— Bonjour. Cest bien ici le 34 rue des Halles?

— Oui cest là. Entre et ferme la porte.

— Ok

— Si tes venu cest que vous êtes vraiment décidé ? Tes au courant quon fait pas dans le soft ici. Si cest du romantique que vous voulez il est encore temps de rentrer chez vous.

— Oui oui, on sait.

— Cest ça que tu nous amènes ?

— Oui.

— Ta femme ou ta pute ?

— Ma femme.

— Elle a une belle gueule. Lair un peu conne mais son cul a lair potable. Tourne, quon voie ce que ça donne.

Luce me regarde sans comprendre tout de suite que cest à elle quon sadresse.

— Jai dit tourne, on veut voir la marchandise.

Elle obéit, un peu subjuguée.

— Le cul et pas mal Elle est comment au pieu ?

— Pas mal non plus.

— Tu fais tout avec ?

— Et bienn pas mal de trucs, en tout cas.

— Tu lencules ?

— Oui.

— Facile ?

— Je la prépare un peu et jy vais mollo

— Elle aime ça ?

— Elle se laisse faire en tout cas.

— Bien. On en demande pas plus Tes le seul ?

— Le seul quoi ?

— A lenculer ?

— Oui Enfin jimagine haha.

Le gars derrière son bureau ne sourcille pas.

— Ses nichons sont pas mal. Ils sont vrais ou cest de la gonflette ?

— Pardon ?

— Je te demande si ses nibards son naturels.

— Cent pour cent naturels.

— Et ça tient tout seul ? On dirait quelle a pas de soutif.

— Elle en a pas. Y tiennent bien. Même quelle en est fier

— Fais voir.

Luce va pour ôter son chandail.

— Je tai pas dit de te foutre à poil comme une pute ! Montre juste comme ça tient Fais bouger Voilà. Pétris bien tout ça.

— Bien. Maintenant sautille sur place, quon voit ça en action Putain, ça remue là-dessous Bon arrête, tu vas nous faire du beurre haha Maintenant ouvre la bouche. Elle suce ?

— Oui.

— Comment ?

— Moyen.

— Ah bon ? Elle a pourtant une belle petite gueule de suce-bittes avec ses lèvres épaisses Je tai dit douvrir la gueule, connasse ! Qui ta dit de la refermer Comment ça, moyen ?

— Elle a tendance à suçoter.

— On va la mettre au dresser Et jimagine quelle avale pas?

Je vais pour répondre mais ma femme intervient.

— Jaime pas ça. Question de goût, cest tout.

— On ta sonné poufiasse? Tu ouvres ta gueule quand on te pose une question ou pour sucer. Cest vu? Tu te branles ?

Mais Luce reste avec la bouche ouverte, sans répondre.

— Là, je te pose une question, alors tu réponds ! Tu te branles souvent ? Ton bonhomme ma dit que tétais cochonne.

— Sil vous la dit

— Sois pas arrogante. Jen sais déjà pas mal sur toi et tes vices de ménagère inassouvie, mais ça me fait bander si tu me racontes toi-même Paraît que tu te plantes des trucs dans le con pour te faire jouir. Cest vrai ?

— Oui.

— Quoi par exemple ?

— Je savais pas que je venais ici pour répondre à un questionnaire, sirrite Luce.

— Tiens donc… ! Et tu es venue ici pour quoi alors ?

— Bin pour de laction.

— Haha, tu veux dire pour baiser ? La salope se réveille et veut sa dose de bitte, cest ça ? Rassure-toi, tu vas en avoir de la bitte et de laction. Mais ici, cest moi qui décide. Alors tu vas commencer par la mettre en sourdine et ravaler tes airs de pimbêche. Pour le moment, tu réponds à mes questions et tu fais ce que je te dis Tout ce que je te dis. Cest vu ?

Je vois le visage de ma femme sempourprer, surprise quelle est de ce haussement de ton. Lhomme quitte son bureau et vient se coller à elle. Dune main, il saisit fermement le bas de son visage et ses doigts sinsinuent dans sa bouche, comme un palefrenier qui vérifie la dentition dune jument. Le geste est spécialement vulgaire.

— Il faut que tu saches, petite ménagère mal baisée, que pour moi tu ne représentes rien dautre quun tas de viande tiède.

