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Passage à l'acte avec un couple – Chapitre 1




Bonjour, je mappelle Jérôme, jai 25 ans et après plusieurs années passées à lire de nombreuses histoires sur ce site, jai décidé de poster la mienne. Cette histoire est un fantasme qui jespère peut-être un jour deviendra réalité. Physiquement, je suis plutôt fin, 1,80 m pour 60 kilos, et on me fait souvent remarquer que jaurais de belles jambes si jétais une femme.

Je suis hétérosexuel, jai une copine, mais il marrive souvent de fantasmer sur une relation homosexuelle durant mes plaisirs solitaires. Jai découvert un site de chat gay, sur lequel on peut rencontrer des hommes pour des sessions cams ou des échanges réels. Jai fait plusieurs sessions en cam, souvent avec des hommes plus âgés, car cela mexcitait de voir un homme mature sexciter sur moi. Jaimais me soumettre à leurs désirs et jaimais particulièrement les hommes autoritaires qui maidaient à réaliser mes fantasmes. Lun deux mamena même jusquà essayer de me fister, et malgré le fait que je ny parvins pas totalement cela mavais énormément plu. Jai par la suite fait lachat dun plug anal et jaimais mexhiber en train de lutiliser.

Je pensais souvent à passer à lacte en réel, mais malgré plusieurs invitations je narrivais pas à sauter le pas. Jusquau jour où je rencontre Eric, 41 ans. Il me contacte en me disant quil aime soumettre de jeunes hommes à ses désirs. Nous commençons en cam et alors quil me faisait sucer mon plug, il me dit que la cam ne lui suffit pas et quil veut me soumettre en vrai. Comme dhabitude, je réponds que je ne me sens pas près, que je nai jamais sauté le pas même si lidée mexcite. Après avoir parlé un peu plus, il me dit que sa femme sera présente également, et quelle aussi aime soumettre de jeunes hommes. Lidée dune présence féminine me rassure un peu et mexcite énormément. Je donne alors mon accord, mais lui demande dabord si je peux voir sa femme, car jai peur que cela ne soit quune ruse pour mattirer chez lui. Il me dit daccord et quil me recontactera lorsquil laura rejointe.

Une demi-heure plus tard, il me rappelle et je vois à lécran sa femme. Elle me salue et me dit quelle sappelle Nathalie. La quarantaine, brune, un joli visage, et un très beau corps, avec quelques rondeurs qui ne faisaient quaccentuer son charme. Il me dit :

— On nattend plus que toi !

Je suis très excité, et je sens que cette occasion ne se représentera pas. Je me décide enfin, et lui demande de me donner son adresse. Il nhabite pas très loin de chez moi, je peux y être en voiture en 30 minutes. Il me dit de venir tout de suite, que cest un ordre. Je suis de plus en plus excité, je lui dis que jarrive, puis saute dans ma voiture. Au volant je me sens fébrile, je suis super excité, mais à la fois un peu anxieux en pensant à ce qui allait se passer. Après 30 minutes, je me gare devant la grille noire dun petit pavillon. Je sonne à la porte, la main tremblante. La porte souvre sur Eric :

— Je nétais pas sûr que tu viendrais finalement, viens, entre !

Je prononce un vague « Merci », ouvre la porte de la grille et monte les quelques marches qui mènent à la porte dentrée. Jentre dans la maison, toujours un peu fébrile, à la fois dexcitation et dappréhension à lidée de ce que je suis venu faire ici. Je suis Eric jusque dans un salon où je trouve Nathalie assise sur un canapé. Elle sest changée entre temps et porte une magnifique nuisette noire, par-dessus un porte-jarretelles et des bas assortis. Elle se lève, me fait la bise et me dit :

— Bonsoir Jérôme, je suis contente que tu sois venu, tu verras, tu ne le regretteras pas. Viens avec moi, je vais taider à te préparer. Tu dois être beaucoup plus sexy que ça si tu veux nous satisfaire. Allez, suis-moi.

Je la suis donc au premier étage jusque dans une chambre où se trouve un grand lit au milieu, ainsi quune grande armoire sur le côté avec un miroir sur lune des portes.

— Déshabille-toi, je veux voir ce que je peux faire avec toi.

