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L'espionne captive – Chapitre 3




Après s’être vidé en moi, il resta cependant dans sa position : je pouvais presque sentir son regard perçant, et puisque son dossier disait que c’était un tueur, j’avais au moins de la chance d’être attachée dans son salon. J’avais des courbatures qui commençaient à s’installer après mon traitement d’hier, mes fesses et mes bras surtout étaient très endoloris et je rêvais d’un massage. Me faire relever brusquement interrompit mes pensées futiles, au vu de ma situation toujours assez catastrophique puisque rappelons-le, je devenais un jouet sexuel – je savais que mes patrons avaient connaissance de ma situation, en quoi cela pouvait leur servir, j’avais à peine le temps d’y penser.

Mon ravisseur me détacha de tout ce qui me gênait trop pour marcher et me guida jusqu’à une salle bien éclairée, pleine de panneaux de contrôle divers, certains allumés et émettant des bruits assez étranges, mais je remarquais surtout l’espèce de chaise d’obstétricien en cuir noir et métal qui me faisait face.

— Allonge-toi là, voilà écarte bien les cuisses. Me dit-il en me faisant asseoir, les mains encore ligotées dans mon dos, sur cette chaise de torture.

Le cuir était froid, mais je sentais enfin mes poignets et mes bras libres, je les massais avec soulagement. Il rit froidement.

— C’est donc toi un de leurs meilleurs éléments ? Pourtant tu ne vois pas que c’est le moment où ça peut mal tourner pour toi, mon coeur ? Souriant à la vue de mon visage soudain figé, attendant ma sentence.

Il m’attacha les chevilles aux pieds écartés de la chaise avec des lanières de cuir épaisses, on voyait sûrement tout mon vagin encore ouvert et mouillé. Il ramena ensuite mes mains au-dessus de ma tête et les attacha, mais très minutieusement en accrochant les cordes au dossier.

— Je vais m’habiller, je reviens. En attendant, tu devrais penser à ce que tu pourras supporter pour soutenir tes patrons.. murmura-t-il en m’effleurant le clitoris, me faisant sursauter.

J’attendis, quelques minutes tout au plus, mais mon rythme cardiaque s’était un peu accéléré je le sentais et j’avais froid, cette pièce "scientifique" n’était sûrement pas censée recevoir une femme nue. Mon bourreau revint, un sourire satisfait et narquois sur le visage, il portait maintenant un simple jean et un tee-shirt assez ample blanc cassé, comme s’il revenait de la plage alors qu’il me violentait depuis ma capture. Je le trouvais beau pour la première fois et j’avais aussitôt enfin de me gifler pour cette pensée – il t’a enculée sans te demander et toi tu en redemandes ?? Qu’est-ce qui ne va pas chez toi Ellie

Il était en train de ramener une machine sur un présentoir roulant comme un examen médical, assez petite mais je craignais le pire avec lui : il s’arrêta à ma hauteur et déroula un fil assez épais au bout duquel était fixe une pince, qu’il pinça fermement à mon téton, geste à la fois agréable et angoissant. Il m’en pinça un deuxième sur l’autre, puis deux autres près de mes lèvres vaginales – oh non, je ne veux pas mourir torturée… Sois forte, tu savais que les missions pouvaient tourner comme ça…

— Je vais te poser des questions et tu vas devoir me répondre, sinon tu vas sûrement hurler mais pas de plaisir comme hier…

Il m’a percée à jour ou je rêve?!

— Qu’est-ce que tu cherchais chez moi ?

Je ne voulais pas répondre et mon silence s’accompagna presque immédiatement d’une immense douleur dans tout le corps. Je brûlais littéralement de l’intérieur, mes yeux étaient en feu et mon vagin se déchirait. Quand cela s’arrêta, je regardais mon bourreau les larmes aux yeux

— Je ne peux rien dire, baisez-moi en échange mais arrêtez.

