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Une drôle de belle famille – Chapitre 9




Je reprends ma voiture et contacte Martine, la future belle mère de mon fils qui mest maintenant toute soumise. Jai organisé pour le lendemain soir une rencontre avec son mari Pierre. Il est comptable dans une petite PME et dune nature effacée face à sa femme et aux personnes en générales.

Hier à la sortie de léglise, alors que javais abusé de Martine dans les toilettes et que Pierre avait fait une réflexion tout à fait justifiées, javais intentionnellement provoqué Pierre en lui imposant une rencontrer avec lui et Martine chez eux le mardi soir vers 19H00 et sans  enfants  afin de mettre fin à ces dires calomnieux et insultantes afin de le mettre sous pression javais ajouté  quil soit prêt à sexpliquer.

Martine décroche et dun ton sec et tranchant demande qui est à lappareil. Lorsquelle saperçoit que cest moi, son ton se radouci et devient respectueux. Ma première demande est de savoir si elle ma obéit aujourdhui. Elle me répond quelle ne porte ni culotte, ni soutien gorges, quelle est habillée dune jupe courte et dun petit pull fin et moulant. Mais je ne la sens  pas à laise et lui demande ou elle se trouve. Elle me répond quelle est en réunion de chantier et que le maire est venu voir lavancement des travaux. Je trouve la situation plutôt intéressante. Elle mavoue être un peu gênée car le maire narrête pas de la mater.

Je lui ordonne alors de trouver un moyen pour lui montrer quelle ne porte rien sous ta jupe. Elle me répond quelle ne peut pas faire ça, cest le maire et si il me voit comme ça il va me virer. Je la rassure il nen fera rien au contraire elle risque davoir de la promo et de toutes les manières mes ordres ne sont pas discutables.

Alors je prends les opérations en main et lui demande

« Tu prends un rouleau de plans, et tu vas te placer face à lui mais à une distance dau moins cinq mètres. Il faut que tu puisses être certaine que personne dautre ne pourra te voir. »

Quelques instants après elle me dit quelle est en place.

« Très bien est ce quil te regarde ? »

« Oui il me dévore des yeux »

« Alors fais tomber le plan par terre, et en le regardant dans les yeux tu va taccroupir doucement en écartant tes jambes. De cette manière il ne peut pas ne pas voir ta fente »

Dans lécouteur de mon portable jentends le rouleau tomber, et Martine me dire quelle est en position jambes ouvertes et que la face à elle le maire qui est rouge comme une tomate et qui ne peut détacher son regard de lentre cuisses de Martine.

Je lui ordonne alors de se relever et daller déposer le plan.

« Il me regarde » me dit-elle «  Il vient vers moi » je sens dans sa voix comme un début de panique puis jentends une voix dhomme grave dire.

« Eh bien Martine, je ne sais pas qui vous avez au téléphone, mais vous le remercierez de ma part, jen suis encore ému comme vous pouvez le constater. Je dois partir mais jaimerais bien que vous passiez me voir à la mairie prochainement. »

Un silence puis jentends Martine me dire quil vient de partir, quelle na jamais eu aussi peur de sa vie, mais quelle na jamais autant mouillée aussi. Cette femme était fascinée par ceux qui représentaient le pouvoir ici bas, comme un élu du peuple ou un Maître

Je lui demande ce quil entendait par être ému Martine me dit quen fait, cette réflexion lui a permis de me montrer la grosse bosse qui lui déformait son pantalon et quà priori, il avait particulièrement apprécié le spectacle que je lui avais offert.

Je me dis alors que ce maire devait certainement partager des penchants semblables aux miens.

Mais ce nest pas le moment et je rappelle à Martine que je me rends chez elle demain soir mais afin de massurer de sa complète collaboration je lui demande si elle sait pourquoi je veux les voir elle et son mari.

Elle me répond à voix basse et plus timidement

« Je pense que tu veux soumettre Pierre à tes désirs  »  et de lui répondre.

« Mais alors que viendrais tu faire là, si je veux le soumettre je nai pas besoin de toi !! »

« Oui cest vrai Maitre effectivement, mais alors pourquoi ? »

« Et bien mon idée est damené Pierre à être ton soumis »

Martine me rétorque quil est déjà soumis, il fait ce que je lui dis de faire.

« Oui mais cest bien toi qui ma avoué quil ne te baisait plus. Donc sur le plan sexuel il na rien dun soumis ».