Je me déshabille donc maladroitement et me retrouve en caleçon devant elle, à travers lequel mon sexe déjà bandé par lexcitation est nettement visible.

— Complètement, tu ne vas pas garder ça ! Je retire donc mon caleçon et le laisse tomber sur le sol.

Elle sapproche de moi, tourne autour de moi en passant sa main sur mon ventre puis mes fesses.

— Tu as un joli corps de femme, je vais faire de toi une belle chienne.

Le changement de ton me surprend mais mexcite à la fois.

— Cest ce que tu veux non ?

Je réponds un « Oui » timide qui ne semble pas la satisfaire.

— Je veux plus de conviction ! Et désormais je veux que tu mappelles Maîtresse cest compris ?

— Oui maîtresse.

— Cest bien tu comprends vite. Et tu devras appeler Eric Maître. Alors, est-ce que tu veux être notre chienne ce soir ?

— Oui Maîtresse.

— Très bien. On va commencer par thabiller comme il faut.

Elle se dirige vers larmoire, et en ressort une paire de bas couleur crème avec un porte-jarretelles assorti, une culotte en satin ainsi quun corset de la même couleur. Elle pose le tout sur le lit et me dit :

— Allez, enfile ça que je vois ce que cela donne.

Je mexécute donc et enfile cette tenue. Nathalie maide à attacher le corset, et je me contemple dans la glace. Je suis subjugué, et mon excitation augmente encore. Mon sexe est désormais tellement tendu quil me fait mal.

— Cest pas mal, mais ce nest pas encore parfait. Je vais prendre quelque chose pour remplir tes petits seins.

Elle ouvre une porte au fond de la chambre, qui je le découvre donne sur une salle de bain, et en ressort avec une boite de coton. Elle remplit le corset avec, et jai maintenant limpression davoir une vrai paire de seins en me regardant dans le miroir, même si elle est plutôt modeste.

— Cest déjà un peu mieux. Mais il faut maintenant que lon soccupe de ton petit minois. Suis-moi.

Je la suis dans la salle de bain, et elle mordonne de minstaller sur un petit tabouret. Elle commence par me mettre du fond de teint pour « Cacher cette vilaine peau dhomme » comme elle dit, puis de la poudre sur mes joues qui deviennent roses. Elle continue avec du fard à paupières, du mascara et enfin un peu de rouge à lèvres. Jobserve ma transformation dans la glace, et je dois dire quà la fin jai du mal à me reconnaître. Si ce nétait pour mes cheveux courts, je ressemble vraiment plus à une femme quà un homme. Visiblement Nathalie est du même avis puisquelle me dit :

— Cest presque parfait, il te manque une perruque pour cacher tes cheveux et tu seras presque prête.

Nous retournons dans la chambre où elle me présente une perruque brune aux longs cheveux détachés. Elle maide à lenfiler et je peux enfin croire que je suis transformé en femme. Désormais, seul mon sexe au garde à vous me convainc que je suis toujours un homme.

— Maintenant, la dernière touche. Enfile ça ! me dit Nathalie en me tendant une paire de talons hauts noirs.

Je massois sur le lit et mexécute. Je me relève difficilement et tente de faire quelques pas, et manque de tomber par terre.

— On va sentraîner un peu, mais tu vas vite thabituer tu verras.

Elle me prend la main et maide à faire quelques allers-retours dans la chambre. Je commence à trouver le bon équilibre, et elle me laisse marcher seul. A un moment, jentends un clic derrière moi et maperçois que Nathalie est en train de me prendre en photo.

— Tu es tellement belle ma chérie, il faut immortaliser ça ! » dit-elle avec un grand sourire.

— Désormais tu tappelleras Émilie cest compris ?

— Oui Maîtresse.

— Très bien. Il reste un dernier détail, penche toi et met tes mains sur le lit.

Je ne comprends pas vraiment mais mexécute en disant « Oui Maîtresse ! ». Je reste dans cette position quelque peu humiliante, et entends encore quelque clics, mindiquant quelle continue de prendre des photos. Je lentends ensuite fouiller dans larmoire. Elle revient vers moi, baisse ma culotte et je sens un liquide froid dans le sillon de mes fesses.

— Je ne voudrais pas que lon te fasse trop mal pour la première fois. » me dit-elle.

