans conviction : « on..ne peut pas Etienne est mon »

Elle sapproche de moi, se met à genou et ouvrant ma braguette sort mon sexe déjà tout gonflé.

Je suis sans réaction dans un premier temps. Elle me prend le sexe en bouche et là le point de non-retour est atteint. Je la laisse me sucer, maspirer mon sexe en érection. Elle sy prend si bien que je larrête avant léjaculation imminente. Je lapproche de mon visage et lembrasse avec fougue. Nos langues sentremêlent. Je la tourne et la pousse sur la table malgré ce quil y a dessus.

Elle me donne une envie telle que je lui colle ma bouche sur son sexe tout humide. Sa chatte sent bon. Je lappe son jus. Lui met la langue dans son antre chaude et humide. Je bouge ma langue à lintérieur puis glisse sur son clitoris tout gonflé lui arrachant un gémissement révélateur dun manque cruel de sexualité comblée.

Ma langue sactive alternant des mouvements lents puis rapide puis lents.

Elle coule littéralement dans ma bouche. Son odeur menivre si bien que je décide de placer mon sexe tout dur à lentrée de son vagin que je pénètre dun coup de rein lui retirant un deuxième gémissement plus long et une contraction me révélant son orgasme.

Je commence mes mouvements de va et vient. Elle me crie « ouii prend moi fortouiii je suis à toi. »

Les mots crus senchainent. « Tu es une vrai chienne en chaleur on dirait..tu aimes ça »

« ouiiije suis ta chienne.baise moije ferai ce que tu veuxouiiii »

Jaccélère et je sens ma jouissance arriver. Je fais durer au maximum pour venir en même temps quelle. Elle continue à me lâcher des mots qui mexcitent de plus en plus. Je nen peux plus et lui inonde, dans de longues giclées de sperme, lintérieur de son sexe. Elle jouit à son tour.

Je me retire et elle en profite pour me prendre de nouveau mon sexe en bouche pour me nettoyer tout en me regardant avec un regard soutenu. Je la relève ensuite et elle me prend dans ses bras en me disant quelle en as assez de sa vie avec Etienne, quil la délaisse trop et que cest un homme comme moi, sur qui elle peut compter, qui laide et la soutien tous les jours.

Je reste un peu sans voix devant les révélations et le fait davoir baisé la femme de mon ami.

Je ne sais quoi dire.

Elle me dit alors : « je sais que je ne peux pas te demander dêtre ta compagne, mais jaimerais au moins être ta maitresse. Etienne je ne sais pas si il en a une, ou plutôt je dirai quil nen a pas car à part ses copains, et vu la manière dont il sy prend, je suis quasiment sûre quil na personne. Sois mon homme je ten prie »

Je nai pas le temps de répondre que nous entendons un bruit de moteur devant la maison.

Elle se lève rapidement et constat de la fenêtre larrivée dEtienne.

Je me sens gêné sur le moment mais Catherine finit de shabiller tout comme moi et juste a temps car la porte souvre.

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