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Venom X – Chapitre 10




Venom 10

Depuis qu’il était le roi du business du sexe à San Francisco, Eddy avait emménagé dans une immense villa très luxueuse, avec une vue superbe sur la baie.

Pour tenter de faire en sorte qu’Anne reprenne le dessus sur la larve de Venom, Eddy avait eu l’idée d’inviter sa famille chez lui, il s’était dit que la présence de ses parents et de sa sur l’aiderait à dompter sa libido débordante.

Il n’avait pas prévenu Anne, et la veille, il l’avait laissée satisfaire pleinement l’appétit grandissant de la larve, en se faisant fourrer par tous les trous, et par un nombre d’hommes incroyable.

Si bien qu’au petit matin, seul avec elle dans sa grande villa, il pensait qu’elle serait pleinement capable de résister à l’appel d’une bite, surtout s’il s’agissait de celle de son père.

Il lui avait préparé une de ces anciennes tenues, très sage, une robe souple, rouge, qui lui arrivait au genou et lui faisait un très léger décolleté, rien à voir avec les tenues outrageuses qu’elle portait depuis des semaines, qui lui arrivait à la moitié des fesses, et qui ne couvrait ses énormes seins qu’à de rares occasions.

Et même si elle n’en portait quasiment plus jamais, Eddy lui avait préparé des sous-vêtements, un joli petit string en dentelle, mais comme les seins d’Anne étaient devenus énormes, il n’avait pas réussi à trouver la bonne taille dans ses anciens soutiens-gorges.

Il était tombé par hasard sur un porte-jarretelles, et même s’il trouvait cela très sexy, il le prit avec des bas noirs, il avait très envie de voir Anne avec.

Après sa dernière soirée de débauche, Anne n’émergea de ses songes érotiques que vers 11h, en lui apportant son petit-déjeuner, Eddy lui annonça qu’ils allaient avoir de la visite, et qu’elle devait s’habiller.

Elle fut un peu surprise par la tenue qu’il lui avait préparée, elle n’avait pas porté de sous-vêtements depuis des semaines, et se demanda ce que lui avait préparé Eddy, elle avait d’abord pensé à un WE en amoureux, mais elle était devenue accroc au gang bang et autre bukkake, elle adorait avoir plusieurs bites autour d’elle, alors elle se dit qu’il avait peut-être invité des hommes pour la baiser sur la terrasse de la villa.

Même si celle-ci pouvait être visible des voisins, elle ne ressentait plus aucune honte à se faire baiser en public, et elle se dit qu’avec un peu de chance, les voisins pourraient venir la baiser à leur tour.

Mais elle avait à peine fini d’enfiler sa robe que la sonnette de la porte retentit, Eddy partit ouvrir, et lorsqu’Anne le rejoignit dans le salon, elle fut très troublée de voir ses parents et sa sur assis sur le canapé, où elle s’imaginait déjà se faire prendre par une bonne queue dans chacun de ses orifices.

Elle ne sut quoi dire, elle était partagée entre la frustration de ne pouvoir se faire baiser comme la grosse salope qu’elle était devenue, et la joie de retrouver sa famille qu’elle n’avait pas revue depuis des mois.

Elle fit la bise à sa sur et à sa mère, et lorsqu’elle s’apprêtait à embrasser son père, elle le surprit à loucher sur ses gros seins, aussitôt, elle sentit sa chatte se mettre à frétiller.

Mais même si l’envie était très forte, elle réussit à se retenir de se jeter sur lui et d’aller chercher sa queue pour la sucer.

Sa mère et sa sur, qui avaient remarqué, elles aussi, le développement important de sa poitrine, lui demandèrent :

Eh bien, tu as fait quelque chose à tes seins, ils sont beaucoup plus gros qu’avant ?

Anne était un peu embarrassée, elle ne pouvait pas avouer qu’elle avait une larve extraterrestre dans le ventre et qu’elle la nourrissait avec du sperme d’hommes qui la baisaient par tous les trous, alors elle leur dit :

Euh oui, je me suis fait opérer.

Et sans pouvoir s’en empêcher, elle gonfla la poitrine en direction de son père et en le regardant dans les yeux, elle leur demanda :

Ils vous plaisent ?

Son père, Charles, avait cru qu’elle s’adressait directement à lui, et il n’avait pas vraiment tort, il fut, à son tour, pris d’un certain malaise, il détourna le regard et n’osa répondre que les énormes seins de sa fille le faisaient bander.

Heureusement pour lui, personne ne remarqua son trouble ni la bosse dans son pantalon.

Sa mère, Marie, était légèrement stupéfaite que sa fille, Anne, habituellement si posée et réfléchie, ait voulu se faire opérer pour augmenter la taille de ses seins, cela ne lui ressemblait pas.

Sa sur, Kelly, était, par contre, jalouse d’elle, elle était pourtant très jolie, une ravissante jeune femme de 25 ans, brune aux cheveux longs ondulants, des yeux marron charmants, elle mesurait 1.65m pour 56 kilos, et jusqu’à aujourd’hui elle était fière de son 80C de tour de poitrine qui surpassait le petit 80A d’Anne, alors lorsqu’elle vit sa sur afficher son imposant 100 E, elle fut prise d’une certaine jalousie.

Eddy les invita à s’assoir pour prendre l’apéritif, et alors qu’Anne inventa toute une histoire sur son opération des seins, Eddy commença à les servir.

Il put ainsi distinguer facilement, le trouble qui taraudait Charles, la confusion chez Marie, et surtout la jalousie qui se lisait parfaitement dans les yeux de Kelly.

Il s’installa à côté d’elle, alors qu’Anne s’asseyait entre ses parents, Charles avait un mal fou à détacher ses yeux du décolleté de sa fille, tandis que Marie harcelait de questions sa fille pour connaître le pourquoi d’une telle opération.

