Cette histoire est connue. En fait je lai déjà lue dans une bande dessinée. Je vous livre ici une version qui, je lespère, vous comblera.

Agathe terminait la chambre à coucher. Simplement vêtue dun déshabillé noir en satin, dernier reliquat des fastes de sa vie passée, elle rangeait le petit appartement avant sa toilette matinale. Elle regrettait sa femme de ménage qui travaillait pour elle il ny avait pas 2 ans. Mais le revers financier de son mari les avait contraints à vendre la somptueuse maison dans les Yvelines pour un appartement trois pièces à Cergy. Lavantage cest que le ménage était rapide : 3 pièces !

Depuis un mois, elle songeait à chercher du travail pour pallier le manque dargent endémique qui frappait son couple. Son mari Marc sy refusait, prétextant une nouvelle affaire qui devrait le relancer dans le business. Mais Agathe navait plus beaucoup despoir et ne croyait plus à une providentielle affaire.

La sonnerie de la porte dentrée retentit soudain. La femme navait que son déshabillé sur elle. Elle le réajusta, noua la fine ceinture et ouvrit la porte. Cétait Jean-Bernard, un ancien partenaire de son mari, un homme assez petit, brun les cheveux frisés.

— Bonjour Agathe. Tu me reconnais ?

— Oui, oui répondit Agathe derrière sa porte entrouverte.

Bien sûr quelle reconnaissait lhomme debout sur son palier dans son sublime costume Roberto Cavalli gris anthracite. Bien sûr quelle se souvenait de cette fameuse fête il y a cinq ans, à lépoque fastueuse où elle aimait parader dans de superbes robes les soirées mondaines. Agathe nétait pas une femme magnifique juste une femme mince quun maquillage travaillé, une coiffure élégante et des vêtements classes magnifiaient. Et Jean-Bernard était attiré par sa forte poitrine et ses yeux rieurs. Le partenaire de son mari lavait dragué toute la soirée. Au début de la fête, Agathe avait aimé être courtisé mais lacharnement de lhomme lavait irrité et elle finit par léconduire vertement.

— Je suis venu vous voir pour prendre de vos nouvelles, déclara lhomme.

— Marc nest pas là

— Je suis venu également pour pouvoir vous aider, ajouta Jean-Bernard en entrant par lentrebâillement de la porte.

— Mais commença la femme surprise par son audace.

— Je suis navré de votre situation aujourdhui, continuait-il en avança dans le couloir exiguë qui donnait sur la petite cuisine. Tu moffres un verre pour que je texplique lobjet de ma venue.

Agathe ferma la porte, réajusta son déshabillé déjà ajusté et précéda lhomme dans la salle à manger desservie également par le couloir. Le verre à la main, Jean-Bernard fixa Agathe qui sinstallait dans le fauteuil face à lui.

— Voilà, je sais que vous êtes au plus mal en ce moment.

— Oui, ça se voit, acquiesça la femme qui serrait ses jambes dénudées.

— Ma proposition est simple, peut-être brutale, mais simple.

Un silence sinstalla. Lhomme en costume gris prit une gorgée pour aménager une attente chez la femme.

— Jai sur moi, une enveloppe pleine de billets, murmura-t-il en la montrant. Tu me montres ta belle poitrine et je te donne 1000 tout de suite. De quoi finir le mois tranquillement.

— Mais tu es fou ? lança Agathe offusquée de la proposition.

— Oui. Oui. Tu le sais bien que je suis fou de ta poitrine.

Il y a cinq ans, sous leffet de lalcool, il lui avait avoué son obsession : les deux globes mammaires qui galbaient la poitrine de ce petit bout de femme. Deux boules bien rondes surmontées de boutons durs qui tiraient le tissu de la robe.