Ses doigts sinsinuent plus loin, écartèlent la bouche, tentent de saisir la langue. Luce a des haut-le-cur et se met à baver.

— Ce morceau de viande molle comprend des orifices comme celui-ci quil me plaît dexplorer pour ensuite décider avec lequel je jouerai en premier. Est-ce que cest clair ?

Lhomme a ponctué sa question dune tape sur la joue de ma femme.

— Est-ce que cest clair ? Insiste-t-il cette fois en lui balançant une vraie gifle.

Luce semble un peu affolée et me cherche du regard. Voyant que je ne réagis pas, elle semble se résigner et je lentends répondre un oui timide.

Il la gifle encore.

— Cest très bien.

Il plonge délibérément la main dans le chandail de ma femme et fait jaillir ses seins lun après lautre par lencolure.

— Putain elle a de sacrée beaux nibard ta monture. On doit bien samuser avec ça.

Il se met à frapper violemment les seins avec le plat de la main.

— Et cest vrai que cest plus ferme que ça en a lair.

Il a saisit Luce par les cheveux et lui tire la tête en arrière.

— Cambre un peu quon voit ce que ça donne.

Il lui frappe encore plusieurs fois les seins puis, tirant plus fort sur ses cheveux la force à se mettre à quatre pattes sur le sol.

— Et ça donne quoi quand tu te mets en position? Ouai cest pas mal. Ça pend juste ce quil faut mais pas trop. Bouge pour voir.

Et il lui administre un violent coup de pied dans le derrière.

— Jai dis bouge, grosse vache !

Je me dis alors que cette fois le jeu est vraiment commencé. Rouge de honte, ma femme sagite de gauche à droite, faisant ballotter sa poitrine pendant que lhomme tourne autour delle en ricanant.

— Putain tu parles dune femelle !

Nouveau coup de pied dans les fesses, encore plus violent. Luce pousse un cri et manque de perdre léquilibre.

Je ne peux mempêcher de réagir.

— Hé allez-y mollo quand même.

Lhomme me regarde avec un sourire.

— Tinquiète, elle aime ça. Tu sens pas comme ça pue la femelle ?

Il se baisse et saisit la robe de ma femme et la rabat sur ses reins.

— Écarte un peu quon admire le paysage!

Luce, devenue très docile, écarte les genoux. Lhomme presse du pied sur sa tête pour la faire se cambrer puis, sans gêne, passe un orteil dans sa culotte à la descend à mi-cuisses.

— Vise un peu dans quel état elle est déjà cette cochonne !

En effet, il nest même pas nécessaire de mapprocher pour constater quelle est excitée. Enivré par cette vision, lhomme se penche et se met à la tripoter sans vergogne.

Résigné par une telle vision, je vais minstaller dans un coin de la pièce, curieux de voir la suite.

— Si tes dérangé, va faire un tour et tu reviens la récupérer dans deux heures.

— Non, ça va.

Penché sur ma femme, il lui fouille lintimité de façon très obscène, la faisant gémir.

— Temballe pas la truie, on a encore à faire alors si tu veux un conseil, ne gaspille pas ton jus haha.

Il fini par la laisser et sempare de nouveau de ses cheveux, dabord en faisant mine de sessuyer les mains, puis pour lobliger à se relever.

— Fous-toi à poil, dit-il en retournant à son bureau.

Luce semble hypnotisée. Elle retire prestement son chandail et dégrafe sa jupe qui tombe à ses pieds. Elle va pour retirer sa culotte, restée au-dessus du genou.

— Laisse-la où elle est, ça fait plus trash.

Elle se retrouve ainsi totalement désarmée. Lhomme la dévisage des pieds à la tête.

— Tu sais que tas lair conne, comme ça ?

Ma femme ne sait pas trop comment réagir. Elle baisse la tête en gardant les bras ballant.

— Mais bon, taime ça, hein ?

— Quoi donc ?

— Quon te traite de conne Ou tu préfères grosse cochonne ?

Luce relève la tête.

— Grosse ?! Cochonne, je veux bien admettre, mais grosse, je ne sais pas ce quil vous faut !

— Hahaha Une femme cest toujours une grosse cochonne même si elle na que la peau et les os. Taime pas ça, nest-ce pas, quon te traite de grosse.

— Non, pas vraiment.

