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Des vacances voluptueuses – Chapitre 5




Aux heures closes de la nuit, Jessica fut tirée de son sommeil par un bruit sourd qui se propageait dans la pénombre de sa chambre. Vêtue simplement du string et du soutien-gorge quelle avait lhabitude de porter pour dormir, elle sortir dans le couloir. Là, elle distingua des sanglots qui provenaient de la chambre de sa mère. Intriguée, elle sapprocha pas à pas et, par lentrebâillement de la porte, elle aperçut sa mère qui pleurait, recroquevillée sur son lit. Celle-ci, percevant un grincement dans le couloir, retint ses pleurs et invita lespion à entrer. Jessica, prise de panique mais se savant piégée, neut dautre choix que de pousser la porte et de rejoindre sa mère pour sassoir sur son lit.

Emma portait une nuisette de soie beige qui laissait largement entrevoir sa poitrine et tombait quelque centimètre au-dessus du genou. Afin déviter quun silence gênant ne sinstalle, elle ouvrit la discussion :

« Ce nest rien, ma chérie, juste quelques problèmes, tu devrais aller te recoucher. »

Jessica, curieuse et inquiète en même, voulut connaître la raison qui arrachait des larmes à sa mère et insista un peu, si bien quelle parvint à apprendre que cela concernait Patrick. De plus en plus intriguée par lancien ami de sa mère, elle devint très indiscrète et demanda à sa mère sils étaient amants. Surprise par laudace de sa fille, Emma bégaya avant de retenir quelques larmes. Comprenant décidément quil sagissait dun problème grave, Jessica sapprocha de sa mère et, dun instinct presque maternel, posa la tête dEmma sur son épaule. Emue, celle-ci poursuivit son explication :

« Tu sais, je connais Patrick depuis très longtemps, cela fait des années quil est mon amant, en fait. Cest même lui qui ma proposé de venir ici avec vous durant ces vacances. Cétait loccasion de passer du bon temps et de le voir puisquil habite dans la région. Je navais pas compris que ce « cadeau » avait un prix. Si les premiers jours furent merveilleux, plein damour et de sensualité, il il ma aujourdhui offert à deux de ces amis et, pour me forcer à accepter, ma fait le pire chantage qui soit »

Emma, fatiguée de la teneur et de la longueur de cette tirade, éclata en sanglot avant de poursuivre.

« Sils avaient tous été de parfaits gentlemen, peut-être aurais-je pu supporter, voire même apprécier, mais ils ont fait preuve dune telle rudesse à légard de mon corps »

Jessica ne parvenait pas à saisir tant dinformations en même temps. Non seulement sa mère lui apprenait quelle avait un amant depuis plusieurs années, mais surtout elle lui expliquait que celui-ci lavait forcée à faire lamour avec deux de ses amis. Ne sachant que répondre pour apaiser le chagrin de sa mère, elle saisit son visage entre ses mains et lui chuchota dabord quelques mots affectueux. Ensuite elle taxa Patrick de nombre dinsultes et menaça même de tout faire pour lempêcher de continuer, mais Emma la coupa pour lui demander de ne surtout pas se mêler de cette affaire car elle était trop complexe et il lui revenait de remettre les choses en ordre. Après maintes protestations, la jeune fille compris que la décision de sa mère était irrévocable et elle sattela simplement à la consoler.

Alors quEmma commençait à sécher ses larmes, Jessica lenlaça tendrement. Bientôt, toutes deux se turent, si bien que seule leur respiration semblait encore circuler dans la pièce. Elles sétreignirent de longues minutes, chacune croyant percevoir les battements du cur de lautre. Lentement, leurs corps se séparèrent dans un déchirement inaudible et désormais, Jessica se retrouva face contre face avec sa mère. Ses yeux fixèrent les pupilles de cette femme dont, tout à coup, elle perçut la majesté.

Les lèvres de Jessica, comme hypnotisées, se dirigèrent vers la bouche de sa mère. Surprise, Emma peinait à réagir. Dun côté, lidée de pratiquer linceste la dégoutait, et il lui semblait que toute la morale du monde lexhortait à refuser nen serait-ce que la pensée; de lautre, cette langue si douce et si chaude gonflait son cur dune divine euphorie et attisait en elle un feu ardent qui consumait ses dernières bribes de raison. Elle parvint pourtant à la repousser mollement, dans un premier temps, mais linsistance de sa fille était si forte et sa langue si douce quelle se convint que ce baiser ne pouvait que lui être salutaire et quà coup sûr il ne constituait pas vraiment le péché incestueux. Elle entrouvrit alors doucement sa bouche afin daccueillir Jessica. Ladolescente, sentant la langue de sa mère se déraidir à chaque instant, poursuivit avec des baisers plus langoureux encore.

