Il y a longtemps, un voisin de la villa en face me faisant venir pour voir sa collection de timbre. Sans méfiance, je faisais confiance à ce type de presque 18 ans. Avec mes 17 1/2 ans, sans méfiance, et pourquoi jen aurais eu, je vais admirer sa collection. Nous sommes dans sa chambre, sa mère à moitié folle nous regarde de loin. Au bout dun instant il passe sa main sur ma cuisse. Cest agréable, sans plus. Igor est rusé. Il me fait venir plusieurs fois chez lui. Jusquau jour fatal, javais 19 ans, où elle sort sa queue : une énormité pour moi encore jeune. Je me souviens de la grosseur du gland sous le prépuce. Les grosses veines autour du membre métonne un peu :
— Tu veux voir comment je me branle ?
Surpris de cette demande, moi qui sait tout juste ce que branler veut dire, Jacquisse. Sa main fait à peine le tour de la pine. Igor la serre dans sa main : elle grossit encore.
Je ne men rends compte que plus tard, je bande. Il se caresse sans honte devant moi. Je regarde et sors ma queue à mon tour. IL me regarde en souriant. Il est près de moi tout près, je vois les grain de peau de la queue. Sa main commence le balayage à grande vitesse.
Je fait comme lui, moins vite. Je me sens bandé à fond : je suis tout petit à ses cotés. Jentends un léger bruit : il décharge. Son sperme valdingue dans tous les sens; même un peu sur ma main, celle qui caressait ma propre queue. Le vois me fait jouir à mon tour.
Il se penche et prend mon bout dans sa bouche; ses lèvres me font du bien. Je rebande encore. Il me tend son sexe. Sans hésiter je le mets en bouche. Je sens son goût de bite et de sperme. Je bande encore plus : sa langue lèche tout.
Nous ne sommes pas bien mis, il nous couche sur son lit. Nous sommes sur le cotés, moi vers ses pieds. Sa queue est dans ma bouche, la mienne dans la sienne. Nous nous donnons un premier plaisir commun. Cest inimaginable. Il prend mes couilles, les masse doucement. Je lui en fait autant.
Pour lui ce nest pas suffisant, il faut que je fasse comme un autre copain que je ne connais pas : il veut entrer dans mon cul. Je ne veux pas , jaurais mal, trop mal. Sans tenir compter de mes craintes il se met à caresser la rondelle fragile. Il est très doux, trop doux. Sans que je le veuille mon anus souvre un peu. Il en profite pour y poser sa grosse queue, très grosse pour moi.
Il me tourne sur le dos. Je sens sur mes fesses la queue qui cherche à venir dans la raie. Jusque là cest seulement excitant. Je bande sur le drap Il trouve mon trou, senfonce de un centimètre. Je suis presque fermé. Sans que je proteste, il me met de sa salive. Son doigt entre un peu plus. Je le laisse faire. Il me fait mettre en levrette. Là, pour lui je suis prêt. Jai un mal de chien quand il me la met. Son gland entre et le reste est vite en moi. Finalement ce nest pas mauvais puisqu’il me branle en me la mettant. Je jouis sur le drap. Lui se dégage dans mon intestin.
Quand il sort de mon cul, il a un filet de semence qui pend. Ie prend sur un doigt pour me le donner à lécher.
Nos relations ont duré longtemps. Vers la fin cest moi qui était sur lui, qui le branlais. Ca mévitais de chercher une fille, son cul était très agréable;
Depuis je suis marié. Ma femme connais mon aventure; elle vaudrait me que je continue à me faire mettre, cette fois devant elle. Jai longtemps hésité : jai revu Igor, lai invité avec sa femmes un soir.
Jai eu envie de recommencer au moins une fois. Il me la mise dans le cul. Sa femme a voulu que moi je lencule aussi en même temps. Nous avons joui entre homme une dernière fois, jusquà la prochaine : cest bon de jouir avec une bite bien grosse dans son cul. Nois femmes des fois aiment se baiser devant nous : elles le font seules le plus souvent?