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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 18




Après un samedi fort agréable et un dimanche plus sportif, la semaine de travail a repris.

Ça fait un petit moment que je n’avais pas redémarré en étant à ce point détendu, j’avais eu une dose de sexe aussi délectable qu’inattendue et dans un contexte qui, cette fois-ci, ne souffrait d’aucune ambiguïté. Pas besoin de se cacher et/ou d’en faire un secret, cette baise avec Marion avait été simple, psychologiquement parlant, si on la compare avec les expériences rousse et indienne passées. Je me rends compte que tout ça m’avait manqué, de n’avoir à me concentrer que sur le plaisir et rien d’autre. Marion a été une super rencontre, totalement imprévue, et c’est peut-être ce qui la rend aussi plaisante. Ne dit-on pas, d’ailleurs, que c’est les choses inattendues qui sont les plus belles ? D’autant plus qu’avec l’idée de Denise de me propulser comme futur primo-accédant au cul de la demoiselle, inutile de dire que l’impatience de commencer mon office avec elle n’est pas loin de me guetter !!

En attendant, me voilà donc en mode cool au boulot, même si je préfère ne pas pousser le vice à me mettre à siffloter. Jenny est à bloc, motivée qu’elle est à reprendre la main après sa semaine d’absence. Comme à son habitude, elle est très speed, passant le plus clair de son temps au téléphone et le reste à donner une tonne de travail à tout le monde. Je ne saurais dire si c’est dû à ce qu’il s’est passé avec son frère, mais je trouve que son attitude a changé, elle est bien moins « légère » qu’à l’accoutumée, elle ne me fait plus de sous-entendus, plus de regards appuyés comme elle avait l’habitude de faire auparavant (chose que n’avait d’ailleurs pas manqué de remarquer Shama…). Elle a toujours aimé me chauffer subtilement, sachant pertinemment quoi faire et quoi dire pour attiser mon excitation. Mais depuis son retour, plus rien, elle a mis des barrières interdisant toutes familiarités à son encontre, c’est Jenny la boss, et non plus la coquine ou la maîtresse. Concernant les parties fines régulières qu’on avait l’habitude de se faire, là aussi, rideaux, elle reste aimable et courtoise envers moi, mais d’une manière qui me fait parfaitement comprendre que je dois rester à ma place.

Peu importe après tout, Jenny fait ce qu’elle veut, nous n’avons aucun contrat elle et moi et nous ne sommes pas en couple, elle n’a donc aucun compte à me rendre.

La semaine se déroule dans une ambiance plus légère que la semaine précédente, non pas que ça ait été le bordel sous mon commandement, mais le retour de Jenny a rassuré tout le monde, elle n’avait jamais loupé un seul jour (hors déplacement pro) et certains devaient sans doute se poser des questions. Comme quoi, même si Jenny peut-être quelqu’un de dure au travail, tout le monde s’accorde à dire qu’elle est une pièce principale de l’équilibre de la société.

Nous voilà jeudi soir, et une fois n’est pas coutume, je pars à une heure normale. Mon poste de bras droit m’obligeant fatalement à devoir souvent faire du rab en fin de journée, il n’est pas rare que je ne parte pas avant 19h, mais pas aujourd’hui, et c’est à 17h30 que je décide de mettre les voiles, non sans avoir salué Jenny avant de partir, histoire de m’assurer qu’elle n’avait besoin de rien d’autre, et c’est sans lever les yeux de son écran qu’elle me salue en me souhaitant une bonne soirée. Je file sans demander mon reste et rentre chez moi afin de profiter d’une soirée complète, un luxe pour moi ces derniers temps !!! Je me télécharge la suite d’une série que je suis assidûment et commande une pizza.