La jeune fille faisait vagabonder ses mains le long des bras de sa mère jusquaux bretelles de la nuisette maternelle. Lentement, elle les fit glisser et dévoila une poitrine aux seins énormes dont seul le poids des années pouvait réduire la splendeur et la fermeté. La jeune fille fit alors rouler les seins de sa mère sous ses mains. A la vue de sa poitrine découverte, Emma voulut repousser les mains de Jessica une nouvelle fois, mais toute force sembla quitter son corps lorsque la jeune fille lui pinça tendrement les tétons.

Devant labsence de désapprobation, Jessica se fit plus entreprenante et sa langue quitta la bouche de sa mère pour quelle se substituât à ses doigts et jouât avec ses pointes roses. Elle sappliquait à en mordiller un le plus délicatement quelle le pouvait tandis quelle continuait à pincer lautre de ses mains désormais libres. Sous ses soins de sa fille, Emma ne put retenir quelques plaintes de plaisir.

Emma, enivrée désormais de désir, rompit les caresses afin de se lever et de laisser glisser sa nuisette, ne portant plus quune fine culotte bleu marine. Chaque courbe participait à léclat sage et mystérieux que son corps renvoyait tandis que quelques grains de beauté ornaient magnifiquement le bas de son sein gauche. Devant cette chair, sublime, que les années semblaient avoir presque totalement épargné, un étrange sentiment dexaltation et de peur traversait Jessica, comme si dun coup, toutes ces années de pratiques sexuelles sévaporaient; elle se retrouvait, à nouveau vierge, sur le point de franchir, pour la première fois, les portes du temps avec cette femme qui lui avait donné la vie.

Emma rejoint Jessica sur le lit et dégrafa le soutien-gorge de ladolescente afin de lui masser les seins à son tour. Elle découvrit presquavec stupéfaction que sa fille navait rien à lui envier, car si ses seins étaient certes plus petits, leur fermeté les rendait bien plus agréables au toucher. A son tour, Emma fit jouer ses doigts sur les obus chauds de lappétit ardent de la jeune fille. Ses doigts décrivaient des spirales qui tournaient autour de ses auréoles pour gagner lentement ses tétons. Jessica se joint à sa mère dans cet exercice et bientôt, toutes deux remplirent leur paume de la chair délicate de leurs seins.

Jessica mit fin à ses caresses pour encadrer de ses mains le visage de sa mère et lui procurer des baisers de plus en plus ardents. Elle renversa ensuite son amante sur le lit pour sasseoir à califourchon au niveau de son sexe et se pencha vers elle afin de réunir à nouveau leur bouche et poser ses seins contre les siens. Le sang de Jessica battait vigoureusement dans ses veines et ses joues sempourpraient à mesure quelle découvrait ce corps duquel elle était née.

Bientôt, Emma, grisée davantage encore par le désir physique, fit rouler Jessica sur le dos afin dinverser la position et se retrouver à son tour à califourchon sur sa elle. Elle ne voyait plus dans son amante la fille quelle avait élevée, mais une femme dont le corps exaltait le désir et dont elle voulait exaucer le vu.

Emma, que lentrejambe commençait à démanger vigoureusement, enleva sa culotte et profita que sa fille était allongée sur le dos pour présenter sa vulve à son visage. Jessica fut ravie lorsquelle laperçut fraichement rasé et ne tarda pas à y coller sa bouche et à la gratifier de délicats coups de langue. A chaque choc, une secousse la traversait de part en part, si bien quelle ne put longtemps retenir de légers gémissements.

Alors quEmma voulut gratifier Jessica des plaisirs que celle-ci lui avait procurés, la jeune fille profita que sa langue fût libre pour linterrompre.

« Jai des godes dans ma table de nuit, expliqua-t-elle. Je vais les chercher. Tu verras, on sera mieux, conclut-elle en souriant. »

Emma acquiesça et Jessica se dirigea vers sa chambre sur la pointe des pieds. Alors que, loin du corps de sa fille, son désir sapaisait, les remords reprirent lassaut dans une ultime tentative de faire céder lenvie. Une foule didées moralisantes lui vinrent à lesprit, embrouillées néanmoins par la fièvre de son corps qui lencourageait à poursuivre dans linceste. Très vite, elle douta et ne parvint pas à choisir le camp de lesprit ou celui de la chair.

