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Passage à l'acte – Chapitre 3




Le boulot avait repris de plus belle, les jours monotones se suivant les uns après les autres.

Evelyne repensait souvent à ses deux dernières nouvelles expériences sexuelles.

Elle en était finalement arrivée à la conclusion que c’était le fait qu’elle n’avait jamais vu ces hommes qui l’excitait autant.

Le fait qu’ils étaient seulement rentrés une fois dans sa vie et qu’elle ne les reverrait plus jamais. Mais également qu’elle avait vécu 2 nouvelles situations contraires à sa routine sexuelle de mari-femme dans la chambre à coucher.

Retrouver un inconnu et un nouveau lieu était pour elle devenu une évidence.

Toutefois, elle décida de faire plus attention au cadre et ainsi éviter de se mettre dans une situation potentiellement dangereuse en rue.

Elle eût l’idée d’aller seule dans un club échangiste. Elle n’avait jamais été dans ce genre d’endroit mais était piquée de curiosité.

Elle avait donc préparé le terrain des jours à l’avance en annonçant à son mari qu’elle sortirait vendredi prochain le soir pour faire une sortie-soirée entre amies…

Vendredi 21h00, elle lui dit donc qu’elle partait pour un bon moment et qu’il ne devait pas l’attendre.

Evelyne roula presque une heure pour arriver sur le lieu choisi. Elle gara sa voiture sur le parking, et se dirigea vers l’entrée du club libertin.

Un malabar se tenait à l’entrée et s’adressa à elle :

— " Seule ? "

— " Oui.. et c’est la première fois que je viens. Et que je fréquente un club d’ailleurs… Combien c’est le droit d’entrée ? "

L’homme lui répondit :

— " Pour une belle femme non accompagnée comme toi, l’entrée est gratuite. Tu auras également un verre de champagne à l’intérieur. "

— " Gratuite ? Super… mais vous ne devez pas faire fortune avec ce genre de pratiques commerciales… " dit-elle d’un air naïf.

— " Ne t’inquiète pas pour çà. Passe une bonne soirée. Demande au bar à l’intérieur si tu as des questions. " lui dit-il en lui indiquant par où aller.

Evelyne présentait bien, elle avait mis une robe-kimono chinoise en tissu léger, noire avec des fleurs roses, attachée et maintenue à sa taille par une ceinture de tissu. Elle avait attaché ses cheveux avec des baguettes. Elle portait des sandalettes torsadées en cuir noir qui lui remontaient jusqu’aux mollets.

Elle entra dans le club, passant dans un long couloir relativement sombre, parsemé de petites lumières tamisées et avec des effets de couleurs. Tout cela donnait un effet plutôt apaisant et accueillant, voire mystérieux.

Le couloir débouchait sur une grande salle où elle apercevait au loin ce qui semblait être le bar.

Au fur et à mesure qu’elle avançait vers la salle principale, une musique douce d’ambiance se faisait entendre de plus en plus distinctement et ajoutait un cachet à la quiétude de l’endroit.

Elle passa la porte et un léger brouhaha à peine masqué par la musique se fit entendre.

Elle comprit qu’on avait remarqué son entrée.

L’obscurité relative lui empêchait de voir l’ensemble de la pièce et de distinguer les présences.

Ses yeux n’étaient clairement pas encore habitués à la pénombre.

Elle se dirigea instinctivement, tel un insecte, vers le bar, seul endroit où la lumière était un peu plus présente.

Une serveuse s’y tenait derrière et lui adressa la parole :

— " Nouvelle n’est-ce pas ? On peut vous aider ? "

— " Et bien, je ne connais pas les lieux… "

— " Ok. Dans cette direction, au fond, il y a un escalier menant à l’étage vers plusieurs pièces à thèmes. Les premières pièces accessibles sont des toilettes d’ailleurs. Avec glory holes évidemment. Vous verrez. "

Evelyne ne savait pas de quoi la serveuse parlait et ne lui demanda pas plus d’explications, de peur d’être mal jugée par celle-ci mais sa curiosité était piquée.

La serveuse lui tendit une coupe de champagne et lui fit un compliment sur sa tenue de soirée :

— " Vous êtes magnifique dans cette robe-kimono. Ils vont adorer pour la soirée spéciale de ce soir. "

— " Merci. Mais de quelle soirée spéciale parlez-vous ? "

— " Le premier vendredi du mois, c’est soirée gangbang. Pas mal d’hommes cherchent cela. Et ils commencent déjà à affluer. "

Sur ces paroles, plusieurs hommes s’étaient rapprochés discrètement du bar pour mieux jauger la nouvelle venue. Et elle semblait leur faire de l’effet.

Evelyne n’y prêtait guère attention et, sa coupe terminée, décida de monter faire un tour à l’étage.

Elle entra dans une des cabines wc et ferma la porte.

Alors qu’elle voulut commencer remarqua plusieurs trous à différentes hauteurs, chacun assez large pour laisser passer un bras.

Un voix, avec un fort accent africain, s’adressa à elle à travers la paroi :

— " Tu es belle, je t’ai vu entrer. J’ai fort envie de toi. "

— " Moi aussi " surenchérit une autre voix étrangère de l’autre côté de la paroi.