Affalé dans mon canapé, je suis concentré sur ma série quand l’interphone sonne. Tiens, le livreur est en avance, tant mieux après tout, j’ai une faim de loup !! Je déverrouille la porte de l’immeuble en donnant simplement l’étage de chez moi au combiné, et je patiente à la porte, un regard sur la télé, attendant que le livreur frappe chez moi. On finit par toquer, et je commence à ouvrir la porte tout en continuant à regarder l’écran, et au moment où je tourne la tête, une furie vient me sauter au cou pour se mettre à m’embrasser à pleine bouche. J’arrive de justesse à repousser assez fort la porte pour qu’elle se referme avant de me retrouver quasiment sur la table, déséquilibrant une chaise qui finit par se renverser. Cette pile électrique qui vient de me surprendre n’est autre que Jenny, qui ne me laisse aucun répit, continuant à mixer sa langue avec la mienne et commençant à faire courir ses mains sur mon torse ainsi que sur ma queue à travers mon pantalon.

Je réussis à me libérer de son étreinte assez longtemps pour pouvoir placer quelques mots :

— Jenny ?? Qu’est-ce que tu…

— Tais-toi, ne parle pas, agis !! me dit-elle avant d’écraser de nouveau ses lèvres sur les miennes.

Dans le but de reprendre un minimum de contrôle sur la situation, je me lève de la table et pousse Jenny jusque contre le mur, la plaquant assez fortement contre celui-ci, ce qui ne la fait pas dévier de son projet, à peine pousse-t-elle un petit cri lors du choc. Elle s’acharne à enlever mon t-shirt, ne daignant arrêter de m’embrasser uniquement pour pouvoir ôter mon vêtement avant de reprendre son baiser de plus belle, puis elle retire ensuite son haut, offrant à ma vue sa poitrine habillée d’un joli soutif’ noir. Je lance mes mains vers son cul, elle porte un short en jean élimé et ses jambes sont gainées d’un collant noir opaque. Ses caresses insistantes ainsi que mes mains parcourant son derrière et ses jambes finissent par rapidement me faire bander, et c’est sans me demander mon avis qu’elle vient baisser mon pantalon d’une traite avant de plonger sa main dans mon boxer, empoignant mon sexe avec fermeté tout en commençant à me branler. De son autre main, elle baisse mon sous-vêtement, et me voilà nu, la queue tendue, alors qu’une poignée de secondes auparavant, j’étais complètement absorbé par ce que je regardais à la télé !

Je décide de m’atteler à déshabiller Jenny à mon tour quand je me rends compte qu’elle a déjà commencer à le faire elle-même. Elle déboutonne prestement son short et le baisse, ainsi que son collant. Je la retourne et la plaque de nouveau au mur, allant passer ma main sur son sexe pour constater que la belle est déjà copieusement excitée. La joue collée contre le mur, elle suce avec gourmandise un de mes doigts que je lui présente tout en gémissant en sentant mon autre main caresser son minou. Elle ne cesse d’entretenir mon érection, me branlant avec ferveur en frottant mon gland bien enflé sur sa croupe, et elle finit par se cambrer légèrement, venant passer mon gland entre ses fesses, semblant chercher un de ses trous, peu importe lequel, tant ses gestes sont désordonnés. Elle me fait l’effet de quelqu’un de complètement affamé se jetant sur un buffet à volonté, dévorant tout ce qui lui tombe sous la main ! Je viens attraper ma queue, étalant son excitation sur ma verge tendue, elle accentue ses gémissements tout en se cambrant encore un peu plus et écartant une fesse d’une de ses mains, l’autre agrippant mon cul.

Sa belle petite chatte m’est offerte et c’est avec fougue que je viens la prendre. Elle pousse un gémissement long et sonore en sentant mon membre la pénétrer, ses mains viennent se coller au mur alors que les miennes agrippent son cul pour commencer à la pilonner énergiquement. Elle gémit à chacun de mes assauts, les yeux fermés, savourant le traitement que je lui inflige comme si elle attendait ça depuis des lustres !!