Jean-Bernard contemplait lémoi dAgathe. Il savait le conflit intérieur qui se jouait en elle. Le regard dans le vide, la femme respirait par la bouche et ses mains, par réflexe, fermaient son déshabillé. Afin dapporter des arguments à son indécente proposition, lhomme au costume posa son verre et sortit une liasse de billet de 50 .

— Il y a là 1000. Je ne te force à rien. Juste tu me montres ta poitrine pendant quelques minutes et tu empoches cette somme.

Agathe fixa largent déposé sur la petite table de salon. Elle regardait alternativement lhomme qui lui souriait et la fenêtre où lon apercevait les nombreuses tours grises et sales du quartier.

— Tu ne me fais rien.

— Rien que tu ne décides Agathe.

— Jai ta parole.

— Oui Agathe.

Les pans en satin noir sécartèrent doucement. La peau blanche du cou et de la poitrine apparurent puis les deux magnifiques seins. Deux boules blanches percées dun bouton noir. Non pas deux obus mais des globes ronds et tendus que la gravité nentame pas.

— Merveilleux, sexclama Jean Bernard confortablement assis dans le canapé.

Agathe tenait les pans du déshabillé de peur que le tissu léger glisse et dévoile toute sa nudité. Elle baissait les yeux. Une sourde honte montait en elle. Un sentiment diffus et profond semblait vouloir faire jour. Une sensation malsaine en son ventre, en sa poitrine et en sa gorge.

Jean Bernard se délectait du spectacle. Il déclara que les seins étaient merveilleux et quil avait attendu longtemps pour les contempler. Agathe nosait regarder que sa honte. Un temps certain passait et elle rabattit le satin noir pour masquer sa poitrine.

— Ah ! Cétait court Agathe ! Mais cétait un spectacle tout à fait enthousiasmant. Et pour te le prouver je te propose autre chose.

— Ah non, sécria la femme.

— Attends découter la proposition avant de te prononcer.

— Si tu moffres la possibilité de caresser ta poitrine et juste ta poitrine je te le promets, jajoute au mille euros ici deux autres.

— C’est-à-dire que tu aurais trois mille euros en tout.

Jean Bernard porta son verre à la bouche et laissa le liquide couler au fond de la gorge. Le whisky chauffait son corps et son excitation augmentait autant que laffolement dAgathe. Il voyait sur le joli visage de la femme tout le dilemme qui luttait en elle.

Après un long moment où le silence retenait son souffle, la femme vêtue de satin noir se leva et vint sasseoir face à lhomme sur la petite table. Elle offrit avec une certaine résolution sa poitrine.

— Merci, dit Jean Bernard en déposant une nouvelle liasse sur la table.

Il admira encore les deux globes glandulaires et ses mains commencèrent leur découverte. Il effleurait du creux de la paume les tétons érigés. Aussi élégant que des danseurs de tango, ses doigts parcouraient la piste mammaire avec douceur en dessinant de sensuelles arabesques à lefficacité prodigieuse. La tension du corps dAgathe trahissait lexcitation qui montait en elle. Jean Bernard la caressait avec talent et la transportait dans un émoi quelle refoulait tant quelle pouvait.

Il malaxa, tritura, pinça un peu, joua avec la lourdeur des seins, lélasticité des deux globes, la douceur de la peau. Agathe avait toujours été fière de sa poitrine et malgré elle, elle senorgueillit de leur attrait sur cet homme. Elle remarqua la bosse dans le pantalon et recula aussitôt.

— Cest bon Jean Bernard. Ça suffit.

— Ben attends cest un peu court là quand même ! Viens ici, ordonna-t-il sèchement.

Surprise par le ton qui résonna dans la pièce, Agathe obtempéra. Elle savança à nouveau et soumit son buste dénudé à la voracité des mains épaisses. Les myrtilles mûrirent entre les doigts experts. Puis une bouche se pencha. Agathe se raidit mais ne séloigna pas.

