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Confessions d'une esclave sexuelle – Chapitre 9




Suite à ce qu’il s’était passé cet après-midi-là, il était évident qu’il allait y avoir des conséquences au travail. Carlos pensait en effet que j’étais désormais à lui et qu’il pouvait disposer de moi quand il le voulait. Dès que je me retrouvais seule avec lui, il parvenait à me coincer et à me peloter toutes les parties de mon corps. J’arrivais toujours à me défaire, mais cela me demandait de gros efforts physiques tant Carlos était massif et puissant. Je ne faisais plus attention aux nombres d’insultes et de menaces que je recevais de sa part. Quand j’étais dans mon bureau et qu’il était dans les locaux, je prenais l’habitude de m’y enfermer pour qu’il ne puisse pas rentrer. J’avais parlé de cette situation qui m’inquiétait à mon Maître. Cela le faisait marrer, et il trouvait normal qu’il essaie de me baiser. J’étais très certainement la plus belle femme qu’il ait pu défoncer, me disait-il.

Cependant, il m’interdit formellement de baiser une nouvelle fois avec lui et m’avait prévenue que je serais punie très sévèrement si je le laissais faire. Cela ajoutait un challenge supplémentaire, car la pression de Carlos était de plus en plus pesante au quotidien.

Un vendredi en fin d’après-midi, alors que je m’apprêtais à quitter le travail (peu de personnes travaillaient le vendredi après-midi et j’étais la dernière à fermer le bâtiment), Carlos débarqua dans mon bureau avec ses deux collègues qui m’avaient reluquée comme des porcs la dernière fois. Comme il ne devait pas être présent dans le local et que j’allais partir, je n’avais pas fermé ma porte à clé. J’étais submergée par le stress et la panique. Je savais qu’ils ne venaient pas pour bavarder et je voyais mal comment m’extirper de cette situation, seule face à 3 hommes sans aucun collègue aux alentours pour me venir en aide. Rassemblant mes forces, je pris la parole :

Bonjour Messieurs, je m’apprêtais à partir. Si je peux faire quelque chose pour vous, il faudra repasser lundi matin.

Les trois gars éclatèrent de rire. Carlos me répondit :

Malheureusement ma belle, notre problème est bien trop important pour pouvoir attendre un week-end entier. Nos bites sont en feu et on a besoin d’une bonne grosse salope comme toi pour nous vider les couilles.

Comment oses-tu me parler Carlos ?? Tu vas trop loin, je vous demande de quitter mon bureau sinon je me mets à hurler.

Cela faisait à nouveau rire les garçons.

Crie si tu veux. Il n’y a plus que nous 4 ici, Sylvie vient juste de partir. Nous avons bien pris le soin de fermer l’entrée du bâtiment derrière elle. D’ailleurs, je vais aussi fermer ce bureau.

Il se dirigea vers la porte et ferma mon bureau, gardant la clé dans sa poche.

S’il te plaît Carlos, je ne sais pas ce qu’il t’arrive et pour qui tu me prends, mais rouvre cette porte et partez avant que vous ne le regrettiez. Je ferai comme si rien ne s’était passé. S’il vous plaît.

Pour qui je te prends ? Mais pour la grosse pute de la boîte, celle sur qui j’ai versé tout mon sperme et avec qui je vais remettre ça.

Arrête de dire n’importe quoi !!! Va-t’en maintenant !! criais-je en sanglotant.

Tu me traites de menteur devant mes amis ??

Je recevais une violente claque en pleine figure. Avec une telle paluche, j’étais sonnée quelques secondes. Il sortait le téléphone de sa poche pour me le coller sous les yeux.

Ça c’est quoi ?? Et ça ?? Et là, ce n’est pas toi qui as ma bite dans la bouche avec ton regard de chienne ?? C’est moi le menteur ??? me dit-il en me saisissant par les cheveux.