— Haha La fierté, chez une femme, cest aussi désagréable quinjustifié Cest ce quil faut briser en premier Branle-toi !

Cette fois, Luce obéit immédiatement.

— Tu mouilles ?

— Oui.

— Ca se tripote la moule devant quelquun quon connait à peine et ça joue les fiers. Y a quune énorme cochonne qui peut faire ça. Cest ta perversité qui est énorme, même si tas un petit cul. Tu comprends ça, grosse cochonne ?

— Oui, je crois, répond-elle dans un souffle.

— Alors dis-le, que tes une grosse cochonne et une grosse salope. Je suis sûr que ton mari aimerait lentendre.

Luce hésite, visiblement gênée par la présence de son mari.

— Allez bordel ! Hurle le type. Dis-le ce que tu es ! On técoute.

— Je suis une grosse cochonne et une grosse salope.

Lhomme rigole.

— Parfait, dit-il en sapprochant de Luce. Tes une docile toi, hein

Il a saisi le bout des seins de ma femme entre ses doigts et samuse à les tirailler dans tous les sens,

— Le genre de conne qui fait tout ce quon lui dit et qui accepte tout sans broncher, cest ça ?

Luce gémi sous la torture infligée à ses seins. Le type lui balance deux gifles à la volée qui manquent de lui faire perdre léquilibre.

— Réponds, pouffiasse !

— Oui, balbutie ma femme, quand je suis excitée

Il plaque sa main entre les cuisses de Luce.

— Ah ça, excitée, on peut dire que tu les haha..

Et il se met à la fouiller sans vergogne, enfonçant profondément ses doigts dans sa chatte.

— Écarte !

— Hoooo Doucement sil vous plait Je Vous allez me

— Tu te retiens grosse cochonne, sinon je te balance dans la rue à poil Écarte, je tai dit ! Et fléchis les jambes, cest plus vicieux Voilà, comme ça Bonne bête Tu aimes ça, hein ma salope ?

Puis, sadressant à moi.

— Vise un peu, mon vieux. Jy rentre presque toute la main, dans ta pute.

De voir ma femme soffrir avec tant dindécence me procure une très forte érection. Luce gémit et tremble de tout son corps, luttant comme elle peut contre lorgasme. Le type retire sa main et pousse brutalement sa victime, la faisant choir sur le tapis.

— Fous-toi à 4 pattes comme une chienne avec le croupion bien relevé

Elle ne répond visiblement plus delle et se contente dobéir aux ordres quelle reçoit. Lorsquelle se trouve dans la position demandée, lhomme reprend ses odieux attouchements. Je le vois enfoncer trois, puis quatre dans la chatte de Luce sans aucune difficulté. Lorsquil les ressort, ils sont luisants de cyprine et il les lui présente devant le visage.

— Lèche ton foutre, grosse cochonne ! Tas pas honte de te mettre dans de tels états ?

Docile, ma femme se met à laper avec avidité avant quil ne replonge en elle et ne revienne, la main à nouveau chargée du jus de son excitation.

— Taime ça ma garce, haha Je sens quon va bien samuser, tous les deux.

Il lempoigne par la chevelure et lembrasse a pleine bouche.

— Elle me plaît ta femme, dit-il à mon intention. Tas bien fait de me lamener. Je vais en faire ma chose.

Puis, sans lâcher ses cheveux, il commence à arpenter la pièce de long en large en la trainant derrière lui.

— Mesdames et messieurs ! Se met-il à crier hilare. Je vous propose aujourdhui une pouliche de premier choix. Regardez un peu comme elle bouge bien.

Et il poursuit ses vas-et-viens dans la pièce, forçant toujours plus son allure, sans lâcher ma femme qui galope derrière lui de manière un peu grotesque, sa petite culotte toujours roulée à ses genoux.

— Approchez ! Approchez ! Poursuit-il en sadressant à un public imaginaire, elle est a vous pour pas cher ! 50 la saillie, par le trou que vous voulez !

Luce fini par trébucher et se retrouve à plat-ventre. Le type la traine encore sur plusieurs mètres puis, toujours en la manuvrant par les cheveux, il la force à se mettre à genoux et se recule de quelques pas..

— Mais à 50 le trou, il faut de la marchandise qui fonctionne. Tu dis quelle suçote ?

— Disons que je trouve quelle ne fait pas beaucoup deffort.

