Histoire de sexe fétiche Histoires de tromper

Mention: Très Bonne – Chapitre 1




En regardant ma montre, je vis qu’il ne me restait qu’une heure.

Cela faisait 3 heures que j’étais assis à ma table au milieu des autres. 3 longues heures pendant lesquelles j’avais griffonné ma copie de réflexion hasardeuse, d’analyse maladroite… rien a faire, l’inspiration n’y étais pas.

Malgré le fais que c’était la deuxième fois que je passais mon BAC, l’épreuve de philosophie restait un calvaire: impossible de dépasser la moyenne avec ce que j’avais marqué. Pourquoi continuer à se torturer alors ?

Je levai la tête afin de regarder mes "camarades" et pour me vider quelque seconde l’esprit. Le spectacle me déprima encore plus: tous recourber sur le copie, à écrire des lignes et des lignes. J’étais d’un an leur aîné et pourtant je les voyais tous réussir (du moins d’après ce que je voyais) là où jéchouerai forcément. Je les voyais écrire et écrire…

Sauf une…

Laura, une fille de ma classe, avais comme moi la tête en l’air, a regarder les autres travailler.

C’était une fille particulièrement jolie: cheveux long et châtains, yeux noir profond, légèrement mat de peau, des seins qui semblais bien ferme et appétissant (jaurai dis 95B) et des fesses charnue à se damner. Elle faisait partie de la tête de classe et, malgré un physique des plus attirant, semblais particulièrement coincer sur tout ce que touchais au sexe.

En regardant mieux ce qu’elle faisait, je vis qu’elle avait plus l’air de regarder si on ne la surveillait pas, et je compris vite pourquoi…

N’ayant pas vu que je l’observais, et s’étant assurer, selon elle, que personne ne la surveillais, elle passa la main dans son jean au niveau de ses fesses, et en sortie, a ma grande surprise, une feuille de papier où elle semblait avoir écris quelque phrase. Une antisèche ? Surement, vu qu’elle se mis a écrire sur sa feuille d’un air satisfais après avoir lu le bout de papier, qu’elle remis dans une de ses poches. Laura ? Tricher ? Alors qu’elle est le parfais modèle de l’élève sérieuse ? Et surtout cacher les antisèches dans son jean ? Cela métonnait beaucoup… mais une idée me vint alors. Pour être honnête, je ne l’aimais pas beaucoup: toujours a me prendre de haut et surtout a me traiter de pervers a toute les sauces et en toute circonstance.

L’idée qui me vint était certes méchante, mais j’allais lui donner raison pour une fois pour une fois…

La fin des 4 heures sonna. J’aurai pu partir avant mais l’envie de réaliser mon idée étais plus fortes que l’ennuie de rester assis une heure de plus et Laura n’étais partie qu’au bout des 4 heures. Je linterpellai dans les escaliers et, après avoir échangé de banale formule de politesse, je lui demandai de venir à l écart avec moi.

— Pour quoi faire ?, me demanda-t-elle.

— Tu verras bien, mais tu ne seras pas déçu, crois moi.

Non sans méfiance, elle accepta de me rejoindre dans le hall, près des toilettes, dans un coin où personne de passais.

— Alors ? Qu’est ce que tu as de si important a me dire ?

— Pendant l’épreuve, je t’ai observé quand tu bossais sur ton sujet, lui dis-je avec un sourire en coin, et dailleurs je peux même dire que ce que tu as fais n’est pas très honnête.

— De quoi tu parle ?, me dit-elle faisant mine de rien.

Sans aucun avertissement, je passai derrière elle et glissa ma main dans la poche de son jean ou elle avait remis les papiers après les avoir lu. Dabord choqué, elle devint rouge de colère et de honte lorsqu’elle vit que je brandissais en face d’elle ses antisèches. Elle essaya tant bien que mal de me les arracher des mains, mais elle ne réussi qu’à brasser l’air qui se trouvais entre nous deux.

— Rend moi ça !!, cria-t-elle.

— Hors de question, dis-je en riant, tu as triché, il faut que tu assume maintenant. Une élève modèle comme toi obliger d’attendre des années avant de pouvoir repasser son BAC, ça la fou mal non ?

— Rend les moi je t’en pris, dit-elle plaintivement et complètement désemparer, je ferai ce que tu veux, mais rend moi ça !!

— Ce que je veux ? Vraiment… ?

Elle se rendit compte de son erreur, et devint encore plus rouge qu’avant, essayant d’articuler un vague "non", je repris de plus belle.

— Tant mieux, parce que je pense que tu as les moyens d’acheter mon silence, dis-je en ricanant, viens par là.

Avant qu’elle puisse dire quelque chose, je la saisie par le bras, lemmena au toilette et ferma la porte derrière nous. Nous étions face a face dans l’espace séparant les lavabo des cabines de toilette. Je sentis un sentiment de puissance et dexcitation me gagner au fur et a mesure que je la regardais, paniquer a l’idée de ce qui allait lui arriver.

Elle portait sur elle une chemise a manche courte blanche qui mettais ses formes en valeur et quelle avait évidement boutonner jusquen haut. Le jean quelle avait moulait à la perfection ses fesses, qui semblaient ne demander quà être caresser. Je ne pensais plus : javais une fille magnifique devant moi, à ma merci Cest alors que je me surpris a lui dire, sans prévenir :

-Déboutonne ta chemise, que je puisse me rincer lil !

