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Ma mère et moi : plaisirs charnels – Chapitre 2




Chapitre 4

Jeux charnels avec nos corps

Le lendemain était un dimanche. Je me levai vers 9 heures, enfilai un boxer et un T-shirt et descendis dans la cuisine. Ma mère y était déjà, préparant notre petit-déjeuner. Elle était vêtue d’une robe de chambre rose assez courte pour laisser apparaître ses belles jambes jusqu’en haut des cuisses.

— Bonjour, maman chérie !

— Bonjour, Marc ! Bien dormi ?

— Oh, j’aurais aimé que tu partages mon lit, mais bon ! Merci encore, maman chérie, pour le plaisir que tu m’as procuré en me montrant ton corps de rêve !

— Vilain flatteur ! Mais je n’ai eu que rarement le plaisir de sentir mon corps aspergé de sperme chaud ! Merci aussi !

— Tu as mis une autre robe de chambre, maman ? J’aurais aimé mettre mon nez dans les jus d’amour séchés qui ont souillé ta robe de chambre hier soir !

— Vilain garçon ! Tu es décidément très vicieux !

— Maman, nous sommes seuls ici dans cette grande maison ; tu me plais, je t’aime, tu m’excites ! Jamais je ne raconterai à qui que ce soit ce que nous faisons dans le domaine du plaisir amoureux. Alors, ne nous gênons pas, donnons-nous du plaisir, bien cachés et complices sensuels et sexuels Jusqu’au bout de la débauche ; jusqu’au bout de la dépravation ; avec des mots et des actes cochons si cela nous plaît ! Et des râles de plaisir, si nous en avons envie ! Où est le mal finalement ? Penses-tu comme moi, maman chérie ?

— Oh, mon chéri ! Je mouille rien qu’à entendre tes paroles ! C’est dingue ! Je suis folle et totalement déraisonnable, mais tu m’excites tellement !!!

— Merci pour cette confession, maman ! Viens, déjeunons et puis nous verrons comment nous faire mutuellement plaisir !

Café, confiture, jus d’orange, beurre et croissants étaient prêts. Je demandai à maman si cela la dérangerait si j’ôtais mon boxer. Elle rougit et dit :

— Non bien sûr, mon chéri, au contraire ! Voir ta belle queue au petit déjeuner serait un grand plaisir pour moi !

Je me débarrassai de mon boxer en libérant ma bite déjà bien gonflée et durcie, à l’idée de ce que nous allions peut-être faire, maman et moi. Elle me dit :

— Oh, elle est si belle, ta queue, mon Marc ! Et elle est déjà si grosse, avec ce gland rose foncé au bout ! Je me réjouis de ce que je pourrais lui faire tout à l’heure ! La vue de tes grosses couilles dans leur sac plissé et rasé me chauffent le sexe aussi !

— Mmmm ! Merci, maman ! Je m’assieds pour que nous déjeunions cool et relax

Je dis, tout à coup :

— Oooooh, il me vient déjà une idée lubrique !

Je me levai, à moitié nu, la queue en érection et m’approchai de ma mère Me mettant à côté d’elle, je plongeai mon pénis en érection dans son bol de café : le liquide déborda et je lui dis :

— Suce maintenant ma bite pour en goûter le café, maman !

— Oh, Marc, mon chéri, tu es un dépravé, c’est sûr !

Mais elle introduisit mon pénis dans sa bouche et le suça goulûment. J’en profitai pour lui demander de lécher mon sac à boules, ce qu’elle fit avec un art consommé. Sa langue me parcourut longuement les couilles, les suçant, les léchant, et les enduisant de sa salive. Ma grosse pine tendue et dure était érigée contre son visageJe pris mon membre gros comme un bâton en main pour le lui promener sur la bouche, les joues, le front, les cheveuxOuah ! Que c’était bon ! Elle gémissait, elle aussi, en sentant ma grosse et chaude bite se promener sur son visage ! Je reculai enfin pour ne pas jouir tout de suite, me réservant pour d’autres plaisirs lubriques avec cette femme, ma mère, au corps merveilleux.

Je me rassis, essoufflé et excité, et nous achevâmes notre petit-déjeuner en nous regardant en souriant. J’en profitai pour demander à ma mère d’enlever sa robe de chambre pour que je puisse contempler son corps si excitant. Elle me dit :

— D’abord le haut, mon chéri, pour que ton excitation ne soit pas trop rapide ! Elle défit sa ceinture et laissa tomber le haut de sa robe de chambre, révélant ses grosses mamelles rondes, blanches, satinées, ornées des larges aréoles roses et grumeleuses dont j’ai déjà parlé, elles-mêmes couronnées de ces tétons en forme de petits cylindres rose foncé.

