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Les deux épouses du (futur) roi – Chapitre 1




Je suis la…Dans tout le trajet, on me regardait comme un joyau précieux. Mais il y avait de quoi… Je suis une séductrice hors-pair et peu de gens à la cour ont autant d’attribut que moi,autant intellectuellement que physiquement. Cela faisait 40 jours et nuit que nous naviguions sur Le Saboy, bateau au nom de la très récente épouse du roi d’Angleterre. Dès que père eut appris ce mariage, lui et moi eurent la (mal)chance d’aller à la cour de France pour que je séduise et essaie d’épouser le futur roi, Henri Pennsburg. 

Ma chère Saboy eut la gentillesse de me conseiller à la reine de France comme dame d’honneur et nous voici sur la route nous menant chez le roi .Nous y allons aussi avec ma cousine, Christelle. Elle est très belle je dois en convenir, mais aussi très stupide. Une beauté sacrifiée… Elle a de très longs cheveux blonds et de grands yeux bleu turquoise. Elle a de formes généreuses et des traits fins. Ma plus grande rivale, dès les premiers instants quand je l’ai rencontré à mes 10 ans.Mais les hommes sont tout aussi attirés d’elle que de moi, surtout grâce à mes yeux verts émeraude et mon esprit vif. Mon père, Christophe Howard est le chef de la famille. Même quand je serai mariée (à un homme qu’il choisira) je serai toujours son pion. Mais au moins, je peux échapper aux tâches ingrates qu’il me demande en les refoulant à Christelle. Il a le contrôle absolu sur la famille et il est un fin stratège. Soumission rime avec protection. Mon cheval hennit, ce qui me ramène à la réalité. Je tirai un peu sur la bride et il se calma. J’adressa la parole à père:

-Père ,puis-je vous posez une question?

-Bien sur ma chère

-Sera t il moi ou Christelle qui épousera le prince?

-Celle qu’il choisira

— Vous ne serez guère fâché que ce ne soit pas moi?

— Je pense à l’intérêt de la famille pas au vôtre 

Je baissa les yeux et il rajouta:

— Si vous échouez encore toutes les deux… Ce sera votre fin dans la vie aisée.

Je compris toute la lourdeur de la menace et fut obligée de lui répondre:

-Bien sur père.

Et puis nous vîmes les murailles de la cour…

Je pris ma plus belle posture et je fus de plus en plus inquiète… Mon père lisa le tracas sur mon visage et me dis avec douceur:

— Vous êtes belle et intelligente, vous êtes capable de le faire

Je répliqua avec le même ton:

— Merci père

Christelle arriva au même moment et me dis:

-Tu ne trouves pas cela angoissant?

-Bien sûr que non… Et redresse toi un peu on dirait que tu n’as pas dormi

-Mais je n’ai pas dormi!

Elle n’a que 14 ans et c’est vrai que je suis rude avec elle… Mais c’est plus fort que moi

— Ma chère si tu veux séduire le prince tu dois avoir bonne impression

Mon père intervenant à sa façon:

— Regardez Christelle écoutez votre cousine. Ce n’est guère par hasard qu’ils tombent tous sous son charme… Et elle ne veut que ton bien

-Mais monsieur…

— Il n’y a pas de mais

Je lui lança un regard suffisant. Elle baissa encore une fois les yeux tandis qu’on traversait les portes de la cour

                 *******************

Dès notre arrivée, les têtes se tournèrent. Je pris mon plus beau sourire. On était 25 jeunes femmes toutes jolies à leur manière qui concourraient pour la main du prince et malheureusement je n’étais pas la plus jolie (mais certainement la plus brillante). Ma robe en soie et dentelle rouge bourgogne accompagnée d’une coiffe lourde noire remplie de perle en or qui ornait ma longue chevelure aux cheveux blonds m’allait parfaitement. Je suis parfaite pour un prince cherchant une femme gracieuse, sombre, mystérieuse et un brin difficile. Ma cousine était, comme jamais auparavant, belle et féminine. Sa robe en fil d’or ornée d’une cape bleue ciel était magnifique. Une coiffure compliquée avec une coiffe légère en dentelle et pour accompagnement une simple ombrelle de la même couleur que sa cape et sa coiffe. Elle inspirait la joie, l’ouverture, la bonté et la générosité. 