Je sens ensuite quelque chose de dur pousser contre mon anus, et finalement rentrer sans trop de difficultés. Je comprends quelle vient de me mettre un plug, qui ne doit pas être très gros étant donné la facilité avec laquelle il est rentré.

— Cest juste pour commencer, mais je suis sûre que tu peux prendre bien plus gros ! Allez debout maintenant, Eric doit commencer à simpatienter ! »

En disant cela elle massène un petite claque sur les fesses et remonte ma culotte. Je me relève donc, et la suis avec difficulté, les talons hauts mobligeant à remuer du cul, ce qui a pour conséquence de me faire sentir le plug à lintérieur de moi. Je descends difficilement les escaliers et rejoins finalement Nathalie dans le salon, où Eric est installé dans un fauteuil sirotant un verre de ce que je suppose être du whisky. Il est en train de regarder la télé, sur laquelle je peux voir se dérouler une scène de porno où un jeune homme est en train de se faire prendre par un homme dâge mur.

Il tourne la tête vers moi lorsque je pénètre dans le salon et je peux voir apparaître un grand sourire sur son visage, ce qui a pour conséquence de me faire rougir.

— Bonsoir ma chérie, comment tappelles tu ?

— Émilie, Maître.

— Mmm très joli prénom, et docile avec ça. Marche un peu pour moi, je veux voir tes petites fesses se dandiner devant moi.

Je commence à marcher dans le salon, sans avoir à trop forcer pour dandiner du fait des talons hauts. Après deux allers-retours, il me demande de venir devant lui. Il passe ses mains le long de mes cuisses, caresse mon sexe à travers la culotte, et me dit de me retourner. Il continue de toucher mon corps et passe sa main sur mes fesses.

— Penche-toi en avant et pose tes mains sur la table basse. Je veux voir tes fesses bien rebondies.

Je suis ses ordres et commence à me pencher, mais je manque de tomber et me rattrape de justesse à la table. Il massène alors deux claques sur les fesses en me disant :

— Fais attention petite chienne !

Je parviens finalement à rester dans cette position, les jambes tendues, le corps penché en avant, offrant mes fesses juste devant son visage.

Il baisse ensuite ma culotte sur mes genoux et joue avec le plug en le tournant. La sensation est agréable et je remue légèrement en réponse au plaisir. Il massène alors deux nouvelles claques sur mes fesses désormais nues, et je commence à ressentir un léger picotement.

— Arrête de bouger ! me dit-il.

Je tente donc de rester immobile alors quil continue de jouer avec le plug, mais entre le plaisir et la position qui devient inconfortable, je ne peux mempêcher de bouger. La punition ne se fait pas attendre, et je reçois cette fois cinq grosses fessées. A la cinquième, je ne peux mempêcher de laisser échapper un gémissement de douleur.

— Mais cest quelle aime ça la salope ! Allez, va tasseoir à côté de Nathalie.

Je prends donc place sur le canapé.

— Tu nas jamais sucé alors ? me demande-t-il.

— Non jamais Maître.

— Très bien, Nathalie va te montrer comment bien sy prendre.

Il se déplace sur le canapé et se positionne à côté de Nathalie. Celle-ci commence à déboutonner son jean et fait apparaître un sexe de bonne taille, pas plus grand que le mien, mais sûrement plus épais. Elle se positionne alors à genoux devant lui et entame une fellation. Je suis hypnotisé par sa bouche se déplaçant de haut en bas de ce sexe. Après un certain temps, elle sarrête et retire sa nuisette, laissant apparaître sa magnifique poitrine soutenue par un soutien-gorge demi-seins. Elle mordonne de magenouiller à ses côtés, et me prend la tête pour la coller contre son sein gauche.

— Suce-moi bien le téton, je veux quil soit tout dur.

Jobéis avec plaisir et me retrouve avec son sein moelleux dans ma bouche, que je mapplique à sucer avec ardeur. Après quelques minutes, je sens une chose humide toucher ma joue, et comprends quEric est en train de passer son sexe sur mon visage. Il le positionne sur le coin de mes lèvres, et finalement tire ma tête en arrière du sein de Nathalie.

— Allez, maintenant suce moi Émilie.

Il place ses deux mains derrière ma tête et la tire vers son sexe. Jouvre la bouche, et je me retrouve enfin avec mon premier sexe dhomme dans la bouche. La sensation est agréable, je commence à faire quelque va-et-vient.