Pendant qu’Anne cherchait une raison valable à donner à sa mère, Eddy passa un bras sur le dossier du canapé derrière Kelly, et tout en lui demandant ce qu’elle devenait, il posa une main sur son épaule.

Kelly était verte de jalousie, et elle eut un peu de mal à se concentrer sur autre chose que les énormes seins de sa sur, mais elle réussit à se tourner vers Eddy et lui répondit, sans retirer sa main de son épaule :

Rien de particulier, tu sais, j’ai fini mes études, et je suis en train de chercher du travail.

Eddy lui fit la conversation, pendant que Venom faisait, comme à son habitude, glisser un fin tentacule le long de la bretelle du soutien-gorge de Kelly, il se glissa ensuite à l’intérieur, et se dirigea vers son téton.

Il tenta de le ventouser comme il le faisait habituellement, mais pour la première fois de leur nouvelle vie en symbiose, Eddy et Venom virent Kelly se frotter l’épaule, comme pour retirer quelque chose qui la démangeait, obligeant Eddy à retirer sa main.

Cela les surprit, Eddy posa doucement sa main sur l’autre épaule de Kelly et Venom retenta sa chance, et encore une fois, lorsqu’il arriva à son téton, Kelly le repoussa.

Venom dit intérieurement à Eddy :

Si Anne ne passe pas ton test, sa sur à l’air d’avoir assez de volonté pour pouvoir faire une parfaite partenaire.

Concentré sur Kelly, Eddy n’avait pas fait attention à Anne, lorsqu’il regarda vers l’autre canapé, il n’y avait plus personne.

Pendant qu’il discutait avec Kelly, Anne avait proposé à ses parents de visiter la maison et de leur montrer leur chambre.

Ils avaient aussitôt accepté et laissèrent Eddy et Kelly discuter tranquillement.

Anne venait de leur montrer une des toilettes, lorsque sa mère lui dit qu’elle avait un besoin pressant à satisfaire, et la laissa seule avec son père, dans le couloir.

Charles n’arrivait toujours pas à quitter des yeux, les énormes seins de sa fille, et même si son décolleté n’avait rien d’outrageant, il était complètement fasciné par ces deux énormes masses laiteuses.

Anne l’avait parfaitement remarqué et en avait un peu joué pendant la visite, ne ressentant aucune honte à mettre ses énormes seins sous le nez de son père, alors maintenant qu’elle était seule avec lui, elle lui dit, en jouant avec le premier bouton de sa robe :

Dis, papa, ils te plaisent mes seins ?

Complètement déconcerté par une telle question, Charles ne sut quoi répondre, alors Anne lui dit, en défaisant le premier bouton :

Si tu veux, je peux t’en montrer un peu plus.

Charles pouvait maintenant voir le sillon profond qui passait entre les deux magnifiques seins de sa fille.

Anne commença à s’attaquer au deuxième bouton, en lui disant :

Tu veux en voir encore un peu plus, papa ?

Charles était sans voix, son cur battait à cent à l’heure, il pouvait sentir le sang battre dans ses tempes, mais surtout sa bite bandait à lui en faire mal.

Sans attendre la réponse de son père, Anne défit le deuxième bouton, découvrant ses seins jusqu’à la limite de ses tétons.

Anne avait remarqué l’érection de son père, et avait de plus en plus envie d’aller lui sucer la queue, alors voulant le faire complètement succomber à ses charmes, elle lui dit :

Tu peux les toucher, si tu veux, papa.

Elle lui prit la main et s’apprêtait à la poser sur un de ses seins, lorsque la porte des toilettes s’ouvrit, laissant apparaître, sa mère, la vessie soulagée.

Ils se dépêchèrent de reprendre une attitude, un tant soit peu, normale.

Mais au fil de la visite, Marie remarqua que le décolleté de sa fille était beaucoup plus ouvert, alors voulant un peu lui faire la morale, elle demanda à son mari :

Chéri, tu peux aller chercher les affaires dans la voiture, j’ai besoin de me changer.

A la fois, soulagé et irrité de ne plus pouvoir profiter des énormes seins de sa fille, Charles obéit et partit chercher les valises.

Marie profita d’être seule avec sa fille pour lui dire :

Dis, ma chérie, tu ne devrais pas te promener comme ça, tu sais ton père, n’est qu’un homme comme les autres, et ça ne se fait pas.

Anne fut un peu frustrée, mais elle connaissait le point faible de sa mère, alors pour faire changer de sujet de conversation, elle lui dit :

Dis, maman, toute cette route a dû te fatiguer, tu ne voudrais que je te masse un peu ?

Trop contente que sa fille le lui propose, elle en oublia ses reproches, et lui répondit :

Oh oui, ma puce, j’ai les épaules toutes tendues.

Anne lui dit :

Mets-toi à l’aise, maman et allonge-toi.

Marie enleva sa petite veste et s’allongea sur le lit, à plat ventre.

Anne se plaça à côté d’elle, et commença à défaire la fermeture éclair à l’arrière de la robe de sa mère, et alors qu’elle faisait descendre le curseur, elle eut une idée complètement immorale.

Elle finit de descendre complètement le curseur, et commença à retirer la robe des épaules de sa mère, celle-ci fut un peu surprise et lui demanda :

Qu’est-ce que tu fais ma chérie ?

Détends-toi, maman, ta robe va me gêner pour le massage, et on est entre filles, personne ne va te voir en sous-vêtements.

Marie laissa donc sa fille la déshabiller et l’aida à retirer complètement sa robe, se retrouvant en soutien-gorge et culotte sur le lit avec sa fille.