— On va voir ça, dit lhomme en dégrafant son pantalon.

Il sort son pénis quil agite devant les yeux de ma femme.

— Viens me sucer, grosse salope.

Luce avance sur ses genoux et saisit le sexe bandé avec sa main. Au moment où elle approche sa bouche pour commencer à sucer, le type lui balance une mandale qui la fait tomber sur le côté.

— Je tai pas dit de me branler, connasse ! Reviens ici, mets tes mains dans ton dos et sers-toi uniquement de ta gueule Cest compris ?

Ma femme obéit sans protester. Je la vois engloutir la bitte raide et commencer à sucer.

— Pas si mal, pour une tocarde. Regarde comme elle douée. Elle ta déjà fait ça?

— Jamais aussi bien, je dois dire.

— Cest juste une nouvelle bitte, quil lui fallait à cette pute. Pas vrais quil te fallait une nouvelle bitte, la ménagère?

Ma femme acquiesce dun discret mouvement de tête.

— Dailleurs elle est déjà accro de mon braque. Tu veux une démo ?

Il commence à reculer. Ma femme se met alors à avancer tant bien que mal sur les genoux, sans lâcher sa proie.

— Vise un peu cette salope ! Jubile le type. Tu commences à comprendre, vieux ? Une bonne femme, dès que tu la respectes elle devient conne et à la première occasion elle te file entre les pattes et va se faire saillir par le premier qui saura sen occuper comme elle en a besoin.

Il sarrête de marcher et lui saisit la tête à pleine main pour senfoncer plus profondément. Surprise, Luce a un haut-le-corps.

— Ouvre la gueule, grosse conne ! Dit-il sans la lâcher.

Ma femme se met tousser et baver. Le type sarrache alors delle et la gifle plusieurs fois avec violence.

— Tarrête de foutre ta langue en travers, espèce de connasse !

Il enfonce plusieurs doigts dans sa bouche pour lécarteler.

— Tire la langue !… Tire la langue, je te dis. Comme une chienne.

Luce obéit. Son visage est grimaçant et luisant de salive. Le type lui pince le nez pour lobliger à respirer par la bouche en louvrant très grand.

— Tu restes bien comme ça, la chienne.

Et il enfonce à nouveau son sexe bandé au plus profond de la gorge puis commence un furieux va-et-vient en lui agrippant solidement la tête. Ma femme se débat, émet quelques cris et gémissement étouffés puis vomi. Lhomme se met à râler vulgairement sans pour autant la lâcher prise.

— Ahhh que cest bon ! Vas-y, dégueule encore, connasse. Cest chaud sur ma bitte, je bande

Puis il la lâche et la laisse reprendre sa respiration.

— Ton mari a quand même raison, ricane-t-il. Tes pas une championne.

Il la saisi à nouveau par les cheveux et lattire sans ménagement contre lui.

— On reprend. Bouffe-moi un peu les couilles, pour voir.

Il lui maintient le visage contre son entre-jambes.

— Allez, poufiasse, ouvre la gueule et aspire mes couilles, je te dis! Voilà, comme ça. Prends-les bien en entier, cest ça. Aspire bien. Charogne que cest bon! Tu sens comme elles sont bien pleines?

Il se masturbe au-dessus de son visage pendant un moment en râlant vulgairement de plaisir, puis il lui tire la tête en arrière. Il se tourne et lui tend son postérieur.

— Maintenant bouffe-moi le cul. Lèche mon trou, grosse cochonne.

Lucre grimace et fait non de la tête. Lhomme lui administre deux claques sonnantes puis tenant sa tête à deux mains, il lui plaque son entre-fesse sur le visage.

— Tu comprends ce que je te dis, saloperie?! Tu sors ta langue et tu me nettoies le trou, cest vu?

Résignée une fois de plus, ma femme lui obéit.

— Ah que cest bon.. Oui, vas-y, encule-moi avec ta langue. Ô que tes vicieuse!

Lhomme savoure lodieuse caresse quelques instant puis se retourne.

— Maintenant, tu vas me finir, ma salope. Tu vas me sucer et faire ça cent fois mieux quavec ton mec, cest compris?

Elle acquiesce dun hochement de tête et entame une fellation en y mettant une ardeur que je ne lui connaissais pas.

— Voilà qui est bien. Tu vois que tu peux. Toutes les femmes sont des putes si on sait les prendre.

