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Une auto stoppeuse de charme – Chapitre 1




Ca s’est passé il y a 3 ans tout juste. Le mois d’août venait de débuter et depuis deux semaines enfin, les rayons du soleil accompagnaient cette période estivale. Il n’en fallait pas plus pour voir les tenues des filles s’alléger. Les petits tops trop courts qui laissent voir une bande de peau, voire qui s’arrêtent bien au-dessus du nombril fleurissaient tout aussi vite que les jupes se raccourcissaient pour laisser enfin découvrir ces cuisses que ces demoiselles ont malheureusement trop souvent tendance à cacher. Il était donc tout à fait plaisant de flâner dans la rue et de s’émerveiller de toutes ces créatures à peine couvertes qui déambulaient.

C’est donc un peu émoustillé qu’une fois mes courses en ville terminées je repris ma voiture pour rentrer chez moi. Après cinq kilomètres, le trafic commençait à être plus fluide et je pus enfin prendre un peu de vitesse. Peu être trop car lorsque je la vis sur le côté de la route, j’eus à peine le temps de l’apercevoir. Et pourtant, cela provoqua en moi un délicieux picotement dans tout mon corps. Il faut dire qu’elle était sublime. Mesurant environ 1,75 m, elle était mince (59 kg à vue de nez) et avait de longs cheveux châtains, assez lisses qui cascadaient sur ses épaules pour descendre jusqu’à la cambrure de sa chute de reins. Malgré cette silhouette mince, elle présentait des formes féminines tout à fait appétissantes, avec une poitrine haute et pointue, mise en valeur par une blouse beige décolletée et surtout hyper-moulante. Les manches-? de celle-ci venaient terminer de mouler son corps et ajouter une touche de raffinement auquel je suis particulièrement sensible. Mais ce n’était rien par rapport au bas qui était tout bonnement extraordinaire. En effet, cette superbe fille était vêtue d’une minijupe, beige également, qui s’arrêtait entre 30 et 40 cm au-dessus du genou. Cette jupe moulait des fesses bien faites et montrait des jambes magnifiquement fuselées et légèrement hâlées. Celles-ci, il faut le dire était en plus mises en valeur grâce à des sandales à talons hauts qui renforçaient leur galbe. Enfin, cette jeune personne portait une paire de lunettes solaires et un petit sac assorti au reste de sa tenue.

Mais vous comprendrez encore mieux mon émoi lorsque je vous aurai appris que cette fille faisait de l’auto stop ! Hélas, ma vitesse et les voitures qui me suivaient firent que je n’eus pas le temps de réfléchir et de m’arrêter pour la charger. Je continuai donc ma route comme un idiot en me maudissant et en me repassant sans cesse dans la tête l’image superbe dont je n’avais pu profiter qu’un court instant. Je fis une force pour me raisonner et me dire que de toute façon, ce n’est pas parce que je l’aurais prise dans ma voiture que j’aurais pu envisager quelque chose avec elle. Belle comme elle l’était, elle devait certainement être en couple. Mais ces arguments ne me satisfaisaient pas car une autre voix me disait que j’aurais au moins pu la contempler le temps du trajet. C’est ainsi qu’arrivé à un rond-point, je me vis faire tout le tour de celui-ci et repartir dans la direction d’où je venais. Je redescendis donc la route le c?ur battant, me réjouissant de pouvoir la revoir. Un certain stress montait en moi, comme lorsqu’on s’apprête à faire quelque chose d’un peu inhabituel.

Ce n’est pas mon style de faire demi-tour pour charger une belle auto stoppeuse. Mais je dus très vite déchanter, car arrivé sur le lieu où elle attendait, je la revis, mais discutant avec le conducteur d’une décapotable gris argenté. Elle allait monter avec lui. J’avais l’air fin avec ma Corsa plus toute jeune, à contre-sens de surcroît ! Tout en maudissant cet automobiliste qui me raflait l’objet de mes désirs sous mes yeux, je me dis que ça m’apprendrait à faire ne plus faire l’idiot et faire demi-tour juste pour voir une jolie fille. Il ne me restait plus qu’à moi-même faire demi-tour et rentrer enfin chez moi. Ce que je fis. Je ne pus m’empêcher de regarder vers l’endroit où cette inconnue attendait quelques secondes plus tôt. Et là, surprise, miracle : elle était là, balançant distraitement sa pousse à l’appel d’une bonne âme pouvant la mener là où elle désirait. Personnellement, j’aurais pu la suivre jusqu’en enfer, tant elle était ravissante. Je ne me laissai donc plus prendre au piège et m’arrêtai face à elle. J’entrouvris la porte et lui demandai où elle voulait se rendre. Avec un sourire éblouissant, elle m’indiqua sa destination. Ce n’était pas vraiment ma route, mais qu’importe ! Avec un pieux mensonge, je lui dis que c’était sur mon chemin et que je serais heureux de pouvoir lui rendre service.

