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Un Hangar pour des Expériences… – Chapitre 1




Cette Histoire n’est qu’une fiction, pas une histoire vraie ;)

Je me présente, je m’appelle Karine. J’ai 44 ans, et je suis marié depuis maintenant presque 20 ans avec George. Nous nous aimons comme au premier jour. Il est brun aux yeux verts, assez musclée, et d’une douceur et d’une gentillesse incroyable. Moi ? Je suis plutôt fine, de taille moyenne, et brune aussi. J’ai des formes assez généreuses qui, je dois l’avouer, me plaisent beaucoup. Cette histoire s’est passée il y a 10 ans de cela.

Nous étions en route pour un voyage en amoureux, pour fêter nos 10 ans de mariages, lorsque le moteur s’est mit à fumer. Malheureusement pour nous, nous étions en pleine campagne, et pas de garage à l’horizon. Alors nous avons continuer à rouler tout doucement, espérant tomber sur un garagiste rapidement. Bientôt, nous pénétrâmes dans un petit village, apparemment désert. En roulant, nous sommes passés devant un énorme hangar. Nous ne savions pas si c’était un garage, mais le moteur fumant de plus en plus, nous avons décidé d’aller voir. Les piles de pneus stockés dans la cour nous encouragèrent dans notre décision. Ce fut sans doute notre plus grosses erreurs.

A peine rentrés, nous fûmes plaqués face au mur, sans avoir pu faire le moindre geste. Je sentis qu’on me menottait, et je jetais un regard affolé à George. Où donc étions-nous tombés ? J’étais terrorisées, mais je m’efforçais de le cacher. Bientôt, on nous retourna, et nous nous retrouvâmes nez à nez avec une jeune femme très provocante, aux formes plus que généreuses. Nous étions retenue par deux hommes, et deux autres étaient alignés aux côtés de la femme, un sourire mesquin aux lèvres. George tenta de s’approcher d’elle, furieux, et cracha :

— Qu’est-ce que vous voulez ?

La femme ricana, et s’approcha de lui. D’un geste langoureux, elle passa la main sur la joue de mon mari, et murmura :

— Chuttt mon grand, tu va bientôt savoir.

Cela m’inquiéta encore plus. Je ne savais pas à quoi m’attendre, mais les hommes ne portant qu’un boxer, et elle un genre de body en cuir, j’étais très inquiète. Bientôt, la jeune femme se plaça devant moi, et m’observa, un léger sourire aux lèvres. Puis, après quelques instants, elle déclara :

— Bienvenue dans mon hangar. Je m’appelle Samantha. Ici, nous faisons toute sorte d’expérience plutôt…jouissante. Vous aller avoir l’occasion de vous en rendre compte par vous-même, je vais vous faire visiter. Mais avant, sachez que vous subirez une bonne partie de tout ce que vous allez voir.

Je paniquais encore plus, et j’étais au bord des larmes, lorsque Samantha se mit en route. Nous fûmes obligés de la suivre, poussés par nos "gardes du corps". La pièce où nous nous trouvions était vide, mais bien vite, nous nous dirigeâmes vers une petite porte encastré dans le mur du fond. Plus nous approchions, plus nous pouvions distinguer des cris, des hurlements, et autre bruits terrifiants.

Bientôt, nous passâmes la porte, et restâmes figés. Devant nous s’offrait une vision inimaginable. De part et d’autre de la pièce, des sortes "d’ateliers" étaient occupés par des hommes et des femmes en tenus identiques à celles de nos gardes du corps, et ils s’affairaient sur d’autre personnes qui, elles, étaient nus. Il n’y avait désormais plus à douter sur les expériences de Samantha. Elles étaient sexuelles, et savoir que nous allions les subir me terrifiaient, et même plus. Cependant, nous dûmes continuer à suivre notre guide. Tout en marchant vers le premier "atelier", elle reprit la parole, et nous expliqua :

— Comme vous le voyez, il y a divers ateliers, et chacun de nos "clients" passe dans plusieurs d’entre eux, qui dépendent de sa coopération, et de mon bon vouloir. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, vous y passerez aussi. Vous verrez que ces expériences sont plutôt originales, mais on peut y prendre un plaisir immense, ou bien les détester. Ce sera à vous de choisir.