Dans ces tenues, moi ne portant plus que mon T-shirt avec ma pine dressée et elle, nue jusqu’à la ceinture, nous débarrassâmes la table et quittâmes la cuisine, main dans la main.

Elle me susurra à l’oreille :

— Marc, mon chéri, c’est dimanche, je ne travaille pas, que veux-tu que nous fassions ensemble, mon cochon chéri, pour notre plaisir sexuel à tous deux ?

— Oh, maman, si tu imaginais les fantasmes qui me traversent le cerveau ! Allons d’abord dans ta chambre et achève de te déshabiller pour me montrer ton corps de rêve, complètement nu !!! Tu veux bien ?

— Mais oui, chéri, et pourquoi pas, après tout, tu as raison, nous ne ferons de mal à personne en nous faisant du bien sur le plan charnel et sexuel ! Mais je te rappelle ta promesse : toute cette luxure, toute cette débauche, personne d’autre que toi et moi n’en saura rien !

Nous entrâmes dans la chambre de ma mère. Elle se retourna vers moi et acheva de se dépouiller de sa robe de chambre. A nouveau, et pour mon plus grand plaisir, je me retrouvai en face de ma mère, complètement nue !

— Regarde comme la vue de ton beau corps me fait bander, maman chérie ! Es-tu prête à l’assouvissement de nos fantasmes respectifs ? Actes cochons, paroles cochonnes, tout cela t’excitera-t-il ?

— Oh oui, Marc, mon amour ! Faisons ce que tu veux, ce que tu demandes, ce que tu exiges, mon salaud de fils ! Pour notre plaisir à tous deux, mon chéri ! Mais tu sais à quel point je jute quand je suis excitée, alors je vais prendre un vieux couvre-lit dans l’armoire pour ne pas souiller la literie de nos sécrétions.

Le tiroir contenant le couvre-lit était bas. J’eus donc le plaisir de mieux voir et admirer le superbe cul de ma mère quand elle chercha l’objet. Elle l’étendit sur le lit et attendit. Je luis dis, la voix étranglée :

— D’abord, assieds-toi, ma belle salope de maman, les cuisses bien écartées, pour que je puisse contempler à loisir ta vulve, tes lèvres, ton clito et l’entrée de ton fourreau d’amour !

— Voilà, mon chéri, régale-toi, dit-elle en s’exécutant. Je vis, à travers sa toison pubienne, ses grandes lèvres, déjà mouillées, qui pendaient comme des rubans de chair rose entre ses cuisses ; sa fente rougissante était ouverte, montrant son clitoris au bouton déjà érigéUn bonheur !

— Oh, tu es belle et excitante, ma cochonne de maman ! Je vais te caresser le clito jusqu’à ce que tu mouilles et que tu éjacules ton jus d’amour !

Ce que je fis avec fièvre. Je pinçai son clito doucement avec deux doigts, fis rouler le bouton turgescent et humide entre mes doigts. Sa chatte velue ne tarda pas à être trempée et à laisser s’écouler sa cyprine. Elle glissa sa robe de chambre sous sa motte pour ne pas souiller le sol. Elle gémissait de plaisir, ce qui m’excitait au plus haut point.

 – Tu as bon, ma cochonne de mère ? lui demandé-je. Je vais enfoncer mes doigts un peu plus loin, pour ton plaisir et te branler les parois du vagin pour que tu jutes et que tu prennes ton pied ! Cela me fait tellement de bien d’exciter ma chienne de mère !

En même temps, de ma main restée libre, je malaxai et triturai ses beaux gros nichons ronds et blancs, je les soupesai, je pinçai doucement ses tétons déjà érigés ! Mmmmmmmmm !

— Oh, Marc, mon fils, quel dépravé, quel cochon tu es ! Et cela m’excite, mon chéri, c’est fou, c’est dingue ! Et ton langage cochon ajoute à mon excitation ! Continue, donne du plaisir à ta salope de mère, mon amour !

Après quelque temps, je retirai mes doigts trempés de son foutre et lui dis :

— Lèche mes doigts, salope de maman, pour goûter ta liqueur !

Ce qu’elle fit en ronronnant de plaisir.

— Mets-toi à genoux maintenant, maman, les jambes bien écartées, que je puisse, sur le dos, me glisser en-dessous de tes fentes et trous d’amour ! Je vais bien te faire jouir, ma superbe cochonne de mère !

Elle s’exécuta et se mit à genoux. Elle commença à haleter de plaisir, me saisissant la verge pour la branler aussi.

— Oh, maman, merci de me branler comme cela ! Tu me donnes du plaisir, mmmm ! Caresse et lèche mes couilles aussi, je t’en prie !

— Ta verge est belle et dure, mon chéri ! Ta hampe dressée est striée de veinules bleues et ton gland est comme un gros champignon rose avec une goutte de présperme au bout ! Aaaah ! Tes couilles sont grosses et gorgées de semence ! Tu m’excites, je mouille !!!

