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L'amant de ma mère – Chapitre 1




A lâge de 20 ans je navais pas encore une sexualité bien affirmée. Mon allure androgyne, les cheveux longs, un corps svelte et imberbe, créait la confusion chez les autres ainsi que pour ma libido ! Avec mon corps svelte et un joli cul pommelé et cambré, jétais conscient de plaire à certains hommes dâge mûr. Je devais avouer avoir également une certaine attirance pour des personnes du même sexe. Un beau paquet et une longue bite qui déformait un jeans avaient le don de me faire saliver.

Le plus souvent en rentrant du lycée, étant seul à lappartement pendant plusieurs heures javais pris lhabitude de me travestir avec les dessous en dentelle de ma génitrice. Le fait de me contempler ainsi parée devant le miroir mémoustillait au plus haut point. Je pris assez rapidement conscience de la féminité qui émanait de mon corps et je me mis à porter des porte-jarretelles, des bas et des petites culottes sous mes habits de garçon pour aller au Lycée. Même une fois lheure daller se coucher venue, je chipais dans le bac à linge sale, une petite culotte portée par ma mère pendant la journée. Je me branlais dedans tout en mendormant avant de sombrer dans les bras de Morphée toujours ceint par ce bout de tissu maculé de ma semence.

Je vivais alors avec une mère divorcée mais qui était encore très belle pour son âge et surtout active sexuellement. Elle avait en conséquence, un amant qui était aussi notre voisin de palier. Cette relation était avant tout, pour elle, hygiénique, afin dassouvir sa libido encore débordante. Une nuit que ma mère dormait avec son amant dans sa chambre, une envie pressente me fit me lever au milieu de la nuit pour me rendre à la salle de bains commune pour faire pipi. Fidèle à mes habitudes, je portais un Dim up et une petite culotte en dentelle noire dont le gousset était encore blanc du mélange de la cyprine et de mon sperme sec. Force de lhabitude javais négligé de fermer la porte à clef. Soudain, alors que jétais en train duriner, assis sur la cuvette comme le ferait une fille, l’amant de ma mère poussa soudain la porte à moitié endormi et seulement vêtu de son caleçon. Conscient de mon accoutrement et ainsi impudiquement exposé à ses yeux, sans échappatoire, jétais tétanisé incapable de réagir. Il fut le premier à avoir une réaction après deux secondes dhésitation, Il bredouilla des excuses et sortit précipitamment non sans avoir posé son regard sur la culotte roulée sur mes chevilles ainsi que sur les bas. Je sentis une certaine nausée monter en moi, un mélange de honte et de désespoir à lidée de le recroiser le lendemain.

Pendant plusieurs jours jévitais soigneusement de croiser le regard de cet homme lorsquil était à la maison. Un matin, alors que je le croyais parti plus tôt dans la matinée en compagnie de ma mère, je me rendais dans la cuisine pour prendre mon petit déjeuner en ce jour de vacance. A ma grande surprise, il était là, seul, attablé, en train de boire tranquillement son café. Bien que cette fois je sois vêtu dun tee-shirt et dun caleçon, je ne pus mempêcher de rougir. Ce fut lui qui brisa en premier la glace. "Tu sais que cela te va très bien les culottes de filles, ainsi que les bas dailleurs" me dit-il sur un ton enjoué avec un sourire en coin. Mon visage sempourpra de plus belle et jétais incapable darticuler la moindre syllabe. Il sentit mon malaise et me dit: "Ne sois pas gêné, c’est naturel, tous les garçons de ton âge ont fait ça un jour pendant leur adolescence, même moi tu sais". Il avait lair tellement compatissant. Je ne savais trop que penser de cela, cependant sa remarque me redonna confiance. Cétait un bel homme, la cinquantaine, grand, relativement svelte mais avec des muscles noueux saillant à travers ses vêtements. Il avait les tempes grisonnantes, lil gris clair et vif. Pour la première fois jéprouvais une certaine attirance pour cet homme, je ne le considérais plus comme lamant anonyme de ma mère mais comme un amant potentiel. Comme sil avait deviné ma pensée il me dit: "tu n es pas en fille ce matin? » Avec un nouvel aplomb je lui répondis que je ne faisais pas ça tous les jours et lui répliquais pourquoi vous aimeriez me revoir habillé en fille ? Et pourquoi pas ! Cette réponse de sa part provoqua chez moi un déclic. Je lui dis attendez moi ici je reviens. Je me dirigeais alors dans la chambre de ma mère pour enfiler des bas noirs, un porte-jarretelles et un string assortis ainsi que des petites mules à talons légèrement trop petites pour moi. Je revins dans la cuisine, ainsi accoutré, avec une démarche mal assurée, juché sur ces petits talons. A mon entrée dans la pièce, je sentis aussitôt que le souffle de cet homme, qui était lamant de ma mère, était plus court et qu’il me dévorait des yeux. Je vis dans ses yeux brillants quil éprouvait du désir pour moi. Tout d’un coup fier de mon corps, je restais immobile et muet devant le plan de travail, sans oser me retourner, attendant sa réaction. Il senhardit après mavoir complimenté sur ma beauté et sur le choix de mes dessous, il me fit alors cette proposition étonnante: "Ecoutes, je comprends que ce ne soit pas très facile pour toi de t exhiber ainsi chez ta mère mais si tu veux tu peux le faire tant que tu veux chez moi, en plus au lieu de le faire seul tu auras un public et crois moi je suis un sacré connaisseur en la matière. Il ajouta quil machèterait tous les dessous que je voudrais. Je parvins à articuler un "d’accord" à peine convaincu et je compris quà compter de ce jour là commençait pour moi, une aventure dont je ne maitrisais plus le déroulement.

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