Sa réaction fut immédiate : choquée et en colère. Elle me traita de tous les noms : pervers, connard, tordu, détraqué Mais dun mouvement de mains, en agitant les bouts de papiers, je lui rappelai qui avais le contrôle de la situation. Rouge de colère, elle commença pourtant a déboutonner sa chemise devant moi, bouton par bouton. Les mouvement lent quelle faisais qui pouvais être traduit comme de la réticence avais pourtant quelque chose dexcitant : chaque bouton enlever libérais peu a peu sa poitrine du mince tissu qui la séparais de la liberté, et surtout de mes yeux.

Elle enleva finalement le dernier bouton et écarta légèrement son haut sans le retirer. Ses seins étais entourer dun soutient-gorges en dentelle noire, presque transparent, qui ne cachais ni la forme délicieuse quavais ses seins, ni son excitation : elle ne pouvait pas dissimuler ses tétons qui pointais de plus en plus sous sont soutif. Jarrivai à sa hauteur et, tout en profitant de la situation pour caresser ses seins, je lui dis de se mettre a genou.

Elle fit un pas en arrière, sans dire un mot. Après quelque seconde dhésitation, elle me dit « Jai le choix ? » sur un ton de résignation. Elle se rapprocha et descendis le long de mes jambes pour se mettre a genou devant moi. Elle déboutonna mon jean et descendis mon caleçons avec hésitation. Elle poussa un petit cri de surprise lorsque mon sexe jaillis en face de son visage. Son regard resta fixer dessus, elle tendit la main pour sen saisir et commença à me masturber doucement, sans la quitter des yeux. Cétait divin sa mains faisais des aller retour sans arrêt sur mon sexe, elle était si douce. Je sentais le souffle chaud sortir de sa bouche, elle avait le souffle cours, elle aussi était excité

  Ma main vint alors se poser sur sa tête, elle leva les yeux et devina ce que je désirais. Sans résister, elle avança sa tête, sortit sa langue, et commença à me lécher le bout du gland. Elle dégusta littéralement mon sexe, passant sa langue sur toute la longueur, jouant avec le bout, suçant mes testicule avec envie elle y prenait gout, ça ne la choquais plus du tout, cest même elle qui commençais à prendre des initiatives. Elle plaqua ses mains sur mes fesses et engouffra toute la longueur dans sa bouche, jusquau fond de sa gorge.

Jétais au paradis. Je fermai les yeux et savourais linstant : la chaleur et lhumidité de sa bouche étais parfaite, mon sexe glissais a lintérieur a rythme des petits gémissements quelle poussait. Sa langue continuait de jouer sur toute la longueur. Au bout dun moment je ne sentais plus quune main sur mes fesses. Je rouvris les yeux. Elle avait déboutonné le haut de son jean et commençais a se masturber de plus en plus vite alors quelle continuait a me gâter avec sa langue.

Cette vision mexcita encore plus. Une des filles les plus désirable que je connaissais me taillais une pipe en étant à moitié nu devant moi, et avais pourtant lair dapprécier. Je nen pouvais plus. Mes deux mains appuyaient sur sa tête et je sentais la jouissance arriver. Je tentai de me retirer mais dun grand coup de tête, elle engouffra toute la longueur quelle cala au fond de sa gorge. Cen était trop : dans un grand râle de plaisir, des filets de jouissance jaillirent au fond de sa gorge. Javais limpression de me vider. Elle tomba alors vers larrière, se retint avec ses mains sur le sol et me regarda. Elle fis un léger mouvement de tête et jentendis alors un petite bruit de déglutition, suivis dun soupir de satisfaction quelle lâcha après avoir finis. Nous nous regardions tous les deux, moi debout et elle a genou par terre. Elle me regardait dans les yeux, le souffle cours. Nous savions tout les deux que ça ne sarrêterait pas là, nous étions tous les deux plus quexciter. Jentrepris alors de venir me placer sur elle pour finir ce que nous avions commencé. Elle eu surement la même idée que moi, puisquelle sallongea sur le sol et commença à descendre son jean

Cest alors que du bruit se fis entendre en dehors des toilettes.

Dans la panique, je me rhabillai en vitesse et invita Laura à faire de même. Elle se releva, après avoir remis son jean, et reboutonna sa chemise. Le bruit, cétait les profs qui descendais les étage pour sortir de létablissement après avoir surement rigolé de voir tant délève galérer devant leur copie. Après être sortie discrètement du bâtiment, nous sommes resté la a attendre rien.

Laura plongea alors sur moi et arracha les bouts de papiers de ma poche. Elle partie alors, presque en courant après mavoir lancé un regard noir. Je resta donc seul devant le bâtiment, devant larrêt de bus a me poser des question. Pourquoi mavoir lancé ce regard alors quelle avait lair davoir envie de plus ? Je ne voulais pas y penser. Je venais de prendre du bon temps avec une jolie fille, cela me suffisais.

A moi, ça me suffisais mais pas à elle. Mais ça je ne le sus que plus tard, le lendemain.

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