Je suis effaré de voir à quel point Luce met du cur à louvrage. A genoux devant linconnu, elle lui fait la plus belle fellation jamais vue. Lhomme râle de contentement.

— Putain ce quelle est bonne ta femme. Vise comme elle me suce bien cette putain. Elle va me vider les couilles cette salope.. Oui Oh ouii Je sens que ça vient Ouiii!

Elle tente alors de se retirer comme elle le ferait avec moi mais Laurent ne le voit pas sous cet angle. Il lui plaque les deux mains sur la tête el la maintient fermement.

— Bouffe tout salope! Ahh que cest bonn!

Luce se débat et frappe du poing sur la cuisse du gars mais il ne lâche pas prise, tenant sa victime jusquà son dernier spasme de plaisir.

— Si tu recraches une seule goûte espèce de connasse, dit-il encore avant de la libérer, je te fais lécher le sol.

Elle avale tant bien que mal en grimaçant.

— Ouvre et montre si tu es obéissante.

Ma femme ouvre la bouche.

— Voilà qui est bien. Tu vois, petite conne que cest facile. Cest la première fois?

Elle acquiesce en me jetant un bref regard gêné.

— Cest très bien, dit-il en sessuyant le sexe à ses cheveux. Ca me plait.

Il la repousse brutalement du pied.

— Maintenant tu nettoies tout ce bordel et tu vas te doucher, tu pues. On reprend dans un moment.

Pendant que ma femme saffaire docilement à remettre de lordre, lhomme sapproche de moi et se présente.

— Salut, moi cest Laurent.

— Salut.

— Elle est pas mal ta femme. Bien foutue, tout. On peu en faire quelque chose. Cest toi qui as eu lidée de venir me voir?

— C’est-à-dire.. On a décidé ensemble. Cest moi qui ai répondu à lannonce, mais ça la travaille depuis quon se connait.

— C’est-à-dire?

— Au début elle nosait pas. Ou plutôt ne savait pas trop ce qui lui arrivait. Mais comme ça fait pas mal de temps quon est ensemble, elle a fini par me parler des trucs auxquels elle devait penser pour atteindre lorgasme.

— Quoi par exemple?

— Bin.. Comme je tai dis dans mes messages.

— Jaime bien quon en parle de vive voix, ça met en confiance. Quest-ce quelle ta dit, au juste?

— Bin que pour sexciter elle devait penser à des situations où elle était humiliée et traitée comme une moins que rien.

— Comme je viens de le faire?

— Ouai.. Par exemple. Mais disons que cest pas évident en vrai.

— Tes dérangé?

— Je sais pas. Un peu. Disons que je suis partagé. Jai vu leffet que ça lui fait Ca surprend.

— Et tu nes pas au bout de tes surprises. Les nanas comme elles sont plus nombreuses quon croit. Leur véritable nature de femelle qui refait surface. Cest prouvé par les sociologues. Seulement y en a peu qui se lavouent. Elles ont honte, tu parles

Puis, sadressant à Luce qui est toujours accroupie sur le sol, à astiquer.

— Hein ça te fait honte, dêtre aussi vicieuse?

Il nattend pas de réponse. Le silence de ma femme qui frotte de plus belle confirme ses dires. Vu quelle se trouve à portée, il lui balance un nouveau coup de pied au derrière. Je suis surpris autant par la violence du coup que par la réaction, ou plutôt le manque de réaction de ma femme. Elle semble même apprécier particulièrement le geste, même sil représente, à mes yeux, lun des plus dégradants quil soit.

— Le secret, cest que cest justement cette honte qui les stimule. Le paradoxe, cest que plus elles ont honte, plus elles sexcitent et plus elles sont excitée par cette honte, plus elles ont honte. Tu me suis? Une vicieuse prise dans un cercle vicieux. Intéressant, non?

Luce a terminé son nettoyage et ne sait pas trop quelle attitude adopter. Elle est toujours à quatre pattes sur le sol et semple un peu agacée. Impatiente quon en finisse avec nos palabres.

— Quest-ce tas à nous regarder comme une conne? Tu veux quelque chose?

Elle le regarde sans savoir quoi répondre.

— Tas envie de prendre ton pied, cest ça? Tourne-toi. Montre ton cul, que je voie si tes excitée.

