Quelques jours après cette folle journée de visite j’ai aménagé dans l’un des appartements que m’a présenté Sophie. C’est la veille de la rentrée universitaire et je passe la moitié de mon temps dans les démarches administratives (inscription à la fac, inscription à la CAF, inscription à la société de transport en commun… tous les étudiants connaissent ça !) Je n’ai pas osé inviter Sophie à la pendaison de crémaillère, je ne sais pas trop pourquoi, j’avais peut-être peur que, en dehors du contexte de cette folle journée, elle refuse de me revoir.
C’est en faisant la queue dans un énième bureau (je ne sais même plus lequel, ils se ressemblent tous) que je tombe par hasard sur un tableau d’affichage présentant une liste de jobs accessibles à des étudiants pour arrondir les fins de mois. Je parcourre les nombreuses affichettes, rien de bien intéressant, les traditionnels fast food, la distribution des journaux publicitaires et quelques heures de secrétariat à droite et à gauche. Tout d’un coup un logo m’attire l’oeil : je reconnais le papier à entête de l’agence de location de Sophie, ils cherchent un étudiant pour faire un peu de secrétariat, quelques visites d’apparts et un relais entre l’agence et les étudiants. Je saute sur l’occasion, j’arrache l’affiche et décide de tenter ma chance dès que j’en aurai fini avec les démarches administratives.
Arrivé à l’agence je découvre avec désillusion que Sophie n’est pas là. C’est la patronne de l’agence qui tient la boutique, une grande blonde, très souriante, la cinquantaine bien conservée, un léger embonpoint sur une carrure large et bien bâtie. Elle s’appèle Magali, je lui laisse mon CV, elle me dit qu’elle attends la fin de la semaine pour examiner d’un coup toutes les candidatures et qu’elle me rappellera pour un éventuel entretient. Je rentre chez moi déçu, mais bon, j’aurai essayé.
Le lundi soir après les cours j’allume mon portable et un message de Magali m’informe que ? je fais partie de la dizaine de candidats sélectionnés pour un entretient ?. Je décide donc de passer le soir même à l’agence, puisque j’habite pas très loin.
L’agence se trouve au premier étage d’un immeuble de bureaux immense et très impersonnel, avec une quantité impressionnante de plaques des deux côtés de la porte d’entrée. Je sonne à la porte mais la sonnette ne semble pas fonctionner. Je frappe deux coups, attends quelques instants, frappe un peu plus fort, et n’ayant pas de réponse je décide d’entrer. Il n’y a personne dans le petit bureau, mais le couloir derrière est allumé, je m’installe donc sur une chaise dans le coin ? salle d’attente ? et je commence à feuilleter le magazine d’une agence de voyage. Au bout de quelques minutes le compresseur de la clim s’arrête, et je profite du silence pour me relaxer un peu. C’est à ce moment là que j’entends un bruit venant du couloir. Je n’avais rien entendu jusque là à cause de la clim, et j’en conclue donc que personne ne m’a entendu frapper pour la même raison. Je décide donc de manifester ma présence, je me lève, me rapproche du couloir, mais la curiosité me pousse à tendre un peu l’oreille, et j’essaie d’identifier les bruits provenant du bureau : il y a un petit bruit de moteur électrique continu, une personne qui respire bruyamment, et de temps en temps un soupir. Malheureusement pour moi la porte est fermée et il n’y a pas de vitre. Mon imagination débordante se met donc en branle et, en me remémorant ma dernière visite, j’imagine Magali se donnant du plaisir entre deux clients, la poitrine généreuse et laiteuse, en train de jouer avec un vibromasseur, les cuisses ouvertes sur son bureau. Je retourne m’asseoir en silence, les pensées perdues dans ce doux rêve.
Quelques instants après la porte s’ouvre brusquement et me fait sursauter : c’est Sophie qui rentre après ses visites. Elle marque un temps d’arrêt en me voyant, puis arbore son plus beau sourire en s’adressant à moi
? Salut, qu’est-ce que tu fais là ? Tu as un problème avec ton appartement ? ?
? Pas du tout, je viens pour le job, c’est Magali qui m’a demandé de venir pour un entretient ?
? Ah, OK, mais elle n’est pas là ? Je croyais qu’elle devait classer des dossiers dans son bureau !
Magali… ?
Sophie se dirige vers le bureau de sa patronne, ouvre la porte, et j’aperçois Magali en train de transporter de lourdes boites-archives probablement pleines de paperasses, ainsi qu’un gros ventilateur sur pied dans un coin de la pièce. La situation était donc nettement moins excitante que je ne l’avais imaginée.