Elle me remercia chaleureusement et s’installa à mes côtés. Je redémarrai. De près, c’était encore pire. Je pouvais voir les traits fins de son visage bronzé. Elle était réellement splendide et n’avait rien à envier à la plupart des mannequins professionnels. En s’asseyant, sa jupe était encore remontée et c’est la quasi-entièreté de ses cuisses que je pus admirer. J’en étais un peu intimidé et eu donc du mal à engager la conversation. Heureusement, j’étais tombé sur une fille très sympathique et avenante. De sorte qu’on fit rapidement connaissance. Elle s’appelait Sandrine, avait 20 ans et était étudiante en psychologie. Elle ne faisait donc pas exception à la règle dont je m’étais aperçu, à savoir que les étudiante en psychologie sont souvent extrêmement bien faites et ont un don hors pair pour s’habiller de façon classe et sexy. Il faisait très chaud dans la voiture (et me concernant, ce n’était pas seulement à cause de la météo) et elle me demanda de sa voix douce et posée si cela ne me gênait pas qu’elle baisse un peu sa fenêtre. Cela ne me gênait pas et lorsque la vitre fût baissée, un vent tiède et délicieux s’engouffra dans l’habitacle, faisant voler ses cheveux, ce qui la rendait encore plus désirable.

Plus le chemin avançait et plus je la trouvais sympa. Elle aussi, d’ailleurs semblait penser la même chose à propos de moi. Pour tout vous dire, lorsque j’ai fait demi-tour, je n’en espérais pas tant. On se découvrit rapidement une passion commune pour la photographie. Si je m’adonnais surtout aux portraits, elle avait profité de nombreux voyages pour ramener des images de paysages incroyables selon elles.

En arrivant face à son appartement, je me mis vraiment à regretter qu’elle n’habite pas plus loin. Car je me sentais bien avec elle et surtout, je ne me rassasiais pas de la vue de son corps magnifique. J’étais même prêt à lui demander son numéro de téléphone. Mais c’est elle qui prit l’initiative et qui me demanda si j’avais le temps de jeter un ?il sur ses derniers clichés. Elle me dédommagerait avec un rafraîchissement. Non seulement j’avais le temps, mais même si cela n’avait pas été le cas, j’aurais tout envoyé promener pour la suivre. J’acceptai donc son invitation avec un enthousiasme que j’essayais de masquer au mieux. Elle habitait au quatrième étage. Nous empruntâmes donc l’ascenseur. Il était assez exigu et le fait de me trouver aussi proche d’elle me troubla autant que le délicat parfum qui émanait de son corps. C’est le moment qu’elle choisit pour ôter ses lunette de soleil. Et là, je reçus le choc de deux magnifiques yeux verts qui me regardaient. Elle souriait. Et je dus faire des efforts démesurés pour ne pas lui sauter dessus à cet instant. C’est presque soulagé que je sortis de l’ascenseur. On se retrouva dans un petit appartement très coquet. Elle me demanda d’ouvrir une fenêtre pendant qu’elle préparait à boire. Ce que je fis. Pendant son absence, j’en profitai pour laisser errer mon regard dans la pièce. Que des objets de très bon goût qu trahissaient une certaine aisance chez cette jeune fille. Je tombai alors sur deux photos. L’une représentait deux personnes d’une cinquantaine d’année alors que l’autre montrait un homme, très beau, allant sur sa trentaine. La tuile. Je me disais bien qu’une aussi joli fille ne puisse pas être libre. Elle entra et me vit dans ma contemplation.