Toujours plus docile, elle nous présente son postérieur en cambrant les reins.

— Et bien ma grosse cochonne, tas lair en forme. Une véritable chienne en chaleur. Recule, je toffre mon bas de pantalon.

Luce sapproche en reculant, sans trop comprendre où Laurent veut en venir.

— Voilà. Cest ça. Appuie ton cul contre ma jambe et frotte-toi. Cest comme ça que sassouvissent les clébards dégueulasses dans ton genre.

Il abandonne ma femme à ses turpitudes et sadresse de nouveau à moi.

— Quand elle ten a parlé, elle ta donné des détails? Par exemple de ce quelle entendait par "être humiliée et traitée comme une moins que rien"?

— Oui, un peu. Mais cest pas évident. On ny connait rien en sado-maso.

— Rien à voir.

— Quoi?

— Rien à voir avec ce monde là. Le masochisme est basé sur la peur, langoisse, la douleur. Une femme attachée et torturée est psychiquement mise en valeur. Les tenues de cuir ou de latex sont également étudiées pour mettre en valeur les "victimes". Ta femme, cest linverse. Elle a besoin dêtre rabaissée. Et cette particularité est tout à fait propre à la nature féminine. Preuve en est, contrairement à ce quon pourrait croire, la majorité des vrais masochistes sont des hommes.

— Tu mapprends quelque chose.

— Je suis là pour ça. Quand elle ta avoué ses fantasmes, tu nas pas eu envie de tester par toi-même.

— Oui, nous avons essayé. Mais ce nest pas évident dans un couple. Les sentiments etc..

— Normal. Tu las jamais flânée?

— Quoi?

— Tu lui as jamais foutu sur la gueule, sachant quelle aime ça.

— Non. Je nimagine même pas. Dans la vie courante en tout cas pas.

— Et dans votre vie de cul?

— Non plus. Comme je te lai dit, cest pas facile.

— Mais si que cest facile. Regarde.

Laurent se baisse et saisit Luce par les cheveux et larrache à ses activités honteuses. Il loblige à se redresser et, tout en lui maintenant la tête en arrière, claque violemment ses seins de sa main libre.

— Vise un peu comme elle raffole de ça, cette connasse.

Avec son genou, il la force à ouvrir les cuisses.

— Écarte ça sale pute.

Elle obéit.

— Mieux que ça, charogne!

Il lui administre alors une série de claques sonnantes sur la chatte.

— Putain vise un peu comme ça gicle! Elle adore ça, cette morue. Elle pisse la sauce comme une fontaine. Tes vraiment une grosse dégueulasse, ma parole. Jen ai plein la main.

Sans lui lâcher les cheveux, il lentraine à travers la pièce. Luce fait quelques pas maladroits et sencouble dans sa culotte qui lui entrave les chevilles. Elle chute mais il ne ralentit pas son allure pour autant et entreprend darpenter lappartement en la trainant derrière lui. Il finit par la projeter sur le tapis où elle sécroule.

— Fous-toi à quatre pattes et branle-toi. Je vais moccuper de toi dans un moment.

Nous reprenons notre dialogue.

— Ca texcite?

— Quoi?

— De voir ta belle se faire malmener?

— Je sais pas. Je suis partagé. Oui, je crois, mais il faut que je sois convaincu quelle aime vraiment ça.

— Ten as la preuve. Elle sait quelle peut arrêter ça quand elle veut et sen aller. Pourtant elle reste là, bien docilement. Elle en veut encore cette vicieuse. Vise un peu comme elle ruisselle.

— Oui, en effet.

— Et bien tu vois, cest la même chose pour elle. Il faut quelle se débarrasse de sa culpabilité. Et pour ça, elle doit à son tour être convaincue que tu aimes ça.

— Oui, je comprends.

Luce commence à respirer bruyamment sur le tapis.

— Eh..! Tu te tiens, espèce de dégueulasse. Tu te crois où? Arrête un moment ces cochonneries.

Elle obéit et se fige. Elle semble hypnotisée par lexcitation.

— Quand je men occupe, tu bandes?

— Pas au début, mais cest vrai que ça commence.

— Alors nhésite pas à te branler, ça lui rendra service.

— Comment ça?

— Tu sais pas te branler? Ricane Laurent.

— Oui heuu.. enfin je veux dire comment ça peut lui rendre service?

