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Mamie Geneviève – Chapitre 1




Mamie Geneviève 1

Je mappelle Geneviève et jai soixante-six ans. Je suis veuve depuis neuf ans maintenant.

Mon défunt mari est décédé brusquement dune crise cardiaque alors que jétais absente.Ca a provoqué chez moi un sentiment de culpabilité de navoir pas pu appeler les secours à temps.

Les médecins et ma famille ont réussi à me déculpabiliser et, de toute façon, ce nest pas le propos de ce récit.

Jai deux filles qui ont la quarantaine et quatre petits enfants.

Ma plus jeune fille, Agnès, habite à lautre bout du pays, ce qui, je le déplore, ne me permet pas de voir grandir ses deux filles de quatorze et seize ans.

Mon aînée, Virginie, quant à elle, habite dans une ville voisine. Si je la vois de temps en temps, je préfère éviter son mari qui est un abruti parfait. Cest un minable qui croit tout savoir sur tout. Non, ce nest pas un réflexe de belle-mère, car mon autre gendre est des plus charmant avec moi et je lapprécie beaucoup. Il a une bonne situation et cette famille là me semble être parfaite.

Donc, ma grande, Agnès, a deux enfants, Christelle et David. Ce dernier est toujours en rébellion avec son père et quand arrive sa majorité, mon imbécile de gendre la mis à la porte sous un prétexte futile. Deux coqs dans un même lieu créent des combats.

Toutefois, David na pas terminé ses études pour son bac pro délectricien et, se retrouver à la rue, nest pas la meilleure chose pour lui.

Ce jour là, il est venu sonner à ma porte pour trouver refuge chez moi. Comme je considère que cest mon devoir et que je laime bien, jaccepte, bien entendu, de lhéberger. Jessaie toutefois de joindre sa mère pour avoir des explications, mais cette dernière est totalement soumise à son mari et ne veut pas dhistoire en le contredisant. Notre conversation séchauffe, je me fâche et, cest très contrariée, que je raccroche le téléphone.

Je propose à David dinstaller ses affaires dans la deuxième chambre de ma petite maison.

David est un joli garçon qui doit avoir du succès auprès des filles, il est brun, les muscles fins, sa carrure demande à se développer, mais il est charmant et comme cest lunique garçon, il a toujours était mon chouchou, même si jaime beaucoup mes autres petits enfants.

Quant à moi, pour me décrire, je ne suis pas bien grande et heureusement, la ménopause ma peu affectée. Jai pris un peu de poitrine, mais qui se tient toujours bien, quelques rondeurs, mais rien de plus. De toute manière, je nai jamais cherché à séduire un autre homme depuis mon veuvage et jaccepte mon physique, même si je souhaite rester élégante quand je sors, pour faire des courses par exemple.

Les jours passent et japprécie notre cohabitation. David nhésite pas à maider dans les tâches ménagères, mais aussi à tondre la pelouse, tailler la haie, réparer un robinet, une prise électrique ou un grill pain. Jy trouve mon compte davoir un homme à la maison.

Un jour, alors que je suis penchée pour ranger des assiettes dans le meuble, je sens un regard sur mes fesses. En me retournant, japerçois mon petit homme que je nai pas entendu arriver.

Une bise pour se dire bonjour, et lincident est déjà oublié.

Une autre fois, cest en faisant le lit ensemble que je sens quil regarde ma poitrine, un peu décolletée, il est vrai. En relevant la tête, je le vois rougir et détourner les yeux.

Par contre, le soir même, jentends, à travers la fine cloison qui sépare nos chambres, son lit grincer et ses soupirs sont évocateurs dune masturbation. Je ne lui en veux pas, il faut que jeunesse se passe et, à son âge, cest normal davoir une libido exacerbée.

Le lendemain, en faisant le ménage, je trouve dans sa chambre, plusieurs mouchoirs en papier, collés par du sperme très certainement. Je ramasse le tout et avant de les jeter, il me prend lenvie de les sentir. Lodeur est évocatrice, surtout pour le plus récent encore humide.

