— Bon Alain dès mon arrivée à Paris je m’occupe de ceux que nous avions parlés. Je vous embrasse et vous dit à bientôt.
Ce fut sur ses paroles pleines de promesses qu’elle démarra et roula jusqu’à la grille dont l’accès était ouvert et dont elle disparut.
Je montais les quelques marches du perron et allais à la rencontre du patron qui devant un kir terminé de ranger ses papiers.
— Bon Alain, si vous aviez lamabilité d’approcher la voiture.
— Oui tout de suite monsieur.
— Madame est partie ?
— Oui, à l’instant.
Je pris le trousseau de clefs dans le cendrier et présentais la voiture en bas des marches. J’y installais les bagages dans le coffre, puis s’en suivit de la valisette avec les papiers. Alors que je montais de nouveau les marches du même perron j’entendis le téléphone.
— Vous répondez Alain s’il vous plaît, fit le patron.
— Oui monsieur.
Je décrochais et ne mis pas longtemps à reconnaître la voix de la châtelaine. Qui disait :
— Venez me rejoindre dans la maison une de location. Surtout n’en parlez pas à mon mari.
Je raccrochais, désorienté.
— Qui cétait ? Fit la voix du patron.
— Une erreur.
J’allais le rejoindre jusqu’au salon pour le retrouver. Finissant son kir.
— Bon monsieur je vous salue car le devoir m’appelle.
— Vous avez tout chargé ?
— Tout monsieur. J’ai même laissé tourner le moteur.
— Vous êtes un père Alain.
— Oh monsieur est trop bon.
— Non ! Non ! J’assiste, je ne s’aurais pas quoi faire sans vous.
— Merci monsieur et bonne route.
En quelques enjambées je fus dans l’endroit indiqué.
— C’est vous Alain ?
— Oui madame.
— Veuillez verrouiller la porte s’il vous plaît avant de me rejoindre. La clef est dans la serrure.
Deux tours plus tard je m’orientais dans les différentes pièces sans la trouver.
— Où êtes-vous madame ?
— Dans les escaliers.
Elle se trouvait bien où elle l’avait dit. Tout en haut des marches. Elle s’était changée. Délaissant son jean chemisier contre un haut en nylon de couleur noir, très transparent.
Je pouvais parfaitement distinguer par transparence sa poitrine. Ma position à contre bas me donnait une vue imprenable sur ses jambes gainées de bas noir. La coquine avait hormis de se passer une culotte. Où l’avait-elle fait exprès. Pour m’exhiber sa chatte lisse. Posé comme un symbole d’abondance sur une paire de cuisses laiteuses. Qui donnait envie de bondir et de la prendre sur-le-champ.
— Ça vous plaît ? Fit-elle en soulevant le devant de sa jupe. Son sexe était bombé comme un abricot. Elle avait les petites lèvres chiffonnées comme des filets de saumon.
— Ça change.
— Je trouve ça plus excitant, pas vous ?
— C’est une question de gout, madame.
— Cela n’a pas l’air de vous enchanter.
— C’est que je suis loin d’être fâché avec les poils, madame.
— Merde ! Je croyais bien faire moi. Et quand il n’y en a pas ? Me consulta-t-elle
— Je fais avec
— Ouah ! Vous m’avez fait une de c’est peur.
— Vous avez dû vous embêtez à
— Pas le moins du monde mon cher ami. Une crème épilatoire. Le tout m’a pris à peine une demi-heure. Vous venez ?
Alors que je montais les marches, la patronne s’éloigna. Accentuant le roulis de ses hanches. Je ne l’avais jamais trouvée vu aussi excitante. Je m’étais régalé du spectacle fabuleux de son cul. Ses mouvements de balancements accentués par les talons hauts me donnaient le vertige. Elle s’arrêta devant la porte de la première chambre, l’ouvrit et s’engagea à l’intérieur. Quand je passais à mon tour le chambranle elle m’attendait assise sur le lit la jupe retroussée.
Je distinguais la fente rosée et profonde de son sexe. Sans aucune hésitation j’avais posé ma main. Avant d’introduire deux doigts dans la vulve humide. Avec un air de dignité comique elle me dit :
— Tu ne souhaites pas y mettre autre chose ?
La vulgarité des paroles et du tableau m’excitaient au plus haut point. Avec une lueur étrange dans les yeux, elle s’était emparée de ma main fouineuse. Pour la porter à la hauteur de sa bouche. Elle ouvrait sa bouche et lécha longuement les sécrétions qu’elle avait déposées sur mes doigts. Je ne tenais plus.