Elle s’allongea et s’abandonna aux douces mains d’Anne qui commençaient un doux massage de ses épaules et de son dos.

Elle frémit un peu lorsqu’Anne défit l’agrafe de son soutien-gorge, mais la laissa faire en sentant ses mains glisser le long de sa colonne vertébrale.

Plus Marie se détendait, et plus Anne mettait en place son plan immoral.

Quand elle sentit sa mère, suffisamment détendue, elle prit dans la table de chevet, un flacon d’huile de massage, un peu particulier, cette huile avait pour propriété d’être très aphrodisiaque, Eddy l’avait acheté pour ses salons de massage un peu libertin, mais il en avait gardé quelques flacons chez lui.

Anne versa un peu d’huile au creux de sa main et commença à l’étaler sur le dos de sa mère, elle avait à peine fait un passage, qu’elle l’entendit pousser un long soupir d’aise, Marie ferma les yeux, en lui disant :

Oui, ma chérie, elle me fait du bien cette huile, continue s’il te plaît.

Le plan d’Anne se déroulait parfaitement, elle continua d’étaler l’huile sur le dos de sa mère, lorsqu’elle dut en reprendre, elle dit à sa mère :

Je vais enlever ma robe, maman, sinon je risque de la tacher avec l’huile.

Verrouille la porte, ma chérie, je ne voudrais pas que ton père te voie à moitié nue.

Anne défit sa robe, se retrouvant ainsi en string et porte-jarretelles et se dirigea vers la porte, mais le destin était de son côté, au moment, où elle arriva à la porte, son père l’ouvrait.

Il fut complètement stupéfait de retrouver sa femme et sa fille, à moitié nue, et il faillit lâcher les sacs lorsque ses yeux tombèrent sur les énormes seins nus d’Anne.

Celle-ci les retint, et lui chuchota :

Entre, doucement, et regarde, ça va te plaire.

Charles était totalement abasourdi, il suivit les consignes de sa fille, posa doucement les sacs près du lit et regarda ce que sa fille s’apprêtait à faire.

Il ne quittait pas des yeux, les énormes seins d’Anne et la regarda reprendre de l’huile dans ses mains et est allé s’assoir sur les cuisses de sa mère.

Elle reprit son étalage d’huile, Marie poussa un nouveau soupir d’aise, et s’abandonna complètement, Anne passa ensuite aux jambes de sa mère, elle reprit de l’huile et l’étala tout le long.

Charles bandait comme un fou en regardant les ravissantes fesses de sa fille séparées par un tout petit string.

Lorsqu’il vit Anne glisser ses mains huileuses sous la culotte de sa mère, il crut qu’elle allait se retourner pour stopper les caresses de sa fille.

Il fut abasourdi, de la voir sans réaction, Anne lui caressait maintenant les fesses, et il l’entendit même lui dire :

Continue, ma chérie, c’est si bon, ce que tu me fais.

Charles ne put résister plus longtemps, tandis qu’Anne reprenait de l’huile dans ses mains pour les glisser de nouveau sous la culotte de sa mère, son père sortait sa queue de son pantalon et se branlait en les regardant.

Anne le regarda se branler, en se léchant les lèvres d’envie, alors tandis qu’elle glissait doucement ses doigts dans la raie des fesses de sa mère, elle se cambra et fit comprendre à son père, qu’elle en voulait autant de sa part.

Charles ne savait plus s’il rêvait ou non, mais il ne se fit pas prier pour se rapprocher des superbes fesses de sa fille et de commencer à les caresser.

Lorsqu’il voulut lui retirer son string, Anne dit à sa mère :

Je vais retirer ta culotte maman, elle est trempée.

Marie n’osait pas avouer à sa fille, qu’elle mouillait abondamment, sans comprendre pourquoi, son massage l’excitait énormément, et sa chatte s’était mise à mouiller copieusement, alors elle ne répondit pas, et lorsqu’Anne tira sur les bords de sa culotte, elle souleva les fesses pour lui faciliter la tâche.

Tandis qu’Anne retirait la culotte de sa mère, Charles retirait le string de sa fille, faisant en sorte qu’elles soient complètement nues toutes les deux.

Anne écarta les jambes de sa mère, elle s’agenouilla entre ses cuisses, elle prit le flacon d’huile et la fit couler dans la raie des fesses de Marie.

Celle-ci sentait l’huile couler entre ses fesses, venir lui imbiber l’anus, et s’insinuer dans sa chatte en feu, lorsqu’elle sentit les mains de sa fille se poser à l’intérieur de ses cuisses, elle ne put s’empêcher de cambrer ses reins, pour lui faire comprendre où elle voulait sentir ses mains.

Et alors qu’Anne glissait ses doigts huileux sur le clitoris de sa mère, elle tourna la tête vers son père, pour montrer où elle voulait sa bite.

Charles était trop excité pour réfléchir, il se plaça derrière les fesses de sa fille et plaça sa queue à l’entrée de la chatte d’Anne, il fut surpris de voir sa queue se faire aspirer par cette chatte brulante, il se cramponna aux hanches de sa fille et s’enfonça entièrement en elle.

Elles gémirent toutes les deux, en même temps, mais Marie était trop excitée pour réfléchir à la raison des gémissements de sa fille, et lorsqu’Anne enfonça ses doigts dans la chatte de sa mère, Charles commença les va-et-vient, il ne se rappelait avoir été si bien au fond d’une chatte, c’était comme si sa queue se faisait masser par le vagin de sa fille, c’était un pur délice.

Tandis que son père commençait à la baiser, Anne fit comprendre à sa mère de relever ses fesses, celle-ci, complètement soumise à ses pulsions, releva ses fesses, et offrit son intimité à sa fille, sans aucune pudeur, Anne plongea sa langue dans la chatte maternelle.