Nous sommes les deux opposés en quelque sorte…

                    ****************

Pendant que nous nous dirigions vers nos chambre, la reine vînt nous souhaiter la bienvenue. Une femme tout simplement magnifique. De longs cheveux noir et des yeux d’un gris je ne pourrais pas décrire. Elle nous annonça d’une voix douce:

— Bonjour et bienvenue en cour de France. J’ai déjà choisie mes dames de compagnie pour le commencement mais tout peut changer. Je les ai choisi en fonction de ce que Saboy m’a communiquer

Quand je vous disais que je suis brillante…. je sais me faire les bons alliés en temps de guerre. Elle a gagné ce combat et je pense  et elle s’en sentait presque mal. On a été de meilleures amies et je savais qu’elle allait me redonner une autre chance . C’est pour sa que je suis devenu aussi proche d’elle… La reine reprit la parole:

— Catherine, Jeanne, Christelle, Marguerite et…

J’attendais mon nom avec impatience

— Ambroise

Je commençais à croire que je ne serais pas prise! La reine annonça:

— Vous 5, vous partagerez des chambres annexes qui peuvent être barrées à clé. Les autres dans les chambres des domestiques vous serez attendue mais avec des places assez privilégiés je dois le dire. Les accompagnateurs comme vos parents et autre seront dans les chambres d’invité

Et puis son ton baissa d’un cran:

— Je cherche une épouse rayonnante d’énergie, de beauté et d’intelligence. Je ne veux entendre ni plainte ni enfantillages. On s’est bien compris

Tandis que les autres restaient figées par la peur ou l’étonnement, je me mouvais dans une profonde révérence et lui dit encore d’un ton doux :

— Bien sûr ma reine. 

Elle me regarda avec étonnement. Les autres favorites et quelque "domestiques" se plongèrent dans une révérence à leur tour. La reine me demanda:

— Ambroise c’est ça?

— Oui ma reine

— Sais-tu parler français?

— Oui ma reine

-Latin?

-Oui dis-je en lui souriant timidement 

-Sais tu faire de la couture?

-Oui

-Que ne sais tu pas faire?

-Guère ce que vous me demanderez ma reine

Elle souria avec satisfaction. Je fus convaincue que je venais de marquer un grand point. Elle proclama:

— Bon et bien, allez vous reposez un peu mes chères vous en aurez besoin pour le bal de ce soir.

Je me baissa dans une profonde révérence et sans un regard en arrière j’allais vers ma chambre.

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Sur le panneau de la porte, il est écrit:

Propriété de Christelle et Ambroise

Je fus un peu soulagé. Être seule dans la nuit dans un endroit inconnu ne me réjouissait pas. Et je pourrai passer mon angoisse sur la petite. Je rentrai dans la chambre. Vraiment sans aucun sarcasme, c’est du grand luxe. Il y a de la soie partout, une coiffeuse, une grande garde robe (avec nos tailles, ma chère Saboy!) et évidemment, un grand lit à baldaquin. Il y a aussi un matelas au sol. Je dis à Christelle:

— Installe tes affaires et reposes toi. Je t’habillerai et te coifferai ensuite.

Elle le fit sans protester et alla dans le matelas sans rechigner. Je me coucha à mon tour et eu un sommeil léger mais réparateur.

                 *******************

Je me réveilla et vis Christelle. Je devais la réveiller… j’eu la meilleure idée! J’allais chercher un bol d’eau froide et lui versa sur tout le corps. Elle se réveilla en sursaut et même si je rigolais de l’intérieur, je pris l’air le plus dur que j’avais pour lui dire:

— Encore couchée? Ça mériterait une bonne correction mais puisque je suis gentille je ne vous punirais point. Dites moi merci.

-Mer… Merci Ambroise.

— C’est bien bon maintenant viens.

Elle me suivie vers sa garde-robe. Saboy avait très bien choisi, elle savait que j’allais l’habiller. Il y avait une magnifique robe pourpre avec au niveau du corset des fils d’or. Je la pris et lui fis essayer. Elle me dit:

— C’est parfait merci

— De rien

— C’est bien maintenant je vais te coiffer

Je pris le peigne et lui fis un chignon. Ensuite je lui fis mettre une magnifique coiffe argentée. C’était parfait. Je lui fis un petit sourire et lui dit: 

— Tu es très jolie comme ça

— Merci Maîtresse Ambroise

— De rien ma chère. 

Mon cur battait. Un prince, un roi pouvait m’épouser.

Je n’avais pas le droit à l’erreur… Pas après les 3 dernières. J’avais des sautes d’humeur. Mon cur battait vite. Mais que notre cur batte veut dire que nous sommes toujours en vie, non? Je m’habillais pareillement que ma soeur. Les hommes aimaient toujours imaginer des scénarios coquins avec deux surs contraires et similaires (je sais que ça ne se dit pas, mais c’est le terme exact). Et puis, nous sommes allées au bal. Il n’y avait pas le prince que je rêvais.

        *************

Quand je suis arrivée, je l’ai tout de suite remarquer. Le prince. Une crinière blonde, bien habillé, un corps sculpté… Mais Christelle me ramena à la raison. Il était sur son trône. Cet homme n’était autre que son cousin. Je ne savais plus où me donner la tête. L’homme que je vis sur le trône n’était pas un prince. Il avait les cheveux gras et sales, il était mal habillé et bedonnant. Des mèches d’un noir luisant lui arrivait aux épaules, des yeux d’un Brun banal et sans expression. Vraiment répugnant. Et puis j’ai remarqué qu’il me regardait, moi et Christelle. Ragoûtant. Mais pas de manière:

"Jolie demoiselle allons leurs parler"

Mais bien:

"Je vais bien la possédée cette nuit cette putain!"