— Mes parents, mon frère.

Je dus réprimer un sourire de satisfaction.

— J’avais cru à un petit ami.

— Je n’en ai plus depuis 10 mois. Ca devient long?

Elle me sourit curieusement, de manière ambiguë. Tellement que j’en fut retourné. Etait-ce une façon déguisée de me dire qu’elle était en manque d’amour. Et si oui, était-ce en manque d’amour ou d’amour physique ? Je bus un coup pour me donner une contenance et lui demandai à voir ses photos. Elle revint avec 6 pochettes. Je pus admirer alors ses prises de vues qui s’avéraient d’une qualité tout à fait honnête. Les différentes pochettes nous permirent de voyager de la Sicile à l’Andalousie en passant par le Maroc. Nous étions assis dans un canapé un peu bas. Plus les photos défilaient et plus je la sentais proche de moi. Au début, en me désignant certains détails, son bras m’effleurait, déclenchant en moi de délicieux frissons. Puis ce sont nos genoux qui sont entrés en contact. A la fin, je sentis son corps s’appuyer doucement sur le mien et je pus sentir son sein droit contre mon torse. Sensation incroyable. C’est à ce moment que je me rendis compte qu’avec la blouse qu’elle portait, il était impossible à Sandrine de porter un soutien-gorge sans que cela ne se remarque. Elle était donc nue sous sa blouse. Vêtue en tout et pour tout de cette blouse, de sa minijupe, d’une petite culotte (enfin, probablement?) et de ses sandales à talons haut. Un phantasme ambulant. Fut-ce par hasard, nous tournâmes notre visage l’un vers l’autre exactement au même moment. Je ne vis plus que ses grands yeux verts et sa belle bouche au sourire éclatant. La tension était à son comble. J’étais au bord de l’apoplexie. Elle recula un peu, et nous poursuivîmes la contemplation des photos. Mais quelque chose avait changé et il régnait dans la pièce une tension intense. Je voulus ouvrir la 6ème et dernière pochette, mais elle m’arrêta précipitamment.

— Pourquoi ?

— Parce que? Parce que ce sont des photos personnelles.

— De toi ?

— Oui.

— Alors elles doivent être magnifiques. Tu ne veux pas me les montrer ?

— C’est que tu risques de ne pas me reconnaître.

— Pourquoi. Tu étais petite. Je suis sur que tu devais être aussi mignonne.

Elle rougit délicieusement.

— En fait, je n’y suis pas toujours très habillée.

J’étais stupéfait. Sandrine avait fait des photos de nu.

— Tu t’es fait prendre nue en photo ?

Elle ne répondit pas.

— Elles doivent être magnifiques. Mais ne te sens pas obligée de me les montrer.

— En fait, c’est moi qui les ai prises, en mode ’ minuterie ’. Un soir où j’étais seule et un peu en manque. Je te l’ai dit, ça fait dix mois?

— On les regarde ou pas ?

— D’accord, mais ne ris pas de moi.

— D’accord.

Quand je les vis, je n’eus d’ailleurs pas du tout envie de rire, mais plutôt de prendre Sandrine sur-le-champ, là sur le canapé. Elle avait réellement un corps somptueux. Certes les cadrages n’étaient pas parfaits mais le fille qui s’étalait sur ces photos me faisait bander à me faire mal.

— Tu es absolument splendide.

— Merci. Mais ce n’est pas très ’ pro ’, comme photos.

— C’est normal, tu n’étais pas derrière l’objectif.

Et je lui expliquai comment j’imaginais les prises de vue idéales. Et là, coup de tonnerre, elle me dit gentiment :

— Tu voudrais le faire ?

— Quoi, des photos de toi, nue ?

— Ben oui. Maintenant, tu sais comment je suis faite. Et tu t’y connais en photo.

— Si tu veux, dis-je en avalant péniblement ma salive.

— Où ?

— Je pense que ta chambre serait un bon début.

— D’accord !

Elle me précéda vers la porte de celle-ci. Je la suivis haletant, me demandant quel dieu avait pu mettre cette fille incroyable sur mon chemin. Je me retrouvai donc dans une chambre pas très grande, mais bien agencée. Elle prit un appareil photo et me le tendit.

— Cela te conviendra-t-il ?