Jessica revint rapidement, tenant à la main deux vibromasseurs, un mauve et un rose quelle secouait en riant. Alors quelle passait la mauve à sa mère, celle-ci linterrompit.

« Ecoute, Jessica, on ne peut pas continuer. Tu es ma fille et il y a des frontières à ne pas franchir, tu ne penses pas ? Linceste non, nous ne pouvons poursuivre, tu comprends ? La morale, cette foutue morale, on ne peut la transgresser, elle est plus forte Et puis, que peux-tu bien aimer chez une vieille femme telle que moi ?

-Mais maman, répondit la jeune fille en enlaçant sa mère, tout me plait chez toi. Jaime tes cheveux qui ruissèlent jusque dans ton dos, jaime ton sourire, si candide lorsquil se dévoile timidement, et surtout, jaime tes yeux, davantage encore quand ils cherchent à dissimuler ton envie. Je taime, maman, je taime et je te désire. Je désire tes seins, superbes, qui pointent vers moi comme un appel au plaisir, je désire tes hanches qui roulent voluptueusement, et je désire ta chatte, humide encore de la salive de mon envie. Je te désire, maman, et je veux que nous baisions. Quimporte la morale ? Ne faisons pas lamour, il ne saurait exister entre une fille et sa mère, baisons comme des animaux en chaleur ! Baisons car jai envie de toi, je veux dabord lubrifier à nouveau ton vagin de ma salive, je veux introduire ensuite mes doigts en toi et enfoncer ce gode au plus profond de ta chatte, je veux te voir jouir, enfin, sous la dextérité de mes doigts. Baisons encore et toujours jusquà… »

Jessica ne put terminer sa tirade puisque sa mère, que ces mots avaient excités au plus haut point, venait dintroduire sa langue dans la bouche de la jeune fille qui savait désormais sa partenaire toute acquise. Mieux, celle-ci exaltait une ardeur de plus en plus vigoureuse et, la première, sempara dun des vibromasseurs laissés sur le lit, le mauve, et proposa à sa fille de sallonger sur le dos et décarter les jambes.

Emma, dabord, enduit doucement de salive les lèvres vaginales de ladolescente, humides pourtant déjà par sa mouille. Elle lubrifia ensuite ses doigts et en fit pénétrer deux dans lintimité de sa fille. Bien quelle se fût maintes fois masturber, elle était ignorante de ce qui relève du plaisir dune autre femme, et elle sy prenait mal. Pourtant, si Jessica ne ressentait pas dintenses sensations sous ces doigts inexpérimentés, elle simulait de légers murmures de plaisir, dans le but de mettre sa mère à laise.

Lorsquelle eut terminé de doigter sa fille, Emma mit le vibromasseur en bouche. Il était large, à peu près quatre ou cinq centimètres de diamètre, légèrement courbé, long dune vingtaine de centimètres et ressemblait en tout point à un sexe masculin, excepté par les sillons qui le recouvraient. Emma le suça donc avidement et, lorsquil fut suffisamment lubrifié, lintroduit à lentrée du vagin de Jessica. La jeune fille, toujours dans lexagération, poussa un long râle quelle étouffa seulement de manière à ne pas réveiller son frère. Rassurée par sa réaction, sa mère enfonça le gode et exécuta de lents mouvements de pénétration.

Quoique le vibromasseur rassasiait davantage la libido de la jeune fille que les doigts dEmma, elle sentait toujours linexpérience de sa mère à travers son inhabilité dans le maniement de lengin. Cependant, pour linstant, la simple vue de la femme qui lavait élevée, et qui était allongée, en ce moment, dans un lit et introduisait dans le vagin de sa propre fille un vibromasseur lui appartenant, cette simple vue suffisait à lui donner tant de plaisir quelle en voudrait.

Impatiente de pouvoir procurer à sa mère un orgasme dont elle se souviendrait, Jessica lui fit signe de sarrêter et linvita à écarter les cuisses à son tour. Elle posa ses mains à lintérieur de celles-ci afin de les écarter délicatement puis ouvrit sa vulve de ses index et introduit sa langue dans le vagin maternelle afin dy chercher son bouton damour. Alors que son cunnilingus commençait à peine pour sa mère, Jessica put voir son visage déjà défigurer par le plaisir que le procurait ses doigts. Il semblait à Emma que jamais, dans ses soirs de solitude, ses doigts purent déjà égaler la dextérité de sa fille dans le don du plaisir.