Je ne savais plus quoi dire. Le salaud avait sûrement profité du moment où il faisait les photos avec mon téléphone pour se les envoyer sur le sien.

Réponds !!!! me hurla-t-il dessus.

Non, tu ne mens pas…

Henri et Cyril explosèrent à nouveau de rire.

C’est qui qui a ma bite dans sa bouche ?? Et c’est qui là, avec tout mon sperme sur son visage ??? m’interrogea Carlos.

C’est moi…

C’est toi ?? Si c’est toi alors tu dois dire : C’est moi la grosse pute videuse de couilles, me demanda de répéter Carlos.

C’est moi la grosse pute videuse de couilles…

Bien… Et donc, qu’est-ce que tu vas nous faire maintenant ?? me demanda-t-il en me secouant la tête, la tignasse toujours tenue entre sa grosse main.

Je vais vous vider les couilles.

Et bah voilàààà. T’as tout compris ! C’est bien, t’es une petite chienne obéissante à son maître. A GENOUX !!! m’ordonna-t-il.

Je comprenais rapidement qu’ils ne partiraient pas et que ça ne servait à rien de lutter, c’était une perte de temps. Quitte à me faire baiser par 3 mecs en même temps (ce qui allait être une grande première), autant que je me laisse aller et que j’essaie de prendre du plaisir. Comme expliqué maintes fois, Carlos était vraiment laid, mais ses deux amis n’étaient pas trop trop mal. Il y avait donc moyen, en m’abandonnant, que je puisse prendre du plaisir. De toute façon, je savais que je ne pourrais pas éviter la grosse punition de mon Maître. Il était déjà 16h30 passé, à 3 sur moi, je ne serai certainement jamais rentrée avant lui à l’appartement pour l’attendre, d’autant plus qu’il rentre plus tôt le vendredi (et, comme par hasard, il m’avait dit qu’il ne sortirait pas avec ses amis ce soir-là…). J’allais aussi être obligée de lui dire que j’avais couché avec Carlos, ce qu’il m’avait formellement interdit. Alors rajouté à ça, deux mecs en plus…

J’allais donc vraiment prendre très très cher le soir même, alors autant me lâcher et prendre un peu de plaisir avec ces 3 hommes.

A genoux, j’étais très vite encerclée par les trois gars qui avaient déjà sorti leurs bites. Je n’avais pas besoin de trop les toucher pour qu’elles soient déjà bien dressées et dures. Chacun leur tour, ils m’enfonçaient leurs queues au plus profond de ma gorge. Celle de Carlos sentait toujours autant le poisson pourri, mais celles d’Henri et Cyril étaient bien plus propres et agréables en bouche. Je commençais à prendre beaucoup de plaisir à être entourées de ces queues. Pendant que j’en suçais une, je branlais les deux autres avec mes mains si bien que personne n’était en attente. Ils s’amusaient également à me biffler de temps en temps en m’insultant d’à peu près tous les noms possibles et imaginables. Victor Hugo n’avait qu’à bien se tenir, j’étais en présence de trois grands poètes.

Ensuite, ils m’ont mis en position levrette. Un des gars se mettait derrière moi pour me baiser soit la chatte soit le cul. Évidemment, ils n’y allaient qu’avec très peu de douceur… Un second restait debout pour se faire sucer et le 3ème restait autour, me tripotant un peu les seins, se faisant un peu sucer, mais sa mission principale semblait être de filmer la scène et de faire des vidéos. Ils échangèrent leurs positions à tour de rôle. J’avais les genoux râpés et rouillés à force de rester dans cette position. Cependant, les assauts répétés de ces 3 bites me procuraient un énorme plaisir. J’étais vraiment trempée et mes jouissances étaient de plus en plus fortes. J’étais pilonnée non-stop.

