Bonjour, je m’appelle Colin, j’ai 22 ans, je suis un jeune homme assez mignon (sans me vanter), aux yeux bleus, cheveux châtains et mesurant plus d’1m80.
Je vais vous racontez ce qui m’est arrivé alors que je n’avais que 17 ans.
J’étais allé passer une semaine de vacances chez mon oncle, à Genève. Avec ma cousine, nous passions beaucoup de temps sur l’ordinateur à regarder des films ou à jouer à des jeux de rôle en ligne.
Un soir ou ses parents étaient partis, nous regardions un vieux film à l’eau de rose dont raffole ma cousine, et que je déteste. Juste avant la scène finale, l’ordi plante. J’ai essayé par tous les moyens de le rallumer mais rien ne marchait. Une idée vint me traverser l’esprit:
Marie? Tu voudrais faire la scène finale avec moi?
Marie me regarda bizarrement!
Tu déconnes là?
Bien sûr! On ne va pas commettre un inceste!
Mais bien au contraire, j’en avais envie! Marie avait mon âge et elle était déjà sublime. Elle possédait une belle paire de seins et une magnifique chevelure rousse qui tombait sur ses épaules.
Après avoir regagner nos chambre, je m’allongeais sur mon lit et essayais de chasser les vilaines pensées qui me venaient à l’esprit. Puis, vers 23H30, je me décidais. Je rentrais dans la chambre de Marie et refermais la porte.
— Qu’est-ce que tu veux Colin?
Je répondis avec un grand sourire:
-Toi… Je t’aime Marie…
Sur ce, je me penchais sur elle et l’embrassais. Étonnement, elle ne résista pas et enroula ses bras autour de mon cou, me rendant mon baiser avec ardeur. Nous nous embrassions tout en enlevant nos vêtements pour finalement se retrouver complètement nus. Je bandais comme un taureau! Le contact de ses seins sur mon torse me stimulait. Je n’avais qu’une seule envie: faire l’amour! Je voulais faire l’amour à ma cousine. Je glissais ma main le long de sa hanche et caressais son entrejambe. Elle eu un frisson de bonheur. Je décidais donc de lui donner plus de plaisir: un cunnilingus. Ma langue faisant des aller et retour sur sa chatte toute mouillée lui arrachait des cris de jouissance et quand elle fut à l’orgasme, je sus qu’elle était prête. Alors, doucement, je glissais ma bite dans son vagin. Je sentis une petite résistance mais cela ne dura pas longtemps. Une sensation de bonheur intense m’envahit et je commençais mes va-et-vient. Marie hurlait des plaisirs. Elle criait mon prénom comme une folle. Bientôt, mes cris se joignirent aux siens. Et j’ai joui. Elle a joui. Nous avons joui ensemble.
Après quoi, nous nous sommes endormis, lové l’un contre l’autre.
Quelques mois plus tard, Marie m’appris qu’elle était enceinte. Nous avons donc inventer une histoire comme quoi Marie aurait eu un rapport avec Fred, son ancien copain (qui a déménagé en Australie). Bref, un beau tissu de mensonge que ses parents ont gobés. Finalement, Marie a gardé le bébé.