Après un moment, l’excitation sexuelle s’amplifiant, je criai :

— Reste à genoux, maman chérie ! Je vais me glisser sous toi et te lécher le con et le cul. Salope, tu m’excites à fond !

— Oui, mon cochon de fils, donne du plaisir à ta pute de mère !

Je me mis sur le dos, la bite toujours dressée et dure, et rampai entre les cuisses largement écartées de ma mère, agenouillée et haletante, des gouttes de cyprine coulant de sa cramouille trempée. La vue que j’avais en rampant était magnifique ; d’abord, je vis, au-dessus de son ventre un peu rebondi et de son pubis poilu, ses gros seins aux tétons érigés, qu’elle pressait l’un contre l’autre et faisait ballotter et balancer pour mon plus grand plaisir. Ensuite, je vis la fente velue de sa chatte, dégoulinant de son jus d’amour, puis, progressant toujours, je vis la raie de son cul entre ses superbes fesses, blanches, rondes et rebondies. Elle avait abondamment parfumé le tout. Je relevai la tête pour atteindre le trou de son cul, caché au fond de sa raie foncée tapissée d’un fin duvet brun. J’écartai ses fesses des mains pour pouvoir mieux loger ma langue à l’entrée de son petit trou, encerclé par la rosace de son sphincter. Un délice absolu ! Elle gémissait en me disant :

— Oui, mon chéri, lèche mon trou du cul, suce-le, salaud, c’est trop bon ! Je suis ta cochonne de mère et tu me donnes du bonheur ! Mmmmm !

— Oui, je lèche ton petit trou du cul bien chaud, ma salope de maman ! Tu es bonne, tu me donnes du plaisir ! Descends ta belle croupe sur mon visage, assieds-toi sur ma bouche, que je sente la douceur et la chaleur de tes fesses ! Mmmmm ! Et branle ma queue, maman chérie, pendant que je te lèche le cul ! Ah ! Quel bonheur, que tout cela est bon !

— Oh, mon chéri, je vais jouir ! Je vais éjaculer mon jus d’amour sur ta poitrine !

Je vais te caresser la queue et la sucer ! Je me baisserai vers elle et mon cul sera encore plus offert à ta langue !

Je déliraisLa raie sombre de son cul à hauteur de ma bouche, sa chatte velue et trempée sur mon menton et ma gorge, j’écartai les globes satinés de ses fesses pour enfoncer d’abord ma langue dans son petit trou, puis un index que j’avais abondamment mouillé de ma salive. Elle cria sa jouissance et enfonça profondément ma bite dans sa bouche, avec un grognement, me palpant et me caressant les bourses.

Tout cela dura un long moment, divin, avec nos halètements et nos soupirs respectifs : moi qui excitais, alternativement de la langue et du doigt, son trou du cul, parcourant aussi de la langue sa fente aux parois tapissées d’un duvet sombre ; elle qui allait et venait avec sa bouche humide sur ma trique et son gland. Elle éructait des cochonneries que je comprenais à peine, sa bouche étant pleine de mon gros bâton de viande.

C’est finalement, après cela, que ma mère jouit en premier lieu, hurlant comme une sauvage avec une série de spasmes et de sursauts, engendrant un volumineux et chaud jet de fluide mêlé d’un peu d’urine diluée, comme toutes les femmes fontaines, et qui gicla abondamment sur ma poitrine et mon ventre. C’en était trop pour moi ; je criai :

— Maman, salope que j’aime, je vais jouir !!! Je vais juter !!! Je viens !!!

Contrairement à ce qui s’était passé dans ma chambre la veille, elle ne tenta pas de s’écarter et garda ma pine en bouche L’orgasme vint, fulgurant et délicieux. Plusieurs jets de sperme chaud lui remplirent la boucheUne écume blanchâtre dégoulina de ses lèvres et goutta en mince filet sur mes testicules. Des gargouillements obscènes m’indiquaient qu’elle tentait d’avaler la plus grande quantité de sperme possible mais mon orgasme était tel que la quantité de mon foutre était trop importante. Elle dégorgea le surplus sur mon nombril et mon pubis qui furent recouverts d’un mélange blanchâtre composé de sa salive et de ma semence. Complètement repus et assouvis, nous nous écroulâmes côte à côte sur le couvre-lit trempé par nos sécrétions ; nous nous prîmes par la main et nous murmurâmes des mots d’amour, de jouissance et de sexe.

— Merci, ma maman ! Ta bouche chaude et humide sur ma bite et mes couilles ; avec ton derrière et ton con ouverts et offerts m’ont procuré une jouissance indescriptible !!!

— Merci aussi, mon cochon de grand fils ! Jamais je n’ai connu un plaisir sexuel aussi intense. Ta langue chaude et humide dans mon vagin, dans mon anus, mmmmm !!! Je suis repue et épuisée.