Je la pénètre comme ça, sans discontinuer, lui claquant le fessier de temps à autre, ce qui ne manque pas de la faire réagir avec approbation, gémissant toujours plus en esquissant un sourire de contentement, les yeux à demi-fermés à présent et le visage toujours collé au mur. Je m’attelle à enlever son soutien-gorge, et une fois fait, je prends ses seins à pleine main pour l’attirer vers moi. Je lui masse la poitrine tout en plongeant mon visage dans son cou pour l’embrasser, une de ses mains caressant mes cheveux, et l’autre toujours scotchée à mon cul, suivant les mouvements de la pénétration que je continue à lui faire subir. Je fais ensuite descendre une de mes mains vers sa chatte et me mets à lui masser rapidement le clito, ce qui la fait gémir encore plus fort, serrant les cuisses et tentant de se plier sur elle-même. Je la retiens contre moi, continuant à la prendre d’un côté et à la caresser de l’autre, elle couine de plus en plus, augmentant les décibels à mesure que mes assauts dans sa chatte et sur son clito se font de plus en plus appuyés et rapides.

Je finis par relâcher mon étreinte et elle s’écroule au sol en jouissant, les jambes tremblantes et le souffle court. J’attrape un de ses bras pour la relever mais elle se dégage d’un geste vif et se met à genoux avant de venir gober ma queue d’une traite, se mettant à me sucer avec une rare gourmandise, me dégustant en poussant des gémissements de satisfaction tout au long de cette fellation frénétique. Elle ne fait aucune trêve, léchant ma queue, suçotant mon gland, malaxant et gobant mes couilles au gré de ses envies.

Après s’être délectée de mes parties un bon moment, elle se relève, pousse sans ménagement les chaises lui barrant le passage et s’assoit sur la table, écartant les cuisses autant qu’elle le peut tout en faisant de même avec sa chatte.

— Baise-moi, vas-y, j’veux te sentir en moi, j’veux que tu me prennes aussi fort que tu peux, vas-y !!!!

Sans lui demander de répéter, j’accède à sa demande et la pénètre d’une traite, venant faire claquer mon pubis contre sa peau, et comme elle le souhaite, je la pilonne sauvagement, faisant crisser les pieds de la table sur le sol à chacune de mes charges. Elle ne gémit plus à présent, elle crie de plaisir en me sentant la marteler sans cesse, tout son corps tremble et vibre sous mes offensives brutales, mes mains la maintenant fermement par les cuisses.

— OUI OUI OUI OUI OUI OUI, J’VEUX QUE TU JOUISSES !!! me hurle-t-elle.

Je continue à la baiser aussi fort que je peux, et quand je finis par me retirer, elle vient immédiatement emprisonner ma queue dans sa bouche pour se mettre à me sucer tout aussi rapidement jusqu’à finir par me faire cracher, se délectant de ma semence et accueillant chacune de mes giclées par des gémissements de contentement et de plaisir. Je me lâche aussi, poussant un râle long et profond en sentant ma jouissance se déverser en elle. Ma bite entièrement dans sa bouche, elle ne bouge plus à présent, se contentant de laisser couler mon sperme au fond de sa gorge, l’avalant avec concupiscence avant de reprendre à nouveau les va-et-vient afin de récupérer ce qui peut encore l’être. Elle est plus douce dans ses gestes à présent, comme si un désir intense et brûlant avait enfin été rassasiée, et elle me savoure avec délice, jouant avec mon sexe, le léchant, le suçant en esquissant de temps à autre des sourires enivrés. Elle finit par relever son regard vers moi, me souriant de toutes ses dents, comme comblée d’avoir enfin assouvie une envie irrépressible !!

— Ça te prend souvent ?? lui dis-je en reprenant ma respiration ;

— Quand j’ai très envie, dit-elle tout en continuant à me masturber ;

— T’avais envie ?!? Sans blague, ça s’est pas vu du tout !!

Elle rigole puis se relève sans lâcher ma queue. Elle vient m’embrasser, plus tranquillement cette fois, continuant en même temps à me branler, ma bite ne semblant pas vouloir redescendre tant ses gestes sont appliqués. De mon côté, je lui caresse les fesses, passant un doigt entre celles-ci jusqu’à venir titiller son anus. Elle frémit alors, appuyant son baiser et me branlant un peu plus vigoureusement.

Soudain, la sonnerie de l’interphone retentit.