? Oui ? Tu as fini tes visites ? ?
? Oui oui, mais il y a ?ric dans la salle d’attente, il dit qu’il viens pour un entretient ?
? Ah zut, je l’ai pas entendu entrer ! Dis lui de venir stp ?
? OK…
Eric ? Tu peux entrer dans le bureau stp, Magali va te recevoir. ?
? Tu ne reste pas pour l’entretient ? ?
? Non, non, je suis pressée, et puis c’est la patronne qui décide pour les embauches, pas moi ?
? Dommage, on avais plutôt un bon contact… ?
Sophie rougie un peu, puis elle attrape son sac a main en bredouillant quelque chose du style – je suis en retard- et quitte l’agence en évitant mon regard.
Je me dirige vers le bureau de Magali et frappe à la porte à moitié ouverte.
? entre donc, je ne t’ai pas entendu arriver… il faut absolument qu’on fasse réparer cette sonnette ! Ca fait longtemps que tu attends ? ?
? Non, non, je suis arrivé quelques secondes avant Sophie. ?
? Excuse moi, je suis en nage, j’ai passé l’après midi à trimbaler des dossiers, et avec cette chaleur… ?
En effet Magali avait pas mal transpiré. Son chemisier blanc lui collait au corps, le rendant presque transparent à certains endroits, et une odeur légèrement animale flottait dans la petite pièce surchauffée par le soleil de l’après midi. Comme toutes les personnes de forte corpulence qui ne font jamais de sport elle avait du mal a retrouver son souffle après un effort, mon regard est resté bloqué sur les mouvements que cela donnait à sa poitrine, je distinguais même les formes de son soutient gorge à travers le chemisier trempé. Avec ce spectacle et mon rêve de tout à l’heure je ne tardais pas à bander, je me suis donc réfugié rapidement sur un des fauteuils en croisant les jambes
Magali m’explique rapidement les tenants et aboutissants du job qu’elle propose. Rien de bien excitant, mais les horaires sont souples et finalement c’est pas mal payé. On décide donc de tenter le coup avec un CDD d’un mois, pour voir si ça colle.
? Vous ne m’aviez pas dit qu’il y avait d’autres candidats pour ce job ? ?
? Oh si, il y en a même beaucoup, mais puisque tu as l’air de correspondre a mes besoins, ça m’évitera de faire passer des entretiens à tous les autres, je perd mon temps et en plus il faut tous les appeler après pour leur dire qu’ils n’ont pas le poste… j’ai horreur de ça. En plus tu habite juste à côté, et puis pour être tout a fait honnête avec toi… ?
Magali marque un temps d’arrêt, elle semble soudain nerveuse, elle fuis mon regard et s’acharne sur un vieux trombone qui traînait sur son bureau.
? … Bon, voilà… en fait si tu es le seul que j’ai rappelé, ….c’est parce que Sophie m’a parlé… de toi… et de… ?
Elle rougit carrément maintenant, mais je commence à comprendre pourquoi. Mon érection qui avait disparue pendant l’entretient professionnel revient au galop. Je décide de prendre les devants, et de jouer un peu avec elle :
? De quoi a-t’elle parlé au juste ? ?
? et bien… tu sais… de ce qui c’est passé l’autre jour… dans les appartements… ?
Magali rougit de plus en plus, elle semble a la fois gênée et excitée par la situation.
? De quoi exactement ? ?
Je joue avec ses nerfs, je veux lui entendre dire les mots qu’elle refuse de prononcer, je veux prendre le dessus sur elle.
? Ben… tu sais… elle m’a dit que vous aviez…
fait l’amour?
Magali est maintenant écarlate. Elle regarde le sol, complètement paralysée, et un long silence s’installe. Au bout d’un moment qui a du lui paraître une éternité elle lève les yeux vers moi, un regard suppliant qui me fais comprendre qu’elle est désormais totalement à ma mercie. Je plante mes yeux dans les siens,
? Et alors, qu’est-ce que vous attendez de moi exactement ??
? ben… ça fait un moment que je suis seule… et quand j’ai entendu Sophie raconter ce qui s’est passé l’autre jour… ?
Je lui coupe brusquement la parole
? Vous voulez vous faire baiser quoi ! ?