— Cest bien ma chérie, tu te débrouilles bien.

Il a toujours ses mains derrière ma tête et commence à tirer de plus en plus pour senfoncer plus profondément. Jai à certains moments du mal à respirer mais tente de mon mieux de continuer.

— Mets-toi à genoux sur le canapé que Nathalie puisse soccuper de tes fesses ! mordonne-t-il.

Jarrête ma fellation, me déplace sur le canapé et la reprends alors que joffre laccès de mes fesses à Nathalie. Celle-ci se place derrière moi, baisse ma culotte sur mes genoux et joue avec le plug toujours inséré dans mes fesses. Elle finit par le retirer et le remplace rapidement par ses doigts. Elle commence par deux, et les fait délicatement tourner dans mon intérieur, avant den ajouter un troisième. Elle prend plaisir à les écarter, ce qui a pour conséquence de dilater mon anus. Un quatrième doigt finit par sinsérer dans mon intimité, alors quelle continue son travail de dilatation. Pendant ce temps, je continue ma fellation sur Eric qui appuie de plus en plus fort sur ma nuque afin de senfoncer plus au plus profond de ma bouche. Je suis comblé, entre les doigts de Nathalie dans mon derrière et le sexe dEric dans ma bouche, et je me sens désormais totalement libéré de mon appréhension.

Après peut-être cinq minutes de ce traitement je nai plus vraiment la notion du temps Eric retire son sexe de ma bouche et mordonne de me positionner à genoux au bord du canapé, le haut du corps penché par-dessus laccoudoir, de sorte quils aient une bonne vue et un bon accès à mon postérieur. Je me sens un peu ridicule à me déplacer ainsi à genoux sur le canapé, la culotte sur mes genoux, mais je mexécute et me retrouve dans la position désirée.

— Nathalie, va chercher la cravache et le plug noir sil te plaît. »

Jappréhende un peu lorsque jentends le mot cravache, mais je préfère ne rien dire de peur de recevoir une punition. Nathalie revient rapidement avec ladite cravache, ainsi quun plug qui doit mesurer au moins dix centimètres et peut-être sept de diamètre. Jai un peu peur car durant mes plaisirs solitaires je nai jamais dépassé les cinq centimètres, mais le premier coup de cravache asséné par Nathalie ne me laisse pas le temps de réfléchir. Je ne peux retenir un léger gémissement qui semble satisfaire Eric.

— Cest bien, continue comme ça, je veux voir ses fesses toutes rouges. Emilie, je veux que tu comptes les coups à haute voix cest compris ?

— Oui Maître.

— Et tu commences à un, le premier était juste un échauffement.

Un nouveau coup sabat sur mes fesses.

— Hmmf un !

Et de nouveau :

— Hmmf deux ! .

Nathalie semble avoir pris un rythme et continue.

— Hmmfff trois, Hmmmf quatre, Hmmmmmf cinq

La douleur devient lancinante, mais Nathalie ne faiblit pas.

— Tu aimes ça petite cochonne ? demande Nathalie.

— Oui Maîtresse.

— Hmmmmf six, Hmmmmmf sept, Hmmmmf huit, Hmmmmmf neuf, Hmmmmf dix .

— Ça ira pour le moment, ses fesses sont bien roses comme je les aime chez les jolies jeunes filles comme elle. Maintenant on va travailler son petit trou afin quil puisse facilement maccueillir. dit Eric.

Je sens de nouveau un liquide froid contre ma rosette, puis les doigts de Nathalie sinsinuer en moi. Elle en rentre facilement quatre, puis les ressort et sempare du gros plug noir. Elle le fait glisser le long de ma raie afin de lenduire de gel, puis le presse contre mon anus. La tête rentre facilement, et elle commence un mouvement de va-et-vient afin de le faire pénétrer plus profondément. Alors que seulement la moitié du plug est en moi, la pénétration se fait plus difficile, et la douleur commence à apparaître.

— Allez petite salope, pousse, je suis sûr quil peut rentrer en entier. me dit Eric.

Nathalie continue de pousser, et millimètre par millimètre le plug sinsinue dans mes fesses. Je pousse de toutes mes forces afin de faciliter la pénétration, mais arrivé presque au bout il semble bloqué.

