Salut c’est votre folle de lycra.
Voilà bien longtemps je travaillais dans une grande enseigne de l’habillement, d’origine anglaise faite de 2 lettres. Il y avait un rayon homme femme enfant, on trouve encore cette enseigne dans les grandes galeries commerciales dignes de ce nom. J’avais une petite perversion secrète qui était de porter des sous-vêtements féminins, toute l’année et je m’habillais en femme à la maison. Ma femme était très compréhensive et complice à ce sujet à tel point que nous allions souvent acheter nos vêtements ensemble. Ma chérie adorait les dessous que mon enseigne vendait, il y avait un excellent rapport qualité-prix. Comme par bonheur j’avais bénéficié d’une mutation interne, à savoir; gérer tout ce qui était dessous féminins en réserve, je m’occupais de la gestion des stocks de ces produits. Bref je travaillais au paradis.
Régulièrement pendant la journée je veillais à vérifier que les produits que je mettais en rayon est-il toujours aussi doux toujours aussi moulant et toujours aussi excitant à mes yeux. Régulièrement Claude, le directeur se moquait de moi, me disant que je prenais mon travail très à cur; quand il me voyait avec mon côté fétichiste. C’est vrai qu’à chaque fois qu’il me surprenait, j’étais gêné car c’est vrai que j’avais une façon de tester les vêtements au niveau du toucher; qui avait tout de l’obsédé. Je pense qu’il avait compris que j’étais amoureux des dessous féminins car à chaque fois qu’il partait, il me donnait une petite claque sur les fesses, on ne peut plus complice. Disons que quelque part, c’était notre petit secret; disons quand même que depuis qu’il avait découvert mon péché mignon, il ne me regardait plus de la même façon.
Un jour lors de l’inventaire alors que j’étais en jean t-shirt, j’ai été obligé de me mettre à quatre pattes sous un meuble; pour récupérer des dessous qui étaient tombés derrière. Claude a pu constater à son aise que je ne portais pas de slip mais plutôt un tanga avec guêpière. Nous n’étions que tous les deux dans les environs et il ne s’est pas privé de me dire que en plus de prendre soin des vêtements que je vendais, je les essayais; avec un ton ironique mais toujours complice. Ce jour-là il a quand même pu constater les vêtements que je portais était vendu en magasin; du coup elle m’a convoqué dans son bureau, pour avoir de plus amples détails. Arrivé dans son bureau, il m’a demandé si c’était du vol ou si je les achetais; je lui ai répondu qu’il n’y avait aucun problème, que je les achetais avec ma femme. Il s’est approché de moi, est venu me caresser et je peux vous garantir qu’à travers mes dessous satinés avec du lycra cela m’a fait un effet monstrueux.
Pendant qu’il me caressait et qu’il était en train de me donner une énorme érection, il m’a demandé sil était la seule à savoir que j’étais une grosse cochonne sous mes vêtements officiels. Je lui ai répondu qu’il n’y avait que ma femme et lui désormais qui était au courant de ce secret. Claude faisait facilement un mètre 85, et il était manifestement un homme libéré; depuis le temps que je le connaissais, je n’en avais plus aucun doute. Je faisais à peu près la même taille que lui, mais la plupart du temps il avait des Santiag; et me mettait facilement 4 ou 6 cm dans la vue. Il m’a pris par la main et m’a amené à son bureau, pour me faire asseoir dans son fauteuil; puis il est venu s’asseoir sur son bureau. Il s’est glissé debout entre mes jambes en faisant attention. Là il m’a invité à regarder son sexe en érection qu’il venait de sortir, j’ai fait mine de ne pas y prêter attention; même si c’était la première fois que je voyais un autre sexe mâle que le mien.
