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Voyage en Croatie – Chapitre 2




Se croyant protégée des regards indiscrets, elle se déshabilla entièrement et s?allongea nue sur la couverture. Elle recommença à se caresser car elle ne cessait de penser à Mathias et les images de son corps lui traversaient les pensées. Elle introduisit un, deux, puis trois doigts dans son minou trempé en se disant :

— S?ils pouvaient se pointer ici et se coucher près de moi !

Elle mordit dans son essuie de bain pour étouffer sa jouissance.

— Oh oui, être baisée par les deux, quel rêve ! Mathias me prendrait en levrette pendant que Bernard se masturberait, enfin… pour commencer … Mmmmmm ! Pensait-elle

A peine qu?elle avait rêvé dans ses pensées, qu?elle entendit des pas s?approcher. Se relevant sur un coude, elle plaça une main au-dessus des yeux pour ne plus être aveuglée par le soleil et aperçu à contre-jour les deux jeunes sautant du dernier rocher les séparant d?elle. Ils se retrouvèrent devant elle, l?air de deux enfants pris en flagrant délit. Elle attendit que ses yeux se soient habitués à cette clarté aveuglante et ne put s?empêcher de sourire devant cette situation inattendue. Elle s?amusa de les voir rougir par la situation quelque peu embarrassante devant laquelle ils croyaient se trouver. Pour les aider à s?en sortir, elle leur dit :

— Hé les gars, vous voulez aussi profiter du soleil ? Venez vous coucher ici sur ma couverture, il y a assez de place.

Elle avait à peine terminé sa phrase, qu?ils avaient pris place, un à chaque côté d?elle. Ils avaient quitté leur jeans pour un short de bain qu?ils gardèrent sur eux en s?asseyant près de Christine. Elle suivit leur regard qui plongeait entre ses jambes et elle se sentit tout à coup gênée, car son excitation se montrait sous forme de gouttelettes scintillantes au soleil qui perlaient entre les lèvres gonflées et rougies. Même s?ils avaient l?air innocents, ils devaient quand même remarquer ces signes montrant l?envie sexuelle d?une femme. Et quels signes. Pour se ressaisir, elle leur proposa :

— C?est une plage naturiste, alors vous pouvez comme moi vous mettre à l?aise !

Rougissant à nouveau, ils enlevèrent leur short sans un mot. Ce qu?elle pu voir, augmenta encore son envie, et quelques gouttes supplémentaires apparurent entre ses jambes qu?elle écarta légèrement plus fort. Les garçons n?étaient pas mieux. Regardant de chaque côté, elle pouvait voir deux membres, grossissants à vue d?oeil, quitter légèrement leur position couchée pour se redresser au-dessus du nombril. Chacun montrait une gouttelette à la pointe du gland décalotté. Elle se recoucha, ferma les yeux et soupira légèrement.

— Qu?il fait chaud ! Murmura t-elle.

Elle ne du pas attendre longtemps pour sentir une main caresser légèrement le bras qu?elle avait allongé le long de son corps. Cela devait être celle de Mathias.

— J?étais sûre que ce serait lui qui commencerait, pensa t-elle.

Ses caresses étaient lentes, légères, comme s?il s?attendait à tout moment d?un refus de sa part. Elle soupira à nouveau et leur sourit, sachant qu?ils l?observaient. Ils devaient maintenant savoir qu?elle ne leur frapperait pas sur les doigts. Et déjà la main de Bernard se posa sur son ventre, le bout des doigts s?enfonçant légèrement dans sa peau. Sa main remontait vers la poitrine et lui caressa le sein, pendant que la main de Mathias quittait l?aine pour caresser son pubis.

— Continuez ! Soupira t-elle.

Cela devait être le climat qui lui donnait cette envie permanente qu?elle n?avait jamais connue.

— Heureusement que je ne suis pas un homme, pensa t-elle, je serais en érection permanente !