Je ne pensais pas être capable d’une telle vulgarité mais je me laisse porter par la situation. Je suis en position de force, et j’ai devant moi une magnifique quinquagénaire totalement à mes pieds. Si cette phrase crue ne la fait pas réagir, elle sera bientôt mon esclave. Dans un murmure, les yeux baissés elle dit
? Ben… oui. ?
C’est gagné ! Intérieurement je jubile, mais j’essaie de garder mon calme, de rester maître de la situation.
? Bien. ?
Je laisse passer un moment, Magali baisse toujours le regard. Puis je lance les opérations.
? Va fermer la porte a clef et reviens ?
Elle se lève, contourne le bureau et sort dans le couloir. J’entends la clef tourner dans la serrure, puis elle reviens, éteint les plafonniers de l’agence et du couloir, rentre dans le bureau et ferme la porte. Elle est devant moi, immobile, les bras ballants, le regard fixé au sol, elle attends les directives.
? fais un tour sur toi même, lentement ?
Magali s’exécute.
? bien… maintenant enlève donc ton chemisier et ta jupe ?
Lentement mais sans hésitation elle déboutonne son chemisier, comme un automate, elle l’enlève et le dépose sur une étagère. Puis elle laisse glisser sa jupe par terre. Elle se retrouve donc en sous-vêtements devant moi, une culotte un peu gainante pour maintenir son ventre rebondi, et un large soutien gorge qui contient avec peine son énorme poitrine. Ses chaussures à talon plats n’étant pas particulièrement sexy je les lui fait enlever.
? refais un tour sur toi même ?
Et mon esclave s’exécute a nouveau. J’en profite pour admirer son large postérieur.
? enlève ton soutien gorge maintenant ?
Magali se retrouve en culotte devant moi, ses lourds seins libérés retombent un peu mais sont pourtant étonnement fermes.
? c’est quoi comme taille de bonnet ? ?
? 120 E ?
? pas mal. Met toi de profil et penche toi en avant, les mais sur les genoux pour voir ?
Dans cette position ses seins pendent lourdement, et ses fesses attirantes sont bien mises en valeur. Je me lève du fauteuil et je fais lentement le tour de ma soumise, une main lui caresse négligemment le dos et un peu les fesses, puis je retourne m’asseoir.
? Bien… Maintenant enlève ta culotte et passe la moi ?
Magali obéi, elle fait glisser sa culotte qui laisse apparaître une toison blonde assez dense. Elle me tends le dernier vêtement qu’elle portait à bout de bras.
? apporte, je ne vais quand même pas me lever ! ?
J’utilise volontairement un ton assez sec pour asseoir mon autorité.
? Pardon ?
Elle s’approche tout près de moi, je prends la culotte et la glisse dans ma poche. Je glisse mes doits sur son sexe, puis tire violemment une touffe de poils.
? C’est pas entretenu du tout ça ! Tu me fera le plaisir de raser tout ça dès ce soir. En attendant recule un peu et reprends la pose, les mains sur les genoux ?
Magali obéi à nouveau, et reprends la pose. Je me lève et je fais le tour ? du propriétaire ? comme tout à l’heure, puis je retourne m’asseoir.
? Bien… maintenant met toi à quatre pattes ?
Et Magali obéi encore. Je profite du spectacle de cette belle femme, expérimentée, chef d’entreprise, qui est réduite à l’état de toutou obéissant à mes moindres caprices. Pour parfaire l’humiliation j’attrape sur le bureau un rouleau de gros ruban adhésif qui sert à fermer les cartons d’archives et je m’en sert pour lui attacher les mains dans le dos. Puis je récupère sa culotte dans ma poche, j’en fais une boule et je la plonge dans sa bouche. Mon esclave est maintenant à genoux, les mains dans le dos l’obligent à se cabrer un peu, ce qui met en valeur son opulente poitrine. Pour immortaliser l’instant j’utilise l’appareil photo qui sert à l’agence pour imprimer les annonces des différents appartements, et je mitraille Magali sous tous les angles. Ses yeux fixent toujours le sol, il n’y a pas une once de révolte dans son regard. Si j’en juge par l’humidité de son entrejambes elle semble même apprécier la situation.
J’attrape Magali par les cheveux, sans toutefois lui faire mal, ce n’est pas mon but, et l’oblige à se traîner sur les genoux jusqu’à une chaise sur laquelle je m’assied, et je l’installe à plat ventre sur mes cuisses. Ma main lui caresse les fesses généreuses, puis passe entre ses cuisses pour revenir trempée.