Ils me demandaient également de leur lécher le cul. Quand je dis demander, ils me plaquèrent plutôt la tête contre leur trou de balle si bien que je n’avais pas mon mot à dire ! Je prenais tout de même vraiment beaucoup de plaisir à être soumise à ce point. Bon, le plaisir fut tout de même interrompu lorsque ce gros beauf de Carlos me présenta son gros cul poilu et qu’il me demanda de lui nettoyer avec ma langue. Ses poils étaient luisants de transpiration et il sentait fortement la merde. J’ai mangé un nombre de poils incalculables pour pouvoir trifouiller ma langue dans son trou du cul. Pour ne rien arranger, le gros salaud en a profité pour m’humilier totalement en me pétant à la gueule. Je n’ai pas pu m’empêcher, par réflexe, de lui mettre une grosse fessée et de l’insulter, à mon tour, de tous les noms. Cela a bien fait marrer l’assistance… Sauf moi évidemment.

Quelque temps après, ils décidèrent enfin de me faire changer de position. Un gars s’allongeait au sol et je venais m’empaler sur sa bite, face à lui. Un autre se tenait toujours à hauteur de mon visage pour se faire sucer (les gars avaient quand même une énorme endurance pour ne pas avoir éjaculé après plus de 30 minutes de baise intensive !) Enfin, le 3ème venait se coller derrière moi pour m’enculer. Je n’en revenais pas, j’avais une bite dans le cul et une autre dans la chatte en même temps ! La 3ème bite m’éclatait la bouche si bien que mes trois trous étaient remplis simultanément. C’était l’extase ! Trop bon de se faire défoncer ainsi ! Ils se sont relayés au fur et à mesure dans la même position. Tout le monde a eu droit à chacun de mes trous. Pour finir, tout le monde se mit dans la position qu’au début. Les trois, en même temps, ont giclé des litres et des litres de sperme sur mon visage et sur mon corps. J’en étais totalement recouverte.

Ils m’ont également demandé de bien nettoyer leurs bites avec leurs langues, ce que je faisais avec amour et plaisir tant j’avais pris du bonheur à me faire baiser ainsi.

Ils finirent par se rhabiller. En partant, Carlos me dit :

Tu as été fidèle à ta réputation de grosse salope. Ce que tu nous as fait était merveilleux. Désormais, tu comprendras donc bien que nous ne pourrons plus nous en passer. On se donne rendez-vous vendredi ici à la même heure.

Alors là tu peux toujours rêver espèce de salopard ! Une fois, mais pas deux. Je ne suis pas ton objet !

A toi de voir… Tu sais, il me suffit d’un clic sur mon téléphone pour envoyer toutes les photos et vidéos que j’ai de toi sur l’ensemble des boîtes mails de l’entreprise. Entre la dernière fois et aujourd’hui, crois-moi, j’en ai un paquet. Tout le monde saura la pute que tu es et tous les mecs viendront te baiser sans relâche. Ta vie sera un enfer. Également, je ne vois pas trop comment Monsieur Desmarrais pourra te garder dans la boîte après ça… Alors, réfléchis bien à ce que tu veux faire : être un objet ou une rebelle ? Tu as une semaine pour y réfléchir. Nous, on sera là vendredi à 16h30. C’est toi qui décides, mais je te conseille d’y être, dans ton intérêt. Allez ciao le garage à bites !

Ils quittèrent ainsi la pièce, me laissant assise sur le sol de mon bureau, recouverte de sperme et de sueur. Carlos me tenait à cause de ses photos, je ne voyais pas trop comment j’allais m’en sortir. Il était hors de question que je perde mon job donc je ne pouvais pas le laisser envoyer le contenu de nos parties de jambes en l’air. Bref… J’avais encore jusqu’à vendredi pour y réfléchir quand une pensée me fit revenir rapidement à la réalité. Je regardais l’heure, il était 17h45. Je ne serai pas chez mon Maître avant 18h15-18h30 à cause des embouteillages du vendredi. Ce qui allait m’attendre en rentrant ne serait pas une partie de plaisir…

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