— T’attends quelqu’un ?? me dit-elle tout en sursautant, lâchant mon sexe sous le coup de la surprise ;

— Ben à la base, j’attendais une pizza, maintenant, peut-être que c’est une autre visite surprise, qui sait !!

— Ouais ben j’te préviens, peu importe qui c’est, je vais pas me cacher cette fois !!

Je rigole avant d’aller répondre, c’est bien le livreur. Jenny ne prend pas la peine de se rhabiller et elle s’installe sur le canapé pendant que j’enfile rapidement mon pantalon, inutile de passer pour un pervers en ouvrant la queue à l’air !! Je paye le livreur sur le pas de la porte, même si je me doute qu’admirer Jenny totalement nue ne lui aurait pas déplu !!

— Aaaah, super !!! dit Jenny en tendant les bras vers la pizza. T’en a pris qu’une ?

— Oui, j’avais pas prévu d’être accompagné je te signale !!

Sur le point de me rasseoir, Jenny me fait un geste négatif d’un doigt tendu tout en mordant goulûment dans une part de pizza.

— Quoi ?

— Vire-moi ce pantalon, je suis pas habillée, donc toi non plus !!

— Ah, OK, comme tu veux.

J’enlève mon pantalon et m’assoit tout en attrapant à mon tour une part de pizza. Jenny continue de manger tout en venant, de son autre main, attraper de nouveau ma queue qui s’est bien ramollie. Elle s’applique malgré tout à me masturber, mangeant et regardant la télé en même temps.

— Euuuh, ouais… Tu veux pas manger tranquillement au lieu de t’amuser avec ma bite ?

— Pourquoi, ça te gêne ? Me demande-t-elle sans même me regarder ;

— Non, c’est pas ça, mais ça peut peut-être attendre qu’on ait mangé, non ?

— Non, ça peut pas, j’en ai pas fini avec elle et je veux la garder en alerte !!

Elle engloutit une nouvelle part de pizza avant de se lever et de se diriger vers la cuisine. Elle en revient avec deux bières bien fraîches et m’en tend une avant de s’asseoir en sifflant quasiment la moitié de la bouteille. De nouveau, sa main vient attraper mon sexe et je frémis en sentant ses doigts glacés entrer en contact avec mon gland.

— Oups, pardon, j’ai les mains froides, c’est vrai !! Bouge pas…

Jenny se penche alors entre mes jambes et viens prendre ma queue molle dans la bouche. Elle se met à l’aspirer et à faire tourner sa langue autour. Après quelques secondes, elle se redresse.

— Ça va mieux ?

— Oui merci, très aimable à toi !

— Mais je t’en prie, me dit-elle en me lançant un clin d’il.

Jenny continue de manger sans, cette fois, toucher à ma queue, ayant les deux mains prises. Elle alterne entre la pizza et la bière comme si elle était affamée. Je la regarde du coin de l’il en poussant un petit rire étouffé qu’elle remarque malgré mon apparente discrétion.

— Pourquoi tu te fous de ma gueule ?

— Non, je me fous pas de ta gueule, c’est juste que…

Je n’arrive pas à mettre des mots sur ce que je pense et je me contente de la regarder en souriant bêtement.

— Bon, tu la craches ta pastille ? C’est juste que quoi ??

— Ben je sais pas, tu débarques ici à l’improviste, tu te jettes sur moi comme une nymphomane, ensuite tu bouffes comme si t’avais rien mangé depuis deux jours, bref, c’est… étonnant !!

— Et ça te dérange ?

— Non, du tout, c’est juste le timing qui est bizarre. Depuis que tu es revenue au boulot, t’as rien laissé transparaître, tu semblais impassible, et là, d’un coup, tu te lâches…

— Ouais… Dit Jenny avant de finir sa part de pizza et de se rincer la bouche avec le reste de sa bière.

Elle regarde la télé, pensive.

— Après tout ce qu’il s’est passé, j’avais sans doute besoin de faire un peu le point ;

— Et c’est bien normal. Tu as bien profité de ton week-end chez ton amie à propos ?