Oh mon dieu, la fatigue commençait à avoir raison de moi

— Te baiser ? Pour combien de temps ? Et tu crois que tu es position de négocier un contrat ? dit-il en riant et en accentuant la pression de la pince de mon téton gauche, me faisant gémir. Mais c’est vrai que j’aime faire de toi mon objet, en plus désolée bella mais on voit que t’as pas souvent été très bien baisée…

Il avait aventuré un doigt près de mon vagin, le remontant dangereusement : c’était très humide à l’entrée et son doigt rentra rapidement, il le ressortit tout brillant de ma cyprine abondante et me dit de le sucer, ce que je fis contre mon gré et à mon plus grand dégoût.

— Dis que tu es ma belle petite chienne et que tu vas trahir ton agence pour devenir mon esclave dévouée.

Je répétais lentement, car il m’avait serré la gorge avec sa main puissante, m’obligeant à le regarder dans les yeux, j’avais peur de suffoquer.

— Très bien, dit-il, je t’enlève les pinces mais nous devrons signer un contrat plus tard.

Je m’en fichais presque, je ne pouvais pas résister j’avais besoin de sommeil.

— J’ai encore envie de ton cul, on va devoir commencer ton apprentissage de chienne très vite.

Il me détacha enfin de ce meuble terrifiant, accessoire de ma soumission, je me rappellerai toujours que c’est là que j’ai finalement découvert le sexe. Mais pour l’heure, j’étais anxieuse même si assez excitée. Je me laissais conduire à l’étage, me faisant encore introduire des doigts, mais pas seulement dans mon vagin. Je mouillais beaucoup et c’était vraiment facile pour lui, je me demandais s’il bandait encore et lorsqu’il me fit me mettre à quatre pattes dans son couloir j’eus ma réponse. Je l’entendis ouvrir sa braguette, sortir son pénis de son caleçon et très vite je le sentis encore une fois en moi : c’était presque doux comparé aux fois précédentes, je gémissais fort car il me massait soigneusement le clitoris, aidé par ma mouille, pendant que ses coups de reins s’imprimaient profondément en moi. Il s’arrêta brusquement et se retira :

— Mets-toi à genoux et cambre-toi bien en arrière, j’ai envie de voir ton anus bébé.

Je m’exécutais, j’avais un peu honte, mais ce fut pire quand il dit

— Maintenant tiens-toi les fesses écartées de chaque côté, mais pas trop ouvert, allez.

J’essayais d’appliquer ses instructions, me cambrant comme la chienne qu’il voulait que je sois, cul offert et encore dégoulinant.

— Sois sexy mais subtile, je dois pouvoir à peine passer deux doigts dans ta raie mais voir tes lèvres, murmura-t-il.

Il recommença à me caresser le clitoris, accessible facilement, je remuais mon bassin et sentis trois doigts me pénétrer. Ils jouaient en moi, j’aimais leur contact et les sensations qu’ils me procuraient, j’allais crier mais mon ravisseur dit

— Tu vas t’enculer toi-même sur ma bite, allez – je devais avoir une tête vraiment récalcitrante – fais ce que ton maître t’ordonne.

Je frissonnais mais commençais tout de même à m’asseoir sur sa verge tendue, lui m’imprimant le mouvement adéquat par ses mains sur mes hanches. Je le rentrais lentement par petits à-coups, j’avais assez mal mais il en eut finalement marre et me tira les cheveux en arrière tout en s’enfonçant dans mon fondement.

— Oui je devais t’aider, tu semblais ne plus te rappeler mes ordres… disait-il en me pénétrant l’anus violemment d’abord puis plus profondément à mesure que moi-même je me détendais au plus profond de moi.

J’avais chaud, le plaisir montait en moi et j’entendais mon ravisseur râler bruyamment et je sentais ses mouvements puissants. Il continua pendant de longues minutes, me griffant le dos, tirant mes cheveux : il semblait tout à coup déchaîné, lui si railleur et maître de lui-même de ce que je savais. Mais je voyais soudain où sa rage meurtrière prenait racine. Je commençais à imaginer pourquoi l’agence le craignait. Je jouis en un cri déchirant, mais pas mon partenaire qui continua à me labourer pendant quelques minutes mais faisant encore jouir deux fois. Je le sentis enfin éjaculer sur mes fesses.

— Tu vas aller te laver et tout raser, j’aime les pubis jeunes ou au moins lisses, je t’attends dans la chambre bleue.

Après avoir exécuté ses ordres, je me dirigeais nue vers le nouveau lieu de mes supplices.

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