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Qui suis-je vraiment? – Chapitre 4




Jeu de mains:

Autant je comprenais pour les 4 premiers points mais pour le dernier je redoutais ce quil allait me demander. Jétais néanmoins impatiente de lapprendre.

Je partais tôt le matin afin de faire les courses vestimentaires en fin daprès-midi. Je pris donc la caméra et au moment de mhabiller comme prescrit par mon amant jallumais la camera. Je réalisais un strip-tease inversé mettant mes bas avec la délicatesse dune femme voulant séduire cet homme invisible. Le chemisier mis, je pris même la liberté de laisser quelques boutons ouverts afin mettre en avant la naissance de mes seins. Il suffisait que je me penche pour quon voie bien au-delà de la naissance.

Le moment crucial fût lintromission dès la première boule dans mon vagin. Le contact du plastique froid me fît tressaillir mais je poursuivis et poussai les trois boules restantes. Je remontai mon string pour empêcher toute fuite de mon nouvel hôte.

Cest alors que je commençai à marcher. Après 20 mètres je mappuyai contre le mur de lentrée. Chaque pas faisait mouvoir et sentrechoquer ces grosses billes dans mon utérus, rendant mes pas difficiles et ma démarche gauche. Certes la torture était divine mais comment allais-je faire pour travailler avec ça. Mon sexe coulait abondamment et je me demandais sil ne fallait pas que je prenne une culotte de rechange. Cest ce que je fis.

Après deux heures de présence en moi, mon corps, bien quen émoi shabituait. Toutefois je pris la décision de changer de string dans les toilettes de ma Société. Je pris la caméra avec moi et montrai en détail sous les yeux de cet observateur imperturbable mon dessous trempé. Quant à mes seins, point besoin de les sortir du fin tissu de mon chemisier, ils dardaient fièrement au milieu de ma poitrine. De retour au bureau je reçu un email de mon inconnu me demandant de relever ma jupe avant de masseoir, afin que mes fesses se trouvent en contact avec le tissu rêche de mon fauteuil.

Javais réussi à dompter les boules mais les fesses sur le siège ce nétait plus possible. Telle une automate je passais ma main sur le haut de ma cuisse sentant le haut de mon porte-jarretelles puis je la plongeais dans mon entrejambe caressant ma chatte à travers les fins tissus de mon string et de ma jupe.

Cinq minutes plus tard, je repartis aux toilettes dun pas rapide pour finir de me caresser. Pour parvenir à lorgasme, je me mis à jouer à faire rentrer et sortir une des boules. Le résultat ne se fît pas attendre, et cest en me mordant le point que je pris mon pied.

Une fois calmée et ayant remis de lordre dans mes affaires je poursuivi la journée comme si de rien était. Javais néanmoins limpression que la gente masculine me regardait avec plus dinsistance que deux semaines auparavant, ce qui me fît rougir sur linstant mais me rassura sur mes capacités à plaire. Quant à mes seins, bien que dune taille normale, ils attiraient lil en raison de la liberté de mouvement que javais dû leur octroyer aujourdhui.

Afin de réussir le défi, je devais maintenant réaliser ma troisième scène. Pour être tranquille, je pris la décision de sauter le repas. En labsence de mes collègues je plaçai donc la caméra par terre en position verticale. Je minstallai alors au-dessus et remontai ma jupe afin de laisser la lumière dévoiler mes bas tendus par le porte-jarretelles. Enfin je la soulevai au-dessus de mes hanches afin dexhiber mon string. La ficelle permettant dextraire linstrument serait la preuve que je le conservais bien au chaud. Pour atteindre les cinq minutes requises je fis mouvoir mon bassin et libérant une de mes mains je massai langoureusement mon clitoris faisant même rentrer le string entre mes lèvres pour intensifier le plaisir. Jétais certaine que ce plan fixe récolterait non pas une palme mais lapprobation de mon spectateur.