— Oui, c’était super, ça m’a fait un bien fou de la voir et surtout de m’éloigner un peu du quotidien, je pense que j’aurais explosé sinon !!

— Ben c’est cool, content que tu ailles mieux en tout cas !

Elle me sourit.

— Content que je sois plus détendue ou content que j’ai débarqué chez toi pour baiser ?

— Les deux !! L’un ne va pas sans l’autre en général, non ?

Le sourire sur le visage de Jenny s’estompe peu à peu et elle finit par regarder à nouveau l’écran, l’air plutôt triste et gêné.

— À mon grand désespoir, c’est pas toujours le cas pour moi…

Je sais pertinemment qu’elle fait référence ici au gang-bang qu’elle a fait alors qu’elle n’allait pas bien. Je me souviens de son attitude d’alors, faussement détendue et excitée, elle se faisait prendre complètement machinalement, sans s’occuper de son plaisir, et encore moins de celui des mecs qui s’acharnaient à la saillir les uns après les autres, elle a fait ça uniquement pour essayer de se convaincre que son frère avait raison de l’avoir traité de putain. J’aurais voulu pouvoir trouver les mots pour l’en dissuader, mais je n’ai pas su, et j’ai préféré l’accompagner pour rester avec elle au lieu de la laisser seule…

Je n’ai jamais vu Jenny gênée par tout ce qui peut toucher au sexe, mais là, pour le coup, elle semble vraiment se sentir honteuse d’en être arrivée là. À ce moment précis, elle paraît réellement vulnérable, chose qu’elle se refuse toujours à dévoiler, préférant afficher son côté femme forte car pour elle, montrer que l’on a des faiblesses, c’est s’exposer au risque de perdre en crédibilité. La raison première de ce comportement est bien sûr professionnelle car quand on est une femme, et qui plus est cheffe d’entreprise, il faut encore plus se battre pour s’imposer et inspirer confiance, mais ça a aussi rejaillit sur sa vie privée où elle n’accepte pas ou très rarement, selon le contexte d’être soumise. Je l’ai bien vu lorsque je l’avais fait chanter et pire, quand son frère l’avait mis plus bas que terre au restaurant. Je pense que Jenny a toujours eu ce côté fort, dominateur en elle mais celui-ci a beaucoup été étouffé par ses parents et l’éducation qu’elle a reçu, et au fur et à mesure, elle s’est émancipée, grâce à Denise ainsi qu’à toutes les expériences qu’elle a pu vivre quand elle s’est retrouvée seule.

Elle a fait ressortir son côté fort, elle l’a cultivé, mettant au ban une sensibilité qu’elle considère comme une faiblesse. Je pose doucement ma main sur son épaule.

— Eh, on fait tous des erreurs, c’est pas dramatique, t’as tué personne.

Elle ricane.

— Rassure-moi, tu m’en aurais empêché j’espère, si j’avais voulu tué quelqu’un !

— Je pense que j’aurais fait en sorte d’être plus persuasif oui !!

Elle rigole plus franchement avant de venir m’enjamber. Elle s’assoit sur mes cuisses et se met à faire courir ses mains sur mon torse, et de mon côté, je fais de même avec ses jambes. Sa peau est aussi douce que dans mes souvenirs… Elle me regarde avec un sourire discret mais bien présent.

— J’ai pas trouvé le temps de te le dire donc… Merci d’avoir été avec moi ce soir là ;

— Bah, t’aurais pu me remercier si je t’en avais empêché, ce qui n’est pas le cas…

— Te tortures pas pour ça Flo, je l’aurais fait de toute manière, avec ou sans toi, je te l’ai dit ;

— Oui mais bon…

— Et puis, si par je ne sais quel miracle tu avais réussi à m’en empêcher, après avoir fait pleuvoir sur toi une avalanche de gifles, je serais partie seule, et qui sait ce que j’aurais pu trouver à faire comme autre connerie…

— Vu comme ça…

Elle me sourit à nouveau avant de se pencher sur moi pour m’embrasser, tendrement cette fois. Elle vient se coller complètement à moi, faisant tout doucement onduler son bassin. Ses mouvements, doux et lents, me massent délicatement la queue. Elle arrête de m’embrasser et me dit, presque en chuchotant :

— Et merci de n’avoir rien dit à Denise ;

— Tu me l’avais demandé ;

— Mais tu aurais pu ne pas en tenir compte ;

— Oui… Mais non !!