Ses mots me terrifiaient, et je redoutais ce que j’allais voir. Je refusais de subir ces abominations, cependant, je doutais qu’on puisse s’échapper, mais cela me révoltais de n’imaginer ne serait-ce qu’une seconde me laisser faire. Nous arrivâmes rapidement à notre première destination. S’y trouvaient deux femmes et un homme. L’une d’elles étaient allongée et attachée, bras et jambes écartés,sur un genre de planche. Elle se débattait en hurlant. L’homme était à sa tête, et lui pinçait les tétons, plus ou moins violemment, tirant à sa victime des cris de douleurs L’autre femme, elle, était placée entre les deux jambes de la jeune fille, et tenait dans la main un gode de taille moyenne. Elle posa la pointe sur le clitoris de sa victime, et commença à faire de petits cercles, plus ou moins rapidement. On voyait sur son visage qu’elle prenait du plaisir à torturer la pauvre femme en sanglot, qui tentait désespérément d’échapper aux caresses. De temps en temps, la tortionnaire passait deux doigts dans la fente de sa victime, et jetait un bref coup dil dessus. Quand elle jugea sans doute que sa victime était prête, elle plaça la pointe du god sur le sexe de cette dernière, et poussa doucement, pénétrant lentement la jeune fille, qui redoubla de hurlements. Quand l’objet fut enfoncé au maximum, elle commença de langoureux va et viens, variant de temps en temps de cadence, effectuant de petit cercle, puis reprenait sa pénétration. Bientôt, elle accéléra les va et viens, retirant et repoussant profondément le gode au fond de l’utérus de sa victime, lui arrachant des gémissement de douleurs et de plaisir à la fois. Dans un ultime geste, elle ficha le god au plus profond de sa victime, déclenchant chez cette dernière un orgasme puissant, qui la fit hurler et se crisper.

J’étais horrifié, rien que par ce que je venais de voir, alors que nous allions sans doute voir bien pire, et je ne put m’empêcher de pousser un petit gémissement de peur en regardant mon mari. Sans plus attendre, Samantha se dirigea vers un autre atelier, en sautant quelques uns au passage. Elle se dirigea bientôt vers celui de son choix, et s’arrêta devant.

Cette fois, il n’y avait que des femmes. Elles étaient trois. L’une d’elle, la victime, était assise sur une sorte de cylindre les bras levés et attachés à une barre, les chevilles attachés de chaque côté du cylindre. Le clitoris de la victime était écrasé contre le plastique. Celle-ci ne se débattait pas, se contentant de gémir. Sous elle, le cylindre vibrait fortement, produisant un bruit sourd. De temps en temps, la jeune femme se crispait violemment pendant quelques secondes, puis retombait dans un état léthargique. Après deux ou trois orgasmes successifs, le cylindre arrêta de vibrer. Nous pûmes constater que la pauvre fille était au bord de l’évanouissement, tant elle avait eu de plaisir. Pourtant, alors que nous pensions que cela s’arrêterait là, l’une des bourreaux s’approcha de sa victime, et attacha ses chevilles plus en avant, et ses bras plus en hauteur de sorte que cette dernière n’était désormais plus collé à la machine, mais un peu en hauteur.. Dans un bref coup dil, je m’aperçus que le vibromasseurs était luisant de mouille.

Quand la victime fut en position, la dernière femme prit un genre de télécommande, et appuya sur un bouton. Alors, doucement, nous vîmes un gode mécanique sortir de sous la jeune femme, et monter jusqu’à son sexe. L’objet pénétra la fente de la victime, écartant les lèvres de cette dernière, qui gémit et se tortilla lorsqu’elle sentit le sexe en plastique pénétrer sa chair. Sans même s’arrêter une seconde, le gode ressorti, puis re-pénétra la jeune femme, mécaniquement, toujours dans le même rythme. Et cela continua pendant une bonne dizaine de minute. La victime gémissait de plus en plus, et bientôt, la femme tenant la télécommande appuya de nouveau sur un bouton, accélérant la cadence du gode. La victime eut un énième orgasme, qui la crispa violemment. Un troisième bouton, et le gode accéléra encore, se fichant au plus profond du sexe de la jeune femme, qui ne cessait désormais de gémir en se crispant. La femme appuya sur un quatrième bouton, et cette fois, le gode pénétra très profondément le sexe de la victime, mais n’en ressorti pas. Alors, un léger bruit se fit entendre, et au hurlement de la jeune fille, nous pûmes comprendre que, désormais, il vibrait puissamment. La victime se crispait convulsivement, se tortillait en hurlant, et suppliait qu’on arrête. Son sexe dégoulinait de cyprine, et se crispait régulièrement, signe qu’elle venait encore de jouir.

Cela m’inquiétait au plus au point, mais sans que j’en prenne conscience, m’excitait légèrement…

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