— Ce sera parfait. Je te propose de procéder comme suit : te vas bouger dans la chambre, prendre les poses qui te passent par la tête et je figerai celles qui me semblent les meilleures. Je pense que c’est la meilleure façon d’obtenir des clichés naturels.

— Un peu comme les vrais top-models.

— Tu les vaux bien, dis-je avec un sourire. Je te propose de commencer par quelques photos habillées.

— O.K.

Elle se dirigea vers un meuble qu’elle ouvrit. C’était un meuble hi-fi. Elle mit un C.D. et les premiers sons d’un morceau de danse s’élevèrent dans la pièce. Ca promettait d’être chaud !

Sandrine commença alors à danser seule autour de sont lit. La voir ainsi évoluer à quelques pas de moi provoquait chez moi une érection monstrueuse. Son corps était d’une souplesse remarquable. Au bout de quelques clichés, Sandrine décida qu’il était temps de passer aux choses sérieuses et c’est la jupe qui y passa en premier. Il lui suffit de descendre la fermeture pour que la courte jupe se retrouve à ses pieds. Et là, je pus me rendre compte que je m’étais trompé tout à l’heure en supposant que Sandrine portait une petite culotte. En fait, c’était un string ! J’aurais du m’en douter vu son goût vestimentaire aigu. Ce string blanc soulignait une chute de rein à damner un saint. De dos, il était difficile de détacher son regard de son cul magnifique qu’elle semblait prendre plaisir à balancer lascivement devant mes yeux. J’avais vraiment besoin de toute ma volonté pour procéder aux réglages corrects de mon appareil photo.

Et puis arriva le moment où elle décidât d’ôter sa blouse. Et d’une façon incroyablement sexy, elle fit passer celle-ci par-dessus tête, découvrant ainsi une merveilleuse poitrine. Ses seins étaient parfaits : de volume assez important, ils étaient hauts, ne ployant absolument pas sous leur poids. Les mamelons étaient de taille moyenne et de couleur assez foncée. Bref, une paire de seins digne des magazines de beauté. Ils bougeaient doucement au gré des mouvements que Sandrine imprimait à son corps. Je n’en pouvais plus. Quelques instants plus tard, elle fit glisser son string le long de ses longues cuisses, pour se retrouver intégralement nue hormis ses chaussures. Elle était rasée, ce qui donnait une sensation de netteté et de perfection. La vie a ses bons côtés : je me retrouvais en compagnie d’une bombe intégralement nue, alors que quelques heure plus tôt, je ne connaissais rien d’elle. Elle continua de m’émouvoir en prenant des poses de plus en plus sexy, pour finalement devenir carrément obscène. Elle tenait à ce que j’immortalise sa petite chatte bien rose qu’elle caressait nonchalamment.

— Je pense qu’on va en rester là, lui dis-je. Sans quoi, je vais difficilement pouvoir me retenir de te sauter dessus.

— Mais qu’est-ce que tu attends pour le faire ?

Je crus que j’avais mal entendu. Mais elle joignit le geste à la parole et m’ôta ma chemise avant de se lover dans mes bras. Elle me sourit avant que nous nous embrassions. C’était délicieux. Elle embrassait remarquablement bien, jouant de sa langue, mais sans me l’enfoncer jusqu’aux amygdales. Je crus franchement que je n’allais pas pouvoir me retenir et que j’allais éjaculer sur-le-champ. Je lui caressai les fesses, le bas du dos et elle ronronna. Fixant son regard dans le mien, elle s’agenouilla lentement et détacha mon jeans. Elle abaissa mon slip et mon sexe jaillit comme un beau diable. Sa belle bouche pulpeuse était à 10 centimètres. Elle attendait. Je n’en pouvais plus et la suppliai de faire quelque chose. Ne lâchant pas mon regard, elle avança doucement son visage et ses lèvres touchèrent mon gland. La sensation était intense. Elle commença alors à caresser mon gland du bout de sa langue. Par petit cercles. Je n’avait jamais rien connu de tel. La caresse était délicieuse et à la fois j’avais envie qu’elle aille plus loin. Mon excitation était renforcée par le fait qu’elle me regardait toujours, ce qui lui donnait un aspect soumis. Elle ferma les yeux et enfin enfourna le plus loin qu’elle put mon membre dans sa bouche. C’était indescriptible. En même temps, elle me caressait les couilles avec ses doigts par de petits effleurements. La technique était parfaite et la fille était sublime. De sorte que je sentis vite que je ne pourrais plus me retenir très longtemps. Je lui en fit part. Elle me répondit :

— Je n’en ai rien à cirer. Je veux ton sperme dans ma bouche.