— Tu es le dernier obstacle avant quelle puisse se laisser aller pour de bon. Elle culpabilise devant toi, tu comprends?

— Oui.. je crois comprendre.

— Alors sors ta bitte et branle-toi. Montre-lui que tu es aussi vicieux quelle.

Je suis quand même un peu gêné par la proposition. Je nai pas lhabitude de faire ça devant ma femme et encore moins devant un inconnu.

— Ou alors tu participes.

— Quoi?

Il me désigne ma femme du menton.

— Tas vu comme elle adore morfler ta bonne-femme! On sera pas trop de deux pour la dérouiller alors vas-y, défoule-toi. Montre ce que tu sais faire.

Je reste sans bouger et sans répondre.

— Je vois, dit-il. Dans ce cas, tes mieux daller faire un tour et de revenir la récupérer après.

— Non, je veux rester.

— Alors arrange-toi pour que ta pute de femme arrête de lorgner dans ta direction pour voir si ta morale saccorde à ses besoins honteux. Tu piges?

— Oui. Je comprends.

Convaincu par ses arguments, je me dégrafe, sors mon sexe déjà dressé et commence à me caresser. Je suis un peu gêné par le regard de Luce qui en effet semble mencourager.

Laurent va rejoindre ma femme et se place debout derrière elle.

— Vise-moi un peu cette chienne. Elle a lair à point, non?

Puis, sadressant à elle :

— Tu as vu ton cochon de mari. On dirait que ça lexcite de voir sa salope de femme entre les mains dun vrai mec.

Il caresse son intimité avec le dessus de sa chaussure. Instinctivement, Luce commence à se frotter contre le pied de Laurent.

— Regardez-moi cette grosse cochonne! Quel spectacle honteux pour une honnête épouse.

Il donne un coup avec sa chaussure sur la chatte trempée.

— Dis encore que tes une grosse cochonne!

— Je suis une grosse cochonne, gémit Luce. Prenez-moi.

— Comment cela, prenez-moi? Ricane Laurent en frappant encore avec sa chaussure. Tu veux que je te baise?

— Oui.

— Devant ton mari? Tas pas honte? Cest carrément dégueulasse, ce que tu me demandes là.

— Jen peux plus!

Il envoie un violent coup de pied dans sa chatte.

— Ouiii ouiii! Encore..! Gémit-elle en se tortillant devant lui. Frappez-moi encore..!

Laurent ne se fait pas prier. Il frappe à nouveau avec son pied, visant le sexe béant de Luce.

— Tes vraiment une grosse cochonne, dit-il en ricanant. Taime ça quon te cogne dessus, hein charogne!

Je nen reviens pas. Mon épouse est en train de se faire brutaliser de manière abjecte devant mes yeux et je me masturbe honteusement en me régalant du spectacle.

Il la roue maintenant de coup de pieds, autant sur les seins que sur le cul. Plus il frappe, plus elle a lair dêtre au bord de lextase.

— Dis-moi pas que tu vas prendre ton panard comme ça, ma salope!

— Ouiiiii encore..! Encore! Sanglote-t-elle en tendant ses fesses.

Laurent cesse de frapper.

— Ta femme cest vraiment la pire des vicieuses perverse que jaie jamais vu, dit-il à mon intention. Jai bien envie de me la faire cette cochonne.

— Oui! Dit Luce dans un souffle. Allez-y.

— Ô là, du calme. Cest la bonne ménagère fidèle que je veux sauter en premier. Pas la chienne. Vas te foutre sur la table.

Luce se relève et va se coucher sur la table pendant que Laurent retire son pantalon.

— Dis donc, elle se fait pas prier ta bonne femme. Tu las déjà vue se faire baiser par un autre?

Je fais non de la tête, subjugué par lindécence avec laquelle ma femme soffre à ce type qui va vers elle, le sexe dressé.

— Approche, me dit-il encore. Viens lui tenir les guibolles.

Gagné par lexcitation, je me place à côté de la table et saisis les chevilles de ma femme qui sest déjà docilement placée en position, les jambes écartées.

— Cest ça, parfait. Tiens bien ta femelle, je vais la baiser comme une pute.

La situation particulière excite Luce encore plus. Le regard fixé sur ma propre érection, elle semble sur le point de jouir. Laurent prend son temps et savoure linstant. Il place son énorme sexe contre la chatte ruisselante.

