Bonjour,
Je précise que cette histoire est vraie dans son ensemble, seuls les noms ont été modifiés pour garder un minimum de vie privée.
Tout commença à Grenoble, ou tout du moins dans ses alentours. J’étais étudiant lorsque nous nous sommes rencontrés. Je suis un homme brun d’un 1m80, pour 72Kg… et de 22cm, pour 6 de large. À l’époque, je n’avais jamais rien fait avec une fille et malgré les nombreuses discussions sexuelles entre potes, je n’avais jamais fait part de mes mensurations, ayant trop peur du ridicule. Oui je ne savais pas ce que j’avais entre les jambes !
J’ai toujours eu des penchants forts pour le BDSM et surtout au niveau des humiliations morales et physiques sur les femmes. Je ne sais pas pourquoi, cela m’excite fortement de soumettre et d’humilier d’innocentes femmes.
Je fis la rencontre d’une fille dénommée Léa, une petite Italienne (1m60) brune aux cheveux longs et bouclés à la poitrine plus que généreuse (E) et au fessier bandant qui était en L (Littéraire). Grâce à un ami à moi nous fîmes rapidement en couple.
Quelques mois plus tard, mon envie de BDSM, s’étant langoureusement impatientée pendant cette relation vanille, resurgit en force. Je savais que Léa était follement amoureuse de moi, et quelle nymphomane… Elle n’avait connu qu’un seul homme avant moi et ça ne s’était pas très bien passé.
Dès que nous avons débuté nos premières relations sexuelles, elle m’a très vite fait comprendre qu’elle me voulait 24h/24 7j/7.
Nous avions alors essayé l’anal plusieurs fois (parce que j’adore ça) mais elle n’aimait pas du tout. Elle trouvait cela très dégradant et douloureux.
Léa ne supportait pas trop l’alcool, ce qui fait que chaque soirée elle me mettait dans l’embarras et cela m’agaçait au plus haut point.
Je décidai qu’à chaque fois qu’elle serait soule, elle aurait droit à une sodomie.
Nous sommes donc en novembre, à la soirée d’un ami commun, Loïc.
La soirée se déroule bien, et ma copine comme à son habitude enchaine les verres. Un, deux puis trois, elle commence à parler fort, et à s’amuser à m’exciter en me touchant l’entre-jambe au milieu des invités.
Me souvenant très bien du deal que nous avions conclu, je m’empressai de l’amener à l’écart de la fête, à l’étage.
— Va dans la salle de bain ! Lui dis-je.
— Je vais enfin pouvoir t’avoir pour moi ! Se languit-elle ne sachant certainement plus ce qu’elle allait devoir subir.
Je referme la porte et lui soulève sa robe rouge qui lui arrivait mi-cuisse. Pas de sous-vêtements ! Je savais qu’elle ne portait pas de soutien gorge car tout le monde pouvait facilement voir ses tétons à travers son haut mais je n’imaginais pas qu’elle serait si salope au point de ne rien porter en bas.
— Suce petite pute ! Et tu m’appelleras Maître désormais.
— Avec plaisir Maitre, sourit-elle, surprise, en se mettant à genoux et déboutonnant mon jean.
Ma queue surgit à son visage et elle débuta une fellation des plus divine. Sa langue tournoyait autour de mon gland, ses happements me rendaient fou. Ma queue bien gonflée, je décidai qu’il était temps de lui apprendre les bonnes manières.
Je la relevai alors et lui mis une forte claque sur les fesses. Celles-ci rougirent instantanément.
— Hey, ça fait mal ! S’offusqua-t-elle.
— Tu te souviens du deal que l’on a passé ? A chaque fois que tu serais soul, ce serait une sodomie. Et ce soir, comme tu as bien montré tes tétons à tous nos potes, tu vas prendre cher et bien me nettoyer après !
— Oh non ! S’il te plait, c’est dégoûtant et j’ai trop envie de te sentir en moi !
— Mais je serais en toi, pas très loin d’où tu en meurs d’envie justement, aller cambre-toi !
Elle s’appuya contre la baignoire en ronchonnant. Je lui claquai une nouvelle fois le derrière en lui expliquant qu’elle ne devait jamais dire non à son maître.
Sans vaseline ou autre lubrifiant à porter, je décidai de lui lubrifier la rondelle avec un peu de salive, mais pas trop, je voulais qu’elle me sente bien l’enculer cette petite chienne.
Je forçai l’entrée de son cul avec mon majeur pour faire comprendre à ce dernier que c’était le moment de se réveiller.
Elle geignait déjà de dégoût.
Après quelques va-et-vient au doigt, je plaçai ma queue à l’entrée de son anus, et appuya bien fort sur celui-ci pour y faire rentrer le gland.