Elle me sourit avant de venir à nouveau m’embrasser, roulant toujours délicieusement des hanches. Ma bite, piégée entre son corps et le mien, aime à ce point ce traitement que je peux la sentir, doucement mais sûrement, grossir petit à petit.

— Et j’ai aussi appris que de ton côté, tu n’avais pas attendu que je vienne pour prendre du plaisir…

— Denise parle décidément beaucoup trop, dis-je dans un souffle avant de l’embrasser.

Jenny ricane avant d’ajouter :

— Je ne savais pas que tu aimais les gamines…

— Marion n’est pas une gamine, elle a bientôt 23 ans ;

— Mais toi tu en as 36, et puis elle a à peine un corps d’ado, je te connaîtrais pas aussi bien, je pourrais penser que tu as des tendances…

Je ne la laisse pas finir sa phrase et plonge ma langue dans sa bouche.

— Dis pas de bêtises, Marion a un corps tout ce qu’il y a de plus féminin, tu devrais la tester, tu serais surprise…

— Non, ça ne m’excite pas, je préfère les nanas avec plus de formes…

— Moi aussi, mais je te garantis qu’elle vaut le détour…

Toute cette discussion se déroule par saccades, chacune de nos répliques étant séparées par de long et doux baisers qui se font, au fur et à mesure, de plus en plus passionnés. Cette situation particulièrement stimulante rajoutée aux souvenirs de ma partie de baise avec Marion qui me reviennent à l’esprit achèvent de faire durcir mon sexe. Jenny l’a parfaitement sentie et elle se met à présent à le caresser avec sa chatte, l’effleurant en remontant jusqu’à mon gland avant de redescendre en appuyant plus franchement, mon membre se retrouvant à passer délicieusement entre ses lèvres humides et soyeuses.

— C’est de penser à elle qui te fait bander ?

— Là, j’ai pas besoin de penser à qui que ce soit pour bander, je te rassure…

— Même pas à son petit cul et à ses petits nichons ?

— Ceux que j’ai sous la main me conviennent parfaitement…

J’agrippe alors ses fesses à pleine main tout en allant lécher ses tétons. Jenny gémit tout en continuant son manège, caressant sans cesse ma queue avec sa chatte de plus en plus trempée. Je m’acharne à gober ses seins, dégustant ses deux belles mamelles fermes à souhait.

Au bout d’un moment, mon sexe finit par se frayer un chemin en elle, ce qui nous fait gémir à l’unisson, mais elle aime s’amuser à caresser ma bite de la sorte, et elle la ressort avant de se remettre à jouer. Mon envie de la pénétrer se fait dévorante mais je la laisse faire malgré tout, la sensation de ma queue entourée de ses lèvres bouillantes est enivrante, encore plus lorsqu’elle concentre ses mouvements sur mon gland, le coinçant à l’entrée de son vagin avant de l’en retirer pour recommencer, encore et encore. J’essaie de l’inciter à ce qu’elle mette ma queue en elle mais elle se délecte d’abuser de moi de la sorte, voyant très bien dans quel état d’excitation elle me met !!

En guise de consolation, je viens introduire un de mes doigts dans son anus, ce qui la fait sursauter et gémir, et au bout de quelques secondes, ce geste de ma part l’ayant apparemment décidé à passer aux choses sérieuses, c’est d’un mouvement net et précis qu’elle vient engloutir ma queue avec sa chatte. J’ai enfin ce que je voulais mais ce n’est pas pour autant que je retire mon doigt de son cul, et c’est avec ses deux trous pris qu’elle se met à sautiller sur moi, serrant mon visage qui prend toujours place entre ses seins. Après avoir continuer à s’empaler sur moi un petit moment, elle finit par retirer mon sexe, me branlant quelques secondes avant de se placer sur ses genoux. Je sens mon gland entrer en contact avec mon doigt, toujours occupé à visiter son anus, et je le retire alors.