— Allez ma chérie, on y est presque. me dit Nathalie.

Elle se positionne alors derrière moi et utilise tout le poids de son corps pour finalement parvenir à insérer lextrémité bombée dans mon intérieur. La douleur est vive et je ne peux retenir un cri. Nathalie relève ma culotte afin de maintenir le plug en place.

— Cest bien, tas tout pris ! Maintenant relève-toi et marche un peu pour nous. dit Eric.

Je mexécute, et alors quils sinstallent sur le canapé je commence difficilement à marcher dans le salon. Les talons hauts mobligent toujours à remuer des fesses, ce qui ne fait quaccentuer la sensation du plug en moi.

— Tu es magnifique ma chérie. Jen serais presque jalouse ! me dit Nathalie.

— Oui tu es vraiment parfaite dans cette tenue. Allez va tasseoir dans le fauteuil. mordonne Eric.

Je me dirige donc vers le fauteuil et my installe difficilement, le fait de masseoir poussant sur le plug qui remonte encore plus profondément en moi. Eric se lève alors en me disant :

— Tu suces tellement bien que jen veux encore.

Il se déshabille complètement, puis sapproche de moi, et monte sur le fauteuil en positionnant ses pieds de part et dautre de moi. Il approche son sexe de ma bouche. Comprenant le signal, je louvre et il sy introduit. Il commence alors à me baiser la bouche, en faisant des mouvements de bassin de plus en plus amples. Je nai rien à faire, je reste juste assis, la bouche ouverte, tel un objet sexuel. En ouvrant les yeux, je maperçois que Nathalie est en train de se masturber sur le canapé en nous regardant. Elle me fait un grand sourire alors que je croise son regard, et se passe la langue sur ses lèvres, comme pour mexciter encore plus. Eric continue ses va-et-vient dans ma bouche, tellement profonds que des larmes commencent à apparaître aux coins de mes yeux. Après quelques minutes de ce traitement, Nathalie sexclame :

— A mon tour den profiter un peu !

Elle mordonne de mallonger sur le canapé. Elle retire son string et se positionne à califourchon sur mon visage.

— Allez, lèche-moi bien ma chérie.

Jai une parfaite vue sur son sexe dont les lèvres épaisses se rapprochent de ma bouche. Je sors ma langue et commence à le lécher de mon mieux. Elle bouge son bassin davant en arrière afin de frotter lensemble de son sexe dur mon visage, et va même jusquà présenter son anus sur mes lèvres. Je ne rechigne pas, et malgré le goût acre je mapplique à enfoncer ma langue dans son petit trou. Elle pousse des gémissements mindiquant quelle apprécie.

— Tes vraiment un bonne chienne, vas-y enfonce ta langue.

Je continue de lécher jusquà ce quelle finisse par se relever. Je maperçois alors quEric est installé dans le fauteuil la queue à la main et na visiblement pas perdu une miette du spectacle. Nathalie place un coussin sur le tapis et sy assois. Elle me dit de la rejoindre sur le sol et de continuer de soccuper de son « petit minou ». Je me positionne à quatre pattes devant elle et reprends mon travail. Pendant ce temps, je vois Eric se lever et passer derrière moi. Il baisse ma culotte, et je ressens alors une douleur sur mes fesses et comprends quil sest emparé de la cravache. Je tente tant bien que mal de continuer mon cunnilingus alors que les coups continuent.

— Cest bien tu as de nouveau le cul bien rouge, je vais pouvoir moccuper de toi maintenant.

Je sens alors ses mains mécarter les fesses et tirer sur le plug. Celui-ci sort difficilement, et sa sortie ravive la douleur. Cependant elle sestompe rapidement, et je sens de nouveau un liquide froid contre ma rosette. Il y rentre facilement quatre doigts.

— Ton petit cul est bien dilaté. Tu es prête à me recevoir !

Il retire ses doigts et je sens alors son sexe se positionner contre mon anus (je suis soulagé de sentir quil a mis une capote), et son gland rentrer sans trop de difficultés. Il pousse légèrement, et doucement senfonce dans mon intimité. Je sens finalement son ventre rebondi buter contre mes fesses et comprends quil est entré entièrement en moi. Il commence alors à aller et venir dans mon fondement, et la douleur a désormais complètement laissé place au plaisir. Je continue de mappliquer sur le con de Nathalie alors quEric me pistonne de plus en plus rapidement, massénant de temps en temps une claque sur les fesses. Nathalie gémit de plus en plus fort, et je ne peux moi-même mempêcher de laisser échapper quelques gémissements. Eric semble également apprécier.