De part et d’autre elle vit un oeil dans le trou qui l’épiait.

En effet, l’un était de type noir africain et l’autre était basané, probablement de nationalité arabe ou marocaine.

Evelyne aima d’instinct le concept de voyeurisme du glory hole.

Cependant, les trous ne servaient pas qu’à regarder… !

Elle entendit des bruits de braguette et, rapidement, deux gros sexes en érection passèrent dans le trou de la cloison, laissant juste passer le sexe et les couilles.

Séduite par le concept, Evelyne se laissa aller au jeu et attrapa de part et d’autre des deux cloisons les 2 membres virils en les branlant lentement mais fermement.

Elle n’avait encore jamais touché le sexe d’hommes de couleur mais leur réputation n’était pas surfaite : les 2 bites étaient de bonne taille, épaisses et longues.

Elle sortit la langue et commença à lécher le gros sexe black.

Un " Ouaissssss ! " se fit entendre à travers la cloison ainsi que des grognements lorsqu’elle mit son énorme champignon à l’intérieur de sa bouche.

L’autre homme, dont elle empoignait la queue, regardait en même temps par un des autres trous situé plus haut et la vision de la voir sucer l’autre homme emballa sa libido. En effet, il ne pût se retenir bien longtemps et éjacula en rapides saccades, en pure perte. Dommage pour lui.

Le black, lui, au contraire, arrivait à réprimer ses envies. Il voulait clairement faire durer le plaisir le plus longtemps possible tant cette beauté européenne lui plaisait.

Cependant, il en voulait plus. Il voulait toucher son corps, découvrir ce qui se cachait sous la belle robe chinoise.

Non sans regret, il décida de se retirer du glory hole, ce qui frustra Evelyne.

Il lui dit à travers la paroi :

— " Si tu veux retrouver ma queue, je serai dans la grande pièce commune au fond à gauche. "

Evelyne se remémora comment Dustin à l’époque avait su faire monter la pression en éteignant sa webcam et le plaisir en une fois.

Il était hors de question qu’elle attende à nouveau. Elle voulait son sexe. Elle voulait DU sexe.

Elle se dirigea vers l’endroit que le black lui avait renseigné.

Elle entra dans une pièce inondée de fausses bougies, ce qui lui donnait un air mystérieux.

6 hommes black s’y tenaient mais elle était incapable de savoir lequel était encore avec elle il y a 2 minutes. Tous étaient nus, le sexe en demi-érection et portant un masque fourni aux hommes pour la soirée.

Son entrée fît à nouveau sensation. Il y avait quelque chose de bestial et primaire dans leurs réactions. Déjà, ils l’entouraient.

Elle, était surprise, mais l’excitation battait son plein. Jamais elle n’avait eu plus d’un homme à la fois. Les mains de ceux-ci vinrent caresser le tissu soyeux de sa robe. Ils la caressaient au niveau des fesses, de ses seins, mais aussi ses jambes et son ventre.

Sentir toutes ces mains la peloter à travers sa robe la faisait mouiller. Celle-ci était le rempart avec ces blacks.

Un des blacks masqués lui adressa la parole :

— " Et si tu nous montrais ? " en mettant sa main sur la ceinture de tissu de la robe.

Evelyne ne répondit rien, et se dirigea vers un des accessoires présents dans la pièce, un énorme matelas-coussin dans la hauteur était à environ 1 m du sol et s’y allongea sur le dos.

Les 6 blacks entouraient maintenant le matelas-coussin.

Evelyne, dans un geste sensuel, dénoua la ceinture de tissu, et petit à petit en l’ouvrant complètement, fit apparaître progressivement son corps aux yeux des hommes.

Elle était en fait complètement nue depuis le début sous sa robe. Pas de soutien-gorges, pas de culotte, pas de bas. Rien. Un corps sublime se déclarait sous les yeux de tous.

Les blacks tout autour se branlaient copieusement en matant les courbes d’Evelyne se dévoilant petit à petit.

Elle avait maintenant complètement ôté sa robe-kimono et lâché ses cheveux en enlevant les baguettes.

De grosses mains noires commençaient à la caresser un peu partout, lui pétrissant les seins puis stimulant ses tétons. Un black s’approcha et lui lécha le cou. Il lui fît un discret compliment à l’oreille.

Un autre lui présenta sa queue près du visage et, lui maintenant la tête, lui demanda :

— " Vas y, pompe moi ! "

Docilement, elle mit son gland en bouche et commença à le sucer.

Chacune des mains d’Evelyne était sollicitée et branlait deux autres noirs.

Un des noirs masqués n’y tenant plus, se positionna face à elle, rapprocha sa tête et vint happer son clitoris avec sa bouche, puis commença à le lui sucer.

De violentes décharges parcouraient déjà son bas-ventre, sous l’action de la succion.

Maintenant, 2 têtes masquées noires s’étaient chacune emparée d’un des tétons et l’occupait tel un nouveau-né au sein de sa mère.

L’homme qui lui suçait le clitoris sentit qu’elle mouillait.