Marie se mit à pousser des gémissements de plaisirs, la langue de sa fille lui procurait un intense plaisir, et même si sa morale lui disait qu’elle pratiquait un acte incestueux, son corps n’arrêtait pas de lui réclamer encore plus de plaisir.

D’un seul coup, la langue d’Anne se transforma en bite, et bientôt Marie avait l’impression de se faire baiser par la langue de sa fille, elle ne put se retenir de lui crier :

Ouiii, continue, ma chérie, ouuiii, encooorreeee, baiseeee-moiiiii.

Anne se mit à baiser la chatte de sa mère, au même rythme que son père baisait la sienne avec sa bite.

Elle sentait la queue qui avait remplacé son clitoris se mettre à bander, alors elle sortit sa langue/bite de la chatte de sa mère et se redressa,

sa langue reprit sa forme initiale et elle dit à sa mère :

Mets-toi à 4 pattes, maman, je vais te faire du bien.

Marie était folle de plaisir, elle obéit à sa fille et lui offrit sa croupe sans aucune honte, tandis qu’Anne guidait sa queue bien dure contre la chatte de sa mère, elle se tourna vers son père et lui chuchota :

Mets-la-moi dans le cul, papa, j’adore ça et ce sera plus facile pour la suite.

Charles n’avait jamais enculé une femme de sa vie, il avait souvent fantasmé sur cette pratique, mais n’avait jamais osé le proposer à sa femme.

Alors quand sa fille lui demanda de l’enculer, il sortit aussitôt sa bite de sa chatte et tandis qu’Anne enfonçait sa queue dans la chatte de sa mère, il enfonçait la sienne dans le cul étrange souple de sa salope de fille, il passa ses mains sous ses bras, pour pétrir ses deux énormes seins qui l’excitaient tant.

La mère et la fille se mirent aussitôt à crier de plaisir, l’une avec une énorme queue extraterrestre qui lui ramonait si bien le vagin, et l’autre avec la bite de son père qui se déchaînait entre ses fesses.

Pendant ce temps, Kelly et Eddy avaient continué à discuter ensemble, et malgré quelques tentatives infructueuses de Venom sur elle, Eddy avait très envie de faire succomber sa belle-sur.

Mais Kelly finit par remarquer que ses parents et sa sur avaient disparu depuis un bon moment, elle demanda à Eddy :

Mais ils sont passés, tous les trois ?

Ils doivent être en train de préparer les chambres, tu veux que je te montre la tienne ?

Oui, pourquoi pas.

Ils partirent en direction des chambres, et furent intrigués par un bruit étrange, une sorte de gémissement.

Kelly prit aussitôt la direction de l’origine de ce bruit, Eddy la suivit, se doutant parfaitement de ce que pouvaient bien faire les parents et Anne, Venom lui dit intérieurement :

Je crois qu’Anne a raté le test.

Je crois aussi.

On se concentre sur la sur ?

Oui, c’est elle qui me faut, je le sens.

Alors il suivit Kelly, et plus ils approchaient, plus les gémissements étaient accompagnés de claquements.

Kelly avait parfaitement reconnu le genre de gémissement dont il s’agissait, mais elle entendait deux femmes jouirent simultanément, et elle était loin de pouvoir imaginer la scène qui se déroulait dans la chambre des parents.

Lorsqu’elle arriva enfin devant la porte, elle n’eut qu’à la pousser doucement, pour découvrir une scène des plus lubriques et des plus incestueuses.

Sa mère totalement nue, à 4 pattes, avec Anne, tout aussi nue, accrochée à ses hanches et qui semblait lui baiser la chatte, tandis que son père se déchaînait derrière Anne.

Kelly fut complètement anéantie par cette scène complètement ahurissante, Eddy/Venom profita de ce moment de faiblesse, pour se coller à elle et glisser un fin tentacule entre ses cuisses.

Mais alors que le tentacule allait se glisser sous son string, Kelly voulut intervenir, Eddy l’en empêcha, et lui chuchota :

Non, laissez-les continuer, s’ils vous voient, ils vont mourir de honte.

Mais …

Kelly voulut répondre, mais elle sentit quelque chose venir s’agripper à son clitoris, et devant tant de débauche, elle s’abandonna et laissa cette chose chaude et douce prendre possession de son clito.

Elle ne chercha pas qu’elle pouvait être cette chose qui lui suçotait le clitoris, elle continua de regarder ses parents et sa sur baiser comme les pires pervers sur terre.

Elle sentit la main d’Eddy se poser sur ses fesses, et elle le laissa faire, en l’entendant lui dire :

On pourrait peut-être s’amuser aussi tous les deux ?

Elle ne put répondre, car la chose qui lui suçotait le clitoris commença à vouloir s’insinuer dans sa chatte, complètement perdue par toutes ses émotions, Kelly ne trouva rien de mieux que d’écarter les cuisses, et laissa cette chose s’enfoncer en elle.

Et alors qu’elle la sentait prendre possession de son vagin, elle sentit Eddy glisser une main dans son corsage et venir lui peloter ses seins.

Elle tourna la tête vers lui, et lui roula une pelle passionnée, elle s’abandonna complètement, et se mit à gémir à son tour dans la bouche de son beau-frère.

Eddy la plaqua dos contre le mur juste à côté de la porte de la chambre et la souleva du sol à l’aide des tentacules de Venom, Kelly était complètement perdue dans son plaisir, elle ne chercha pas à comprendre comment Eddy pouvait la soulever contre le mur, alors que ses mains lui pelotaient les seins.

Elle s’accrocha à son cou et passa les jambes autour de sa taille, prête à se faire prendre par son beau-frère.

