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La gérante de la galerie d'art – Chapitre 18




Suite et fin

Au terme d’une cuisante et énergique claque donnée sur toute la largeur des hémisphères et des cuisses, je m’arrêtai quelques secondes et lui demandai :

« – Êtes-vous prête pour le bouquet final ?

— Oui… » émit sa voix faible

— On ne dirait pas… A vous entendre vous avez déjà eu votre dose… Vous avez la voix et la conviction d’une femmelette… Vous me décevez, je pensais que vous étiez plus courageuse, une soumise plus endurante, plus aguerrie…

— Si… si… j’en suis capable… » protesta-t-elle, avec un faible regain d’énergie

« – Je n’en suis pas très convaincu. Si c’est le cas, demandez avec un peu plus de cran et de force

— Si, si… je la souhaite…

-Tsss… pas comme ça, je ne suis toujours pas convaincu : dîtes à voix haute et forte, intelligible, et convaincante : « je veux recevoir le bouquet final, j’en ai envie »

— JE VEUX LE BOUQUET FINAL, J’EN AI ENVIE… MAÎTRE !

— Voilà qui est mieux. Vous allez recevoir ce que vous méritez… puisque vous l’avez choisi ! »

Et sans la laisser souffler une seconde, mes mains s’abattirent de toutes leurs forces et à tour de bras sur les grosses masses fessières, déferlant comme autant de vagues déchaînées un jour d’ouragan ! Et elle ne put retenir plus de deux ou trois secondes ses cris qui montèrent dans le salon, de plus en plus aigus.

Puis ce furent des plaintes, des supplications, des gémissements déchirants, enfin des petits sanglots étouffés. Elle demanda grâce, les larmes coulèrent, et satisfait, je mis fin à la fustigation.

« – Restez comme ça, et mettez les mains sur la tête ! »

Elle obéit, soumise, conquise.

Mes mains passèrent sur l’intérieur des cuisses, moelleux, doux… et très chaud car je n’avais pas épargné cette zone.

Mais mes doigts montèrent et trouvèrent les lèvres légèrement pendantes du sexe bâillant… et elles étaient toutes gluantes de mouille ! Le jeu avait vraiment plu à la cette grande bourgeoise grasse, à l’air avachi et fatigué… mais avec quel appétit sexuel !

Je caressai l’intérieur de la vulve bien glissante, provoquant des gémissements légers cette fois de plaisir je recueillis le maximum de cette sève abondante et visqueuse, et j’insinuai mes doigts dans le sillon fessier, où rencontrant la cupule de l’anus, je déposai tout et commençai à le masser, le lubrifiant avec des mouvements circulaires et sans-gêne.

Mes doigts glissèrent progressivement dans l’orifice, n’y rencontrant aucune résistance, et se mirent à lubrifier l’intérieur du canal, de plus en plus profondément.

« – Chose promise, chose due » murmurai-je.

Elle ne répondit pas. Du moins, pas par des paroles, mais par des soupirs qui ne laissaient aucune équivoque.

Néanmoins, je dis ironiquement :

« – A moins que ça ne vous plaise pas, Madame la sous-préfète… ?

— SI » répondit-elle immédiatement d’une voix rauque.

« – Alors, soit ! Je vais enculer votre gros cul de sous-préfète !

— Hummm… »

Là-dessus, joignant le geste à la parole, j’avais pris mon manche dur et dressé et pointai le gland gonflé à se rompre sur la cupule déjà bien ouverte et je la pénétrai lentement mais d’un seul tenant, tandis que Madame râlait en émettant une longue plainte.

« – On peut dire, Madame, que votre cul est bien souple… mais doux et soyeux comme un petit nid moelleux… »

Et sans attendre sa réponse je mis à lui asséner de longs coups de pine, lui envoyant mon membre à chaque coup de reins bien au fond de ses entrailles. Ses fesses molles s’écrasaient sous mon pubis, favorisant ainsi et d’autant plus une pénétration profonde.

Je crois bien que je n’avais jamais enculé une femme aussi profondément.

Autant le petit trou de Jenna était serré et rendait la pénétration de son cul et sa sodomie laborieuse et pénible, autant le cul de cette femme se laissait besogner comme une motte de beurre.

« – On reconnaît là, Madame, le fondement d’une femme qui aime se faire défoncer l’arrière-train et ne s’en prive pas…

— OUIIIII… j’avoue… J’AIME ÇA… Les hommes me disent toujours que je suis une ENCULÉE !

— Il faut dire que vous avez un cul… qui est fait pour ça… » dis-je en ahanant, ruant, suant sang et eau, lui labourant énergiquement le conduit anal, à grands coups de boutoir.

Son échine ployait, au rythme soutenu que je lui imposais, et comme une balançoire.

Soudain elle poussa un cri terrible, un cri d’orgasme sauvage, et tout son cul, tout son ventre, trembla, secoué par des ondes de plaisir… elle jouissait par le cul… ! Ah elle aimait ça, la chienne.

Je fus soudain surpris… j’entendis du bruit derrière moi : c’était Jenna qui m’avait cherché pour la ramener chez elle et qui venait de me trouver.

