Je me réveillais le lendemain, il était 8h30. Je compris vite que ce qui s’était passé la veille n’était qu’un rêve, quand je vis que mon cousin était habillé d’un short et d’un t-shirt à manches longues, alors qu’il dormait toujours. Mon imagination avait donc tout créé : les taquineries, la fessée sous la douche, et… Bref. Il se réveilla peu après moi, et partit à la salle de bain. Quand il fut sorti, je lui demandais :
— Il était sur quoi le film hier soir déjà ? Je m’en souviens plus !
— Tu m’étonnes que tu t’en souviennes plus, tu t’es endormie au bout de 10 minutes ! T’es vraiment une grosse dormeuse toi !
Je compris alors à quel moment la soirée s’était terminée, pour ne pas que je fasse de bourdes en disant des choses qui ne s’était pas réellement passé
A mon tour, je me levai et filais à la salle de bain, tandis que Bastien descendait les escaliers pour aller au petit déjeuner. En entrant dans la douche, je me rendais compte que j’avais oublié de prendre mes chaussures dans la chambre. J’y retournais donc et me mit contre le parquet pour les attraper sous le lit. En les tirant, je découvrais alors des mouchoirs en boules sous le côté du lit, là ou dormait mon cousin. Je compris donc que mon beau et grand cousin s’était masturbé dans le lit pendant que je dormais !! Mon imagination s’était bien inspirée de quelque chose !
Je pris ma douche et descendis prendre le petit déjeuner. Bastien était devant la télé et buvait un jus d’orange. J’aperçus une feuille collée sur le frigo « on est parti se balader et faire des courses, on est là vers 12h ». Enthousiasmé par le fait que les parents ne soient pas là et que je me retrouve seule avec Bastien, je vins m’asseoir à côté de lui.
— Tu veux qu’on fasse quoi ce matin ? Me demanda-t-il
— Je sais pas, t’as une idée ?
— Y a la piscine si tu veux, je pourrais te couler comme ça !
— Oui c’est cool ça !! Me couler ? Je crois pas non !!
On se leva, rangea le déjeuner et monta à notre chambre pour nous préparer à aller à la piscine. En sortant son maillot de son sac, une boîte de préservatifs tomba sur le lit.
— Ouhh t’as prévu de choper un max de filles toi non ? Lui disais-je en rigolant
— Et oui j’ai mon petit succès moi ! Me lâcha-t-il
— Excuse-moi, Monsieur baise toutes les filles qu’il trouve
— Ca va, tu vas pas me dire que t’es toujours vierge à 18ans toi ?
Je ne lui répondis pas et haussait plusieurs fois les sourcils pour laisser sa question sans réponse.
Il prit la boîte de préservatif et la rangea dans le tiroir de sa table de nuit.
— Quand je ramènerais la fille je saurais où elles sont comme ça ! Me dit-il
— Euh et tu m’expliqueras où est-ce que je dors moi hein ? Il est hors de question que je dorme autre part que dans mon lit ! Lui repondis-je en rigolant
— Aha tu le prends comme ça ? Ben tu t’amuseras à compter le nombre de positions qu’on fait alors !
Je pris un coussin et lui jetais à la figure. On alla chacun à notre tour se changer et on partit à la piscine municipale. En arrivant, il me montra une fille qui avait l’air d’avoir le même âge que nous, et me chuchota à l’oreille « dans deux heures on rentre et je la baise ». Je le regardais et lui tapais sur l’épaule en lui disant qu’il était con, entre deux rires.
Mine de rien, il alla la voir, ils parlèrent, et une heure après, il vint me voir en me disant « bon ben elle viendra à la maison dans 1h ». J’étais abasourdi. Je savais bien que mon cousin était très attirant, dans tous les sens du terme, mais d’arriver à emballer une fille aussi vite me parût impensable.
On rentra à la maison, et, quelque temps, j’allais à la porte ouvrir à la personne qui avait toqué.
— Salut ! Je m’appelle Noémie, j’ai rencontré ton cousin à la piscine toute à l’heure et il m’a dit de venir ici pour faire connaissance…
— Salut, rentres il arrive…
Elle faisait la même taille que moi, très bronzée, pas de poitrine mais un joli fessier, je le vis parce qu’elle était en maillot de pièces, son bas de maillot étant plus proche du string que du maillot en lui-même. On entendit la voix de Bastien « Montes Noémie !! ». Elle me fit signe et monta les escaliers. Je me doutais de ce qui allait se passer par la suite. Je regardais l’horloge, il était 10h30. Je venais de recevoir un SMS de ma mère qui me disait qu’ils arriveraient vers 13h finalement. Mon cousin avait largement le temps de faire son affaire. Je me mis à regarder la télévision.
10h45 : je commençais à attendre des petits cris, je me disais que cette Noémie devait se régaler, si Bastien avait la même bite que celle que j’avais imaginée dans mon rêve Cette idée ne voulait pas partir de mes pensées, j’en avais marre d’entendre crier, je commençais à être excité, je voulais voir mon cousin en action.
Mais comment faire ? Je pris la décision de monter à l’étage et de prétexter l’idée que j’avais oublié mon chargeur de téléphone pour rentrer dans la chambre. Après tout, je n’étais pas censé savoir que Bastien allait tout de suite baiser cette Noémie.
Je montais les escaliers, un à un, et entendis les gémissements aigus de la fille. J’étais devant la porte de la chambre, j’entendais le claquement du bassin de Bastien contre les fesses de Noémie. J’ouvrais la porte en entrais dans la chambre.
Je découvrais Bastien en train de prendre la fille en missionnaire. Les fesses de mon cousin étaient bombées et musclées, et les jambes de Noémie les entouraient. Etant plutôt discrète dans mon entrée, Noémie ne remarqua pas ma présence, les yeux fermés, comme droguée par les puissants va-et-vient du sexe de Bastien. Les petits seins de la fille remuaient au rythme de la cadence, les tétons qui pointaient à leur maximum. Mon cousin remarqua que j’étais là. Je lus l’immense surprise et l’étonnement sur son visage, mais il ne pouvait rien dire, de peur que Noémie ouvre les yeux.
Je montrais mon sac pour lui faire comprendre que je venais chercher quelque chose. Il comprit, me sourit et continua à ses va et viens. Je pris le chargeur, et en repartant, je vis le sexe bandé de mon cousin, au sortir de la chatte de Noémie. Il était gros, vraiment gros. Comme je l’imaginais. Autant que j’aperçus la chatte de la fille, épilée au ticket de métro, qui avait l’air dilatée.
Je partis et fermais la porte derrière moi.
Une heure plus tard, la fille partit. Je n’eus pas le temps de dire un mot à Bastien que les parents arrivèrent.
On mangea, puis on partit visiter un musée l’après-midi avec les parents. Bastien et moi se lançait des regards furtifs durant l’après-midi. Je ne languissais qu’une seule chose, que le soir arrive pour débriefer et pouvoir enfin faire monter la température entre nous deux.
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