— Maintenant les amoureux, regardez-vous dans les yeux, ça mexcite.

Et il senfonce en elle dun seul coup, lui arrachant un cri de plaisir. Le pénis luisant ressort entièrement, puis plonge à nouveau. Laurent semble déguster sa conquête quelques instant puis se met à la besogner violemment, en proférant des insultes.

— Bon sang quelle est bonne cette salope! Souffle-t-il en donnant de furieux coups de reins. Vise comme elle aime la bitte, cette pute!

Jamais à ma connaissance Luce na été baisée avec autant de violence. A tel point quelle se met soudain à hurler son plaisir en nouant ses jambes autour du torse de son amant.

— Ouiiii Je vais jouir.! Je vais jouiiiiiir

— Tiens-toi putain..!! Hurle Laurent sans cesser de la besogner violemment. Qui ta permis, salope!?

Il se met à la gifler à la volée sans aucun ménagement. Mais les coups terrible quil lui porte excite ma femme encore plus. Elle se met à jouir comme je ne lai jamais vu. Un orgasme dévastateur et interminable auquel Laurent semble résister.

— La salope a failli mavoir, souffle-t-il alors en se retirant.

Luce reste pantelante. Il la pousse sans ménagement en bas de la table et elle tombe lourdement sur le sol.

— Dégage-toi de là connasse.

Il sacharne alors sur elle et la bat alors quelle tente de se relever.

— A quatre pattes salope!

Il lui botte le cul et la fait courir dans toute la pièce en lui criant les plus abjectes insultes.

— Grimpe sur le divan et tends-moi ton cul de salope.

Luce est devenue aussi docile quun animal de cirque. Laurent se place derrière elle et frotte vulgairement son sexe entre ses fesses.

— Ten veux encore salope?

— Oui, gémit-elle. Baisez-moi!

Puis il sadresse à moi.

— Dis donc, le mari-branleur, ça te va si je lencule?

Comme toute réponse, jaccélère ma branlette.

— Oh nonnn, réagit Luce. Vous être trop gros, je ne

— Ferme ta gueule, gronde-t-il en lui plaçant son sexe entre les fesses.

Il commence à la pénétrer, mais ma femme se met à gigoter en pleurnichant. Laurent la saisit par les cheveux et tire violemment en arrière.

— Tiens-toi tranquille, salope! Vise un peu ton mari comme ça lexcite dadmirer sa femme chérie se faire troncher par le cul.

Il sacharne pour tenter de la pénétrer, mais elle résiste encore.

— Desserre le cul charogne lui crie-t-il en frappant ses omoplates à coups de poings, ou je te le fais exploser.

Luce gémit alors que le sexe de lhomme senfonce inexorablement en elle.

— Oui cest ça, relâche-toi ma grosse cochonne, tu vas adorer ça. Putain ce que tes bonne!

Les hanches de Laurent sont maintenant collées au postérieur de ma femme.

— Tu la sens ma bitte, grosse salope? Tu sens comme je tencule à fond?

Il reste profondément planté en elle un long instant puis se retire lentement. Son pénis bandé au maximum palpite en face de lorifice distendu de ma femme quil tient fermement par les hanches. Mais tout de suite il se replace et sans attendre, il senfonce en elle violemment. Luce pousse un cri que je reconnais comme étant plus de surprise que de douleur.

— Taime ça hein ma cochonne? Ça texcite de te faire enculer comme une truie devant ton cocu? Tes une salope hein? Dis-le que tes une grosse salope et que taime que je te bourre le cul.

Luce se masturbe comme une démente en encaissant les terribles coups de bélier de son amant. Pour moi sen est trop et je me mets à éjaculer entre mes doigts. Ma femme ne perd pas une miette du spectacle et se met à jouir à son tour en criant et en sanglotant.

— Ouai cest ça, se met à hurler Laurent. Serre ton cul salope! Essore-moi les couilles charogne!

Il se déchaîne carrément puis simmobilise en maintenant ma femme tout contre lui et jouit bruyamment et grossièrement.

— Et maintenant disparaissez bande de pervers!

Il a ramassé les vêtements de ma femme et les jettes dans le couloir. Nous quittons les lieux précipitamment.

Un mois plus tard, Luce me suppliait de retourner au 34 Rue des Halles

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