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amie de la famille – Chapitre 1




Bonjour je vais vous raconter l’histoire que j’ai vécue il y a maintenant 1 an alors que j’avais 19 ans.

Je vais vous présenter les différentes personnes. Guillaume (moi) jeune de 19 ans, brun, yeux bleues, corpulence normale un peu musclé, enfin un jeune normal.

Florine, jeunes femmes de 29 ans, blonde, yeux marron, poitrine 85B et un cul d’enfer, amie de la famille depuis qu’elle est petite.

Florine a l’habitude de venir souvent à la maison car elle connait mes parents depuis toute petite et elle est amie avec mes frères et surs qui ont 5 ans de plus qu’elle.

Donc ce jour-là elle était venue chez moi pour donner ses horaires car ma mère garde son fils de temps en temps.

Ma mère devant partir faire quelques courses (elle en avait pour une bonne demi-heure) vint me voir dans la salle de bain pour me dire qu’elle attendait dans la cuisine.

Je lui dis que j’arrivais dans 2 minutes le temps de messuyer et de mhabiller.

Je me dépêchai de finir pour pas qu’elle n’attende trop longtemps.

Je sortis de la salle de bain en vitesse. Je n’avais pas pris mes habits car d’habitude ça ne me gêne pas de me balader nue quand il n’y a que mes parents dans la maison.

Donc je me dépêchai de rentrer dans ma chambre puis je fermai vite la porte (pas à clé car je l’ai perdue).

Alors que je venais à peine de fermer la porte je l’entendis toquer. Je lui dis que j’arrivais et que je n’était pas encore habillé et là elle me dit que ça ne servait à rien de fermer la porte car elle m’a déjà vue nue quand j’étais petit.

Je lui répondis que non, la porte resterait fermée le temps que je m’habille (je suis un peu pudique.)

Par sécurité je me plaçai derrière la porte au cas où elle voudrait quand même rentrer.

Soudain elle appuya sur la poignée j’eus juste le temps de la bloquer pour ne pas qu’elle me vit mais je n’arrivai pas à refermer la porte.

Maintenant que jétais bloqué à tenir la porte, je ne pouvais plus mettre mon caleçon et mon pantalon. Elle continua de forcer. Au bout de trois fois je me retirai de derrière la porte. Elle entra puis elle se retrouva allongée sur le lit (vue que mon lit est en face de la porte).

J’étais au milieu de ma chambre en maillot. Pas le temps de reprendre mon pantalon qui était sur le bord de mon lit qu’elle l’avait attrapé.

Avec un sourire elle me dit « maintenant tu peux plus te cacher. Elle me contempla, et me dit que j’ai bien grandi et que jétais moins pudique quand j’avais 8/9 ans.

Je lui répondis que maintenant j’étais un homme et que je n’aimais pas me montrer nu devant les gens.

Elle me répondit qu’elle le voyait bien que je j’étais un homme car il avait bien grandi (elle parlait de mon sexe.)

Je lui dis que maintenant qu’elle l’avait vue elle pouvait me rendre mon pantalon. Elle me répondit oui en tendant le pantalons vers moi ; donc je tendis le bras pour le prendre mais plus j’avançais le bras plus elle reculait le sien, bien sûr en souriant.

Moi, sachant qu’elle ne me rendrait pas le pantalon, je décidai de la surprendre (et de lui donner ce quel voulait) ; donc j’avançai pour prendre le pantalon qu’elle tenait de ses deux mains car elle pensait que j’allais tirer dessus.

Seulement j’avançai sur elle et la poussai en arrière si bien que je me retrouvai (sur elle, allongée) sur le lit et je lui dis que maintenant elle allait voir que je n’était plus le petit jeune avec qui elle jouait et que c’est moi qui allais décider ce qu’elle allait faire et plus le contraire.

A peine fini ma phrase, je lui roulai une pelle énorme (je fantasmais sur elle quand j’étais ado).

Après l’avoir bien embrassée je soulevai son maillot et commençai à lui lécher ses tétons ; elle me dit que c’était bon, que cétait juste pour rigoler, et que je pouvais m’habiller.

Seulement je lui dis qu’elle avait voulu jouer et que maintenant c’était moi qui décidai quand ça allait sarrêter. Donc je me retirai de sur elle, et tout en la maintenant pour qu’elle ne se relevât pas je remontai sa minijupe et découvris un magnifique petit string rouge.

Je lui retirai direct et commençai à lui lécher sa grosse chatte elle ne mit pas longtemps a crier.

Je commençai à lui mettre 1 doigt puis puis 2, puis 3 elle se tortilla dans tous les sens de plaisir.

Ni une ni deux je la pénétrai sans la prévenir. Elle me regarda (étonnée.) Je la baisai sans relâche ; je prenais un pied phénoménal, elle criait comme une cochonne (heureusement que ma fenêtre était fermée.)

Puis une fois que je l’eus bien baisée, je lui dis de se mettre à quatre pattes. Elle s’exécuta mais elle pensait que je j’allais la prendre en levrette alors que j’avais toujours rêvé de son cul bien bombé et bien musclé.

Donc maintenant qu’elle était à quatre pattes je lui crachai sur la rondelle et je commençai à jouer avec mes doigts autour. Elle me regarda et me demanda ce que je faisais car elle n’avait jamais été sodomisée.

Je lui répondis que c’était dommage avec un cul pareil que je n’en profitasse pas et que j’allais lui démonter maintenant que je l’avais bien dilaté avec deux doigts.

Je présentai mon gland à l’entrée, il rentra sans forcer je la baisai lentement au début, puis quand le trou fut fait, je lui défonçai dans toutes les profondeurs. Elle cria de douleur au début puis ça se transforma en cri de jouissance. Après 5 minutes de sodomie je sentis le jus monter. Je lui dis de se mettre sur le dos et me mit sur elle près de sa tête (pour ne pas qu’elle ne recule) et je fis des va-et-vient rapides ; je lui dis de tirer la langue car ça m’excitait et au moment où elle ouvrit sa bouche j’introduisis ma bite et je déchargeai bien dedans puis je la forçai à avaler.

Je m’écroulai à côté d’elle essoufflé et je lui dis en riant : " alors le petit jeune qui se baladait à poil il a bien grandi. " Elle me répondit que je l’avais surprise, qu’elle avait adoré et qu’elle viendrait plus souvent tôt le matin pour que l’on recommence.

On se rhabilla tous les deux et à peine 5 minute après ma mère revint de ses petites courses elle nous demanda comment ça allait. Je lui répondis " très bien." On continua à discuter tous les trois pendants encore une bonne heure puis au moment de partir quand ma mère nous tourna le dos j’en profitai pour lui mettre une petite fessée qu’elle apprécia.

Voilà cétait mon histoire. Si elle vous a plu je vous en raconterai d’autres 🙂

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