— Ton doigt est trop chétif à mon goût… Me dit-elle en se mordillant la lèvre inférieure.

Elle caresse son anus de mon gland, avant de lâcher ma queue, de venir se lécher généreusement les doigts et d’enduire son petit trou de salive. Elle récupère ensuite mon pieu et le présente devant son trou. Doucement, elle s’assoit, faisant petit à petit se dilater son sphincter, je peux la sentir enserrer toujours plus ma queue qui finit par prendre place entièrement dans son fondement, et elle accueille cette intrusion avec un gémissement qui, à lui seul, pourrait faire bander n’importe quel mâle, de quelque race que ce soit !! Au départ lents et brefs, ses va-et-vient se font plus amples et rapides à mesure qu’elle se détend, si bien qu’elle finit par me chevaucher avec entrain, rebondissant sur mes cuisses comme sur un trampoline, appuyant cette sodomie autant qu’elle le peut. Elle finit par se pencher en arrière, calant la paume de ses mains sur mes genoux et offrant à ma vue le spectacle de ma bite écartelant soigneusement sa rosette. J’appuie aussi cette pénétration anale comme je peux en donnant de légers coups de hanche au moment où ma queue est entièrement en elle, ce qui la fait crier de plus en plus, essayant d’atténuer ses hurlements en se mordant les lèvres.

Cette sodomie puissante et intense finit par faire accourir au galop ma jouissance qui ne demande qu’à exploser.

— Je…

Aucun autre mot ne sort de ma bouche mais Jenny comprends très bien ce que je veux dire tant mes doigts se crispent autour de ses hanches.

— Crache, vas-y, crache !!! me dit-elle entre deux complaintes.

Je ferme alors les yeux et bascule ma tête en arrière, lâchant un râlement profond et intense alors que mon orgasme explose au fin fond du cul de Jenny, qui accueille ce déversement de sperme en poussant elle aussi des gémissements lascifs au fur et à mesure que son anus se baigne de sécrétions. Je reprends mon souffle tout en savourant ce bouquet final, Jenny fait de même en continuant à onduler sensuellement des hanches. Mes doigts se décrispent peu à peu et sont bien plus doux à présent, caressant les cuisses de ma belle amazone. Des frissons me parcourent de temps à autre, et je ramène Jenny vers moi pour l’embrasser et la serrer contre moi. Mon sexe finit par être trop mou pour rester en elle et il en sort, glissant sur le côté comme un soldat épuisé après l’assaut final. Comme un réflexe, Jenny continue de bouger sur moi alors que notre baiser est maintenant doux et passionné.

Ce soir-là, Jenny est restée chez moi, j’ai l’impression qu’elle se livre de plus en plus, comme si ce qui s’était passé avec son frère, et ce qu’on avait vécu ensemble par la suite nous avait rapprochés. Elle se sent plus à l’aise avec moi, et pas seulement sexuellement parlant, elle me dit des choses plus intimes, comme si j’étais passé de simple plan cul à plan cul ET confident, une personne de confiance dont elle sait qu’elle ne servira pas de tout ce qu’elle lui dit pour lui nuire ou se moquer d’elle.

Nous avons quand même dormi un minimum, ne manquant pas l’occasion de baiser à nouveau avant de partir travailler. Jenny avait un rendez-vous chez un client ce vendredi matin et elle me charge d’en informer tout le monde, ce qui évitera d’éveiller les soupçons en arrivant l’un après l’autre dans un laps de temps très court.

Je sens que ma relation avec Jenny a évolué, mais je ne saurais pas dire jusqu’à quel point, et s’il est clairement prématuré de parler de sentiment, il est certain qu’elle est devenue plus qu’un simple plan cul.

Où se situe la frontière ? Là est la véritable question…

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