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Week-end à l'Océan – Chapitre 1




Suite à l’annonce passée pendant l’été : Je recherchais un groupe d’hommes disposant d’un pied-à-terre au bord de l’Océan ou de la mer pour me mettre à leur disposition l’espace d’un week-end.

Courant juillet, je reçois une réponse très sympa d’un groupe de cinq jeunes hommes louant une maison située à sept cents mètres de l’Océan à compter du douze août. Ce courrier était accompagné d’un descriptif complet des tenues souhaitées.

Le jour venu, nous avions rendez-vous dans un bar. Je me présentais donc en fin de matinée comme convenu, nue sous une mini-robe très décolletée.

Ils furent très satisfaits de me voir ainsi habillée et moi agréablement surprise. Ils étaient très plaisants. Le courant est passé très rapidement.

Quelques minutes plus tard, dans leur maison, nous discutions comme de vieilles connaissances. Au moment de prendre l’apéritif, ils me demandèrent d’ôter ma robe pour faire le service. Ils décidèrent que je resterais nue en permanence. Je m’exécutais avec plaisir et m’exhibais à leur demande dans diverses positions avant de les sucer les uns après les autres. Le repas fini, ayant bien joui, ils décidèrent de partir à la plage. Ils m’habillèrent d’une serviette de bain et d’un mini-string-ficelle blanc cachant de justesse les lèvres de mon sexe. Ainsi vêtue, je les accompagnais dans la rue.

Il y avait environ sept ou huit cents mètres d’avenue très fréquentée pour parvenir à la plage. Ils n’arrêtaient pas de plaisanter entre eux. Pour s’amuser, ils détachèrent ma serviette et se l’envoyèrent de l’un à l’autre. Je ne me laissais pas démonter. Je continuais à marcher dignement devant eux les seins à l’air. À chaque pas je sentais le satané string rentrer de plus en plus dans la fente de mon sexe : il ne devait plus cacher grand-chose ! Pour la discrétion c’était loupé. Beaucoup de personnes se retournaient pour me regarder, ce qui les faisait beaucoup rire. Une femme quasiment nue au milieu d’un groupe d’homme cela fait jaser ! Je vous passe l’épisode de la plage, ou ils m’enduisirent d’huile solaire jusque aux endroits les plus intimes. Le retour s’effectua dans la même tenue. Sitôt rentrés, l’un des jeunes hommes me présenta son sexe à sucer ; un autre me défonça dans la cuisine ; un troisième sous la douche. Tout était prétexte pour abuser de mon corps.

Le soir venu, pour sortir en boîte, ils m’habillèrent d’une micro jupe noire, – dont seules les franges cachaient mon sexe et le bas de mes fesses – et d’un top de dentelle noire assorti. Tout ça était très provoc !

Quelques verres plus tard, assise dans le box, j’étais très chaude de partout. Ils s’amusaient à écarter mes cuisses pour exposer mon sexe nu à la vue de tous. De nombreux hommes faisaient cercle pour me regarder. Sur la piste, ce fut de la folie ! Je passais de main en main sans discontinuer. Tout le monde me caressait. Le top !

Prise d’un besoin pressant, je m’éclipsais vers les toilettes. Au moment d’entrer dans celles pour Dames, des personnes qui me suivaient me poussèrent dans les w.-c. Hommes. Je fus plaquée contre le mur par deux d’entre eux qui me palpèrent tout en retirant mes vêtements. Ils m’agenouillèrent pour les sucer pendant que l’un d’eux continuait à me branler. N’en pouvant plus de plaisir et d’envie, j’urinais abondamment devant eux, ce qui déclencha de puissants jets de sperme que j’avalais goulûment.

À la fin de la soirée, en présence de personnes qui sortaient de la boîte, ils me déshabillèrent pour marcher avec eux, nue dans la rue. Arrivés au pied de leur véhicule, ils se firent sucer en pleine rue ce qui décupla leurs ardeurs.

Une fois de retour à la maison, la soirée était loin d’être finie. Je ne sais combien de fois, ils vinrent me retrouver cette nuit-la. Je me réveillais à plusieurs reprises sentant leurs sexes me pénétrer. À chaque jouissance, leur jus coulait sur mon corps. Le lendemain après mon réveil, ils parvinrent à se vider une dernière fois sur mon visage tout excités qu’ils étaient par la surprise qu’ils me réservaient. Ils enfermèrent mes bagages ainsi que mes vêtements dans la malle de mon véhicule puis ils m’accompagnèrent nue à ma voiture avec l’interdiction de me laver et de m’habiller lors de mon retour. Je partis donc pour plus de deux heures de routes, les cheveux collés, le visage encore dégoulinant et le corps couvert de sperme séché, le sexe et l’anus complètement dilaté et défoncé par trop de pénétrations, les lèvres gonflées de trop sucer. J’étais totalement meurtrie, mais heureuse d’avoir passé un super week-end.

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