Elle m’avait pris par le bras et entraîné jusqu’au lit. Je n’avais pas résisté. Et m’étais allongé. Sans perdre une minute elle sétait chargée de me soulager de mon pantalon. Faisant palpitait ma verge à l’air libre. Elle resta là, immobile, à m’observer. Fasciné, comme si cétait la première fois qu’elle la découvrait. De mon côté je fixai la fabuleuse poitrine de la patronne. Que la transparence du nylon exhibait jusqu’au moindre détail.
— Ce sont mes seins qui vous intéressent à présent ? Demanda-t-elle en remuant à peine les lèvres. Plus ma chatte
— Oui
D’un geste vif, elle attrapa le bas de sa chose transparente et le remonta. Dévoilant sa poitrine avec de larges aréoles d’un rose foncé.
— Regardez ! Fit-elle d’une voix un peu rauque, j’en ai les seins qui bandent rien qu’à regarder votre queue.
Les pointes étaient dressées, fermement érigées. Elle relâcha tee-shirt qui demeura bloqué au-dessus des deux globes jumeaux. Lentement, sans me lâcher des yeux, elle s’empara de ses seins. Les soupesa un moment. Ses tétines érigées durcirent. Elle cambra les reins dans un frisson, tout en faisant rouler ses mamelons entre son pouce et son index.
Plus bas sa vulve s’épanouissait. Comme une grosse fleur. La crête rose légèrement fripée et les muqueuses étaient luisantes. Interceptant mon regard elle délaissa sa poitrine pour sa chatte, écarta les grandes lèvres entre les deux pouces. Elle décalotta son bouton. Apparaissant tout rouge, dans toute son insolence.
Je n’avais pas pu résister d’approcher ma bouche de son sexe. Il sentait la savane, la mer, la vie. Je commençais d’une langue habile à picorer par à-coups le bourgeon crémeux. Elle gémissait presque aussitôt. Je l’aspirais et le retins entre mes lèvres. Je le suçotais jusqu’à en perdre le souffle.
Au même instant, jintroduisais dans son fruit mûr deux doigts que je faisais aller et venir avec rapidité. Tout en émettant des plaintes continues, elle ondulait des hanches.
J’envoyais mes mains pour la maintenir à moi, mais aussi pour lui palper son cul. Léchant la fente juteuse à grands coups de langue. J’écartais les deux hémisphères et titillai d’un doigt la pastille brune nichée entre eux. Je déplissai avec soin l’anneau culier, avant d’y enfoncer un doigt. La percée fut brutale. Un cri ponctua la pénétration. La faisant se raidir. Mais cela ne l’empêcha pas de jouir. Avec une sorte de feulement sauvage.
Elle avait tendu sa main jusqu’à ma verge. Après m’avoir serré entre les doigts, elle se saisit de mes bourses à pleine main et les avait malaxées brutalement. Pour répondre à son excès d’excitation, je l’avais pris par les cheveux pour rapprocher sa bouche de ma queue au meilleur de sa forme. Après une hésitation, elle avait arrondi les lèvres pour coiffer le casque rose et lisse de mon gland. J’étais aux anges.
Puis elle m’avait englouti entièrement. Ses lèvres allaient et venaient comme une bague chaude le long de ma verge. Elle malaxait en même temps les couilles avec une sorte de rage froide comme si elle avait voulu les essorer. Ce mélange de douceur et de brutalité m’affolait.
Mais alors que les premiers picotements agréables de faisaient ressentir, elle me recracha. Pour me demander de me branler devant elle. Dopé par le désir qu’elle insufflait dans mes veines, je mexécutais. Mes mouvements étaient rapides et brutaux. Elle me saisit le poignet fermement, faisant capoter ma jouissance pourtant très proche.
Mon cur battait à tout rompre. Quand elle referma ses seins autour de ma queue. La sensation était suave, folle, monstrueuse, bouleversante. Je n’avais pas pu m’empêcher de pousser un soupir de bonheur. Elle bougea dans un rythme qui me donna très vite une idée sur ce qu’il convenait que je fasse. Celui d’onduler du bassin. Ce faisant, mon sexe glissait entre ses deux globes accueillants. Elle maintenait fermement sa poitrine en renversant la tête. Elle me parut encore plus sublime ainsi. Mes bourses se contractèrent et ma queue devint horriblement dure. Malgré les incessantes cassures qu’elle m’avait portées, je sentis ma jouissance poindre. Le sentant, elle accéléra la cadence pour augmenter la violence de l’orgasme. Je sentais monter en moi, une jouissance encore inédite. J’éjaculais rageusement entre ses seins dont j’étais toujours prisonnier. Arrosant tout de ma purée tiède et épaisse. Mais ça ce n’était pas mon problème.