Elle sentit la chose qu’elle avait dans la chatte en sortir et sentit ensuite l’énorme bite d’Eddy venir cogner contre son clito.

Eddy plia légèrement les jambes et enfonça sa grosse queue dans la chatte brulante de Kelly, elle poussa un long râle de plaisir en sentant cette énorme bite s’enfoncer en elle, jamais elle ne s’était fait baiser par une si grosse queue.

Elle jouit comme une folle, en la sentant coulisser entre ses cuisses, elle s’agrippa encore plus fort à Eddy et abandonna ses lèvres pour lui dire :

Ouiiii, défonce-moiii, elle est troooppp bonnne ta biiiteeee, baiseee-moiii comme les deux autres salopppessss.

Elle replongea sa langue dans la bouche d’Eddy et gémit de plaisir.

Tout en continuant de la baiser, Eddy l’emmena dans une autre chambre, où il put s’isoler et la défoncer comme une salope en chaleur.

Ils se retrouvèrent rapidement à poil, et tout en lui défonçant la chatte, Eddy tenta d’enfoncer un tentacule dans le cul de Kelly.

Lorsqu’elle sentit une chose s’insinuer contre son anus, elle dit en gémissant :

Doucement, je suis encore vierge du cul.

Mais elle était tellement ivre de plaisir qu’elle était prête à se faire prendre par tous les trous.

Les tentacules de Venom étaient spécialement conçus pour s’insinuer dans les orifices encore vierges, alors Kelly fut presque surprise de ne ressentir aucune douleur, lorsque cette chose s’enfonça dans son cul.

Elle ne ressentait que du plaisir, et après seulement quelques aller-retour du tentacule dans son cul, elle se mit à crier de plaisir, tellement elle jouissait avec une énorme bite dans la chatte et une autre dans le cul.

Elle était allongée sur le lit, les cuisses grandes ouvertes et criait tout son plaisir, tandis qu’Eddy lui léchait ses tétons durs d’excitation.

Dans la chambre à côté, la larve qu’Anne avait en elle s’était dédoublée et en plus de s’enfoncer dans la chatte de sa mère, elle s’était enfoncée également dans son cul.

Marie avait bien senti que quelque chose s’insinuait entre ses fesses, mais elle prenait tellement de plaisir, qu’elle la laissa entrer dans son cul et la sentit grossir doucement à l’intérieur, si bien qu’elle avait maintenant deux grosses bites dans le cul et la chatte, ce qui décupla encore son plaisir.

Charles avait déjà joui 2 fois dans le cul de sa fille, mais sa bite ne semblait pas vouloir débander, et les suppliques d’Anne le motivait à continuer, il lui besognait le cul comme un forcené, ils étaient tous les trois en sueur, mais continuaient de baiser comme des bêtes sauvages.

Ils baisèrent jusqu’à être complètement épuisés, et dans un ultime orgasme de Marie, d’Anne et de Charles, ils s’écroulèrent tous les trois sur le lit, et s’assoupirent encore imbriqués les uns dans les autres.

Pour Eddy et Kelly, cela dura plus longtemps, Eddy la baisa et l’encula pendant plusieurs heures, il n’avait jamais rencontré une femme avec autant d’énergie, et même lorsqu’il lui enfonça un autre tentacule dans la bouche, elle se mit à la sucer comme s’il s’agissait d’une bite.

Elle se faisait prendre par tous les trous, mais le plaisir qu’elle prenait était tel qu’elle ne chercha pas à comprendre comment Eddy faisait pour lui enfoncer une bite dans chacun de ses orifices.

Lorsque vint le moment de l’éjaculation pour Eddy, Venom lui demanda :

On lui injecte une larve à cette salope ?

Oui, si tu as raison, elle devrait être capable de la maîtriser.

Tout à fait.

Et ce fut le moment de l’apothéose du plaisir pour Kelly, elle sentit qu’on lui fourrait tous ses orifices avec du sperme bien chaud, elle avala tout ce qu’elle reçut dans la bouche, mais elle sentait son cul et sa chatte déborder tellement il y en avait.

Elle ressentit un orgasme puissant la traverser, et elle jouit comme jamais elle n’avait joui.

Si bien que lorsqu’Eddy lui retira les tentacules et sa grosse bite, elle s’effondra et s’assoupit d’une seule traite.

Eddy la laissa seule, se reposer, il avait besoin de reprendre des forces, alors il se dirigea vers la cuisine et en passant devant la chambre des parents, il vit que les 3 complices incestueux étaient, eux aussi, complètement endormis.

Il prit un poulet entier dans le frigo, et tandis qu’il l’avalait d’une seule bouchée, Venom lui dit :

Il va falloir retirer la larve à Anne et voir comment sa sur réagit avec la sienne.

Oui, il va falloir les garder sous surveillance toutes les deux.

Comment tu comptes t’y prendre ?

Oh, ce n’est pas très compliqué, je vais demander à ses parents et à sa sur de prolonger leur séjour, et vu ce qu’il vient de se passer, ils seront certainement d’accord.

Tu veux que j’implante une larve à Marie ?

Ce serait envisageable, selon comment elle réagit quand elle se réveillera.

Quelques heures plus tard, tout ce petit monde se réveilla doucement, Marie sentit quelqu’un dans son dos, elle se rappela ce qu’elle venait de vivre, elle était partagée entre la honte et la tentation de recommencer, son anus était encore très sensible, mais elle se souvenait avoir pris un plaisir incroyable avec la bite de sa fille dans le cul.

Et d’un seul coup, elle se demanda comment sa fille avait bien pu la baiser et encore plus l’enculer en même temps.

Elle se retourna pour voir si sa fille ne s’était pas équipée d’un gode ceinture, mais elle fut déconcertée de trouver Charles, dans le dos d’Anne.