— Mais je croyais que tu voulais que je te saute dessus.

— J’ai changé d’avis. Je veux te boire. Je veux te sentir jouir au fond de ma bouche. Dans ma gorge. Je veux que tu m’inondes de ta semence.

Il n’en fallut pas davantage pour que je largue plusieurs giclées puissantes de foutre doux et brûlant dans sa gorge, ce qui m’arracha un cri de plaisir. Aucune fille ne m’avait encore aussi bien sucé. Elle avala tout. Pas une goutte n’échappa de ses lèvres. Elle voulait tout. Elle termina par me lécher le gland, comme elle avait commencé. Sensation divine. Je me rendis compte que j’étais en sueur ! Elle s’en rendit compte également et me proposa de prendre une douche.

— Avec plaisir.

Je la suivis jusqu’à la petite salle de bain et je me jetai sous une douche tiède. Après m’être savonné et rincé, je vis le rideau s’écarter. Elle était là, toujours aussi belle.

— Je peux, me demanda-t-elle en entrant dans la douche.

— Evidemment. Veux-tu que je te savonne ?

— Volontiers.

J’entrepris de savonner ses épaules puis descendis le long du dos jusqu’à sa chute de reins fabuleuse. Le contact de ma main nue au travers du gel douche sur sa peau était incroyablement doux. Je me mis à lui pétrir les fesses et elle vint au-devant de mes caresses. Je continuai à m’occuper de cette région pendant un bout de temps puis la retournai pour m’occuper de ses seins. Qu’est qu’ils étaient beaux et fermes. Elle ferma les yeux et s’arrêta de sourire.

— Ca ne va pas ?

— Si, si. N’arrête surtout pas. Doucement. Je suis très sensible.

Je sentais les pointes de ses seins se dresser, devenir énormes et très dures. Je continuai par mouvements circulaires à effleurer ses pointes de la paume de mes mains. J’entrepris alors de descendre une main alors que l’autre s’attardait toujours à sa poitrine. Je descendis lentement, pour finir par atteindre le pubis. Elle écarta d’elle-même légèrement ses cuisses et je lui massai le sexe. Ensuite, je m’attardai plus particulièrement à son clitoris. Il était très dur lui aussi. Je le titillai, le pinçai, le caressai. Elle se mordit les lèvres.

— Oh que c’est bon. Vas-y. Continue.

— Comme ça ?

— Oui. Comme ça. Oh oui. Encore. Encore. Encore. Je vais jouir.

J’accélérai alors un peu le mouvement de mes doigts et lui pinçai en même temps la pointe d’un sein. C’est à ce moment que tout son corps eu un soubresaut et qu’elle émit un cri étranglé. Elle venait d’avoir son premier orgasme. Il lui fallut près d’une demi-minute avant qu’elle n’ouvre les yeux. Elle me sourit.

— C’était incroyablement délicieux. Mais je n’ai pas l’intention de te laisser partir comme ça. Maintenant que j’ai trouvé un homme qui sache me caresser et me procurer un bel orgasme, je compte l’utiliser jusqu’au bout.

Je me dis qu’il serait toujours temps de voir ce que signifiait jusqu’au bout dans sa bouche. Nous nous séchâmes et regagnâmes la chambre à coucher. Elle s’allongea sur le lit et je ne me fis pas prier pour venir m’installer à ses côtés. On recommença à s’embrasser avec passion.

— J’ai vraiment envie de faire l’amour avec toi.

L’entendre dire ça après l’avoir vue jouir avait provoqué chez moi une érection toute neuve et bien ferme. J’avais bien l’intention de l’en faire profiter.