Je partis du bureau à 16 heures pile et rejoignis une galerie commerciale en banlieue de Paris. Je ne savais que faire par rapport à lexhibition dans la rue, je pris donc la liberté de me filmer dans le métro. Assise sans passager à mes côtés je positionnai la caméra entre mes jambes espérant que le tissu laisserait passer suffisamment de lumière pour montrer mes sous-vêtements et mon bas-ventre. En tout cas jétais surexcitée et je ne pensais quau plaisir que pourrait prendre mon amant en visualisant mes excentricités.

La dernière représentation vidéo se déroula comme vous devez bien vous en douter dans une cabine dessayage où jexposai huit minutes durant les qualités érotiques des vêtements passés. A peine avais-je choisi mes robes, que je reçu un texto précisant le style de maillots de bains que je devais acheter. En clair, le une pièce devait être une taille plus petite que ma taille, et le bikini une taille au-dessus. Quavait-il manigancé encore ?

Je suivis les indications et choisis les deux ensembles de bain. Me dirigeant ensuite dans un magasin spécialisé dans les dessous, un autre SMS tomba sur mon portable. Il me demandait où jétais et ce que jallais y acheter. Je répondis et trente secondes plus tard un deuxième message mintima lordre de ne pas fermer totalement le rideau afin que quelques voyeurs puissent en profiter.

Je respectais lordre et durant quinze minutes exhiba mes fesses, mon sexe en chaleur, et mes seins pointant de manière obscène, à qui oserait regarder. En tout cas, un lavait bien fait puisque mon inconnu me remercia du spectacle en accompagnant son texto dune photo de moi en guêpière blanche.

Cela me fît sourire et je poursuivis mes courses pour finir par la robe de mousseline. Il y en avait une aux tons noir et bordeaux tellement transparentes quelle comportait en-dessous une partie noire évitant de montrer lintimité de la femme qui la porterait. Jimaginais déjà mon homme me demander dôter cette partie afin de faire admirer mes dessous. Je lachetais alors sur le champ.

Jétais épuisée par cette journée, mais heureuse par mes prouesses. Mon amant mappelait une heure plus tard.

— Comment sest passée ta journée Laurence ?

— Bien, mais épuisante. Jai fait tout ce que vous mavez demandé.

— Nous allons voir cela. Au préalable, as-tu aimé les boules de geisha ?

— Oui mais cest dur de ne pas y penser. Jai eu beaucoup de mal à me concentrer aujourdhui.

— Tu peux lenlever maintenant, mais ta journée nest pas pour autant terminée.

— Vous voulez que je vous remette lappareil vidéo ?

— Oui. Pour ce faire tu iras la déposer sous la poubelle comme dhabitude. Et tu iras uniquement vêtue de ta guêpière, des tes bas résilles, et de talons aiguilles. Je ne veux pas que tu portes de culotte.

— Oui.

— En même temps tu en profiteras pour me donner les clés de chez toi, car désormais tu es à moi.

— Mais je .

— Tu refuses ??? Tu sais ce que cela signifie

— Euh oui,. jaccepte alors.

— Dans dix minutes en bas, bonne ballade.

Je descendis lescalier le cur battant. Vérifiant quil ny avait aucun bruit jouvris la porte puis la referma doucement. Tout dun coup une voix de derrière la porte me fît sursauter, jétais prise au piège moi en dessous affriolant avec un de mes voisins. Heureusement cétait lui, je me retournai prestement mais il portait un masque, et mobligea sur le champ à tourner la tête pour ne pas le regarder.

Il me fît ensuite me pencher contre le mur, et mécarta les jambes. Sans aucune préparation, à linverse de la première fois, il me pénétra avec son sexe déjà bien ferme. Mon vagin avait de toute façon était préparé toute la journée, et cest sans difficulté que son membre remplaça les boules de geisha. Il me pénétrait doucement puis activait le rythme avec des petits va-et-vient et de temps en temps mempalait complètement sur son pénis tendu, A nouveau jeus le droit à des petites claques sur mes globes fessiers.