Elle empoigna aussi le couvre-lit imprégné de nos fluides pour le mettre à la lessiveuse. Puis, elle chuchota :

— Viens ; allons nous doucher comme hier puis nous nous coucherons ensemble, dans les bras l’un de l’autre.

Ce qui fut fait.

Regagnant sa chambre à coucher, nous nous glissâmes ensemble sous les couvertures et, épuisés, nous endormîmes rapidement jusqu’au milieu de l’après-midi, nos sens apaisés.

Une grande promenade s’en suivit et nous permit de retrouver le calme de nos sens. Nous passâmes ensuite le reste de la journée à regarder la télévision et moi j’en profitai pour potasser mes cours, en essayant de me concentrer. Apr ès le dîner, nous nous collâmes l’un contre l’autre dans le canapé du salon, jouant fréquemment avec nos langues dans nos bouches respectives. Elle finit par s’apercevoir que le milieu de mon pantalon était déformé par une grosse bosse mais me dit :

— Plus de folies sexuelles ce soir, Marc, je t’en prie. Tu m’as épuisée et assouvie, mon chéri !

— Oh, maman, j’ai à nouveau si envie ! Je t’en prie !

— Plus ce soir, amour ! Tu es insatiable ! Nous nous rattraperons demain, je te le promets, dit-elle en riant. Maintenant, si cela peut t’apaiser un peu, sors ta queue de ton pantalon ! Je la contemplerai et la caresserai avec le plus grand plaisir !

Je m’exécutai avec la plus grande excitation. Je me levai, baissai mon pantalon et mon caleçon. Ma bite durcie s’éleva à l’horizontale et je me rassis, haletant.

Ce spectacle ne laissa pas ma mère indifférente. Elle me dit doucement :

— Si tu en as tellement envie mon chéri, je peux caresser et branler un peu ce bâton de chair si excitant !

— Oh oui, maman, rien ne me ferait plus plaisir !

— Mais va chercher une grande serviette de bain ! Tes éjaculations sont si abondantes que tu risquerais de souiller le tapis avec ta semence !

Je revins, muni de la serviette que je glissai sous moi en me rasseyant et étendis sur le sol, le cur battant.

— Ah, chéri, voir ton membre érigé et ton gland rosi ne cessera de m’exciter ! Je vois un peu de pré-sperme au bout de ton champignon ! Avance un peu, que ton sac à couilles pende devant le canapé pour que je puisse le caresser aussi

Et l’enchantement commença avec la douce main de ma mère glissant sur mon chibre et pinçant doucement mon gland. En avant, en arrière, avec une cadence s’accélérant ! Puis sa main descendit vers mes boules qu’elle malaxa et tritura pour mon plus grand plaisir.

— Salope de maman ! Tu fais cela si bien ! Regarde, mon sexe gonfle encore ! Continue, c’est si bon !

Ce qu’elle fit, sa respiration s’accélérant. Elle cracha un jet de salive dans sa main, ce qui mouilla un peu la peau distendue de ma bite. Elle poursuivit sa branle et ses caresses. L’excitation commençait à monter du fond de mes tripes.

— Maman, ton cochon de fils va venir ! Je le sens. C’est bon, mmm !

— Oh oui, mon fils, lâche-toi ! Montre à ta pute de mère comment tu éjacules quand tu es excité sous la caresse de sa main.

La jouissance éclata. C’était trop ! Je criai fort lorsqu’un premier long jet de foutre blanc sortit de ma queue, si puissant qu’il atterrit avec bruit sur le tapis, au-delà de la serviette. Un second jet de sperme, moins puissant, mais très concentré aussi, fila entre mes cuisses ouvertes, sous le « Ooooh, qu’est-ce que tu jutes ! » excité de ma mère, Un troisième jet blanc et gluant atterrit sur la main que ma mère avait interposée devant ma pine en feu. Un dernier ruisseau de jus termina sa course en arc de cercle, dégoulinant sur mes couilles et glissant vers mon cul. Le paradis !

— Oh, mon étalon en rut, cria maman ! Je vais lécher ton jus dont ma main est trempée. J’ai toujours aimé boire le sperme masculin, mais voudrais connaître le goût, l’odeur et la texture du tien !

Elle s’enduisit les lèvres de ma liqueur blanche avec la main qui la contenait. Elle passa sa langue sur sa paume aussi et enfourna un paquet de foutre avec un bruit de succion absolument excitant. Quelques gouttes de jus blanc dégoulinèrent des commissures de ses lèvres.

— Oh, maman, merci pour ce moment sublime !

— Avec plaisir, mon chéri. Récupère un peu, remettons un peu d’ordre et allons-nous coucher dans les bras l’un de l’autre. Je travaille tôt demain !

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