« Ce sous mec ne me touche plus depuis des lustres, dun autre coté il ne pourrait même pas je faire jouir avec sa micro bite »

 

« Et bien ou va changer ca donc tu vas faire ce que je te dis de faire. Mon objectif est  quil accepte le fait de têtre soumis sexuellement. Donc on va se répartir les rôles, tu resteras la femme dominatrice et exigeante et moi je vais jouer le mec a lécoute, compréhensif et de bons conseils.

Demain je vais arriver comme prévu vers 19H00, toi je veux que tu arrives vers 20H00 je tenverrai un texto pour te donner les indications à suivre. Tu es daccord »

Elle me répond affirmativement et je prends congés delle.

 

Je vérifie sur mon portable espion, la localisation de Léa. Nous somme lundi après midi et elle devrait être à luniversité. Sauf que sa localisation ne la positionne pas au bon endroit. Ou peut bien être cette petite salope.

Je décide de ne pas lappeler mais je vais allez voir directement ce quelle peut bien faire.

Je démarre la voiture et suit le traceur du GPS de mon I Phone.

Après vingt minutes de route je stationne devant le centre commercial ou j »avais emmené Léa  acheté ces chaussures.

Je me dis quelle est certainement venue faire des emplettes.

Je sors de la voiture et me décide à la contacter. Alors que le numéro saffiche, je raccroche. Tout compte fait je vais lui faire la surprise et de cette manière je vais voir si mes ordres sont bien suivis (pas de culotte et de sous tif).

Jentre dans la grande surface et me remémore les dernières aventures que jy ai vécu, Muriel la vendeuse de chaussure avec Virgile mon nouveau pote et lhumiliation de Brigitte mon ex, que de très bons moments de baises.

Je continu à suivre la trace de Léa, et celle-ci mamène devant les toilettes.

Je suis quelque peu interloqué, car le curseur me la situe dans celles des hommes, et sur la porte il y a un panneau en interdisant momentanément laccès.

Je pose la main sur la poignée et lentrouvre pour distinguer ce qui sy passe le plus discrètement possible.

Je vois dans la pièce Léa, Béa et Virgile.

Léa donne les ordres japerçois Béa assise par terre, elle porte un collier de chien avec une laisse tenue par Léa.

Virgile lui est debout, il me tourne le dos, à ses pieds il ya Béa et face à lui Léa. Je distingue également comme une grande flaque autour de Béa. Je crois comprendre ce qui se passe et en ai la certitude lorsque Léa ordonne à Béa de nettoyer sa pisse.

« Petite pute, tu vas nettoyer tout, tu nas pas le droit de pisser dans les chiottes des hommes » La forçant Léa plaque le visage de sa soumise dans lurine répandue sur le sol.

Voyant le spectacle je décide de garder mon poste dobservation en espérant que personne ne vienne me déranger. La situation mexcite sérieusement et je sens mon manche enfler mon boxer, quelle belle vicieuse cette Léa, je la savais capable dêtre bien pire que moi.

Béa semploie à lécher et aspirer sa pisse, lorsque je vois Virgile sortir son énorme bite déjà bien dure. Béa voyant lengin est effrayé par sa taille, mais Léa lui renfonce le visage et lui dit de sappliquer sinon elle sera punie.

Virgile se place devant un urinoir et commence à pisser dedans. Je vois la lubricité allumer le regard de Léa qui attrape Béa par son collier et ordonne à la petite de regarder Virgile pisser.

Béa est à genoux maintenant le visage à la hauteur de lurinoir, elle scrute la bite doù jaillit le jet doré qui éclabousse la faïence blanche.

Soudain Léa intervient

« Vas-y Virgile finis toi dans sa bouche sil te plait » Virgile ne sachant résister à une requête aussi gentiment demandée sexécute et se tourne de manière à diriger le jet sur le visage de Béa.

Léa crie en ordonnant a sa soumise douvrir la bouche pour recevoir la pisse et surtout de lavaler.

Je trouve que Léa y va fort avec elle, car sa soumission est récente et elle risque de braquer Béa.

Mais à mon grand étonnement Béa ouvre la bouche qui se remplie durine quelle finit effectivement par ingurgiter.

A cet instant ma bite palpite dans mon pantalon, mais il est encore trop tôt pour que jintervienne.

Virgile se secoue le chibre au dessus de la bouche offerte pour y déposer les dernières gouttes.

Léa nest pas contente après Béa car elle lui reproche de ne pas avoir tout avalé, la saisissant par les cheveux elle lentraine dans une des cabines.

Jen profite pour me faufiler dans les toilettes en refermant derrière moi. Virgile maperçoit et me tend un large sourire

« Eh man tu arrives bien, ta petite pute de soumise est douée comme tout pour jouer les dominatrices »

Je lui sers la main et mapproche de la cabine ou Léa a entrainé Béa. Je lentends dailleurs contester.