Ces mains inconnues sur son corps la menaient vers la folie, sans compter l?angoisse d?être surpris par quelqu?un passant là par hasard. Tout cela l?excitait au maximum. Jamais elle n?avait imaginé se montrer ainsi en public, et en plus avec deux hommes ! Les yeux de Carlos auraient éclaté s?il l?avait vue dans cette situation ! Son envie la faisait fondre comme un glaçon dans l?eau chaude de la mer.

Les doigts de Mathias continuaient leur chemin et deux d?entre eux s?enfonçaient déjà dans sa grotte. Elle se cabra légèrement, lâchant un petit cri de plaisir. Elle était tellement trempée, qu?elle se dit qu?elle allait tâcher la couverture. Cette pensée s?estompa aussi vite qu?elle était venue, car elle sentit le souffle d?une respiration saccadée s?approcher de son minou. Ne pouvant faire autrement, elle lança son bassin en avant, rencontrant les lèvres de Mathias, la langue s?enfonçant dans son vagin liquéfié. Son regard pointé vers le ciel, le corps de Bernard apparut dans son champ de vision, Il se déplaçait pour venir s?asseoir sur elle. Il tenait son membre et le plaça entre les seins de Christine pour commencer une branlette espagnole. Elle releva la tête de manière à pouvoir toucher son gland de ses lèvres et, à chaque coup de boutoir, elle sortait sa langue pour lécher ce fruit suintant.

— Baisez-moi ! Criait-elle quand sa bouche se libérait du membre surchauffé. Baisez-moi !

Sa jouissance approchait de plus en plus. Elle sentait chaque fibre de son corps prêt à exploser. Mathias lui suçait le clito, enfonçant deux doigts dans son vagin et, de l?autre main, il lui avait enfoncé l?index dans son cul, la bourrant ainsi des deux côtés.

— Je viens, je viens ! Se mit-elle à crier.

Tout son corps n?était que tremblements. Les deux la lâchèrent pour admirer sa jouissance couverte par ses gémissements. Jambes écartées, elle s?écartait les lèvres laissant couler son jus dans la raie fessière et, tout à coup elle lâcha ses eaux en un jet blanchâtre.

— Je pisse, je pisse !

Bernard, tenant sa queue raide d?une main, s?approcha et, alors qu?elle pissait toujours, lui enfonça la colonne de chair dans le fruit juteux. La pisse débordait et éclaboussait sa poitrine, coulait le long de ses jambes. Après deux, trois coups, il lâcha son sperme au fond de la grotte. Mathias se branlait au-dessus de son visage et Christine releva la tête, engouffrant ce pieu dans sa bouche. Elle suçait comme une folle, aspirant la bite comme si c?était un spaghetti, si bien que la jouissance atteignit son chemin des couilles vers le gland pour exploser dans sa bouche. Elle avala les giclées de sperme sans en perdre une goutte.

Maintenant, tous les obstacles étaient dépassés et plus rien ne gênait les deux gars. Bernard la retourna pour la mettre à quatre pattes. Il s?agenouilla devant elle, agrippa le visage sous le menton pour tenir la tête haute, lui plaça la que devant la bouche ouverte et lui dit :

— Si t?aimes pisser quand on baise, voilà ma part !

Il lâcha un jet de pisse dans sa bouche, tellement fort que l?urine en ressortait comme une cascade. La tenant par les cheveux, il l?obligeait ainsi à avaler pour qu?elle puisse à nouveau respirer. Elle s?étranglait dans la pisse qui coulait dans sa gorge maintenue par la main de Bernard, telle une assoiffée qui ne peut boire assez vite. Mathias continuait à la bourrer par derrière. Il sortit sa queue du vagin, positionna le gland contre la pastille brune déjà bien lubrifiée par son sperme et la pisse, et enfonça sa queue dans les reins de Christine. Excité comme il était, la bite serrée par l?anneau musclé du cul de Christine, il ne dut pas attendre longtemps pour lui envoyer une nouvelle rafale de jus dans son boyau…

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