Quelques minutes plus tard, alors que nous récupérions du trop-plein d’énergie fournie, elle me dit :
— Cela ne vous ennuie pas d’être l’amant d’une femme plus âgée que vous.
— Pas le moins du monde. D’ailleurs je peux vous confesser que les femmes âgées et moi c’est comme une histoire d’amour.
— Ah oui ! Dites-men un peu plus.
— J’ai commencé très jeune avec elles. Le fait que j’étais solitaire, avec des traits très fins, voir efféminé, ajouté à cela mes cheveux longs, j’avais tout pour les attiré. Elles ne risquaient pas grand-chose avec moi. Et cela était venu le plus naturellement du monde. Un après-midi avec la voisine du premier. Mariée deux filles. Elle était en manque de caresse. Puis quelques semaines plus tard ce fut au tour de celle du troisième. Elle cherchait pour sa part un gode avec des jambes. Mariée elle aussi trois enfants. Deux garçons plus âgés que moi et une fille de deux ans ma cadette. Si avec la première je faisais ça chez elle quand les filles étaient à l’école et le mari en déplacement, la seconde m’emmenait dans son jardin. Je la culbutais partout où cétait possible.
— Vous êtes un bienfaiteur pour femme en mal dêtre.
— Si on peut appeler ça comme ça. Je possède un de ne sais quoi qui attire les femmes. J’avoue, n’avoir jamais repoussé leur requête.
— J’en sais quelque chose. Répliqua-t-elle.
— Je suis du genre soumis. Qu’elles fassent de moi ce qu’elles veulent. Sachant bien qu’au bout cela me plaira.
— Dommage que je ne vous suis pas connue plus tôt. J’avais jadis essayé de tirer dans mes filets un jeune homme. Répliqua-t-elle en riant. Pour le garder dans ma toile.
— Et alors cela n’a pas marché ?
— Non ! Un vrai désastre, je dirai même. Je peux sans risque, vous le dire. Mais cela doit rester entre nous. C’était mon neveu. Le fils de Robert. Emmanuel.
— Ah oui je voix.
J’avais moi-même été dépucelé par ma tante. Pendant mes vacances d’été. Dans le grenier de sa demeure là même où elle exerçait. Son travail consistait, à assembler des chemises de toutes tailles. Quand l’envie lui venait-elle verrouiller l’accès et me faisait me mettre à poil. Je navais sur moi pas grand-chose à ôter. Un short et un slip. Ce seul fait me faisait bander.
Là elle baissait sa culotte quand elle en avait eu et prenait place sur moi, guidant ma queue dans son antre. Et là la magie jouait. Montant et descendant sur ma tige. Doucement dans un premier temps avant d’activer le rythme. Jusqu’à arriver à ceux qu’elle était venue chercher. Il lui arrivait de répéter la chose plusieurs fois dans l’après-midi. Pour autant de jouissance. Jamais elle ne s’était inquiétée du fait que j’aurai pu la dénoncer. Elle me savait solitaire. Et donc ça minimisait le risque. C’était bien pour ça elle agissait de la sorte avec moi. Il m’arrivait une fois dans mon lit le soir de récurer mon slip. Et à travers lui de lécher les sécrétions de tata. Pas une seule fois j’avais pu poser mes lèvres sur son sexe. Ce qu’elle m’autorisa l’année suivante. Et plus encore dans celles qui suivirent
— Et alors pourquoi cela ne s’est pas fait.
— Tout simplement par ce qu’il préfère le sexe opposé.
— Il est homo
— Oui depuis tout le temps.
— Mais dites-moi pourquoi me le dire ? Vous n’avez pas peur que je parle.
— Aucun risque vous êtes un solitaire. Et un solitaire c’est comme une tombe, ça ne parle pas. C’est sans doute ce que c’était dit vos deux voisines. Vous ne croyez pas ?
— Maintenant que vous me le dîtes. Oui, sans doute.
— Bon, il faut maintenant que je me sauve.