Elle constata qu’ils étaient tous les trois, complètement nus, elle supposa, à juste titre, que son mari avait baisé sa propre fille, et sans doute en même temps qu’Anne la baisait et l’enculait.

Elle ressentit un étrange soulagement de ne pas être la seule à avoir succombé à l’inceste, et alors qu’Anne ouvrait les yeux, en lui disant :

Ça va, maman, ça t’a plu ?

Marie ne put qu’admettre :

Oui, ma chérie, tu m’as fait jouir comme jamais je n’avais joui, mais…

Se doutant de la phrase de sa mère, Anne la devança :

Tu sais, maman, il n’y a pas de honte à avoir, on a pris du plaisir entre adultes consentants, et puis je suis sûre que papa serait ravi de recommencer.

Celui-ci était réveillé depuis un moment, mais fit l’endormi en écoutant la conversation des deux salopes, il répondit à sa fille en passant une main sur un de ses énormes seins :

Si tout le monde est d’accord, je n’y vois aucun inconvénient.

Marie regardait son mari peloter les gros seins de sa fille, et leur dit :

Donc on laisse tomber toute morale dans cette famille ?

Anne passa une main entre les cuisses de sa mère, qui les écarta, lui laissant libre accès à son intimité et lui dit :

OK très bien, et pour Kelly, vous comptez la faire participer à nos partouzes familiales ?

Anne lui répondit, en enfonçant deux doigts dans la chatte de sa mère :

Si elle en a envie, autant que nous, pourquoi pas.

Mais ils sursautèrent tous les trois en entendant Eddy leur dire :

A mon avis, Kelly ne sera pas difficile à convaincre.

Marie et Charles furent surpris de trouver leur gendre complètement nu à l’entrée de la chambre, ils s’empressèrent de trouver quelque chose pour se couvrir, Marie se cacha sous la couette, tandis que Charles se camouflait derrière sa fille nue.

Eddy se rapprocha du trio incestueux, et leur dit :

Vous n’avez pas de honte à avoir, cette maison a une étrange tendance à pousser les familles à l’inceste, et vous n’êtes pas les premiers à y succomber.

Marie n’arrivait pas à lâcher des yeux, l’énorme bite de son gendre, elle n’avait jamais vu une queue aussi grosse, et alors qu’Anne frottait ses fesses contre la queue de son père, sa mère sentait sa chatte frétiller d’envie.

Eddy continua de s’approcher, tout en leur énonçant les bienfaits de l’inceste, si bien qu’il fut bientôt assez proche de sa belle-mère pour qu’elle n’ait qu’à tendre la main pour lui branler sa queue bien dure et bien raide.

Il avait bien remarqué l’intérêt de sa belle-mère sur sa grosse bite, alors il se rapprocha encore, pour qu’elle ait son énorme gland à quelques cms de son visage.

Et tandis qu’Anne faisait coulisser ses fesses le long de la bite dure de son père, Eddy dit à Marie :

Elle est toute à vous, vos deux filles ont beaucoup apprécié de l’avoir dans la chatte ou dans le cul, ce serait normal que la mère y goûte aussi.

Sans pouvoir se retenir plus longtemps, Marie avança sa main et son visage de la grosse queue de son gendre et se mit à branler la plus grosse bite qu’elle n’avait jamais eu le plaisir de tenir, complètement dominée par ses pulsions, elle approcha sa bouche, sortit sa langue et se mit à lécher la hampe de cette énorme queue.

En voyant sa femme se mettre à sucer la bite de son gendre, Charles enfonça sa bite bien dure dans la chatte brulante de sa fille et se mit à la baiser encore une fois.

Marie continua de sucer la bite d’Eddy et dut ouvrir en grand sa mâchoire pour pouvoir se l’enfoncer dans la bouche, elle la pompa du mieux qu’elle put.

A partir de là, tout s’enchaîna rapidement, tandis que Charles se déchaînait dans la chatte d’Anne, Marie se fit baiser et enculer par son gendre, et tout comme avec sa fille, elle se fit prendre par le cul et la chatte en même temps, elle était en train de chevaucher l’énorme queue d’Eddy, s’empalant la chatte dessus, lorsqu’elle sentit quelque chose de chaud et humide se glisser entre ses fesses, se rappelant le plaisir qu’elle avait pris avec sa fille, elle s’écarta, elle-même, les fesses, et dit à Eddy :

Ouiiii, vas-yyyy, mets-la-moi dans le cuuuulll, ausssii, j’aimeee çaaaaa.

Eddy enfonça donc le tentacule dans le cul de sa belle-mère et celle-ci se mit à sauter de plus belle sur les deux grosses bites qu’elle avait dans ses orifices.

Anne et Marie hurlaient de plaisir sous les coups de bite du père pour l’une et du gendre pour l’autre.

Et alors que Charles éjaculait une énième fois dans le cul de sa fille, Marie se faisait remplir le cul et la chatte par le sperme chaud et étrangement piquant, comme-ci on lui inondait la chatte et le cul avec du sperme au piment doux.

Cela lui procura un orgasme d’une puissance phénoménale, elle hurla son plaisir comme une folle furieuse.

Quand son gendre eut fini de lui remplir ses orifices avec son sperme incroyable, elle s’effondra sur lui et s’assoupit.

Charles avait les couilles complètement à sec, alors il se contenta de regarder sa femme jouir comme une folle, en caressant les énormes seins de sa fille.

Il n’avait jamais vu sa femme jouir si fort, alors lorsqu’Anne lui dit :

Je crois que maman va être accroc à la bite d’Eddy.

Il ne trouva rien d’autre que lui répondre :

Oui, je crois aussi, heureusement que je pourrais compter sur toi, pour me soulager.