Il nous déshabillait du regard moi et Christelle. C’est que, j’avais un postérieur très développé et une poitrine normale. Christelle avait une poitrine très opulente et un postérieur encore plus développé que le mien. J’étais un peu dépassée, moi qui contrôlais toujours mes émotions. Un liquide s’échappait de moi. Super. Je lui fit mon plus beau sourire. Il me souri mais plus d’un sourire carnassier que je devinais exprimer:

"Je vais te dévorer"

Alors ils vint me voir et avec une voix bourrue:

-Pardonnez moi, Ambroise? M’accordiez vous cette danse?

J’entendis:

"l’autre là?On va danser maintenant, compris?"

-bien sûr qui le refuserait?

-Votre jumelle

Je pense qu’il savait que nous n’étions pas soeur mais qu’il aimait ce scénario:

-Nous accepterions tout pour vous monsieur le prince… Mon roi

On a dansé toute la nuit, moi et Christelle. Il y avait toujours une des deux avec le prince mais sinon c’était toujours:

-Son père

-Son comptable 

-Son meilleur ami

-Son cousin

*********************

Il m’embrassait avec passion. Sa langue m’emprisonnait la bouche dans un complet:bave et oxygène. Je savais que j’allais passer ce soir dans ces mains. Je lui dit

-il y a juste un problème pour moi mon roi… 

-Allez y je vous donne la parole

-Me mariez vous donc avec moi?

-À deux conditions

Lesquelles?

-De un, j’aurai tout les droits sur vous et votre soeur et vous savez ce que moi,grand roi, veux dire. Vous êtes redevenues des enfants sur ma garde

-Je veux que vous acceptiez avec le sourire tout homme ou tout désir de certains privilégiés  dans la cour… Compris?

-Bien sûr 

-Et je peux en rajouter quand je le voudrai. Vous, vous ne pourrez rien changer. C’est moi qui décide, les enfants, le mariage, mes relations… Vos relations

************************

J’étais très énervée mais je ne pouvais rien faire à part m’apitoyer sur mon sort… Il descendit tranquillement sa main dans ma robe, sachant mon dégoût. Il me chuchota:

-Putain, vous êtes une putain. Coucher que pour avoir du pouvoir, vous me dégoûtez.

Il caressait maintenant à deux mains mes globes par dessus ma robe et mon corset. Il attendait, savourant le fait de me voir souffrir. Il me retourna et se colla à moi. Je faisais exprès de me laisser faire pour l’exciter. Il commença à dénouer les lacets de ma robe. Il me pencha brusquement sur son lit de velours pour finir son travail. Même sans qu’il me touche, je resta dans cette position. 

"Bonne petite pute, je le savais dès que je t’avais vu"

Il me déchira le reste de ma robe. Il me restait mon corset et ma deuxième jupe. Il me dit

"Que diriez vous de laisser votre corset,mais laissant sortir cette poitrine et d’enlever cette Jupe? Oups, c’est moi qui décide ici" 

J’étais furieuse mais comme une bonne poupée docile je ne dis rien. Il dit:

"Je l’enlève comment cette jupe? En la descendant lentement ou rapidement? Ha non j’oubliais, le corset! Il prit le lacet et tira du mauvais sens. Je sentis mes côtes craquer et mes seins étaient prêts à exploser. Il dit:

"Les putes comme vous… C’est tout ce qu’elles méritent! Gardons le comme ça! Ou non, encore plus drôle…"

Il sortit que un de mes seins

1- Ça me rappelait la douleur de l’autre côté 

2-Ce cochon pouvais maintenant tout toucher au moins une fois.

 Et alors il décida que c’était assez. Il prit ma jupe, et la déchira en deux. Il y avait un rictus maléfique qui se forma sur son visage. Mon cul rond et galbé et mon seins avec leurs larges auréoles rose, c’en était trop pour lui. Il me prit un téton et me le tordu. Il garda son emprise et regardait mon mal être croître à chaque mouvement de plus. Il alla prendre quelque chose dans ses tiroirs. Un petit fouet. Le même que celui que mon tuteur utilisait quand j’étais jeune. Avec plusieurs lanières. Il dit:

"Tu sais qu’elles sont les épines?"

-non, mon roi

-rose et herbe à puce.

Mes yeux verts s’agrandir immédiatement. Il allait me frapper avec ça? Je commençais à pleurer. Il me dit:

-Vous voulez renoncer à votre mariage?

-N.. Non

— vous allez faire tout ce que je vous demande?

-Oui oui…

-Pardon?

-Oui maître

Ça me faisait mal de dire ça à cet homme

Et la. La je m’y attendais pas. Il

Sortit une chose horrible de son pantalon de soie. Un monstre. J’étais bouche bée.

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