Les lèvres chaudes baisèrent consciencieusement toute la surface de son sein gauche. Le déshabillé de satin noir sétait complètement ouvert. Le ventre blanc était nu ainsi que la toison brune. Le resserrement dans le fond de sa gorge devenait insoutenable. Agathe sentait les larmes monter.

Puis ce fut la langue humide qui lécha minutieusement le globe droit. Elle sactiva surtout sur le téton dur comme un petit caillou. Une goutte coula peureusement sur la joue de la femme qui demeurait debout devant lhomme assis. Une fine larme. Un soupçon de honte et de colère mêlés.

— Je te remercie, déclara Jean Bernard en laissant enfin la poitrine.

— Tu navais pas le droit, murmura Agathe en refermant en tout hâte son déshabillé.

— Pour trois mille euros je pouvais tout de même les goûter ! Tu ne crois pas ?

La femme avait reculé. Elle ne répondit rien. Juste elle rangea la grosse liasse de billets dans un tiroir dun meuble. Elle avait honte, mais en même temps cet argent lui permettrait à elle et à son mari de survivre quelques mois. Elle prit une grande inspiration, se retourna vers lhomme assis sur le fauteuil et arbora un sourire de défi.

— Bon ! Tu peux rentrer chez toi.

— Je finis mon verre et je te fais une troisième proposition, lança-t-il joyeux en buvant.

Agathe resta interdite. Non. Non pas ça ! Elle se refusait intérieurement. Elle ne savait qui combattait en elle, sa raison, sa cupidité, son désir Elle prit appui sur le meuble et attendit que Jean Bernard finisse son verre quil dégustait à petites gorgées.

— Je te propose une fellation !

— Alors ça, jamais de la vie mon vieux, cria Agathe

— Une fellation mais tu nes pas obligé davaler, indiqua lhomme confortablement installé dans le fauteuil en face de sa conquête.

— Tu rêves. Allez, vas-y. Rentres chez toi !

— Pour dix mille euros ma petite Agathe, lâcha-t-il avec malice.

— Quoi !?

En guise de réponse, Jean Bernard déposa tous les billets sur la table. Un gros paquet dargent. Des billets de cent et de cinquante euros. Un petit monticule. Agathe écarquilla les yeux. Ce nétait plus quelques mois de répit mais presque une année.

Lhomme en costume se délectait de son effet. La pauvre ne pouvait pas vraiment refuser. Une telle somme dans sa situation ! Avant même quelle ne bouge ou ne réponde, Jean Bernard se redressa et invita la femme à sasseoir dans le fauteuil. Comme elle ne se défendait pas, il sinstalla debout devant son visage et dégrafa son pantalon qui tomba à ses pieds.

Évidemment sa verge était déjà gonflée et elle pointa vers Agathe qui était installée sur le bord du fauteuil. Elle leva les yeux vers le sourire dominateur de Jean Bernard qui attendait patiemment son dû. Les doigts saisirent la base de la tige et les lèvres se posèrent sur la peau. La main commença à masturber doucement. Mais Agathe nengageait pas sa bouche.

— Dix mille euros ma chère, encouragea lhomme debout.

Les lèvres sappuyèrent sur le gland et sécartèrent finalement pour pénétrer le pénis dans la bouche. Une lente succion commença. Méticuleuse, de lextrémité à la base. Un long mouvement de va et vient de la tête où Jean Bernard voyait disparaître sa virilité dans la gorge de son challenge. Car, pour lui, il sagissait-là dune simple petite revanche. Depuis cinq il ruminait davoir été éconduit.

— Accélère ! commanda-t-il en prenant la tête de la suceuse entre ses mains pour mener le rythme.