Oh oui, ne t’inquiète pas pour ça, papa, et peut-être que Kelly me donnera un coup de main.

Eddy souleva Marie comme une plume et la reposa sur le lit avec Anne et Charles, il se leva et leur dit :

Je pense que l’on va passer un très bon WE, tous ensemble, par contre Charles, je préfère te prévenir, ta femme et tes filles vont devenir de grosses salopes, et se feront baiser par toutes les bites qu’elles trouveront.

Charles essaya de s’imaginer sa femme, qui jusqu’à aujourd’hui était une femme prude et bienséante, devenir la pire des salopes, ce dont il venait d’avoir un aperçu alors qu’elle se faisait défoncer par Eddy.

Il ne trouva rien à dire, et laissa Eddy sortir de la chambre, laissant sa femme pleine de son sperme, et il le découvrirait plus tard, avec une larve extraterrestre dans le ventre.

Le WE passa tranquillement, Kelly et Marie sentirent quelque chose s’installer dans leur vagin et devinrent toutes les deux, de grosses salopes en manque de bite, heureusement pour elles, Eddy avait prévu le coup et avait invité les plus fidèles clients de ses clubs.

Elles furent ainsi, se faire prendre toutes les trois, par tous les trous. Kelly fut presque étonnée de ne ressentir aucune honte lorsque son père se glissa entre ses cuisses et vint lui enfoncer sa bite bien dure au fond de la chatte.

Elle ne trouva rien d’autre à lui dire que :

Ouiii, vas-yyy, papaaaa, baisseee-moiiiii.

Elle jouit comme une folle, alors que son père se déchaînait dans sa chatte, qu’un autre homme lui défonçait le cul et que deux autres lui tendaient leur bite pour qu’elle les suce.

Le WE fut pour la famille d’Anne un pur moment de débauche, où chacun de ses membres plongeait plus profondément dans la luxure et la décadence.

Le dimanche matin, alors que tous les invités d’Eddy étaient partis, les couilles complètement à sec, laissant les trois salopes intégralement couvertes de sperme, allongées au milieu du salon.

Eddy était en train de leur préparer un petit-déjeuner pour leur permettre de récupérer des forces, lorsque Charles émergea d’une chambre, toujours complètement nu, n’ayant plus aucun scrupule à se promener dans la tenue d’Adam.

Il vit ses filles et sa femme complètement nue sur le sol, couverte d’un liquide visqueux, dont il devinait aisément la provenance, il se dirigea vers Eddy, et lui dit :

Putain, quelles salopes, ces trois-là, elles ont vidé les couilles de tous les hommes.

Eddy rit et dit à son beau-père :

Je crois que vous en avez bien profité, vous aussi.

Euh, oui, oui, mais je ne pensais pas que ma femme et mes filles soient aussi accroc au sexe.

Oh vous savez, il suffit d’un petit déclic quelquefois, et toute la vie s’en trouve bouleversée.

Oui, mais alors là, c’est un changement radical, il y a encore 24h, jamais je n’aurais pu imaginer ma femme et mes filles couvertes de sperme comme maintenant.

Il y a un peu du vôtre, sur elles, d’ailleurs.

euh, effectivement, mais j’ai encore du mal à y croire, elles paraissaient si innocentes, encore hier.

Les jours qui vont suivre vous feront découvrir une nouvelle facette d’elles, mais je pense que vous n’allez pas vous en plaindre.

Charles prit un moment, pour réfléchir à ce que pourrait bien devenir sa vie avec ces 3 salopes, mais il était loin de pouvoir imaginer ce qu’allait vraiment devenir sa vie, alors il répondit :

C’est sûr qu’avec elles, je ne suis pas prêt de devoir me branler pour me soulager.

Ils restèrent tous les 5 ensemble, le restant du WE, ils passèrent la plupart du temps à baiser comme des bêtes en rut.

Eddy demanda à Kelly de rester avec lui et Anne, ce qu’elle accepta volontiers, ne ressentant plus aucune honte à baiser avec son beau-frère, ou même avec sa propre sur.

Charles et Marie les laissèrent et grâce à la larve dans son vagin, Marie devint rapidement la nouvelle salope de leur quartier bourgeois, ses anciennes amies furent choquées de son comportement dépravé, mais leurs maris beaucoup moins, surtout lorsqu’ils avaient leurs bites fourrées au fond de son cul ou de sa chatte.

Quelques jours après ce fameux WE, Eddy dut retirer la larve d’Anne, elle fut frustrée de ne pas pouvoir aller jusqu’au bout de l’évolution. La larve en elle, la poussa même à s’enfuir afin de finir son développement.

Mais Eddy/Venom la rattrapa avant qu’elle ne puisse même sortir de la villa, lui enroula des tentacules autour de chaque membre et la souleva de terre, elle le suppliait de la laisser finir le développement de la larve, mais Venom enfonça trois nouveaux tentacules dans chacun de ses orifices, et commença à la baiser par tous les trous.

Kelly avait découvert la véritable nature de la larve qu’elle avait en elle, et avait faite la connaissance avec Venom et ses nombreux tentacules, il lui avait expliqué comment allait se passer l’évolution de ce qu’elle avait dans son ventre, et étrangement, elle ne fut pas du tout inquiète d’héberger un être extraterrestre dans son ventre.

Lorsqu’elle vit l’extraction de la larve du ventre de sa sur, elle fut tout de même un peu inquiète, mais une fois sa tâche accomplie, Eddy lui dit :

Je suis à la recherche d’une personne digne de conserver cette larve, et devenir mon égal, je pensais que ta sur était cette personne, mais elle était complètement dominée par la larve.

Kelly regarda sa sur gisante sur le canapé, où Venom l’avait déposé, et répondit :

Tu crois que je suis cette personne ?