— Tas un bon petit trou ma salope.

Ce manège continue un moment, jusquà ce que je sente les jambes de Nathalie se contracter sur mon visage, signe quelle vient datteindre lorgasme.

— Oh oui ! Tu mas fait jouir ma chérie ! » sécrie-t-elle.

Elle reste un moment allongée sur le sol alors quEric continue de me pistonner. Elle finit par se relever, et membrasse fougueusement, pour me remercier me dit-elle.

Eric se retire alors, et me demande de mallonger sur le dos, afin de pouvoir voir ma « petite gueule de salope ». Il me relève les jambes et se réintroduit en moi, et recommence à me pistonner. Je vois Nathalie passer derrière lui et sagenouiller pour lui prodiguer une feuille de rose. Il gémit de plus en plus, et finit par sortir son sexe de mon anus, retirer la capote et placer ses genoux de part et dautre de ma tête, son sexe pointant fièrement au-dessus de mon visage.

— Oh oui je vais tasperger le visage. Dis-moi que tu veux mon foutre chienne ! mordonne-t-il.

— Je veux votre foutre sur mon visage Maître. Lui répondis-je.

Il se masturbe frénétiquement au-dessus de mes yeux et finit par lâcher une giclée de sperme qui atterrit sur mon front, suivie dune seconde qui me couvre lil gauche, et une troisième quil dirige sur mes lèvres.

— Oh oui ! Tes vraiment magnifique comme ça ! Lèche-toi les lèvres que tu goûtes à mon précieux liquide.

Je me passe la langue sur les lèvres et ramasse une petite quantité de son sperme. Son goût est âpre, mais la sensation nest pas désagréable. Il se relève et saffale sur le canapé avec un soupir de contentement. Nathalie sapproche de moi et me dit :

— Tu nous as bien fait jouir ma chérie, tu as le droit à une petite récompense.

Elle se place entre mes jambes et les soulève afin de placer mes pieds sur ses épaules. Elle ramasse alors le petit gode et le replace dans mon anus. Elle pousse ensuite mes jambes encore plus haut afin que mon sexe se retrouve au-dessus de mon visage. Elle entreprend une rapide masturbation, et je ne suis pas long à lâcher dabondants jets de sperme sur mon propre visage. Submergé par lorgasme, je ferme les yeux et ne reprends conscience quaprès quelques minutes. Je découvre Eric et Nathalie dans le canapé, lui avec un verre de whisky, elle un verre de vin, tous deux me souriant. Nathalie me dit :

— Merci ma chérie pour ce soir. On sest vraiment bien amusés. Tu peux aller te nettoyer et te changer en haut, tu connais le chemin. Nous allons rester un peu ici nous reposer.

Je me relève doucement, le sperme toujours coulant sur mon visage. Je me rends rapidement à létage, entre dans la salle de bain ou je peux contempler dans le miroir mon visage couvert de sperme, le maquillage dégoulinant. Je suis un peu honteux, mais jai ressenti tellement de plaisir que je men moque. Je me lave le visage, emprunte du démaquillant à Nathalie, retire ces vêtements féminins pour retrouver mon jean et t-shirt. Lorsque je redescends, je ne suis plus Émilie, mais de nouveaux Jérôme. Nathalie sest aussi légèrement rhabillée (si lon peut dire que porter une nuisette est être habillé), et Eric est de nouveau en jean et t-shirt. Il me propose de prendre un café, mais je sens quil est temps de les laisser. Ils me remercient encore et me proposent de revenir, ce que jaccepte volontiers. Une fois chez moi, je prends une bonne douche, et lorsque je mallonge dans mon lit je ne peux mempêcher de me masturber frénétiquement en pensant à laventure que je venais de vivre. Je finis par mendormir dun sommeil profond

Jespère que mon histoire vous aura plus, nhésitez pas à me contacter pour me faire part de vos commentaires. Jécrirais peut-être une suite un jour.

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