Agathe se plaignit mais se soumit au rythme. Elle se dit que plus vite il jouirait plus vite elle en serait débarrassée. Alors une de ses mains caressa les bourses. De lautre elle accompagnait la fellation dune vigoureuse masturbation. Ses lèvres se resserraient quand elles passaient à la base du gland. Elle avait remarqué que Marc, son mari, décollait plus rapidement ainsi. Et leffet fut identique avec Jean Bernard. Il se tendit dun coup. Agathe sentit la verge se durcir et grossir dans sa bouche. Puis un long jet éclaboussa la paroi interne de sa joue. Un liquide épais et goûteux coulait au fond de sa gorge. Elle cracha le sexe et le sperme. Jean Bernard jouissait encore. Il prit son sexe et le serra fort. Un autre jet éjacula sur le cou dAgathe qui recula.

— Putain reste là, grogna lhomme en tirant Agathe par les cheveux et réintroduire sa verge dans sa bouche.

Il baisa sa bouche comme un vagin à grand coup de reins. Elle cria mais aucun son ne sortait de sa bouche remplie. Elle subit ce traitement quelques minutes encore avant que Jean Bernard, repu, recule et saffaisse dans le fauteuil en face dAgathe.

— Salaud !lança-t-elle en nettoyant le sperme qui coulait sur le bord de sa bouche et sur sa poitrine.

— Attends ! Pour 10 000 euros il fallait bien que tu finisses correctement. Non ?

— Mmm. Ninsista pas la femme qui renouait son déshabillé.

Jean Bernard se resservit un verre de whisky et réajusta son pantalon. Il défiait du regard la femme assise en face de lui. Elle soutint un peu le regard et alla chercher un sac pour lemplir des billets qui jonchaient la table basse. Elle se rassurait du traitement quelle venait de subir au regard de la somme quelle rangeait.

— Et si je te baisai !

Agathe avait le dos tourné, penchée sur la table. Elle redressa la tête. Ne dit rien.

— Oui, si on allait dans ta chambre. Que nous passions sous tes draps. Que nos corps nus se caressent. Que tu moffres ton sexe. Que je te baise.

Agathe ne sétait pas retournée. La boule revenait dans sa gorge. Une sensation étouffante et oppressante. Muette, elle attendait.

— Tes dix mille empochés plus dix mille autres ! Quen dis-tu ? Vingt mille euros !

Les tempes de la femme battirent à plein. La boule éclata dans sa gorge. Un sanglot la pris. Des larmes coulèrent. Son ventre se serra. Deux mille euros, ça fait mal.

Elle se leva lentement et ouvrit le sac de billets quelle venait de fermer. Puis, altière, le plus dignement quelle le pouvait, elle se dirigea vers sa chambre sans se donner la peine de regarder lhomme qui fourrait les liasses de billets dans le sac.

Quand Jean Bernard parvint au seuil de la chambre, il découvrit Agathe de dos. Debout, le déshabillé de satin à ses pieds, nue, elle était offerte. Elle passa sous la couette. Il se déshabilla rapidement et rejoint son obligée. Il commença à la caresser.

Elle se laissait faire en regardant les parcours de mes mains sur son corps. Son cou gracile, ses frêles épaules, puis ses seins. Agathe respirait plus fortement. Elle lui caressa le torse.

Puis la main de Jean Bernard émigra à la découverte du sexe. Il approchait par le ventre et parvint à la naissance de son pubis fourni. Il samusa un peu autour de la vulve sans la toucher. Agathe écarta doucement les jambes. Sa corolle souvrait doucement et une liqueur coulait. La main emprisonna sa vulve et la pressa par vagues successives.

Oh gémit-elle

Oui, cest bien

Agathe avait honte. Elle trompait son mari. Elle couchait avec un homme quelle naimait pas. Elle baisait pour de largent. Elle était une pute. Et le pire nétait pas vraiment là : elle y trouvait un certain plaisir.

Lindex erra un peu dans la toison et longea ensuite les lèvres parfaitement humides avant de chercher le petit bouton. Il le trouva et dès quil roula un peu dessus, les gémissements dAgathe sintensifièrent. Elle était prête pour un orgasme. Il sengouffra au fond du lit. Quand la bouche vint se poser sur la vulve, elle cria. Et sa langue roula sur le clitoris sans trop le presser. Son sexe dégoulinait. Il avançait deux doigts dans sa fente et, rapidement, ils senfoncèrent au fond. La langue continuait son office et il entendait de plus en plus fort les plaintes et les gémissements dAgathe qui lui plaquait la tête contre son sexe.