Pour ma part, de plus en plus, je me surprends à le regarder alors quil déambule dans la maison. Cest vraiment un beau jeune homme, et jen suis fière !

Tous les soirs, jentends son lit grincer et je meurs denvie daller voir ce quil fait.

Un soir, je craque et me lève à pas de loup pour aller lobserver à travers la porte entrebâillée de sa chambre. Il est en pleine action et, malgré lobscurité, je distingue son membre tendu comme une flèche et maperçois que la nature la bien doté. Un peu honteuse de moi, je retourne me coucher mais, si troublée, que jai du mal à mendormir.

David sort de temps en temps avec des copains, mais reste sérieux. Pas dalcool, ni drogue. De plus, il rentre relativement tôt, ce qui me rassure. Je naime pas le savoir sur son vélo la nuit tombée.

Un soir, il me propose daller au cinéma. Ca fait une éternité que je ny suis pas allée et jaccepte volontiers. Je mets des collants, un chemisier, mon tailleur et nous voilà partis dans ma petite voiture. Cest moi qui paie les places, bien sûr, eu égard à la radinerie de ses parents.

Nous sommes bien installés au centre de la salle et, progressivement, les gens affluent. David est à ma droite et, vient sinstaller un gros type à ma gauche.

Le film commence enfin et mon voisin prend de plus en plus de place, ce qui moblige à me rapprocher de David. Nos bras sont lun contre lautre. Il me prend la main et je ny vois pas dinconvénient. Il pivote sur son siège et de sa main opposée, il me caresse lavant bras ce que je trouve très touchant et délicat de sa part.

Progressivement, il remonte ses doigts le long de mon bras, alors que le gros sétale un peu plus ce qui moblige à me coller un peu plus à David. Sa main est prisonnière entre mon sein droit et mon bras. Il ne fait rien pour lenlever. Petit à petit, je sens ses doigts frémir faiblement sur mon sein qui se met à durcir, involontairement. Jai envie de le repousser, mais en même temps, cette discrète caresse mémeut. Il effleure mon téton érigé et le trouble menvahit. Ma respiration saccélère, je suis essoufflée et, tout de même, je réussis délicatement à lui faire retirer sa main.

Malheureusement, il revient à la charge et sa main se pose carrément sur mon sein pour en parcourir tout le contour. Pour éviter dêtre remarquée, je croise les bras et pose ma main gauche sur celle qui me pelote. Avec une infinie douceur et lenteur, il me caresse le téton. Je suis tellement troublée, que je sens ma culotte se tremper.

Cette situation est atrocement bonne, je suis en train de me faire peloter dans lobscurité. Je réagis à nouveau, ma raison me dit que ça ne se fait pas ! Je me penche pour le lui souffler à loreille, mais il se méprend et pose ses lèvres sur les miennes pour membrasser. Je me recule vivement et il reprend sa place et moi la mienne, même si je suis un peu tordue sur mon siège.

Je ne comprends rien au film tellement mon esprit vagabonde.

Mon David est attiré par moi, une vieille femme, sa grand-mère ! Que vais-je faire ?

Je reste coite jusquau retour à la maison, et lui est penaud, il me dit enfin, avec courage :

« Tu men veux mamie pout tout à lheure ? »

« Non, mon chéri, je tai laissé faire. Je suis autant coupable que toi, mais ce quil sest passé doit rester entre nous. Tu nen parles à personne, daccord ? »

« Daccord, je te le promets. Je vais me coucher. Bonne nuit mamie ! »

Son lit grince plus fort ce soir et je lentends même murmurer Oh mamie, oui mamie

Le lendemain, alors quil est parti à lécole, je mempresse daller dans sa chambre pour trouver sous le lit, non pas des mouchoirs, mais une de mes culottes, emplie de sa semence, une bonne dose en plus !

Je repose le tissu où je lai trouvé et retourne à dautres occupations, tout en étant troublée quil puisse fouiller dans mes affaires.