Elle se tenait debout, avec un air assez stupéfait. Stupéfait de me voir défoncer cette vieille rombière avec autant d’ardeur ? De me voir encore aussi en forme alors qu’avais déjà joui deux fois au cours de cette soirée ?

Non ça n’était pas tant de la surprise que de la jalousie.

Et c’est moi qui fus soudain stupéfait de l’entendre lâcher avec de la colère dans la voix :

« – Éjacule-lui dans la gueule à cette vielle salope ! Son cul ne mérite pas ton foutre… »

J’aurais pu lui répondre que je faisais ce que je voulais, qu’elle n’avait pas à me donner ni consignes ni ordres, ni conseils, mais rentrer dans le jeu de sa jalousie m’amusa.

Alors sortant du cul de la vieille grosse catin et la saisissant par les cheveux je la fis descendre du fauteuil et se positionner à genoux sur la moquette. Je me plaçai juste devant sa tête fatiguée et je me mis à me polir la colonne à un rythme soutenu. Ça n’était pas gagné car, après avoir joui deux fois à peu de temps d’intervalle, je savais que la sève allait mettre du temps à monter dans la tige.

Mais je vis alors Jenna, avec un air quelque peu enragé, se baisser sur la croupe de la forte femme et se mettre à la fesser vigoureusement et à la volée !

Évidement cette dernière réagit car elle avait encore les fesses en feu après la furieuse fessée que je lui avais administrée quelques minutes auparavant : elle protesta, râla, essayer de s’échapper mais mettant ma main sur l’arrière de son cou je la maintins fermement contre moi, mes doigts serrant cruellement sa nuque.

Jenna semblait habitée par une colère vengeresse, mais je ne savais pas si c’était se venger de ce qu’on lui avait fait subir ou si c’était par jalousie envers la vieille rombière que je venais d’enculer avec autant de volupté. Toujours est-il qu’elle n’en resta pas là, et se saisissant de ma ceinture qu’elle avait enlevée de mon pantalon, elle la plia en trois bien consciencieusement elle se mit à lui flageller ses grosses fesses avec la régularité d’un métronome.

La ceinture sifflait, claquait et la sous-préfète essayait de se dégager avec de violentes ruades.

Moi, pour la faire taire, je lui rentrai ma queue bien au fond de sa gueule et me mis à la lui baiser en maintenant sa tête avec force.

Elle se mit à sucer mon chibre qui sortait tout juste de son cul, et je le lui enfonçais jusqu’au fond, la forçant à me faire une gorge profonde en émettant des gargouillis écurants.

D’un geste je stoppai Jenna qui ne semblait pas vouloir s’arrêter et donnait l’impression qu’elle allait lui décoller la peau du cul de son bras rageur, et je dus insister et lever à la voix, lui ordonnant de se mettre à genoux à côté de sa pauvre victime, et de me lécher les couilles.

D’une main je repris mon polissage de vit, de l’autre je me mis à malmener les gros seins, tantôt de la rombière, tantôt de Jenna, meurtrissant les pointes érigées, pétrissant avec force les mamelles offertes.

Finalement un long, laborieux et pénible orgasme monta et je déversai toute ma semence sur le visage barbouillé de salive et de maquillage de la quinqua défraîchie, et lui étalai avec la main comme pour lui faire un masque.

Jenna prit mon chibre en bouche et finit de le nettoyer, et d’avaler tout ce qui en perlait encore, histoire de ne pas en perdre une goutte.

Les deux femmes se relevèrent avec peine, et je pris congé de Madame la sous-préfète qui s’éloigna le visage maculé de crème, son gros et large fessier couleur pivoine et zébré de bandes sombres, et me salua très bas comme une femme du monde et avec un sourire de reconnaissance.

Nous quittâmes nos hôtes, et je reconduisis Jenna chez elle. Elle me fit à nouveau remarquer qu’il n’y avait pas eu de photos ce soir-là.

J’acquiesçai mais, ayant arrêté ma voiture au bas de chez elle, je me mis à lui rédiger un chèque.

Elle fut gênée et voulut refuser, me disant qu’elle avait pris beaucoup de plaisir cette nuit et que ça ne serait pas juste.

« – Je suis désolé, Jenna » lui rétorquai-je l’air grave, « mais d’une part vous avez besoin de cet argent… d’autre part » continuai-je après un silence, « j’y tiens… parce que ça vous permet de rester une pute : ma pute, ma soumise bourgeoise et salope, celle que je paie pour me donner son corps, pour que j’en fasse tout ce que je veux, y compris l’offrir à mes amis, jusqu’à l’avilir. »

Elle hésita, me regarda dans les yeux un long moment, puis baissa les yeux, prit le chèque et sortit prestement de la voiture. Avant qu’elle se soit complètement extraite du véhicule je lui avais asséné une violente claque sur sa croupe.

J’eus une envie folle de la rattraper, de la saisir par les cheveux, de la tirer jusqu’à la Jaguar, de la jeter à plat ventre sur le capot, la retrousser et la prendre violemment et à sec par le cul, ici, au petit matin, au bas de son immeuble des beaux quartiers !

Mais je la laissai s’éloigner et rentrer chez elle. Je me dis que ça ferait l’objet de la suite de son dressage.

FIN

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