Un long grondement monta et elle éclata en hurlant. Ses cuisses lemprisonnèrent et ses mains le tapaient frénétiquement pendant quelle se cambrait toujours en ségosillant. Pendant au moins une minute, elle brailla ainsi. Il put enfin se libérer de létau des cuisses dAgathe dont lorgasme le réjouissait.

Ensuite, les grosses mains de Jean Bernard recouvrirent les fesses de la femme encore étourdie. Agathe avait jouit. Elle pleurait de joie et de honte.

Maintenant, tu vas toccuper de moi. Dabord, tu me caresses.

Ses mains le découvrirent dabord avec maladresses puis sengaillardirent rapidement. Elle prit son sexe à pleine main.

Ne vas pas si vite. Avance lentement. Fais monter le désir.

Elle soupesa le membre et le serra enfin avant de commencer un lent mouvement vertical.

Très bien ! Lencouragea lhomme. Me voilà prêt.

Il se souleva et se posta au-dessus. Agathe écarta ses jambes et accueillit le corps tendu. Il la pénétra dun coup sec. La femme sursauta. Lhomme commença à coulisser en elle avec vigueur. Des coups brutaux, puissants. Toujours plus fort, toujours plus vite, Jean Bernard allait et venait en elle. Agathe accusait les percussions avec abnégation. Cela dura de longues minutes.

Jean Bernard, la pris en cuillère ensuite, lui soulevant bien la jambe gauche. Puis, à quatre pattes sur le lit défait, la femme récolta la puissance animale de son amant. La bite raide comme du marbre, lhomme se cramponnait aux petites hanches de sa victime pour mieux la posséder.

Quand, enfin, dun coup, il stoppa. Pantelante et surprise, Agathe se tourna vers lui.

— Quest-ce quil y a ? demanda-t-elle.

— Ne tinquiète tes vingt mille euros sont pour toi.

Trop contente que le traitement sarrête ainsi, Agathe qui attendait à quatre pattes, les fesses tournées vers lhomme qui se dirigeait vers son costume. Délicatement il sortit une enveloppe de sa veste et se posta devant la femme nue, assise sur le lit.

— Trente mille de plus !

— Trente plus vingt ça fait cinquante mille. Cinquante mille euros. Cest pas mal non ?

Agathe prit peur. Cette somme nétait plus une garantie de vivre quelques mois tranquille, cétait la possibilité à son mari de débuter une nouvelle affaire. Avec autant dargent, Marc pourrait ramener le couple à flot.

Jean Bernard lança lenveloppe entre les cuisses écartées de la femme. Il la fixa avec intensité. Longtemps. Pas un mot ne sortait de sa bouche. Son phallus toujours au garde à vous, pointant vers celle qui demeurait dans lexpectative.

Oui. Évidemment. Cinquante mille euros ! Pour tout recommencer. Agathe songeait à tous les possibles. Mais au fond de son esprit, au creux de sa gorge, une sourde méfiance gonflait. Que me voulait-il ?

Impassible, debout, avec sa redoutable érection, Jean Bernard goûtait le moment. Et sa joie atteint son paroxysme lorsque sur le visage dAgathe il vit quelle avait saisit. Tout passa dans un silence de plomb : la moue de sa bouche cria non, ses yeux implorèrent, ses mains se crispèrent, les tétons se rétractèrent. Jean Bernard jouissait de son effet.

Après un très long moment en suspend, Agathe, résignée, se posta à nouveau à quatre pattes. Une frayeur absolue tenaillait son ventre. La tête tournée au maximum pour regarder son tortionnaire, elle redoutait à présent ce à quoi elle sétait soumis.