Il m’a alors expliqué quil serait ballot que tous mes collègues soient au courant que je porte des dessous féminins. Vu que je continuais à refuser, il a saisi ma tête et a été la fourrer face à sa queue; il m’a dit de lui pomper le dard, car de toute façon il était persuadé que j’étais aussi soumis à ma femme. Il m’a expliqué que je n’étais pas obligé de chanter sur les toits comme quoi je lui faisais sa toilette intime, il m’a assuré que avec le temps j’allais y prendre goût. Voilà dix ans que j’étais marié et c’était la première fois que je posais ma langue sur un sexe autre que celui de ma femme; qui plus est, un sexe d’homme. Claude m’a expliqué que depuis tout à l’heure où il m’avait vu avec mes vêtements intimes, il n’arrêtait pas de bander; et qu’il comptait sur moi pour lui tirer le jus de son pieu. Mon nez et ma langue étaient maintenant en contact avec son gland, cela sentait fort l’homme désireux; et une petite odeur de pré sperme n’était pas pour me déplaire non plus. Quand ma langue a commencé à s’agiter sur ses parties sensibles, j’ai compris qu’il était vraiment très excité, et surtout très sensible quand je l’ai vu réagir.
Pour la première fois de ma vie j’étais en train de tromper ma femme dans le bureau de mon directeur avec ce dernier, et je prenais grand plaisir à le voir réagir sous l’action de ma langue indiscrète. A force de coup de langue, j’ai fini par le prendre en bouche et ma langue a commencé à virevolter autour de sa tige de chair. Claude m’a informé que je suçais beaucoup mieux que sa compagne, apparemment elle avait beaucoup de mal à lui faire prendre son pied avec sa langue. Ã force de concentration et d’analyse de la sensibilité de ses moindres recoins, j’ai fini par lui faire prendre son pied; il a crié très fort, mais je n’étais pas trop inquiet car son bureau était tout au bout de la réserve. Par contre il venait de me balancer une grande quantité de liqueur qu’il m’a forcé à avaler, il venait de faire de moi une fiotte. Après avoir repris ses esprits m’a dit que ma femme devait avoir beaucoup de chance si j’assurais comme ça pour le broutage de minou. Il s’est refait tout beau, puis m’a invité à aller aux toilettes pour me rincer la bouche; car il m’a dit que je risquais d’avoir une haleine au sperme un bon bout de temps si je ne le faisais pas tout de suite.
En me laissant partir il m’a dit qu’il serait bien que je vienne le voir régulièrement pour le je lui donne un petit coup de langue là où ça fait du bien; était-ce un ordre ou une invitation. Je ne savais pas trop quoi répondre; mais en même temps il me tenait un peu par les couilles, si je puis dire. C’est ainsi qu’au début j’ai commencé à venir lui faire une turlutte une fois de temps à autre, puis une fois par semaine, deux fois par semaine. Je lui demandais si cela ne dérangeait pas sa compagne; il me répondait qu’est-ce qu’en pensait ma femme. Un soir au bout de quelques mois, alors que nous étions de fermeture tous les deux, elle m’a demandé de me débarrasser de mon t-shirt ainsi que de mon pantalon, quand je suis arrivé dans son bureau. A ma grande surprise elle m’avait acheté une paire d’escarpins, elle m’a invité à me promener dans son bureau ainsi chaussé. Mon patron en plus d’être autoritaire était manifestement dominateur, cela n’était pas pour me déplaire, il va de soi que le soumis que je suis s’est exécuté.
Ce soir-là je faisais des heures supplémentaires, mais contrairement à mon travail habituel; j’étais occupé à donner du plaisir à mon patron. Comme d’habitude j’étais assis dans son fauteuil confortable et lui assis sur le bureau, pantalon baissé, jambes bien écartées et je lui donnais du plaisir, maintenant je lui caressais les couilles et les flancs des cuisses avec espoir de lui faire du bien. Il ne faisait pas très chaud dans son bureau, il s’en en rendu compte; mais il avait pensé à tout, il m’a fait enfiler un peignoir satiné ou ne peut plus doux et on ne peut plus excitant pour lui comme pour moi. Cela m’a fait tout drôle, car maintenant à la fin de chacun de nos entrevues; elle rangeait mes escarpins, mon peignoir dans le petit placard où il rangeait son manteau et sa sacoche. Toutes les heures que je passais à lui faire du bien maintenant pratiquement quotidiennement m’étaient facturées en heures supplémentaires. J’étais devenu désormais la maîtresse de mon directeur, à côté de cela ma femme était admiratrice pour toutes les heures que je faisais en plus.
