Après une journée ennuyeuse au boulot, rien de tel quun train bondé sous une chaleur à peine supportable. Une goutte de sueur coule le long de mon dos. Je me demande si ça va beaucoup se voir sur mon haut quand je vais sortir de là si je sors un jour. Le train commence à ralentir, alors quil vient juste de quitter la station. Mon sac à main est lourd dans ma main et je ne peux pas mieux le positionner, compressée comme je suis.
Je sens une légère pression sur ma fesse droite. Est-ce que jaurais droit à un pervers frustré qui profite de la proximité forcée des transports en commun pour satisfaire son vice puérile ? Une pression plus appuyée me convainc que jai tiré le gros lot aujourdhui. Non mais sérieusement, cest quoi leur problème à ces pauvres types ?! Ils sont trop laids pour pouvoir se taper une fille normalement, cest ça ?
Le gaillard doit senhardir un peu car cest maintenant une main que je sens mempoigner la fesse lors dun freinage un peu brusque du train. Le salaud me malaxe sans scrupule tandis que jessaye de me déplacer pour le fuir. Bingo ! Je parviens à mextraire à ces attouchements inconvenants. Personne ne semble avoir remarqué quoique ce soit dans le wagon.
A larrêt suivant, des gens essayent de descendre et le quai est encore plus bondé. La poisse ! Avec ces migrations, le pervers sest bien replacé derrière moi et magrippe le cul pour frotter la bosse de son jean dessus. Je me sens sale dêtre utilisée comme ça. Il nest plus un pauvre type frustré, mais un prédateur sexuel et moi son jouet.
Aussitôt, je sens une divine chaleur semparer de mon bas-ventre. Oui, je dois bien vous lavouer, jadore être un objet sexuel. Cest mon petit secret à moi. Personne nest au courant de cette facette dans mon entourage. Je suis Gaëlle, une assistante comptable tout ce quil y a de plus conventionnel et normal, mais jai des pulsions sexuelles que beaucoup qualifieraient de malsaines. Jai même un réseau de partenaires réguliers qui, dès que je les appelle, viennent chez moi me baiser jusquà plus soif. Je me fais prendre comme une chienne par tous les trous sous une marée dinsultes, ce qui me procure de multiples orgasmes et satisfait mes besoins primaires. Je suis une vraie salope.
La dernière soirée de ce genre remonte à au moins 2 semaines maintenant et ma libido vient crier famine. Du coup, cette queue bien dure qui se frotte compulsivement contre mon postérieur mexcite énormément. Seulement là, je suis dans la vraie vie, je ne suis pas mon double lubrique. Il y a des gens autour de moi et je ne dois pas me laisser aller à mes bas instincts.
« Allez Gaëlle reprend-toi. Ne le laisse pas continuer. »
Mais mon manque de réaction encourage mon pervers dans sa démarche. Il remonte ma jupe pour passer une main dessous. Instinctivement, je me mets sur la pointe des pieds pour laider. « Quelle salope je fais » Rien que dy penser, je mouille abondamment.
Monsieur est apparemment pressé, car ses doigts filent directement sous ma culotte. Jimagine quil est surpris de trouver ma chatte trempée comme ça. Il doit se dire que je suis une chienne en manque de bites. Comme un écho à cette pensée, il glisse directement 2 doigts dans ma vulve. Malgré labondance de lubrifiant, cette pénétration brutale est un peu difficile. Tant mieux, jadore quand ça fait un peu mal. « Gaëlle tes quune trainée. Tu kiffes te faire doigter par un inconnu dans le train. »
Je me cambre au maximum et écarte les cuisses un peu plus. Cest tellement bon de sentir ces doigts inconnus me fouiller comme ça. Jaimerais quil ny ait plus personne autour de nous et quil me baise comme la chienne que je suis. Je peine à garder les yeux ouverts et donner le change pendant que ces doigts me pénètrent en cadence. A certains moments, on entend un petit bruit obscène et je vois plusieurs personnes qui sinterrogent sur leur origine. Jai envie de leur dire « Ne vous inquiétez pas, cest parce que jme fais défoncer ».
En parlant de ça, mon pervers essaye dintroduire un troisième doigt, puis un quatrième très vite. Il doit se dire quil a tiré le gros lot avec une salope comme moi. Il ne doit pas se douter que je suis au quotidien une fille douce et sage.
Bon, quatre doigts, cest franchement pas terrible dans cette position. Mais je ne montre rien car je lui appartiens en ce moment. Il peut faire tout ce quil veut avec moi. Et dire que je ne connais même pas son visage
Je ne sais pas sil partageait mon sentiment sur linconfort de cette position mais ses doigts sortent brusquement de ma chatte et badigeonnent lentrée de mon petit cul avec ma mouille. « Oh oui » cest la partie que je préfère. Jadore plus que tout quand mon partenaire memplit le fondement. Cest si dégradant que ça me fait jouir pratiquement à chaque fois. Peut-être est-ce dû à mon éducation catholique.
Il commence par rentrer un doigt dans mon cul et je ne peux mempêcher de fermer les yeux un instant. Cest tellement bon de sentir son sphincter souvrir de manière forcée comme ça. Je suis en extase. « Gaëlle, tes vraiment quune petite pute. Tas envie de te faire défoncer, hein, salope ! » Oh oui, ce que je peux en avoir envie. Vas-y mon pervers, prends-moi comme une chienne !
Pour mon plus grand plaisir il menfonce vite un deuxième doigt. Cest si bon, je ne peux plus me retenir, je glisse ma main au niveau de mon clitoris et le masse à travers mes vêtements. Les deux doigts entament de longs va et viens plus ou moins rapides et je suis la cadence au niveau de mon clitoris. Je sens que la jouissance est proche. Je suis quand même frustrée de ne pas pouvoir méclater autant que je le voudrais, mais je maide à venir en prenant toute lampleur de mon statut de salope dans cette affaire.
Un arrêt un peu brutal du conducteur et il senfonce un peu plus loin et plus fort en moi. Je me mords la lèvre pour réprimer un gémissement de plaisir. Ses deux doigts vont et viennent à un rythme effréné maintenant et je me laisse aller à la jouissance en mactivant sur mon bouton damour. Je baisse la tête tandis que mon corps est secoué de spasmes. Je ne veux pas voir si des gens ont compris ce quil se passait.
Mon pervers approche sa bouche de mon oreille et chuchote « salope ». Si je navais pas déjà jouis, je crois que ce mot maurait amené au même résultat.