— Détends-toi, murmura lhomme en approchant des fesses offertes. Je vais le faire doucement. Cest ta première fois ?

— Mmm, acquiesça-t-elle.

— Ne bouge pas. Reste le plus détendu possible.

Il introduisit un doigt. Son index poussa et pénétra dans lillet fermé.

— Aïe !

Il tourna un peu son index à lintérieur, fit quelques mouvements de va et vient et se retira.

— Laisse-toi faire.

— Ça fait mal !

Il recommença lopération avec son majeur, puis avec son pouce. Il pencha sa bouche et lécha les sphincters, bava abondamment sur lorifice. Redressé, placé juste au niveau des fesses tendues en arrière, Jean Bernard prit sa verge et posa son gland sur le petit anneau un peu détendu.

La respiration dAgathe saccéléra. Ses mains se crispèrent sur les draps.

— Attends ! attends ! Je ne suis pas prête, cria-t-elle soudain.

Cest à ce moment là, quil poussa sur les sphincters. Son gland écarta difficilement lanneau et, dun seul coup, il sengouffra. Agathe hurlait mais lhomme continuait son avancé en maintenant les hanches de la femme qui tentait de se soustraire. Nayant cure des plaintes, il agrippait les petites fesses avec ses mains et pénétra encore. Les larmes coulaient sur les joues de la femme à moitié affalée sur le lit, les fesses en lair, lanus rempli, une douleur indescriptible et un honte qui lui souillait le ventre. La honte dêtre une pute. Lavilissement daccepter ce quelle naccepte pas. Le déshonneur.

Jean Bernard commença un va et vient lent mais puissant dans le fondement qui sécartait encore.

— Aïe, ouille arrête Jean je nen peux plus !

— Pour 50 000 tu ne vas pas te plaindre. En tout cas, ton joli petit cul nest plus vierge. Tu vas pouvoir loffrir à Marc !

— Salop. Aïe

Et Jean Bernard accéléra. Bourrant sa putain richement payée, il claquait ses cuisses sur les fesses et sa queue dans le fond du ventre. Bestiale, il sactivait de plus en plus fort. Agathe hurlait, les larmes se mêlant à la bave qui coulait. Et soudain, elle sentit au fond de son ventre des jets puissants tapisser lintérieur de son cul. Quelle sensation. Elle en eut honte. Une sensation de plénitude quelle ne connaissait pas. Plus ample quun orgasme. Malgré la douleur cuisante de son anus, elle était comblée.

Jean Bernard shabilla rapidement laissant la femme sanglotant en travers du lit.

— Merci Agathe. Quel après-midi !

— Salop !

— Non ne dit pas ça. Tu diras bonjour à Marc ce soir de ma part.

— Dégage salopard !

— Au fait Tu savais que jétais toujours dans les affaires.

Agathe se tourna vers lui, les yeux baignés de larmes.

— Jai monté une boîte de surveillance et nous avons à notre disposition des mini caméras, comme des espions.

En disant cela, il sortit de sa poche un minuscule engin.

— Jai tout filmé Agathe. Tout.

Elle demeurait inerte, les yeux écarquillés.

— Je vais rentrer chez moi pour en faire un joli film.

Agathe tressauta et vomit sur le lit.

— Oh ! Agathe ça manque de classe. Tu diras bien le bonjour à Marc Tu noublieras pas. Ajouta-t-il en sortant.

Le soir venu Marc rentra tout joyeux. Agathe lattendait dans le salon et composa la femme ravie du retour de son mari.

— Coucou chérie. Jean Bernard est passé ?

— Quoi ? dit sa femme en se levant avec difficulté elle avait mal ! –

— Il ne ta pas rapporté cinquante mille euros ? Cest le premier acompte pour la boîte que je monte avec lui. Cest une super opportunité. Dans le milieu de la surveillance.

— Euh si

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