à côté de cela mon directe m’a dit qu’il aimerait bien que j’arrête de me couper les cheveux, en même temps cela faisait longtemps (18 mois) que je ne l’avais pas fait. Voilà comment rapidement j’ai pu me faire une queue de cheval, ainsi mon patron qui poussait le vice jusqu’à m’acheter le shampoing le plus approprié pour que mes cheveux soient souples. Puis il s’est mis à m’acheter des collants fendus, je lui ai dit que c’était gênant car cela ne se vendait pas en magasin; il m’a dit qu’il y en avait dans un magasin juste à côté du nôtre. La première fois qu’il m’a offert, il a voulu que je les essaye devant lui, je n’ai pas pu lui refuser ce privilège. Une fois paré de ce collant sexy je ne sais pas ce qui lui a pris, mais pour la première fois il a saisi mon sexe pour se mettre à le sucer avec gourmandise. Voilà plus de 8 mois que je lui faisais sa toilette intime régulièrement, et c’était la première fois qu’il me faisait une turlutte.
Manifestement ce nétait pas la première fois qu’il faisait ça, et je peux vous garantir qu’il y a mis tout son cur car il y avait beaucoup de talent pour cette prestation. Jusqu’à maintenant quand je faisais la toilette de mon patron, j’étais tout chaud; et le soir je sautais sur ma femme en rentrant. Ce soir-là Claude m’a sucé jusqu’à la dernière goutte et même au-delà, vous savez; cet au-delà où cela devient insupportable tellement c’est bon et intense. Pendant qu’il m’a sucé elle n’a cessé de me regarder dans les yeux, un regard provocateur; bizarrement ce regard était plutôt un regard excitant, mais je le savais avant tout dominateur. Après sa fellation je ne pouvais que conclure qu’il adorait faire cela, qu’il adorait ainsi faire tourner la tête à son partenaire. Mine de rien, avec le temps; Claude était en train de me faire succomber à son dictat autoritaire. Pour le premier anniversaire de notre relation cachée; Claude s’est arrangé à ce que nous allions tous les deux, deux jours en formation.
C’est ainsi que nous sommes partis à 200 km de chez nous en voiture; une formation sur la gestion informatique des stocks. Avant de partir, nous sommes passés au magasin où il voulait parfaire ma tenue, elle m’a fait retirer mon pantalon; ma tenue lui convenait, par contre il s’est mis à me caresser mon petit trou 10 bonnes minutes avant d’y introduire un doigt, deux doigts puis un plug avec vibro télécommandé incorporé. J’étais surpris de m’être ainsi laissé faire, en fin de compte ce n’était pas si désagréable; je réalisais quand-même que j’avais des prédispositions à être une femelle soumise. Mais tout cela s’est fait si vite; il m’a dit de me rhabiller en m’informant que j’allais bander toute la journée et même peut-être éjaculer plusieurs fois. Bien évidemment c’est Claude qui conduisait, rapidement je me suis retrouvé avec sa main sur la cuisse, décidément je ne faisais que subir.