Pendant une bonne demi-heure, nous passâmes notre temps à nous caresser, à explorer les différentes zones de notre corps. Puis, j’entrepris de m’attarder plus particulièrement à son entrecuisse, pendant qu’elle continuait à se masser les seins. D’abord, j’utilisai mes doigts. Je caressais doucement ses lèvres intimes au travers desquelles je pouvais voir s’écouler une quantité impressionnante de mouille. Sandrine était complètement inondée, au comble de l’excitation. J’introduisis alors un doigts à l’entrée de son sexe et je commençai à l’enfoncer très doucement en y ajoutant un mouvement circulaire. Elle sembla beaucoup apprécier cette caresse, car elle se mit à gémir, puis à crier réellement. Une fois mon doigt au fond, je le ressortis, toujours en le faisant tourner, puis je le renfonçai. Mais cette fois, il était accompagné d’un second doigts. Mon majeur et mon index gigotaient dans son sexe et Sandrine ne tenait plus en place. Je me mis à masser la paroi antérieure de son vagin et elle haleta de plus belle. Je retirai alors mes doigts et approchai ma bouche de son sexe ruisselant. Ma langue caressa doucement ce fruit mûr et onctueux.

Je me régalais des sécrétions abondantes de Sandrine qui prouvaient toute son excitation. Je me rapprochai de son clitoris et lui administrai une caresse par petits cercles de plus en plus centrés sur son bouton de plaisir. Là , elle se mit tout bonnement à hurler de plaisir et j’eu une pensée pour la fenêtre de la chambre qui était ouverte. Mais peu importe, je ne pouvais plus m’arrêter la sentant au bord de l’orgasme. Ce dernier ne tarda pas et Sandrine après un hurlement plus intense que les autres jouit intensément, son corps se tendant comme un arc. Elle resta pantelante, mais je ne la laissai pas récupérai et repris mes caresses. Il ne lui fallut pas 10 minutes pour qu’elle jouisse à nouveau.

Je continuai ainsi un long moment. Sandrine enchaînait orgasme sur orgasme, de plus en plus rapprochés, jusqu’à ce qu’elle me dise :

— Arrête, je t’en supplie, je n’en peux plus, je suis épuisée.

Je l’avais amenée là où je voulais. C’est le moment que je choisis pour enfin la faire profiter de ma belle queue toute dure, qui n’attendait que ça. Je m’allongeai sur elle et la pénétrai d’une seule et longue poussée. La sensation fut inouïe. C’était le plaisir à l’état pur que de pouvoir s’enfoncer dans cette superbe fille, qui avait les traits déjà ravagés par ses précédents orgasmes. Pour elle, ce fût tout aussi extraordinaire. Une vague de plaisir sans précédent l’envahit et elle jouit une fois de plus, mais beaucoup plus intensément encore. Je fis un effort sur moi-même pour ne pas jouir tout de suite tant la situation était excitante. Une fois un peu calmé, je commençai à lui faire l’amour par de lents va-et-vient, profond. Elle gémissait sans cesse. J’accélérai le mouvement et elle cria à nouveau, sans pouvoir se contrôler. De plus en plus vite.

— Oh qu’est-ce que c’est bon. Je vais mourir. Je te sens gros et dur. J’adore !

A force d’accélérer, je déclenchai mon plaisir. Et de me sentir jouir à longs jets au fond de sont ventre déclencha le plaisir de Sandrine. Son nouvel orgasme fut tellement intense qu’elle perdit connaissance quelques instants. Quand elle revint à elle, je l’embrassais tendrement. Elle entrouvrit les lèvres et sa langues vint à la rencontre de la mienne. Nos salives et ses sécrétions se mélangeaient en un parfum subtile et excitant.