En vérité, Jessica nen était pas à son coup dessai. Adolescente, déjà, elle avait convaincu sa meilleure amie, Marie, de sadonner avec elle aux plaisirs entre copines. Cette relation, au début disparate, séduit rapidement des deux jeunes filles qui ne jouir plus que par la main de lautre. Les mois qui suivirent furent magiques, et, dès quelles en avaient loccasion, Jessica et sa meilleure amie se retrouvaient pour se masturber lune lautre, si bien que lorsquelle apprit que Marie devait déménager avec sa mère, Jessica tomba en larme. Plusieurs semaines durant, elle ne parvint tout simplement plus à se donner plaisir en solitaire et il lui fallut attendre quelle découvre lamour avec son copain de lépoque pour que sa libido séveillât de son long sommeil et ne sassoupît plus jamais. De cette aventure elle avait gardé le goût pour les relations avec les femmes ainsi quune dextérité remarquable pour tout ce qui concernait le sexe féminin. Bien des années plus tard, lors de vacances quelle passait avec deux amies pourtant en couple, elle convertit celles-ci à lamour lesbien, à tel point que les trois jeunes filles ne quittèrent presque pas leur chambre dhôtel de leur séjour, réservant leur temps pour des jeux érotiques de la connaissance de Jessica.

Ainsi, sous les doigts dune telle experte du plaisir au féminin, Emma se tordait de plaisir et devait placer un coussin devant sa bouche afin détouffer ses gémissements et ne pas réveiller Christopher qui dormait trois chambres plus loin. Alors que Jessica ne sétait pas même servit du vibromasseur, sa mère ne put retenir son premier orgasme. Elle resta plusieurs secondes, allongée dans le vague, sans aucun mouvement, savourant seulement cette sensation de plaisir quil lui semblait navoir plus éprouvé si divinement depuis des siècles.

Bien que déçue que sa mère vienne si vite, Jessica était heureuse davoir pu faire la faire ainsi jouir. Alors quelle semblait complètement vidée de ses forces, Emma se releva et susurra à Jessica quelle était en pleine forme et quil sagissait de son tour de rejoindre les cieux empourprés dEros. Soucieuse du plaisir de sa mère et toujours brûlante de désir pour son sexe qui perlait encore de mouille, la jeune fille proposa à sa partenaire la position du 69, qui permettrait ainsi aux deux femmes damener chacune leur amante au septième ciel. Le souvenir encore chaud des caresses de sa fille en tête, Emma approuva vivement lidée de Jessica.

Ainsi, celle-là en bas, celle-ci en haut redécouvrirent lobjet de leur désir. Emma, toujours hésitante, peinait encore à satisfaire sa fille, quoiquelle avait déjà fait quelques progrès. Tandis que sa main droite écartait la vulve de la jeune fille, sa main gauche poursuivait sa quête du clitoris à travers le sexe de Jessica. Ses doigts se faisaient plus habiles et il sembla à Jessica quelle tatillonnait vers son point sensible à tel point que, pour la première fois, lui vint un gémissement qui nétait pas simulé. Emma, alors que son excitation était revenue à son faîte, colla sa bouche au vagin de sa fille et le gratifia de coups de langue à la fois rapides et puissants, bien quils ne fussent pas très souples. Jessica avait limpression que sa mère lui dévorait littéralement la chatte tant sa langue était énergique, et ce nétait pas pour lui déplaire. A chacune de ses léchouilles, Emma mêlait sa salive avec la mouille de sa fille, si bien que bientôt, tant le vagin de Jessica que la bouche de sa mère furent emplis dun mélange de ces deux liquides.

En haut, Jessica prenait désormais son temps pour doigter sa mère, soucieuse de faire durer un peu plus le plaisir. Pourtant, elle entendait à ses cris, bien quétouffés par le sexe de sa fille contre lequel sa bouche était encore collée, quEmma prenait beaucoup de plaisir à ce traitement. Grisée par son sexe trempé et le plaisir croissant que sa mère lui procurait, Jessica saisit le vibromasseur encore inutilisé qui se tenait devant elle et linséra dans le vagin de sa partenaire. Celle-ci eut alors un léger spasme qui inaugurait la série de tremblement qui traversaient le corps dEmma à chaque fois que Jessica la pénétrait avec le gode.