Des petits cris de douleurs se firent déjà entendre.
— Arrête un peu de gesticuler et suce, ça va t’occuper ! Lui dis-je en lui insérant le majeur qui sortait de son cul quelques secondes plus tôt dans sa bouche.
Elle n’a pas dû s’en rendre compte car elle me le suça comme si c’était ma bite, elle feignait d’y prendre beaucoup de plaisir.
— T’aimes ça sucer ce qui sort de ton cul, hein salope ?! Lui lançais-je en enfonçant ma bite quelques centimètres plus loin.
Dégoûtée et n’ayant pas apprécié les 3cm ou 4cm de plus qui s’introduisirent dans son cul : elle se releva et fit sortir rapidement ma queue de son étau.
— Mets-toi à genoux et suce-la-moi bien goulument. Sinon je re-rentre sans rajouter de salive.
— Arrête Tristan ! C’est horrible, ça fait mal en plus.
— On arrêtera lorsque je me serais vider les couilles dans ton petit cul, si tu ne veux pas que ça glisse, alors lève-toi, sinon tais-toi et suce !
Elle me regardait d’un air de chien battu, ouvrit la bouche et commença à me sucer mollement, surement dégoûtée de ce qui était en train de lui arriver.
— Je ne sens pas ta langue là ! Je veux que tu me la nettoies comme il faut !
Ses yeux me lancèrent des éclairs mais elle comprit qu’elle n’avait pas le choix et commença à me pomper comme il fallait.
Quand elle fut bien mouillée je la relevai, et m’aperçut que sa rondelle s’était bien refermée.
Content de la situation, je poussai mon gland désormais propre bien fermement à l’intérieur de son rectum. Je commençai alors des va-et-vient qui la firent hurler. Voulant de nouveau jouer avec ma petite pute, je me retirai.
— Aller nettoie moi encore !
— Mais elle était rentrée là ! me dit-elle les larmes aux yeux.
— Qu’à moitié ! Tu en as choisi une grande, il faut assumer ! Allez, nettoie-moi bien et avec la langue !
Elle reprit la fellation goulument, tout en pleurant de dégoût.
Je la fis se relever après que je fus certain que mon membre était bien propre et lubrifié. Son illet s’étant une nouvelle fois refermé, je l’enculai cette fois d’une traite jusqu’aux couilles, lui arrachant un hurlement.
J’entrepris d’amples va-et-vient dans son petit cul de chienne bien serrée.
Son hurlement ayant fait monter Loïc à l’étage, il toqua à la porte :
— Tout va bien ici ?
Léa me regardait inquiète et gênée car je n’avais pas arrêté de l’enculer pour autant. Mon regard lui fit comprendre que c’était à elle de répondre.
— Euh… Oui oui… ça va !
— J’ai entendu quelqu’un crier ? Tout va bien ? Qu’est-ce que vous faites ?
J’accélérai alors le mouvement.
— Ah… euh… anh… oui je me suis… tapé le pied… dans l’évier… aie… mais ça va pleurnicha-t-elle sous mes coups de reins.
On pouvait entendre mes couilles claquer sur sa chatte trempée tellement je l’enculais fort.
— Ok qu’est-ce que vous faites ? Vous descendez ?
— Oui Oui… ah… On arri… ri… ve… aie !
— Ok bah descendez vite, il y aura bientôt plus de vodka !
— OK ! Cria-t-elle pendant que Loïc redescendait.
Je martelai son cul pendant plusieurs minutes sous ses pleurs et ses gémissements jusqu’à ce que je mis un coup de reins bien fort pour l’enculer le plus profondément possible et lui remplir les intestins de mon foutre bien épais. Elle voulait hurler mais aucun son ne fut émis de ses cordes vocales.
Je finis par sortir de son cul, ma queue pleine de foutre et d’autres choses.
Evidemment je la fis me nettoyer avec sa bouche une nouvelle fois.
— Ne va pas aux toilettes. Ne t’essuie pas. Si ça coule pendant la soirée, ou pendant que tu danses, tu récupèreras mon sperme avec tes doigts que tu t’empresseras de les sucer et de les nettoyer, c’est clair ?!
— Bien maitre ! Tenta-t-elle de me répondre la bouche pleine et les yeux larmoyants.
Nous redescendîmes. Léa se fit embarquer à danser contre son gré… Elle aurait aimé rester assise sans risque…
Deux-trois fois je la vis discrètement se lécher les doigts après qu’ils soient allés nettoyer ses cuisses. Elle m’était enfin soumise.
Une foule d’idée me vint en tête.
FIN de la première anecdote ! Dites-moi en commentaire si celle-ci vous a plu, je vous raconterai les autres (et croyez-moi, elle a subi…).