Je préfère ne pas en parler quand il rentre. Il me salue avec deux bises et une troisième plus prolongée dans le cou. Je minaude un peu pour la forme.

Pendant quil fait ses devoirs, jentreprends de faire un peu de couture, ma vue ayant baissé, je suis obligée de masseoir près de la fenêtre pour accomplir mon ouvrage.

Je perçois quil est distrait par ma présence et quil passe plus de temps à me regarder quà écrire. Je fais semblant de rien et continue mon travail.

Après un moment, il se lève et se place derrière moi, debout, pose ses mains sur mes épaules. Dabord surprise, je lui demande de me masser le haut du dos qui est un peu contracté.

Ses mains glissent sur mes épaules, le dos, remontent et ses pouces appuient sur ma nuque. Il me fait me redresser sur ma chaise et continue son massage. Tout à coup, il se colle à moi et ce que je sens sur ma colonne vertébrale se révèle bien dur. Cest son sexe érigé qui frotte laxe de mon dos. Je devrais le repousser en criant à lhorreur, mais non, en outre ses palpations me font grand bien. Il est doué pour le massage et japprécie ce moment!

Il sait que je ne peux ignorer sa turgescence qui roule sur mes vertèbres et, encouragé par ma passivité, il sattaque à la face nord, ma poitrine. Oh, très délicatement !

« Mais, mon chéri, ce nest pas mon dos, ça ! »

« Laisse toi faire, mamie »

Et, je le laisse faire !

Ses mains courent sur mes bras dabord, puis par des effleurements subtils, sur le galbe de mes seins. Il fait tourner ses paumes sur mes tétons drus à travers le tissu. Je nen peux plus ! Je mouille atrocement.

Mon souffle est court comme le sien. Il écrase un peu plus son sexe dans mon dos et le fait rouler entre mes omoplates. Je nai jamais connu ça auparavant.

Il remonte les mains et me enlève deux boutons de mon chemisier pour glisser directement ses doigts sur la peau de mes seins quil soupèse avant de me pinçoter les tétons. Mon soutien gorge se révèle gênant et il prend linitiative de me faire quitter mon chemisier et de dégrafer mon soutien gorge pour lenlever.

Il me fait presque face, maintenant, et reste ébahi face à ma poitrine laiteuse que je tente de masquer de mes mains, par réflexe. Il mécarte les bras, sagenouille et entreprend de me téter, oui, comme un bébé.

Croyez moi ou non, je ressens un frisson dexcitation incommensurable. Depuis lallaitement de mes enfants, je navais jamais revécu ça. Feu mon mari ne sintéressait pas à mon plaisir, mais juste au sien. Pas de caresses manuelles ou buccales, juste la position du missionnaire sans préparatif, ce qui me faisait plutôt mal quand il sintroduisait.

Là, David, sait honorer ma poitrine et jen ressens un grand trouble. Il change de position pour se mettre entre mes jambes, mais ma jupe serrée ne me permet pas de les écarter.

Quà cela ne tienne, il retrousse ma jupe, déchire mon collant, écarte ma culotte et plonge ses lèvres vers mon pubis. Il me tire les fesses pour que je masseye au bord de la chaise et entre mes jambes écartées sa langue se met à sactiver.

Si javais pu lire dans la presse féminine lévocation du cunnilingus, jen ignorais totalement les bienfaits. Oui, ce jeune homme en connaît un rayon, et même si ce qui il est en train de faire se révèle des plus incestueux, jéprouve des sensations totalement inconnues, des vagues de plaisir montent et déferlent dans mon corps. Je tremble de toute part. Cest totalement fantastique et, submergée, je ne peux mempêcher dexprimer mon orgasme, le premier de ma vie ! Il continue à me lécher ardemment et je narrive plus à redescendre sur terre.

Malheureusement, ce plaisir intense est interrompu par la sonnette qui retentit.

David relève la tête, contrit, et je lui propose daller se nettoyer le visage pendant que je me réajuste avant daller ouvrir la porte, dans un total sentiment de confusion.

Cest Christelle, sa sur

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