Nous sommes arrivés pile-poil dans les temps, pendant tout le trajet, Claude m’a posé des questions indiscrètes; qui toujours me mettait mal à l’aise. La journée s’est bien passée nous avons déjeuné en amoureux si je puis dire, mais surtout nous avons dîné en amants; avant de nous retrouver dans la même chambre d’hôtel. Je venais de passer presque 12 heures à ne pas débander à l’instant et surtout éjaculer deux fois; je venais surtout de découvrir j’avais un petit cul très sensible aux caresses et aux vibrations. J’avais l’air con avec mon petit sac pour passer la nuit là-bas, mon patron était venu avec un gros sac j’ai rapidement compris pourquoi; en fait dans son sac il y avait de quoi me métamorphoser en femme bandante… Cuissardes, robe très longue, chemise de nuit, peignoir le même que pendant la semaine; bref elle avait de quoi me transformer pour aller tapiner. Ce soir-là pour la deuxième fois j’ai eu le droit à une gâterie de sa part toujours avec autant de maîtrise et de talents buccal. En finissant d’avaler des dernières gouttes, il me regardait en me disant "c’est toujours ça que ta femme n’aura pas".
Manifestement aux yeux de mon boss ma soumission aux mâles et aux femmes était évidente, cela se voyait sur mon visage. De 20h jusqu’à 8h le lendemain matin j’étais en femme, bonne qu’à donner du plaisir à mon responsable. Il m’a saisi par la main pour m’emmener jusqu’au lit, bien évidemment les préliminaires passaient par le moment où je lui faisais une bonne toilette intime. Sincèrement je me suis délecté de son gland turgescent, ma langue partait son petit trou jusqu’à ses boules, les moindres recoins de sa queue et même l’intérieur de ses cuisses. A force de promener ma langue sur son entrejambe je savais où je devais insister pour le faire décoller, je savais que ma langue était plus efficace à cet endroit-là qu’à un autre. Je commençais vraiment à devenir un expert pour sucer avec gourmandise et efficacité mon patron, de toute façon c’était un plaisir car il était très réactif et très sensible à mes coups de langue. Je n’osais pas lui dire mais il me traitait comme le faisait ma femme, je lui faisais tout ce qu’il me demandait.
Je mettais tout mon cur pour essayer de le satisfaire et pour l’instant j’avais l’air de bien m’en sortir. Au bout d’un long moment de mes coups de langue il a fini par prendre son pied en poussant des cris; j’étais un peu gêné mais après il m’a expliqué qu’il s’en foutait car de toute façon nous ne reverrions pas les gens dans cet hôtel. Une fois qu’elle a bien pris son pied en se faisant pomper le dard. Ensuite il s’est redressé, ma débarrassé de mon plug, m’a allongé sur le lit avec beaucoup de douceur, il m’a fait une superbe feuille de rose, à tel point que je me suis senti femme. Il a promené son sexe brillant de sperme sur toute ma raie culière; je ne vous raconte pas comment il n’existait, comment je désirais qu’il fasse de moi sa femelle. Bref je mourrais d’impatience qu’il me prenne. Mon corps allait à la rencontre du sien mais toujours en vain.
Après avoir fini de me caresser 20 bonnes minutes il m’a positionné son sexe à l’entrée de ma caverne, puis m’a invité à donner un coup de rein; chose que je fis sans me faire prier. Il est rentré assez rapidement en moi, l’étroitesse de mon conduit et la taille conséquente de son sexe m’ont fait un bien fou mais je ne vous raconte pas quand il a commencé à me limer; j’ai cru tourner de l’il tant c’était bon. J’ai honte à le dire mais à ce rythme-là je n’ai pas été bien long à éjaculer et Claude s’est moqué de moi car il m’a dit que j’avais joui du cul et non par le sexe. Je pense qu’il n’était pas très loin de la vérité, car sentir non rectum occupé par son morceau de chair me faisait du bien. Mon patron me faisait tellement de bien que quand je suis parti dans ma robe, je n’ai pas cessé de bander; j’avais l’impression d’avoir pris du viagra mais une grosse dose… Mon chef m’a dit qu’il y avait vraiment une grosse salope qui dormait en moi, il y avait un gros potentiel de chienne avec moi. Claude à continuer à me limer quelques minutes avant de lui aussi se vider dans mes entrailles.
En espérant que le début de cette histoire vous ait plu, je vous fais de gros bisous.