Je m’appelle Jacques, je suis un homme de 40 ans marié à Lydie, 35 ans. Nous avons 2 enfants, des jumeaux, Alice et Julien qui ont 16 ans.
Jhabite depuis maintenant 15 ans en Afrique avec toute ma petite famille dans une grande maison avec Léon mon esclave « homme à tout faire » d’origine sénégalaise et Fatima ma femme de ménage et cuisinière d’origine algérienne.
Jai été envoyé dans ce pays par lentreprise qui memployait pour y négocier des contrats. Après quelques années l’entreprise a fait faillite en me laissant là-bas sans emploi et donc sans ressources.
Je me suis donc mis à rechercher un moyen de me faire de l’argent facilement et surtout rapidement. Le marché des pierres s’offrit à moi.
Je fus lancé dans ce business par un ami qui avait fait fortune et qui en contrepartie d’une partie de mes bénéfices acceptait de me montrer les ficelles du métier et de partager ses contacts.
Un soir alors que nous discutions (Eric mon ami et moi) il me dit :
"Demain j’ai un gars qui a des pierres à me proposer. Si ça te dit on organise le marché chez toi. Je te montre comment ça marche et le marché est pour toi"
Ce à quoi je lui réponds :
"Ok pas de souci"
-"super, parfait. Je lui téléphone et on fait ça demain pour 20h."
Puis il s’en va.
Le lendemain 20h comme prévu il arrive accompagné d’un homme noir en costume d’une trentaine d’années qui a l’air sérieux. Je les invite à entrer et nous nous installons dans le salon.
Les enfants sont en train de regarder la télé et ma femme se tient derrière moi.
je demande à Fatima de nous amener une bouteille de whisky et des verres, chose qu’elle fait sans tarder.
Les négociations commencent. Lhomme nous tend des pierres, Eric les regarde, en sélectionne quelques-unes et m’explique pourquoi il les garde.
Puis il s’adresse à notre interlocuteur en lui disant qu’il lui prend celles-là et que les autres ont trop de défauts.
Sen suivent les négociations pour le prix. Et après de multiples échanges de chiffres sur papier nous n’arrivons pas à nous mettre d’accord.
Eric me regarde et me glisse à l’oreille :
"Parti comme ça on ne trouvera pas d’accord il faut qu’on lui fasse baisser les prix sinon il va les proposer ailleurs et je t’assure que les pierres que j’ai mises de côté vont te rapporter gros à la revente."
-"ok je veux bien mais on fait quoi dans ces cas là ?"
Puis il me répond un truc qui me coupe un peu :
"Dans ce pays les femmes font parties des transactions. Si tu veux réussir cette vente tu dois lui proposer un avantage en nature"
-"quoi ?! Mais t’es malade ! Je vais pas lui filer ma femme !"
"Oh t’énerves pas je t’explique juste les ficelles du métier. Si tu veux pas lui filer ta femme t’as quà lui filer ta boniche, je suis sûr que ça lui irait"
Jhésite car j’ai l’impression de devenir un mac. Fatima est à mes services depuis 15 ans, comment lui demander ça ?
"Bon ok propose lui Fatima en plus du marché, mais cest tout il naura pas plus"
Eric lui propose et l’homme accepte de suite. Il faut maintenant faire passer la pilule à Fatima. Comment lui imposer de se prostituer sans la forcer?!
"Fatima, vous pouvez venir svp "
-"oui monsieur"
"Fatima, exceptionnellement j’ai une faveur à vous demander. Vous savez que j’ai des problèmes d’argent ?!"
-"oui monsieur je sais"
"Vous voyez l’homme à cette table peut faire en sorte que je gagne de l’argent, beaucoup dargent. Si je gagne cet argent je pourrais continuer à vous payer sinon je devrai vous licencier"
-"et je dois faire quoi monsieur ?"
"Cet homme souhaiterait que vous et lui vous…"
-"quoi ?! Mais monsieur je suis pas une femme comme ça"
"je sais Fatima mais juste une fois et promis je vous augmenterai pour vous remercier. Cest pour le bien de tout le monde"
Elle reste sans rien dire puis réfléchit et après 3 longues minutes me dit :
-"juste une fois ? Et vous maugmenterez ?! Daccord alors"
Fatima est une algérienne de 40 ans plutôt ronde mais rendue sexy dans sa blouse bleue car courte (au dessus du genou) avec un décolleté. De plus, en raison de sa forte poitrine due à tous les enfants qu’elle a eu et de la chaleur elle ne porte pas de soutien-gorge et ça se voit.
À peine ai-je dis ok à mon interlocuteur que celui-ci va directement vers Fatima et soulève sa blouse. Cette dernière me regarde et doit se demander à ce moment là pourquoi elle a dit oui.
Il commence à claquer son cul, à le caresser, le palper. Il pelote Fatima comme un animal, comme une bête quon achète au marché. Tout y passe, son cul, ses seins, et sa chatte.
Puis après son inspection il sort son sexe de son pantalon. Son sexe a beau être encore mou il est d’une taille monstrueuse. Heureusement que Fatima ne le voit pas car elle aurait surement peur et changerait très certainement davis.
Lhomme commence à se masturber puis il penche Fatima sur la table. Son sexe est maintenant en érection et doit bien faire dans les 25 ou 26 cm avec un énorme diamètre. Intérieurement je me dis quil va déchirer, mais je ne peux pas lui dire sinon elle va changer d’avis. Au contraire je me place en face delle de façon à ce quelle me regarde et nessaye pas de se tourner.
La scène est irréaliste, en plein milieu du salon nous sommes tous, ma femme, moi, mes enfants en train de regarder cet homme qui s’apprête à s’accoupler avec la bonne.
Il est prêt et se place derrière elle. Il baisse sa culotte et présente de suite son gland devant l’entrée de sa chatte puis il me regarde avec un grand sourire et pénètre doucement mais sans sarrêter Fatima.
Elle ouvre les yeux comme si un pieu venait de la traverser. Elle ne peut plus parler, elle a le souffle coupé, aucun mot ni son ne s’échappe de sa bouche.
Puis il commence à la limer, elle souffle et encaisse. Nous entendons le bruit de ses couilles qui claquent contre son cul ainsi que son pieu qui coulisse à lintérieur. Puis après quelques courtes minutes et surement très excité par ce quil vient de faire il se maintient au fond d’elle et en la tenant par les épaules se vide en elle, l’empêchant si elle avait voulu, de se retirer.
Puis il se retire faisant dégouliner du sperme sur le sol.
Il s’essuie avec sa main et essuie sa main sur la blouse de Fatima qui est encore affalée sur la table, sous le choc de ce qu’elle vient de prendre.
J’ordonne à Fatima de se rhabiller et de quitter la pièce, ce qu’elle fait sans rien dire mais de façon très honteuse puis l’homme se dirige vers moi et me dit :
"Votre maison est très accueillante, je vais vous faire connaitre de mes amis. Demain je reviendrai et nous referons affaire."
Il me serre la main et s’en va.
Que va t-il se passer demain…