Un des blacks s’empara d’une bouteille de champagne dans la pièce et commença à en verser délicatement partout sur son corps. Bientôt 6 grosses langues parcouraient son corps simultanément

léchant goulûment le liquide ruisselant sur son corps.

Un des hommes s’adressa aux autres et proposa de l’installer sur le fauteuil.

Il y avait en effet un peu plus loin dans la pièce un siège gynécologique avec des lanières de cuir.

Ils la soulevèrent ensemble et l installèrent dessus, nouant ses bras et ses jambes écartées posées sur les étriers avec celles-ci.

Evelyne réalisait à peine ce qui se passait, et se laissait faire.

Un des noirs se mit alors entre ses jambes, le sexe gonflé et tendu en direction de sa chatte.

Il respirait bruyamment, visiblement ne tenant plus sous l’excitation de la vision de cette beauté nue aux jambes écartées.

Evelyne émergeait à peine de ses émotions et déjà son instinct pervers reprenait le début.

L’homme la regardait dans les yeux à travers son masque et elle ouvrit sa bouche et sorti la langue, appelant la nature bestiale de l’homme de couleur en elle.

Il cambra son corps vers elle et la pénétra rapidement.

A peine entré dans le sanctuaire, l’homme gémit de soulagement. En quelques va et vient, il culmina son plaisir et un râle se fit entendre alors qu’il déchargeait violemment tout son sperme en elle.

C’est la première fois qu’Evelyne expérimentait le sexe interracial.

Il y avait pour elle quelque chose de primaire, de bestial, dans ce type de rapport et cela l’excitait fort.

A peine soulagé, un des autres hommes vint taper sur son épaule, lui signifiant de céder sa place et, rapidement, une deuxième queue noire en érection se présenta devant les jambes écartées de la femme infidèle.

Une file se mit en place, chaque homme se branlant et attendant son tour.

Evelyne se sentait devenir un objet, utilisée par plaisir, où chaque homme pouvait sur simple désir personnel venir y fourrer son sexe et y cracher toute sa vie.

4 des 6 blacks vinrent éjaculer et mélanger leur foutre dans le vagin d’Evelyne.

Les 2 derniers se regardèrent avec un rictus pervers et de plaisir partagé.

Ils la libérèrent de ses liens et l’amenèrent à nouveau sur le gros coussin central.

Un des deux hommes se coucha sur le coussin, le sexe tendu vers le plafond.

L’autre souleva Evelyne comme une poupée et l’amena au dessus de la verge tendue.

Alors qu’il lui disait de s’asseoir sur son ami, deux mains la maintenaient et la dirigeaient.

Elle sentit le gland noir buter contre son anus.

Evelyne eût un spasme de surprise et sous la poussée de l’homme, s’ouvrit.

Il plongea dans son rectum dans un râle de plaisir.

Les deux mains la tirèrent alors vers lui, la forçant à coucher son dos contre le corps noir musclé.

Une fois complètement couchée sur lui, les deux mains venaient se poser sur les deux gros seins de la belle.

Le dernier noir, alors toujours insatisfait, se rapprocha d’eux et vint se placer au dessus d’elle les bras tendus, la cernant.

— " Enfin, tu es à moi " lui dit-il. Elle reconnut la voix de l’homme du glory hole.

Se saisissant de son épaisse queue avec une main, toujours en équilibre instable sur un bras tendu, il l’introduisit dans l’orifice sacré en arquant son corps vers l’arrière.

Elle gémit et il laissa alors peser progressivement tout son poids sur les deux corps déjà en superposition, ayant pour effet de s’enfoncer plus profondément en elle.

Evelyne était dorénavant prise en sandwich par deux Apollon noirs.

Des va-et-vient s’organisaient afin de lui labourer le cul et la chatte simultanément.

Elle essaya de se repositionner différemment afin d’obtenir une position plus confortable mais sentit qu’elle était maintenue dans la position, incapable de réellement bouger, complètement sous l’emprise des 2 mâles. D’autres mains aidaient à la maintenir presque immobile.

Elle eût un moment l’impression qu’elle se faisait violer par ces deux nègres tant elle ne pouvait se mouvoir et était pénétrée de part et d’autre simultanément. Paradoxalement, elle jouissait à répétition de cette situation. Un fantasme se réalisait pour elle.

Elle sentait que cette situation présente générerait de manière certaine pour elle des conséquences et des envies dans l’avenir.

Les 2 noirs continuaient de la bourrer en rythme avec des bruits d’efforts, alors que le corps d’Evelyne était sans cesse parcourus de spasmes de plaisir.

Vaincus par les charmes de la splendide européenne, ils déchargèrent ensemble de grosses saccades de sperme épais en elle.

La soirée s’acheva en divers compliments. Evelyne fut invitée par divers hommes à venir discuter, boire un verre. L’un deux, de type européen de l’Est avec accent russe, lui remit un petit carton après avoir longuement échangé avec elle autour d’un verre.

Intriguée, mais fatiguée, elle décida qu’elle regarderait çà plus tard. Elle prit ses affaires et rentra

chez elle.

(à suivre…)

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