Je l’espère.

Qu’est-ce que je dois faire pour le devenir ?

Rien de très particulier, tu sais déjà que la larve en et a besoin de sperme pour se nourrir, donc il te suffit de lui fournir ce dont elle a besoin, sans pour autant succomber à ses moindres désirs.

Donc si je comprends bien, il faut que je me fasse baiser, mais pas trop ?

Ce n’est pas tout à fait ça, tu peux baiser autant que tu veux, mais il faut que ça vienne de toi, et pas que tu sois poussée à le faire par la larve.

OK, je comprends.

Eddy réinsémina Anne, le lendemain, elle retourna dans son appartement, où seulement après quelques jours de développement de la larve, elle se faisait défoncer par tout l’immeuble.

Kelly emménagea avec Eddy, et au fil des jours, elle sentait un besoin de sperme grandissant, mais contrairement à Anne, elle n’eut aucun mal à contrôler ses pulsions, et n’y succombait que lorsqu’elle l’avait décidé.

Elle travaillait dans une bibliothèque, elle avait changé un peu sa tenue de travail, et portait plus souvent des minijupes que ses longues robes habituelles.

Avant sa rencontre avec Venom, elle avait souvent remarqué les regards pervers des étudiants sur ses seins ou sur ses fesses, mais depuis qu’elle avait une larve en elle, elle la sentait vibrer dans sa chatte, à chaque fois qu’elle sentait leurs yeux se poser sur ses seins, surtout que ses décolletés étaient de plus en plus ouverts.

Mais malgré la sollicitation de la larve, elle résistait et attendait le soir que la bibliothèque se vide, et si les étudiants étaient suffisamment patients, elle ouvrait un peu plus son décolleté, et se penchait près d’eux pour leur offrir la vue complète de ses seins nus, elle se dirigeait ensuite dans un coin isolé, ils ne tardaient pas à la suivre, et alors qu’elle était penchée en avant, les jambes tendues, afin de bien faire remonter sa minijupe sur ses fesses, ils pouvaient admirer son joli petit cul habillé d’un superbe petit string.

En règle générale, ils ne résistaient pas longtemps avant de poser leurs mains fébriles sur ses superbes fesses, bien entendu, Kelly les laissait faire, et en moins de 5 minutes, ils se retrouvaient tous à poil, en train de baiser au fond de la bibliothèque, Kelly pouvait ainsi se faire remplir de sperme par de jeunes étudiants, qui étaient tous ravis de voir leur bite toujours bien dure, même après avoir éjaculé, et se vidaient les couilles jusqu’à en avoir mal.

Au fil des jours de l’évolution de la larve, elle sentit les besoins de la larve grandir, et s’installer dans son cul, alors au lieu d’attirer un seul étudiant, elle essayait d’en exciter plusieurs avec son décolleté ou ses fesses, si bien qu’à partir de là, elle se fit bientôt prendre par plusieurs jeunes hommes, dans son coin habituel de baise.

Ils la prenaient très souvent en sandwich, lui défonçant le cul et la chatte en même temps.

Le directeur de la bibliothèque, avait remarqué le changement de tenue de Kelly, mais surtout ses seins qui avait grossi progressivement depuis quelques jours, et lui faisait un décolleté très excitant, si bien qu’il avait un mal fou à ne pas manger des yeux les gros seins de Kelly qui étaient passés d’un joli 80C à un imposant 90E.

Alors qu’il s’occupait des affaires habituelles à son bureau, au fond de la bibliothèque, il jeta un il à Kelly qui se déplaçait gracieusement, rangeant les livres ramenés par les étudiants, il entendit les commentaires salaces de certains d’entre eux :

Putain, quelle paire de miches, elle se tape la salope.

Et quel cul, en plus, elle adore se faire enculer, cette chienne.

Oui et putain ce qu’elle suce bien, cette pute.

J’espère qu’on va encore pouvoir la baiser ce soir, quand tout le monde sera parti.

Le directeur n’arrivait pas à croire ce qu’il entendait, mais il comptait bien en avoir le cur net, alors il fit semblant de partir à ses horaires habituels, mais passa par la sortie de secours, pour revenir dans la bibliothèque et voir ce qu’il s’y passait quand il était parti.

Il vit Kelly se rapprocher du groupe d’étudiant, mais contrairement à tout à l’heure, son chemisier était encore plus ouvert, et quand elle se pencha pour prendre un livre, elle leur offrit la vue complète de ses gros seins nus.

Le directeur était caché derrière une étagère, mais même d’où il était, il pouvait voir les deux gros nichons de Kelly pendre sous son chemisier, il n’en revenait pas.

Il ne la quittait pas des yeux, et en attendant, les gens s’en aillent, pour faire patienter les jeunes étudiants, il la voyait multiplier les exhibitions de ses gros seins et alors qu’il ne restait pratiquement plus personne dans la bibliothèque, il la vit se pencher en avant, les fesses tournées vers les étudiants, et leur dévoiler ses superbes fesses, séparées d’un tout petit string.

Il entendit les étudiants dire :

C’est le signal, allez, on va baiser cette grosse salope.

Le directeur les vit tous se lever et suivre Kelly qui s’était faufilée dans un coin de la bibliothèque.

Il attendit que tout le monde soit parti pour les suivre à son tour, et plus il se rapprochait, et plus il entendait des gémissements de plaisir dans le coin le plus isolé de la bibliothèque.

Il ne put s’empêcher de bander comme un fou, en voyant Kelly, complètement nue, avec 3 étudiants autour d’elle, le premier, à genoux derrière elle, l’enculait profondément, le deuxième, allongé sur le sol, lui baisait sauvagement la chatte et elle pompait comme une affamée la bite du troisième.

Le directeur sort

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