Puis ses mains se sont plaquées contre mes seins qui ne cessaient de se ballotter sous ses coups de butoir. Il me les malaxa, puis se mit à tirer les pointes ce qui mélectrisa totalement. Jétais au bord de lorgasme, mais il semblait vouloir prolonger linstant car son va-et-vient ralentit.

Cest alors quil fît courir un doigt entre mon vagin et mon anus ce qui eut pour effet détaler mes sécrétions jusquau haut de ma raie. Il se remit tout comme la première fois à masser mon illet de mouvements circulaires, mais cette fois ci, il senhardit et lenfonça doucement mais profondément dans mon petit trou. La pénétration nétait pas particulièrement jouissive mais en tout cas elle nétait pas douloureuse comme jaurais pu le croire.

Il se mit alors à accélérer ses pénétrations du côté de mon vagin. Son sexe senfournait dans mon vagin vigoureusement puis ressortait presque entièrement. Il combina cela dune masturbation de mon anus avec son doigt. La scène jadis humiliante et dégradante que je refusais de pratiquer était aujourdhui un moment de plaisir que jexprimai au travers de oui !!! Étouffés.

Il sortit de mon vagin et après avoir libéré son sexe du préservatif me demanda de la masturber. Avec les dernières forces qui me restaient jimprimai un mouvement de va-et-vient à son prépuce. Le sperme arrosa copieusement mes fesses et le haut de mes bas.

Il me demanda alors de lui remettre la caméra puis les clés. Et dun bisou tendre dans le cou, il me susurra de remonter immédiatement comme cela, prenant le risque de montrer à un de mes voisins que javais pris du plaisir dans les parties communes de limmeuble.

Certes toujours anxieuse je prenais lescalier le minou et les seins à lair. Je me sentais néanmoins bien et la journée que je venais de passer mavait envoûtée. Je nattendais plus quune chose poursuivre cette aventure.

Natation:

La suite ne se fît pas attendre, puisque le lendemain matin, il mappela pour mordonner de prendre mon maillot deux pièces et une serviette car jallais faire un peu de sport. A 18H00 comme prévu je me retrouvais dans la piscine XXXXX.

Une fois changée je commençais à nager la brasse. Je compris bien vite pourquoi une taille au-dessus. Avec les mouvements, les bâillements de mon maillot étaient conséquents. On pouvait donc sous leau admirer sans peine mon sexe et mes seins.

Ayant oublié mes lunettes, il métait de plus impossible de mettre la tête sous leau pour empêcher les moins téméraires dadmirer le spectacle.

Je piquais un fard pensant aux multiples regards masculins centrés sur mes seins et ma chatte exposée.

Mais le jeu nétait pas fini car comme lavait stipulé mon inconnu je dus faire du dos crawlé. A plusieurs reprises je sentis mon maillot descendre le long de mes cuisses, dévoilant au gens du dessus une partie de mes poils pubiens et aux «plongeurs » mes fesses. Heureusement que leau cachait mon état dexcitation car mon sexe était bel et bien trempé pour dautres motifs.

Après une demi-heure de cette exhibition, jallais me changer. Comme stipulé, je sortis de la piscine vêtue de la jupe portefeuille et de bas, marchant à grand pas pour laisser apercevoir aux amateurs de dessous mes jambes gainées avec laccroche du porte-jarretelles pour limite. Quant à la culotte fendue que javais due acheter dans un sex-shop elle surlignait mes lèvres roses avec indécence. La jupe était toutefois là pour cacher cet aspect de ma « personnalité ».

Je ne savais pas où il trouvait tant dimagination mais en tout cas je me prenais au jeu et jaimais cela. La remise des clés nen devenait pour moi que plus logique. Cest sur ces méditations que mon portable retentit. Cétait lui et je pressentais que la soirée nétait pas encore terminée.

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