Elle était à bout. Elle se mit sur le ventre et sombra rapidement dans le sommeil. Moi, j’en profitai pour la contempler. Quelle bête de sexe. Quelle beauté. Mon regard s’attarda à ses fesses et je me mis à les caresser. Elles étaient incroyablement fermes. Lisses, parfaites. Je m’attardai alors à son petit trou du cul, qui frémissait lorsqu’on faisait mine de le forcer. Cela me donna de mauvaises pensées et je commençai à ramener la mouille qui s’écoulait encore de son vagin vers son anus. Très progressivement, j’enfonçai un doigt dans son cul. Elle ne broncha pas et je commençai alors à la dilater lentement. Voir ce canon qui se laissait doigter le cul sans frémir par un quasi-inconnu me fit rapidement rebander. Je continuai de la préparer longuement, sans qu’elle ne fasse mine de se réveiller. Maintenant, mon doigt coulissait dans son cul aussi facilement que dans son sexe. Elle dormait toujours, mais j’aperçu tout de même que ses fesses faisaient de petits mouvements pour venir à la rencontre de mon doigt. A mon avis, ce n’était pas la première fois que Sandrine se prenait une tige dans le cul. Ravalant tous mes scrupules, je m’allongeai doucement sur elle et après quelques aller-retours dans son sexe encore tout dilaté, j’approchai ma queue de ses reins. Doucement, mais fermement, je m’enfonçai au plus profond de ses fesses. Sensation extraordinaire. Là, elle se réveilla en poussant un cri déchirant. Je ne bougeai plus.

— Tu as mal ?

— Tu plaisantes, je n’ai jamais éprouvé autant de plaisir.

— C’est le genre de chose que tu aimes d’ordinaire ?

Un peu tard pour demander certes, mais enfin?

— C’est la première fois.

Je n’en revenais pas. C’est moi qui avait l’honneur de déflorer le cul de cette splendide femelle.

— On ne te l’as jamais proposé ?

Elle sourit.

— Tous les mecs avec qui j’ai baisé m’ont suppliée d’accepter

— Ca ne m’étonne pas, l’interrompis-je. Tu as un cul qui semble fait pour ça.

Elle le pris comme un compliment.

— Il y a longtemps que je veux le faire, mais je voulais quelqu’un qui sache s’y prendre.

— Alors pourquoi moi, que tu connais à peine.

— Parce que personne ne m’avait jamais aussi bien fait l’amour et aussi bien fait jouir que toi.

J’accusai le coup de ce compliment. Pour fêter cet aveu, je me remis à bouger et elle à hurler son plaisir.

— J’adore. C’est incroyablement bon.

— Pour moi aussi.

Je sentais les parois serrées de son cul palpiter autour de ma bite.

— Je ne pensais pas que tu pourrais m’apporter autant de plaisir. Oh, oui, continue comme ça. Continue, continue.

Une litanie.

— Mon cul est à toi, remplis-moi, bourre-moi bien.

Elle en devenait poétique.

— Encule-moi. Le jour la nuit, le plus possible. Oh, oui. J’adore, j’ad?

Elle se mit à pleurer tant les sensations étaient délicieuses. Je la ramenai bien à quatre pattes et, sentant qu’elle n’allait pas tarder à jouir, je lâchai mon galop. C’était divin de pouvoir perforer cette croupe de rêve.

On jouit à peu près en même temps. Elle continua à pleurer, pendant que je me vidais dans ses fesses avec un plaisir intense.

Quelle fille. Sous ses airs de bonne famille, Sandrine s’était révélée être une affolante salope. Probablement un des meilleurs coups de la ville. On reprit ses esprits dans les bras l’un de l’autre. La pendule du salon sonna les coups de 18 heures et Sandrine sembla retomber sur terre.

— Oh déjà ? Vite, il faut que tu partes.

— Pourquoi si vite ?

— A cause de Thomas.

— Thomas ?

— Oui, celui de la photo.

— Ton frère.

Elle se pinça les lèvres.

— En fait, ce n’est pas mon frère, c’est mon compagnon. Tu ne m’en veux pas ?

Elle était encore bien plus salope que je ne le croyait.

— J’avais envie d’un autre. Ca m’arrive parfois. Alors, je fais du stop. Il y a toujours bien un mec pour me ramener et qui est d’accord pour me baiser.

— Je les comprends.

— Mais maintenant, c’est promis, quand je voudrai prendre mon pied. C’est toi que j’appellerai. Ta queue est la clef de mon cul.

— Elle m’embrassa tendrement et nous nous quittâmes.

Depuis, de temps en temps, elle m’appelle. Quand elle a envie de sexe. Et on passe un après-midi de folie. Elle aime ça et moi aussi !

Si cette histoire vous a plu, n’hésitez pas à m’envoyer un commentaire. Ce sera avec le plus grand des plaisir que je le lirai.

Steph.

E-mail: [email protected]

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