? Mais c’est que tu as vraiment l’air d’aimer ça, vilaine fille ! Tu as mérité une fessé! ?
et du plat de la main je m’évertue à faire passer la peau de ses fesses du blanc laiteux au rose vif, puis au rouge. Magali se trémousse sur mes cuisses, ce qui augmente mon excitation. Mon sexe bandé comme jamais me fais mal, emprisonné dans mon pantalon. Je plante brusquement trois doigts dans son sexe et je la masturbe violemment, tandis que de mon autre main je lui malaxe un sein. Mes doigts entre ses lèvres trempées font un floc floc floc des plus obscènes pendant que ses cris de jouissance sont absorbés par sa culotte toujours dans sa bouche. La cyprine coule abondamment le long de ma cuisse et forme une large auréole sur mon pantalon.
N’en tenant plus, je me lève et replace mon esclave à genoux. J’ouvre ma braguette et sort mon sexe qui commençait à être bien à l’étroit, je commence à passer le gland sur son visage. Puis j’enlève la culotte de sa bouche et lui dis
? vas y, applique toi, et tache que ça dure longtemps ! ?
Les mains toujours attachées dans le dos elle commence à me lécher la tige, plusieurs fois, comme un sucre d’orge, puis elle embouche le gland, sa langue tourne autours, sa technique me laisse comprendre qu’elle n’en est pas à sa première gâterie. Après avoir titillé le gland Magali avale pratiquement mon sexe sur toute sa longueur, elle le garde presque jusqu’au haut le coeur, puis recule en salivant abondamment. Elle gobe ensuite un testicule un moment, puis remonte tout le long de ma queue avec sa langue et m’embouche à nouveau. Ce traitement m’excite au plus haut point, j’attrape ses cheveux pour imprimer un rythme plus lent afin de ne pas exploser trop vite. C’est la plus belle pipe qu’on m’ai faite ! Je prends quelques photos supplémentaires de Magali en gros plan avec mon sexe dans la bouche, puis j’accélère le rythme, je lui baise carrément la bouche, et soudain je me plante d’un coup au fond de sa gorge en lui maintenant la tête, sa respiration est bloquée, ses yeux exorbités. Je reste ainsi jusqu’à la limite du haut le coeur, puis je la libère, la laisse respirer, et je reprends les aller-retours dans sa bouche. Je recommence ce cycle trois ou quatre fois, je suis à chaque fois au bord de l’explosion, mais je veux faire durer au maximum cette séance. Je me plante encore une fois au fond de sa gorge et je lui dis :
? Tu as dis que tu voulais te faire baiser, et bien tu vas être servie ?
Je sort mon sexe de sa bouche et le remplace par sa culotte roulée en boule, j’attrape ses cheveux pour l’obliger à se relever, puis je la projette à plat ventre sur le bureau, les jambes pendantes, la croupe offerte, son sexe trempé est déjà légèrement ouvert, ses lèvres gonflées montrent qu’elle prends du plaisir. J’agrippe ses hanches et plante violemment mon sexe dans le siens, son cri de surprise est feutré par son bâillon. Je la ramone sans aucun ménagement, elle n’est à ce moment là qu’un objet destiné à mon propre plaisir. Je donne tout ce que j’ai, de grands coups qui lui arrachent une plainte tamisée à chaque fois que mon ventre cogne contre ses fesses. Je donne tellement que je sens vite que je vais exploser. Pour achever l’humiliation je l’attrape par les cheveux, l’agenouille devant moi et je me répands sur son visage en une succession de longs jets chauds. J’ai tellement donné que mes jambes flageolent. Je m’écroule dans le fauteuil, épuisé.
Après avoir repris un peu mes esprits je prends quelques photos de Magali qui n’a pas bougé d’un centimètre, le visage plein de sperme, sa culotte dans la bouche. Puis je récupère la carte contenant les photos, et la glisse dans ma poche. Je la relève et la replace à plat ventre sur le bureau, dans la même position.
? Tu vas rester là, comme ça. Je vais chercher quelque chose et je t’interdit de bouger. Je veux que tu sois exactement dans la même position quand je reviendrai. ?
Je me rhabille et quitte le bureau. L’air frais de la rue me fais du bien. Je ne me connaissais pas ce fantasme de domination mais je dois avouer que j’y ai pris goût.
Une fois arrivé chez moi je me demande combien de temps Magali va rester le cul en l’air et le visage couvert de sperme avant de comprendre que je ne reviendrai pas !