Alors que toutes deux étaient brûlante de désir, la jeune fille proposa à sa mère de se faire jouir en même temps. Emma, sentant quelle était de toute façon aux portes du deuxième orgasme, accepta la proposition et se mit au travail. Ses doigts désormais furent dès lors encore plus rapides et plus hardis, si tant est que ce fût possible. Si elle navait pas la maîtrise de sa fille, lénergie et la bonne volonté dont elle faisait preuve dans ses mouvements parvinrent à arracher de véritables cris de plaisirs à Jessica. De son côté, celle-ci navait que légèrement augmenté la cadence de ses doigts, mais elle savait quun seule geste suffirait à faire jouir sa mère, geste quelle ne fit quà linstant où elle sentit les doigts de sa mère déterminés à en finir.

Les deux femmes, tandis que leur corps se contractèrent dans un spasme violent, hurlèrent de longues secondes leur plaisir, la bouche placée encore contre un coussin car il était certain que sans eux, vu la force de leurs cris, Christopher eût été réveillé. Des deux, cest Emma qui gémit le plus fort et le plus longtemps, prise dun orgasme si puissant, davantage encore que le précédent, quelle dut même retenir son cri, de peur que le coussin ne suffise pas. A linverse, le hurlement de Jessica, sil fut bestial, avait été bien entendu exagéré. En effet, sa mère nétait pas parvenu à procurer un orgasme à la jeune fille, mais cela lui paraissait bien secondaire, en fin de compte, puisque le simple fait davoir pu masturber sa mère pendant que celle-ci lui rendait ce plaisir lui suffisait amplement. En outre, au vu de des performances de sa partenaire, elle était certaine que sa mère, avec seulement un peu de pratique, ferait une formidable amante.

Emma, exsangue de toute énergie, roula sur le lit pour se coucher. Jessica fit de même, sallongea à côté delle et, selon la demande de sa mère, la prit dans ses bras. Alors quelle dodelinait déjà de la tête, Emma caressa les jambes de sa fille.

« Ma chérie, nous naurions pas dû murmura-t-elle avant de reprendre son souffle, mais tu mas fait tellement de bien, tes doigts si habiles mont élevé par-delà les cieux. Merci, ma chérie, je taime, je taime plus que tout au monde et cet orgasme que tu mas procuré, cétait la plus belle chose que tu pouvais moffrir. Je taime, oh, je taime tant mon ange, mais nous ne devrions plus recommencer

-Maman, répondit Jessica, moi aussi je taime, tu es si belle, la plus belle femme que jai pu voir, et si douce. Je taime aussi, maman, je taime tellement, plus que quiconque. Et pour cela, il faut que nous recommencions. Comment pourrais-je vivre à présent, si plus jamais je ne jouis de tes caresses sur mon corps et de tes doigts en moi ? »

Et comme elle finissait de parler, Jessica posa ses lèvres contre celles de sa mère pour entamer un long et langoureux baiser quEmma nhésita pas à rendre.

« Maman, poursuivit la jeune fille lorsque le baiser fut terminé, je ne veux pas dune vie dans laquelle je ne pourrais jouir de tes baisers. Tu mas dit que cet orgasme tavait transporté : je veux ten donner mille autres, je veux que chaque fois que nous baisions, tu grimpes un échelon plus haut sur léchelle du plaisir. Je taime, maman, ne nous refuse pas ce plaisir divin au nom de quelque principe moral »

Emma se taisait, buvant avec euphorie les paroles de sa fille, mais sa décision était déjà prise depuis le début.

« Ma chérie, merci, merci tellement pour tes paroles si douces. Mais rassure-toi, à nouveau nous ferons lamour. Et quand bien même ma raison me pousserait à te résister, mon corps, bien plus vigoureux, me pousserait inéluctablement dans tes bras. Moi aussi, mon amour, je veux jouir encore de tes caresses et je veux sentir à nouveau tes seins au creux de mes paumes. Sois rassurée, je te suis toute acquise, et je me languis déjà de la prochaine fois que nous ferons lamour, car pour linstant, le sommeil me gagne et je ne peux pas lui résister plus quà toi, conclut-elle en fermant les paupières. A demain, ma chérie, et ferme bien la porte en sortant, car je nai la force de me rhabiller ni lenvie de me couvrir. Bonne nuit, mon cur, je taime fort, tu sais… »

Sur ce flot de mièvrerie, Emma sassoupit et Jessica tenta tant bien que mal de libérer son bras sur lequel sa mère sétait endormie. Debout, la jeune fille posa un dernier baiser sur les lèvres de sa mère, saisit ses sous-vêtements sans les remettre, ferma la lampe de chevet et quitta la chambre sur la pointe des pieds.

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