« Non, cest dégueulasse Léa pas dans la cuvette, ses chiottes sont dégueulasses, elles puent graves »

Léa lui répond alors quelle lui tient la tête devant la lunette.

« Ta gueule sale pute tu as voulu devenir ma soumise alors tu vas mobéir »

Béa alors cesse toute résistance et attend les ordres pervers de sa maitresse.

« Sors ta langue et nettoie moi cette lunette, tu ne voudrais pas que jattrape des maladies, aller applique toi »

Pour ma part jai sorti ma queue et me branle copieusement en regardant le spectacle.

Léa saperçoit alors de présence et me tend un large sourire. Elle va pour me parler quand je pose un doigt sur sa bouche en signe de silence. Comprenant ce que jattends delle elle se tait mais en profite pour gober mon doigt et le suce avidement.

Une fois la lunette propre, Léa y prend place, puis ouvrant ces cuisses au maximum, elle présente sa fente trempée à Béa lui ordonnant de la lécher et de la faire jouir et surtout quelle noublie pas non plus son trou du cul.

Béa est don à quatre pattes, devant la cuvette de chiottes en train de bouffer la chatte de Léa. Elle est en position parfaire pour une levrette. Je dis à Virgile de se placer au dessus de Béa de cette manière Léa peut le sucer ce quelle fait avec ardeur engouffrant lénorme gland dans sa bouche.

Puis me plaçant derrière Béa je remonte sa jupe trempée de pisse sur ses reins. Surprise elle va pour se retourner mais Léa lui maintien la tête entre ses cuisses et lui ordonne de la bouffer.

Je glisse mon index sur la fente rose enduite dun mélange de cyprine et durine. Le tout coulissant à ravir dans la fissure. Je remonte mon doigt dans son sillon  jusquà son anus, ou jy exerce une pression et y enfonce ma première phalange. Je sens le corps de Béa se cambrer ne sachant si je la perfore ou pas. Jôte mon doigt et dépose mon gland sur les lèvres de son sexe.

Puis très délicatement je menfonce en elle. Son con est serré et jen déduis quelle na pas reçu souvent la visite de mandrin comme le mien. Elle arrête son suçage pour gémir sous la pénétration. Léa jalouse lui attrape les cheveux méchamment et loblige à revenir à sa chatte

 

Je suis maintenant entièrement en elle et ma grosse bite la remplie complètement. Cette sensation est très agréable car son fourreau est tellement serré que même sans bouger je ressens les moindres mouvements de Béa qui imperceptiblement se branle sur mon pieu.

La séance avec Martine mayant particulièrement échauffé, et sentant lorgasme terrasser Béa jentends Léa me crier ne cracher pas les gars, jai promis Béa quelle aurait sa ration de foutre à bouffer aujourdhui.

Je me retire et Virgile aussi, Léa place Béa la nuque en appui sur le bord de la lunette le visage offert.

« Aller y les garçons, vous pouvez lui cracher dessus à cette petite vicieuse elle nattend que ça »

Virgile et moi entourons Béa alors de Léa se réjouit du spectacle. Je suis le premier à jouir de long filet épais de foutre qui viennent sécraser sur le visage doux et presque innocent, qui finit par se recouvrir, lorsque Virgile a son tour gicle.

Sa semence est abondante et finit de recouvrir le visage de Béa qui a réussi à en recevoir une bonne quantité dans la bouche.

« Avale, aller Avale tout » crie Léa surexcité. Nous voyons alors sa bouche se refermée sur nos fluides pour être engloutis.

Léa comme une furie nous repousse en arrière, puis se plaçant au dessus de Béa lui ordonne douvrir la bouche et lâche un geyser de pisse. Le jet violent explosait sur la langue tendue de Béa qui sétoffait. La pisse odorante éclaboussait toute la cabine et coulait le long du corps de la soumise.

Quelle séance Béa est sur le sol dégoulinante de pisse, elle avait joui une nouvelle fois. Léa ma demandé si javais aimé et pour toute réponse je lui ai mis une grande claque qui lui rougit la joue.

« Oui jai adoré, mais je suis ton Maitre et si tu souhaites soumettre quiconque tu dois men demander lautorisation AVANT. Noublie pas que tu nes quune soumise compris. »

« Oui Maître je ne le referais plus »

Je laisse tout ce petit monde, car il faut impérativement que je prépare mon scénario et que je ne fasse pas la moindre erreur demain avec Michel

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